Lamission Artémis I, premier volet du projet de la Nasa visant à retourner sur la Lune, doit décoller de Floride le 29 août prochain. Et
Aux États-Unis, les femmes sont égales aux hommes. Mais il existe de nombreuses façons dont les expériences de vie des hommes et des femmes sont différentes. Lisez des articles au sujet des droits des femmes, des vêtements et de la maltraitance des femmes. Renseignez-vous sur les expériences des femmes au travail, à la maison et quand elles ont des enfants. Photo gracieuseté de iStock/Adamkaz Histoire La façon dont les femmes en Amérique sont traitées aujourd’hui est très différente de ce qu’elle était il y a environ 50 ans. À l’époque, les femmes restaient à la maison avec les enfants et les hommes allaient travailler. Entre la fin des années 60 et le début des années 80, les femmes se sont battues pour être traitées de manière égale. Elles ont attiré l’attention sur le sexisme, c’est-à-dire quand les hommes reçoivent un meilleur traitement. Des femmes ont défilé dans les rues pour protester. Elles se sont battues pour changer d’importantes lois sur l’avortement et le viol. Elles ont créé et partagé des oeuvres artistiques et musicales sur leur expérience en tant que femmes. Cela s’appelait le Mouvement de Libération des Femmes. Cela a changé la façon dont les femmes étaient traitées aux États-Unis. Egalité des droits Dans la société américaine, les femmes sont égales et ont les mêmes droits que les hommes. Les femmes peuvent avoir les mêmes emplois que les hommes. Les femmes ont le droit de voter aux États-Unis depuis 1920. Les femmes peuvent être élues et peuvent posséder des biens. Elles peuvent servir dans l’armée. Mais il y a toujours un manque de femmes aux postes de direction. Les femmes représentent 51 % de la population. Mais jamais une femme n’a été présidente. Seuls 19 % du Congrès qui fait partie du gouvernement fédéral et 21 % des législateurs un type de leader politique sont des femmes. Cela peut nuire aux droits des femmes. Parfois, les décisions qui affectent la santé des femmes et leurs choix personnels sont prises principalement par des hommes. Les femmes en Amérique au travail Les femmes américaines représentent une part importante de la main-d’œuvre. Elles représentent près de 50 % des travailleurs. Les femmes travaillent dans tous types d’emplois. Il n’y a pas d’emplois réservés aux hommes ou aux femmes. Vous pouvez avoir un patron féminin. Cela est difficile pour certains réfugiés et immigrants s’ils n’ont jamais eu de responsable féminin au travail auparavant. Mais pour obtenir un emploi aux États-Unis, vous devez être qualifié pour le poste. Cela signifie que la personne qui est le patron a dû postuler et passer un entretien pour obtenir le poste. Si vous avez un patron qui n’est pas très bon, ce n’est pas parce qu’il s’agit d’un homme ou d’une femme, mais parce qu’il n’a pas les compétences nécessaires. Cependant, cela ne signifie pas que les femmes ont une égalité totale avec les hommes. Il y a beaucoup moins de femmes chefs d’entreprise que d’hommes. Les femmes gagnent généralement moins d’argent que les hommes. Cela est vrai même lorsqu’elles ont le même emploi. Les femmes n’obtiennent parfois pas les promotions qu’elles méritent. De nombreuses femmes américaines éprouvent également des difficultés à concilier vie professionnelle et vie privée. Par exemple, elles ont du mal à travailler tout en prenant soin de leur famille. En savoir plus sur les femmes au travail. Les femmes en Amérique à la maison Les hommes et les femmes américains partagent généralement les responsabilités et les tâches ménagères au sein du ménage. Dans une famille, l’homme et la femme peuvent tous les deux travailler à l’extérieur du foyer. Dans environ la moitié des foyers aux États-Unis, les deux parents travaillent à temps plein. À la maison, la mère et le père font souvent tous les deux la lessive, la vaisselle, la cuisine et s’occupent des enfants. En savoir plus sur la parentalité aux États-Unis. Lorsque les femmes accouchent, elles s’absentent de leur travail. C’est ce qu’on appelle le congé maternité. La plupart des femmes ont droit à un congé non payé de 3 mois. Certaines entreprises versent aux employées une partie de leur salaire. Après la fin de leur congé de maternité, les femmes américaines retournent au travail. Elles paient souvent une garde d’enfants pour leurs bébés et leurs enfants pendant qu’elles travaillent. La maltraitance des femmes en Amérique Certaines femmes américaines sont également confrontées à la violence domestique ou aux mauvais traitements de la part de leurs partenaires. Environ un tiers des femmes déclarent avoir été maltraitées. Il y en probablement plus que cela, car de nombreuses femmes ont peur ou honte de parler de violence. La maltraitance et la violence contre les femmes, les hommes ou les enfants sont illégales. Si une personne est reconnue coupable de violence conjugale, elle peut aller en prison. En savoir plus sur les lois américaines. Si vous êtes en couple et maltraité par votre partenaire, vous pouvez appeler la Hotline Nationale contre la Violence Domestique 24 heures sur 24 pour demander de l’aide. Vous n’êtes pas obligé de donner votre nom. Tenues vestimentaires des femmes Aux États-Unis, les femmes peuvent s’habillent différemment des femmes d’autres cultures. Elles peuvent, par exemple, porter des pantalons ou porter des vêtements qui laissent voir la peau. Aux États-Unis, porter des vêtements révélateurs ne ternit pas la réputation d’une femme. Cela ne veut rien dire non plus sur sa moralité. Les femmes achètent généralement leurs vêtements dans des magasins. Elles ne les fabriquent pas elles-mêmes et ne les font pas non plus confectionner par des professionnels. Elles ne font appel à des professionnels que pour les grandes occasions. Les femmes achètent généralement des vêtements bon marché et les remplacent au bout de quelques années. Dans l’ensemble, le style vestimentaire aux États-Unis est décontracté. Beaucoup de femmes et d’hommes portent des jeans la plupart du temps. Certaines femmes ne portent pas de vêtements habillés en dehors du travail ou des occasions particulières. Aux États-Unis, certains lieux de travail sont également décontractés, en particulier dans les villes. Parfois, les jeunes peuvent même porter des tenues de sport au travail ou à l’école. Plus sur USAHello
Laconquête de droits identiques à ceux des hommes passe par une réforme en profondeur du code civil et du mariage. Le code civil napoléonien instituait de fait l’incapacité juridique des femmes mariées, soumises à leur mari : « Le mari Texte Les droits de la femme Homme, es-tu capable d’être juste ? C’est une femme qui t’en fait la question ; tu ne lui ôteras pas moins ce droit. Dis-moi ? Qui t’a donné le souverain empire d’opprimer mon sexe ? Ta force ? Tes talents ? Observe le créateur dans sa sagesse ; parcours la nature dans sa grandeur, dont tu sembles vouloir te rapprocher, et donne-moi, si tu l’oses, l’exemple de cet empire tyrannique. Remonte aux animaux, consulte les éléments, étudie les végétaux, jette enfin un coup d’œil sur toutes les modifications de la matière organisée ; et rends-toi à l’évidence quand je t’en offre les moyens. Cherche, fouille et distingue, si tu le peux, les sexes dans l’administration de la nature. Partout, tu les trouveras confondus, partout ils coopèrent avec un ensemble harmonieux à ce chef d’œuvre immortel. L’homme seul s’est fagoté un principe de cette exception. Bizarre, aveugle, boursouflé de sciences et dégénéré, dans ce siècle de lumières et de sagacité, dans l’ignorance la plus crasse, il veut commander en despote sur un sexe qui a reçu toutes les facultés intellectuelles ; il prétend jouir de la Révolution, et réclamer ses droits à l’égalité, pour ne rien dire de plus. La déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, Olympe de Gouge, 1791 Introduction La Révolution française constitue un bouleversement politique fondamental dans la société française, mettant fin à lʼ Ancien Régime et aux privilèges de l’aristocratie française sur les autres classes sociales. Cependant d’un point de vue sociétal, les droits des femmes n’évoluent pas, laissant la femme à un statut d’infériorité par rapport à l’ʼhomme. Olympe de Gouge est considérée comme l’une des premières militantes féministes. En sʼ’appuyant sur l’universalité de la déclaration des droits de lʼ’homme, elle réclame une égalité femme-homme pour libérer la femme de sa servitude domestique à laquelle elle est cantonnée. Elle se livre à un pastiche de la déclaration des droits de l’homme en écrivant celle de la femme et de la citoyenne. Dans un texte préfaciel pamphlétaire intitulé les droits de la femme», nous verrons comment Olympe de Gouge défend la cause des femmes en sʼ’attaquant à l’ʼhomme. Première partie l’auteure exhorte la femme à être éclairée par les principes de la philosophie des Lumières pour se libérer du joug des hommes Femme, réveille-toi !… injuste envers sa compagne ». Le texte s’ouvre sur une apostrophe au destinataire du discours. À noter la présence de lʼ’invocation lyrique ô» qui donne un souffle passionné aux mots de lʼ’auteure. Le texte repose sur lʼ’allégorie de la caverne du philosophe grec Platon. Cette partie du texte invite la femme à se réveiller, à sortir des ténèbres dans lesquelles elle vit pour accéder à la vérité grâce à la métaphore du flambeau de la vérité ». À noter l’énumération des caractéristiques de l’intolérance préjugés, fanatisme, superstitions, mensonges. Le paragraphe est constitué de périphrases métaphoriques comme le tocsin de la raison » qui donne au texte une tonalité épique et guerrière incitant la femme à entrer en guerre. Le combat féministe est universel ». Il transcende la notion de pays et a une dimension politique internationale pour Olympe de Gouge qui ne limite pas sa vision du monde à la France, comme le montre son combat contre l’esclavagisme. Olympe de Gouge cite d’ailleurs lʼ’exemple de lʼ’homme esclave » pour désigner les citoyens qui se sont arrachés à la domination de lʼ’absolutisme royal de lʼ Ancien Régime. Cette partie du paragraphe se clôt sur le vocabulaire de lʼ’injustice que subissent les femmes par la faute de l’ʼhomme. Deuxième partie l’auteure exhorte les femmes à prendre conscience de leur absence de droits dans une société patriarcale Ô femmes ! … -Tout, auriez-vous à répondre». S’engage dans cette deuxième partie du texte un dialogue imaginaire entre lʼ’autrice et les femmes à qui elle sʼadresse. À noter que lʼ’autrice passe du singulier au pluriel dans une nouvelle apostrophe. Ce passage au pluriel donne de l’ampleur au texte du point de vue argumentatif. Il est à noter également que se poursuit l’allégorie de la caverne avec lʼ’adjectif aveugles» pour qualifier les femmes qui ne parviennent pas à envisager la possibilité de se révolter. Il s’en suit une série de questions rhétoriques qui, encore une fois, exhorte les femmes à prendre conscience de la différenciation femme-homme et de l’injustice quʼ’elles subissent. À noter particulièrement l’exemple des noces de Cana Jésus prononce, selon Olympe de Gouge, une phrase misogyne à l’égard de Marie. Gouge montre ainsi quʼ’au commencement de la culture judéo-chrétienne réside déjà lʼ’inégalité entre homme et femme. Troisième partie l’ʼhomme, paradoxalement, se fourvoie en se conduisant en despote dans le siècle des Lumières. S’ils s’obstinaient … vouloir». Le texte continue par une longue phrase complexe qui s’ouvre par une proposition subordonnée hypothétique. Olympe de Gouge imagine, que si les hommes continuent à refuser à l’émancipation des femmes, les femmes doivent s’unir pour combattre. Gouge utilise les outils rhétoriques de la répétition. En effet, le reste de la phrase est constitué d’une série de propositions juxtaposées qui commencent par des verbes d’action conjugués à la deuxième personne de lʼ’impératif opposez», réunissez-vous», déployez» et enfin une dernière proposition coordonnée au futur simple très importante car le verbe est voir». Les femmes recouvreront enfin la vue grâce à leur action politique. Le texte se clôt par une phrase qui rappelle la phrase de Kant sur les lumières ose de servir de ton propre entendement». Gouge oppose dans cette phrase antithétique les barrières» et le vouloir» qui manque aux femmes pour s’affranchir» du joug des hommes. On remarquera surtout dans cette dernière partie l’habilité rhétorique de Gouge à user de périphrases métaphoriques très expressives comme les étendards de la philosophie» au sens guerrier, et ces orgueilleux , non serviles adorateurs rampants à vos pieds» qui dʼ’une manière péjorative jettent les hommes aux pieds des femmes. CONCLUSION Olympe de Gouge dans cette postface s’adresse, non plus aux hommes comme dans son texte liminaire, mais bien aux femmes quʼ’elle cible comme les réelles actrices de leur émancipation du joug patriarcal. L’ʼauteur développe en filigrane l’allégorie de la caverne pour défendre l’idée que les femmes demeurent ignorantes de la domination qui s’exerce sur elles et du pouvoir qui réside en elles pour se soulever contre cette injustice. Le texte semble destiné à être lu devant une assemblée de femmes, comme il en existait à l’époque. En effet, il a existé pendant la Révolution française des assemblées de femmes qui se réunissaient pour lutter pour leurs droits. Olympe de Gouge terminera son parcours guillotinée sous le régime de la Terreur de Robespierre. Théroigne de Méricourt, autre figure féministe de l’époque, verra également son combat s’interrompre par un enfermement à l’asile psychiatrique où elle finira ses jours.
Lepatron du groupe de courtage en assurances Assu 2000 Jacques Bouthier, mis en examen et incarcéré samedi dans une enquête pour « traite des êtres humains »
Les femmes doivent-elles encore aujourd'hui sacrifier » leur carrière pour avantager celle de leur conjoint ? Une récente étude publiée dans la Harvard Business Review » met en lumière une nouvelle dimension des inégalités professionnelles entre hommes et femmes à progression de carrière égale, les conjoints rechignent encore à faire passer leurs ambitions professionnelles après celles de leur épouse. Et si, en plus de devoir se battre au travail pour obtenir les mêmes perspectives de carrière et le même salaire que leurs homologues masculins, les femmes devaient aussi, pour réussir professionnellement, briser le plafond de verre qui se trouve… à la maison ? Alors qu'aujourd'hui encore, à travail et compétences égales les femmes continuent d'être rémunérées en moyenne 27% de moins que les hommes, une étude parue ce mois-ci dans la Harvard Business Review montre que les inégalités entre hommes et femmes, en plus d'avoir d'être bien ancrées dans la sphère professionnelle, ont aussi lieu dans le cadre privé. C'est ce qu'affirment Robyn Ely, Pamela Stone et Colleen Ammerman. Dans un article intitulé Rethink What You "Know" About High-Achieving Women Repensez ce que vous savez à propos des femmes performantes, publié dans l'édition de décembre de la Harvard Business Review, les trois chercheuses en sociologie tendent à prouver que ce n'est pas le fait d'avoir des enfants qui freine la carrière professionnelle des femmes, c'est avant tout que leur conjoint refuse bien souvent de mettre leur propre carrière professionnelle en stand-by, même quelques mois, au nom de la parité dans leur couple. Les femmes plus enclines à sacrifier leur carrière que les hommesMais comment expliquer que les femmes fassent une nouvelle fois les frais de ce fameux plafond de verre, et cette fois-ci au sein de leur propre foyer ? Pour comprendre pourquoi la réussite professionnelle des femmes était toujours considérée comme moins importante que celle de leur concubin, les trois chercheuses ont interrogé plus de 25 000 diplômés de la Harvard Business School, femmes et hommes, issus de trois générations différentes les baby-boomers 49-67 ans, la génération X 32-48 ans et les Millennials la génération Y, 26-31 ans.Malgré un niveau d'études et des aspirations professionnelles similaires une fois leur diplôme en poche, l'étude montre qu'hommes et femmes appréhendent de manière très différente leur réussite professionnelle et ce, quel que soit leur âge. Ainsi, alors qu'environ 50 à 60% des hommes des trois générations se disent satisfaits » ou très satisfaits » de leur expérience au travail, ainsi que de leurs possibilités d'avancement de carrière et de leur capacité à concilier leur vie pro et leur vie familiale. À l'inverse, seules 40 à 50% des femmes interrogées se disent satisfaites de leur vie professionnelle et de leur capacité à mener de front leur carrière et leur vie de famille. Pour les auteures de l'étude, ce n'est, contrairement aux idées reçues, pas le fait d'avoir des enfants qui rend les femmes moins satisfaites de leur carrière professionnelle c'est le fait d'avoir dû la sacrifier au profit de celle de leur conjoint. Elles en veulent pour preuve la comparaison des chiffres entre femmes et hommes mettant momentanément leur vie professionnelle entre parenthèses pour s'occuper des enfants. Mais pas seulement. Combien d'hommes seraient aujourd'hui prêts à quitter leur entreprise et à renoncer à une promotion pour suivre leur épouse à l'autre bout du pays, si cette dernière y avait une opportunité professionnelle ? Pour étayer leur thèses, Robyn Ely, Pamela Stone et Colleen Ammerman citent notamment le cas du cabinet de conseil et d'audit Deloitte & Touche. Au début des années 1990, le chef de direction du cabinet Mike Cook a constaté que seuls 10% des associés étaient des femmes, même si Deloitte & Touche avait procédé à l'embauche d'autant de femmes que d'hommes une dizaine d'années auparavant. En étudiant mieux les chiffres, il s'est rendu compte que 70% des femmes qui avaient quitté l'entreprise avaient retrouvé du travail ailleurs, et à temps plein, moins d'un an plus tard. Moins de 10% d'entre elles avaient pris la décision de se consacrer à leur vie familiale. Une persistance du schéma familial traditionnel l'homme fait carrière, la femme élève les enfantsVingt ans plus tard, ce phénomène est toujours d'actualité. Bien que les femmes et les hommes aient des priorités de carrière assez similaires, la croyance selon laquelle la carrière d'une femme est moins importante que celle d'un homme est encore largement d'actualité. 77% des sondés 73% des hommes, 85% des femmes pensent que faire passer la famille avant le travail » est l'obstacle n°1 à l'avancement professionnel des femmes. Et c'est là où le bât blesse. À tout vouloir mener de front carrière et maternité, puis vie de famille, les femmes relèguent bien souvent leurs ambitions et leur épanouissement professionnel après celui de leur conjoint. L'équilibre dans le couple et la conciliation parfaite entre carrière et responsabilités familiales sont-ils à chercher du côté de la jeune génération, plus sensible aux questions de parité et de mixité ? Pas vraiment. D'après l'étude, comme leurs prédécesseurs, les hommes de la génération Y ont des attentes plus traditionnelles que les femmes du même âge. Alors que trois quarts des femmes âgées de 26 à 31 ans considèrent aussi leur propre carrière professionnelle comme une priorité, 50% des hommes issus de la génération Y estiment que leur carrière passe avant celle de leur conjointe. Ils sont également 66% contre 42% des femmes à espérer que cette dernière prendra en charge l'éducation des enfants.>> Working Dads les hommes sont cloués au "plancher de verre" <<
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Le nouveau projet du Code civil adopté en Conseil des ministres du mardi 23 mars 2021, présidé par Ali Bongo, par visioconférence, modifie l’autorité de l’époux pour en donner une part égale à l’épouse sans repartir par contre toutes les charges endossées par l’époux. L’ancien Code civil donnait plus de prérogatives au mari. Les nombreux avantages désormais ôtés à l’époux, parmi tant d’autres, il y a le rôle de chef de famille retiré à l’homme. Il devient donc l’égal de l’épouse dans le foyer. Par ailleurs, l’époux perd l’administration légale des biens d’un mineur non émancipé pour le remplacer par un exercice commun », précise le communiqué du Conseil des ministres. Plus encore, le mari perd le choix de la résidence familial pour en faire un choix commun, contrairement au Code civil actuel. L’autre disposition majeure est la suppression de l’obligation de notifier au mari par la banque, l’ouverture d’un compte et la balance débitrice de celui-ci par la femme pour les remplacer par un principe égalitaire, en modifiant la disposition qui incombe au mari sur les charges du mariage », rappelle le communiqué. Le projet de loi mentionne aussi l’augmentation des droits du conjoint survivant et des nouvelles dispositions concernant le divorce. Pour le cas du divorce, les réformes suivantes sont apportées l’inscription dans le code civil des critères identiques pour la femme et l’homme pour qualifier l’adultère qui demeure une cause de divorce ; le cas de l’abandon établi comme un cas de divorce pour faute et aménager le cas échéant la présomption de filiation ; l’inscription dans les cas de divorce pour faute tout fait de violence domestique établi à l’égard d’un conjoint ; l’instauration du divorce par consentement mutuel, avec ou sans l’intervention du juge, en permettant de désencombrer les tribunaux et simplifier les divorces non contentieux », mentionne le communiqué final. A titre de rappel le projet de loi met fin à l’obligation d’obéissance de la femme vis-à-vis de son conjoint. Bien qu’étant un projet, il va être débattu dans les deux chambres du Parlement. Ces deux chambres sont acquises largement par le Parti démocratique gabonais, au pouvoir depuis plus d’un demi-siècle, 53 ans de règne, et rien du gouvernement comme projet n’a presque jamais été rejeté. Toutefois, ce nouveau projet de loi sur le Code civil va faire couler beaucoup d’encre et de salive dans l’opinion car il bouleverse les Codes religieux y compris les us et coutumes au Gabon.
Genèse2/18 : l’aide de l’homme; L’association homme et femme est évidente depuis le commencement. Dieu a créé un couple, selon Genèse 1/27. Il y a une interdépendance nécessaire dans le couple. L’Eternel dit : il n’est pas bon que l’homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable à lui (Gen 2/18-23). Nous voyons que

Cette série d’articles rend compte de mon intervention lors de la journée Points Chauds » du 2 mai 2019 au Centre de Formation du Bienenberg. Pour obtenir davantage d’informations quant au journées-débats Points chauds », visitez ce lien. ** Comme je l’indiquais la semaine dernière, je publie depuis le 2 mars 2019 les notes de mon débat avec Yoder, lors duquel je défendais la position complémentariste traditionnelle. J’ai commencé l’ensemble des textes clés de Genèse 1-3, que j’estime fondamentaux, et y ai relevé Que la création de l’homme et de la femme à l’image de Dieu offre quelques indices en faveur du complémentarisme voir ici Que la création de la femme de l’homme et pour l’homme implique une relation de direction/subordination entre les deux voir ici Que la chute a changé de manière tragique cette complémentarité idéale en une relation de domination abusive, avec toutes les dérives que nous connaissons aujourd’hui voir ici Même si les textes les plus débattus se situent dans le Nouveau Testament, plus spécifiquement dans les écrits pauliniens, je maintiens que la clé du débat se trouve dans l’interprétation des récits de la création. Comme je l’indiquais dans le dernier article de la série, publié la semaine dernière voir ici, l’ensemble des passages de l’Écriture ultérieurs à Genèse 1-3 touchant directement aux questions de masculinité et de féminité font systématiquement référence aux récits bibliques des origines. Ainsi, par exemple, le passage tant décrié de la soumission de la femme à l’homme en Éphésiens fait clairement appel à Cette semaine, nous nous tournons vers un autre passage controversé 😉 Un texte unique en son genre Ce passage, c’est celui de 1 Co la seule et unique référence au port du voile dans tout le Nouveau Testament. Même si la formule d’introduction est obscure Paul y répond sans doute à une question ou à une affirmation erronée de l’une des factions qui s’entre déchiraient au sein de l’Église de Corinthe. L’objectif de Paul est apparement de justifier l’une de ses instructions antérieures relative au port du voile. Dans cet article, mes commentaires seront limités à la question de la masculinité et de la féminité. Pour une exposition plus détaillée de ce texte, et éventuellement si mon avis sur la question du port voile vous intéresse, écoutez ce podcast. Une analogie trinitaire Pour Paul, le port du voile est intimement lié à la relation qu’entretiennent les chrétiens et les chrétiennes de Corinthe. Au sein de la série d’arguments qu’il propose, on retrouve une analogie trinitaire mettant en parallèle entre le rapport ente l’homme et la femme avec le rapport en le Père et Christ En substance, l’argument de Paul est hiérarchique Dieu le Père est le chef litt., la tête », kephalè de Christ, qui est lui-même le chef de tout homme, ce dernier étant lui-même le chef de la femme. Selon Paul, toute femme non voilée déshonore son chef, tandis que c’est l’inverse pour l’homme Généralement, les débats se focalisent ici sur deux points. 1- La relation de subordination trinitaire décrite dans ce passage Cette relation intra-trinitaire a été l’objet de nombreux débats au sein du monde évangélique ces vingt dernières années. Certains théologiens complémentariens Bruce Ware, Wayne Grudem [qui a beaucoup évolué dans ses positions], Denny Burk, Mark Thompson, Mike Ovey défendent leur position en affirmant que le Fils est éternellement soumis au Père de manière fonctionnelle au sein de la Trinité on appelle cette position EFS, Eternal Functional Submission of the Son. Les théologiens égalitariens rejettent cette affirmation au motif qu’elle est hétérodoxe, voire hérétique, et qu’elle s’écarte très nettement des définitions établies aux conciles de Nicée et de Constantinople. Sur ce point, ce sont les égalitariens qui ont raison, et les défenseurs du théisme classique dont je suis ne peuvent que constater les dégâts causés par certaines formulations hasardeuses des théologiens complémentariens mentionnés ci-dessus. L’analogie trinitaire avancée par Paul au verset 3 n’est qu’une analogie en voulant la pousser trop loin, l’on risque de glisser dans l’erreur subordinatianiste Origène. Je reste personnellement convaincu que Paul s’appuie sur la relation entre le Père et le Fils incarné pour construire son analogie. Il n’est nullement nécessaire de spéculer sur les relations intra-trinitaires éternelles pour affirmer ou infirmer le complémentarisme. 2- La traduction du mot kephalè Depuis 1954, suite à un influent article de Stephen Bedale, le sens métaphorique de direction donné à kephalè est régulièrement contesté au profit de la traduction source ». Si nous devons suivre cette proposition, alors il nous faut accepter que Paul ne développe aucun argument hiérarchique en 1 Cor 11, mais qu’il suit plutôt la logique procréationelle » que les égalitariens pensent pouvoir lire dans les récits des origines voir les trois premiers articles de cette série sur Gen 1-3, notamment celui-ci. Il m’est impossible de rendre compte de l’ensemble des débats que cette proposition a suscité. Je reste personnellement convaincu que la traduction source » est indéfendable, en particulier en 1 Cor 11, et je me rallie pleinement aux conclusions de Sylvain Romerowski dont je vous encourage à lire les travaux à ce sujet dans la Revue de Théologie Evangélique. Voir l’article initial ici et son complément ici. Grudem, à mon sens, a mis fin au débat dès 1985 en analysant près de 2 336 occurrences de kephalè dans la littérature hellénistique voir ici, en anglais. Certes, plusieurs spécialistes égalitatiens ont tenté de répondre à son article, sans se montrer réellement convaincant. Grudem répond à leurs principales critiques dans un article de JETS en 2001 voir ici, en anglais. Un appel à l’ordre créationnel Bien que Paul utilise kephalè dans le sens de tête », au sein d’une métaphore visant à décrire une forme de hiérarchie, il fait tout de même appel à l’argument de l’origine de la femme dans un deuxième temps L’homme n’a pas été tiré de la femme, mais la femme a été tirée de l’homme, et l’homme n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme a été créée à cause de l’homme » Il en tire la conclusion énigmatique du C’est pourquoi la femme, à cause des anges, doit avoir sur la tête [une marque de l’] autorité dont elle dépend. » Traditionnellement, la référence aux anges est expliquée par Ephésiens texte selon lequel le monde invisible, désigné par le couple domination et autorité », apprend la sagesse infiniment variée de Dieu par l’Eglise ». Cette explication est plausible, mais il faut reconnaître que la formule de Paul est bien trop laconique pour trancher avec certitude. Sans doute faisait-il référence à l’un de ses enseignements donnés à Corinthe lors de son séjour, de sorte que ses lecteurs savaient exactement à quoi il se référait. Il me semble toutefois que l’emprunt textuel appuie largement l’idée de hiérarchie établie par Paul au début du chapitre 11. En se référant à la création de la femme de l’homme et pour l’homme, Paul rappelle que la responsabilité de direction a été confiée à ce dernier dès l’état de perfection. Et son instruction sur le voile sert à manifester cette réalité à cause des anges », quoi que cela signifie. Autorité, mais de qui ? Les discussions autour de cet obscur se focalisent surtout sur la notion d’autorité exoucia. Ce terme peut recouvrir une multitude de sens, comme le pouvoir, la liberté, ou de droit. La frontière entre chacun de ces concepts est parfois bien fine, et ils peuvent même se superposer en certains contextes. Comme je l’ai indiqué, le laconisme du n’aide pas les interprètes. La plupart de nos traductions sont obligées de suppléer certains mots par exemple, dans la NEG79, le terme marque » et l’expression dont elle dépend » sont en réalité interpolés par les traducteurs. Les théologiens égalitariens adoptent deux principales stratégies interprétatives ils contestent toute référence à une notion d’autorité ou, lorsqu’ils l’acceptent, ils cherchent à la conférer à la femme en traduisant elle doit avoir sur la tête une marque de sa propre autorité ». Cependant, de telles interprétations n’ont aucun sens au regard de la logique employée par l’apôtre dans ce passage, surtout si kephalè établit un contexte de direction/subordination, comme je le pense. Avec Romerowski voir son article ici, j’estime qu’exoucia fait bien référence à l’autorité de l’homme, chef » de la femme Reste à savoir qui est l’homme dont il est question ici est-ce le mari, comme le conclut Romerowski ? Tous les hommes en général ? Qui est donc ce chef de la femme » ? Je ne crois pas que 1 Cor 11 suggère que toute femme est appelée à se subordonner à tous les hommes en général. Aucun texte du canon biblique ne va dans ce sens. La relation intertextuelle que ce texte entretient avec Genèse 1-3 suggère plutôt que Paul fait simplement référence à l’ordre créationnel il rappelle le principe initial selon lequel la responsabilité de direction est confiée à l’homme, qui en retour est appelé à exercer un leadership sacrificiel envers la femme, à l’aimer, à la chérir, et travailler conjointement avec elle à l’avancement du Royaume de Dieu. C’est ce principe qui est matérialisé par le port du voile. À suivre. Ces ressources pourraient vous intéresser Voilà pourquoi Jésus peut pardonner vos péchés Féminisme et esclavagisme Une autre chair », Jude 7 et l’homosexualité

LaLiberté guidant le peuple : 4 détails à la loupe 1# La liberté personnifiée. La Liberté est sans conteste le centre du tableau. Elle est incarnée par une femme du peuple, portant le fameux bonnet phrygien adopté par les révolutionnaires depuis 1789, et incarnant le peuple. Dans la main droite, elle tient le drapeau bleu-blanc-rouge (couleurs de Paris et de la royauté), Versets les plus Pertinents Genèse 127 Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme. Genèse 52 Il créa l'homme et la femme, il les bénit, et il les appela du nom d'homme, lorsqu'ils furent créés. Matthieu 194 Il répondit N'avez-vous pas lu que le créateur, au commencement, fit l'homme et la femme Marc 106 Mais au commencement de la création, Dieu fit l'homme et la femme; Ecclésiaste 728 voici ce que mon âme cherche encore, et que je n'ai point trouvé. J'ai trouvé un homme entre mille; mais je n'ai pas trouvé une femme entre elles toutes. 1 Corinthiens 113 Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l'homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ. 1 Corinthiens 118 En effet, l'homme n'a pas été tiré de la femme, mais la femme a été tirée de l'homme; 1 Corinthiens 119 et l'homme n'a pas été créé à cause de la femme, mais la femme a été créée à cause de l'homme. 1 Corinthiens 1111 Toutefois, dans le Seigneur, la femme n'est point sans l'homme, ni l'homme sans la femme. 1 Corinthiens 1112 Car, de même que la femme a été tirée de l'homme, de même l'homme existe par la femme, et tout vient de Dieu. Proverbes 3019 La trace de l'aigle dans les cieux, La trace du serpent sur le rocher, La trace du navire au milieu de la mer, Et la trace de l'homme chez la jeune femme. Lévitique 1822 Tu ne coucheras point avec un homme comme on couche avec une femme. C'est une abomination. Romains 127 et de même les hommes, abandonnant l'usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement. Création de la femme Homme, Création de Hommes L'Homme L'Homme Et La Femme La Création De Dieu La Femme Les Rôles De La Femme Les Saintes Femmes Les Saints Hommes Mariage, But de Sexualité Un Homme Juste Une Femme Juste Être Beau Être Une Femme De Dieu . 99 332 111 271 288 205 329 110

l homme est le chef de la femme