75rue Bellevue 44470 Thouaré sur Loire Voir le plan. "Arboriste spécialisé dans la taille, le soin des arbres, l'abattage et l'élagage difficile des grands arbres, nous pouvons vous donner des conseils personnalisés. En ce qui concerne les services d'abattage, nous nous occupons du démontage en bûche, à l'aide d'une nacelle ou d'une grue.
N° 1237 ______ ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 10 juillet 2013. RAPPORT D’INFORMATION DÉPOSÉ en application de l’article 145 du Règlement PAR LA COMMISSION DES AFFAIRES ÉCONOMIQUES sur l’élevage laitier et allaitant ET PRÉSENTÉ PAR MM. Germinal PEIRO et Alain MARC Députés. —— La mission d’information sur la filière bovine et la production laitière en France est composée de M. Germinal Peiro, M. Alain Marc, Mme Annick Le Loch, M. Dominique Potier, Mme Brigitte Allain et M. Thierry Benoit. INTRODUCTION 7 I.— DES DIFFICULTÉS STRUCTURELLES ET CONJONCTURELLES 9A.— LA CRISE DE L’ÉLEVAGE, UNE PROBLÉMATIQUE POUR LA VITALITÉ DES TERRITOIRES 91. Des conditions de vie difficiles 9 2. Un arbitrage de plus en plus difficile entre élevage et céréales 10 3. Une population vieillissante 11 4. Une crise de l’élevage en France problématique dans les zones à fort handicap naturel 12 B.— LA HAUSSE DU COURS DES MATIÈRES PREMIÈRES ENGENDRE UNE HAUSSE DES COÛTS DE PRODUCTION QUI N’EST PAS RÉPERCUTÉE À TOUS LES NIVEAUX DE LA FILIÈRE 121. La hausse et la volatilité du cours des matières premières 12 2. Une hausse des coûts de production 13 3. Une hausse et une volatilité des cours des matières premières agricoles qui ne sont pas entièrement répercutées au long de la chaîne de valeur 14 C.— LE LAIT LA FIN D’UN CADRE RÉGLEMENTAIRE QUI TERRITORIALISAIT LA PRODUCTION 181. Le système des quotas a permis de territorialiser la production 18 2. Les quotas n’ont pas empêché une concentration de l’élevage, qui risque encore de s’accentuer avec la fin de ce système 20 D.— LA VIANDE, UNE DÉCAPITALISATION INQUIÉTANTE 221. L’importance du troupeau allaitant français 22 2. Une production haut de gamme et peu d’activités d’engraissement 24 II.— D’INDÉNIABLES OPPORTUNITÉS QUI DOIVENT ÊTRE EXPLOITÉES 25A.— LA DEMANDE DES CONSOMMATEURS POUR DES PRODUITS TRACÉS ET DE QUALITÉ 251. Un étiquetage obligatoire des produits transformés à base de bœuf 25 2. Une politique de la qualité 27 3. Favoriser les circuits de proximité 29 B.— DES MARCHÉS EN CROISSANCE 301. Des marchés en croissance 30 a Le lait 30 b La viande bovine 32 2. Des opportunités pour la filière française 33 a La viande 33 b Le lait 33 III.— LES CONDITIONS DE LA REPRISE 37A.— L’AMÉLIORATION DES RAPPORTS PRODUCTEURS – FOURNISSEURS – DISTRIBUTEURS 371. La table ronde fournisseur distributeurs, une aide bienvenue mais ponctuelle 37 2. L’innovation du projet de loi relatif à la consommation, la clause de renégociation en cas de volatilité des matières premières 37 3. Le fonds de solidarité céréaliers- éleveurs, une péréquation intéressante 39 4. La contractualisation, un outil de régulation 39 B.— L’APRÈS QUOTAS LAITIERS 401. Le mini-paquet lait, une première étape 40 2. La concertation européenne sur l’après-quotas doit permettre de définir un cadre permettant de réguler le secteur laitier 41 C.— LA PAC APRÈS 2013 ET LA RÉFLEXION SUR LA PAC APRÈS 2020 421. Un premier pilier qui prend en compte les besoins de l’élevage 42 a Un niveau élevé d’aides couplées est indispensable 42 b La surprime aux cinquante premiers hectares et une pente de convergence des aides à l’hectare plus douce 43 2. L’importance du second pilier pour les zones défavorisées 43 3. Un système d’aides contracycliques doit être étudié dans le cadre de la réforme de la PAC après 2020 45 D.— UNE MEILLEURE AUTONOMIE DES EXPLOITATIONS 471. Une meilleure efficience énergétique 47 2. L’autonomie protéique et fourragère 48 E.— UN CHOC DE SIMPLIFICATION AU SERVICE DE LA COMPÉTITIVITÉ 491. Les tests ESB 49 2. Les installations classées 49 3. L’obligation de démédullation des carcasses bovines avant fente 49 CONCLUSION 51 EXAMEN DU RAPPORT 53 LISTE DES PERSONNES AUDITIONNÉES 73 Mesdames, Messieurs, L’avenir de l’élevage bovin revêt un caractère stratégique pour l’économie et l’emploi, ainsi que pour l’aménagement et la vitalité des territoires ruraux. L’élevage de ruminants est présent dans plus d’une exploitation sur deux et dans 95 % des cantons de l’hexagone. Avec près de 19 millions de têtes – dont 7,3 millions de vaches laitières et allaitantes, la France dispose du cheptel bovin le plus important d’Europe, caractérisé par une grande diversité de races. La balance commerciale de la filière est largement excédentaire et les opportunités à l’export n’ont jamais été aussi nombreuses, du fait de l’ouverture de nouveaux marchés sur le pourtour de la Méditerranée et de la forte baisse des exportations des pays d’Amérique du Sud. L’élevage bovin est un métier de passion. Il fait vivre plus de 71 000 éleveurs laitiers et 60 000 éleveurs allaitants 1. Pourtant, les éleveurs sont confrontés à de nombreuses difficultés, tant conjoncturelles que structurelles. Les conséquences sont dramatiques. On assiste à un accroissement des arrêts d’activité, entraînant des problématiques d’emploi et d’activité économique sur les territoires. En dix ans, le pays a par exemple perdu 40 % de ses producteurs laitiers. Les revenus des éleveurs sont parmi les plus bas du secteur agricole, surtout s’agissant de l’élevage allaitant. Il est donc essentiel de leur assurer une juste rémunération, qui soit en rapport avec les astreintes et les contraintes inhérentes à leur métier. Maintenir la production française dans sa diversité et ses garanties de qualité et de traçabilité doit demeurer une préoccupation permanente. Plusieurs réflexions ont donc orienté la démarche de vos rapporteurs comment éviter une végétalisation de la France au cours de la prochaine décennie qui aurait des conséquences dramatiques pour l’équilibre des territoires? Comment favoriser le maintien des exploitations d’élevages sur les territoires ? Comment assurer une juste rémunération aux éleveurs et des conditions de vie décentes ? I.— DES DIFFICULTÉS STRUCTURELLES ET CONJONCTURELLES A.— LA CRISE DE L’ÉLEVAGE, UNE PROBLÉMATIQUE POUR LA VITALITÉ DES TERRITOIRES 1. Des conditions de vie difficiles Le revenu moyen des agriculteurs français s’élève en 2012 à 36 500 euros. Cette moyenne cache des différences très importantes selon les filières. Ainsi, le revenu moyen des céréaliers a franchi la barre des 72 000 euros, tandis que le revenu des éleveurs bovins viande est de 15 400 euros 2. Bien que les prix de la viande restent fermes, les exploitants sont confrontés à la hausse du coût de l’alimentation animale et en particulier à l’envolée des prix des tourteaux. Les revenus des éleveurs laitiers sont de 26 500 euros. En outre, dans l’élevage laitier la durée de travail est de 3 600 heures par an contre 800 heures pour un exploitant de grande culture. Les vaches laitières sont traites deux fois par jour, tous les jours de la semaine. Il est donc très difficile pour un éleveur de s’absenter, y compris pour un simple week-end, de son exploitation. Cela n’est pas sans incidence sur la vie privée des éleveurs, dont le conjoint ou la conjointe possède de plus en plus souvent un emploi à l’extérieur. Les formes sociétaires offrent à cet égard une organisation du travail plus souple. Pour faciliter les conditions de travail, les éleveurs doivent bénéficier d’une politique forte de modernisation des bâtiments et des équipements, telle que le plan de modernisation des bâtiments d’élevage PMBE. Vos rapporteurs estiment par ailleurs indispensables de conserver, voire de développer, le crédit d’impôt remplacement. Le crédit d’impôt pour congés, reconduit depuis 2006, accorde aux exploitants agricoles dont la présence quotidienne est indispensable tout au long de l’année, une aide financière pour leur remplacement pendant deux semaines au maximum. L’Assemblée nationale a adopté dans le cadre du projet de loi de finances pour 2013 le 15 novembre 2012, un amendement qui reconduit le crédit d’impôt remplacement jusqu’en 2016. 2. Un arbitrage de plus en plus difficile entre élevage et céréales L’astreinte conjuguée à la pénibilité explique que certains préfèrent se concentrer sur la culture de céréales ou jeter l’éponge. Le nombre d’éleveurs de vaches laitières baisse ainsi de 4 à 5 % par an. Dans les zones à fort potentiel pédoclimatique, la conversion d’exploitation en grandes cultures, plus rémunératrices et moins astreignantes, est déjà une réalité tangible. Dans les zones à forte activité économique, si l’élevage est menacé, c’est plutôt par les alternatives offertes en matière d’utilisation des sols, que ce soient pour l’artificialisation ou l’urbanisation des sols. Or, ces alternatives signifient toujours un arrêt irréversible de l’élevage. Elles présentent en outre des risques en termes d’emplois, d’équilibre écologique, de fertilité organique et de capacité productive. 3. Une population vieillissante D’après les données fournies par l’Institut de l’élevage, en 2012, 50 % des éleveurs bovins ont plus de 50 ans. La transmission des exploitations est particulièrement difficile dans un contexte de dégradation de la rémunération des investissements et des conditions de travail pénibles. À revenu espéré comparable, le capital mis en œuvre dans les systèmes d’élevages bovins allaitant est le double du capital nécessaire en grandes cultures. En production laitière, ce capital est aussi 1,5 fois supérieur au capital engagé en grandes cultures. L’installation et la transmission des exploitations s’en trouvent rendues encore plus difficiles. On recense aujourd’hui 75 000 exploitations laitières. Selon les travaux démographiques réalisés par l’Institut de l’élevage, le nombre d’exploitations laitières présentes en 2035 devrait se situer dans la fourchette de 20 000 à 35 000, en fonction de la politique d’installation et de reprise qui sera suivie au cours des prochaines années. 4. Une crise de l’élevage en France problématique dans les zones à fort handicap naturel L’élevage contribue à l’identité des territoires, au maintien d’une vie sociale active et donc à l’attrait touristique des campagnes. Les personnes auditionnées par vos rapporteurs ont indiqué qu’un emploi d’éleveur crée sept emplois induits dans l’économie, contre deux seulement pour les grandes cultures. Il existe donc un indéniable enjeu à maintenir et développer l’élevage sur l’ensemble du territoire. Comme l’a indiqué la Confédération nationale de l’élevage dans son rapport L’élevage ruminant s’est historiquement développé et conserve une place particulièrement importante, dans les zones difficiles, telles que l’on en trouve dans toutes les régions, sur des terres mal adaptées à la mécanisation des cultures ou peu fertiles pentues, humides, caillouteuses où pousse naturellement une végétation que seuls les ruminants sont capables de digérer efficacement. Il a ainsi permis le développement et le maintien d’une activité économique dans des régions défavorisées en générant des emplois, une vie sociale et des produits à forte typicité. Cet effet positif sur l’animation de la vie économique et sociale est essentiel dans des zones à faible densité de population tendant à la déprise 3. » La Confédération nationale de l’élevage pointe donc le risque de délitement du tissu social dans les zones les moins productives si l’élevage y était abandonné. En outre, dans la plupart des régions de montagne, le troupeau laitier est le principal utilisateur des prairies. Il permet de maintenir des paysages ouverts et habités, favorables au tourisme, à la biodiversité et à l’environnement. Le tourisme rural représente près de 180 000 emplois. B.— LA HAUSSE DU COURS DES MATIÈRES PREMIÈRES ENGENDRE UNE HAUSSE DES COÛTS DE PRODUCTION QUI N’EST PAS RÉPERCUTÉE À TOUS LES NIVEAUX DE LA FILIÈRE 1. La hausse et la volatilité du cours des matières premières L’augmentation de la population mondiale et surtout, l’élévation du niveau de vie dans les pays émergents ont engendré une hausse importante et durable de la demande en produits agricoles, et par voie de conséquence, du prix de ces produits. La production mondiale de céréales, en revanche, croît désormais moins vite que la consommation, ce qui conduit à une réduction des stocks mondiaux depuis les années 2000, et donc à des tensions sur le marché et les prix. Le moindre incident climatique réduisant les perspectives de récolte dans une région du monde a donc un effet immédiat sur les prix mondiaux, en raison de réserves plus limitées que par le passé. En 2010, une canicule a frappé plusieurs États producteurs et provoqué la plus forte hausse des cours de céréales que le monde avait connue depuis 1973. Pour sa part, le Canada souffrait de fortes inondations. Au final, les seules difficultés climatiques, exerçant une pression déjà forte due à une baisse des stocks mondiaux, ont poussé la tonne de blé à la hausse, celle-ci cotant à Euronext à 223,50 euros la tonne début août 2010 contre 130 euros seulement début juillet, soit une hausse de 71 % en un mois 4 ! À ces facteurs climatiques s’ajoutent parfois les décisions politiques de certains gouvernements de limiter voire arrêter leurs exportations pour protéger leur marché intérieur des risques d’inflation. Le Gouvernement russe a décidé en 2010 de suspendre toute exportation de céréales entre le 15 août et le 31 décembre. Cette décision a provoqué de vives tensions sur les cours, qui ont été d’autant plus importantes que, dans le même temps, l’Argentine imposait des quotas à l’exportation, pesant également sur l’offre. Les investisseurs financiers qui ont pris position ces dernières années sur le marché des matières premières alimentaires ne sont pas les déclencheurs de la volatilité des marchés, mais ils en amplifient les effets, à la hausse comme à la baisse. Dans un rapport paru en juillet 2011, le groupe d’experts de haut niveau du Comité des Nations Unies sur la sécurité alimentaire mondiale identifiait ainsi la régulation de la spéculation sur les marchés à terme comme l’une des solutions pour réduire la volatilité des prix alimentaires5. Il invitait notamment les gouvernements à l’adoption d’une approche de précaution », notamment à travers une réglementation plus stricte de la spéculation indiquant que les marchés à terme jouent un rôle central dans la formation des prix alimentaires internationaux et dans la sécurité alimentaire de trop de personnes pour que leur régulation ne soit dictée que par des considérations financières ». 2. Une hausse des coûts de production Comme l’a indiqué à vos rapporteurs, la Fédération nationale bovine FNB 6 les coûts de production ont fortement augmenté en 2012 pour les éleveurs allaitant, se situant plus de 30 % au-dessus de l’année de référence, 2005. La progression est notamment liée aux postes d’achat pour l’alimentation du bétail, directement corrélée aux prix des céréales et des tourteaux de soja. La hausse du coût alimentaire Le Centre d’économie rurale CER France a toutefois fait remarquer lors de son audition que des écarts significatifs de compétitivité existent entre les exploitations. Ainsi, il relève des écarts de 45 euros/1 000 litres sur le coût alimentaire, et entre 60 et 100 euros/1 000 litres au niveau de la marge selon les régions et les systèmes. Or ces écarts tendent à se creuser lorsque les cours des matières premières agricoles sont haussiers. Ils notent notamment que les meilleurs subissent la conjoncture, mais demeurent toujours rentables, tandis que pour les moins performants, l’excédent brut d’exploitation peine à couvrir les annuités quelle que soit la conjoncture » 7. 3. Une hausse et une volatilité des cours des matières premières agricoles qui ne sont pas entièrement répercutées au long de la chaîne de valeur Le secteur laitier se caractérise par une forte rigidité de la demande – peu sensible aux variations de prix – et de l’offre de court terme – liée au cycle de production. De même, le fort impact des coûts des intrants entraîne une rigidité des coûts de production. Ces rigidités participent, selon les experts, à la volatilité des prix des produits réalisés sur les excédents de stocks – beurre et poudre de lait – qui constituent la variable d’ajustement. Quand les cours des matières premières agricoles augmentent et que les éleveurs ne peuvent les répercuter sur le prix du lait ou de la viande, cela engendre un effet ciseau, qui entraîne une compression insupportable des marges des éleveurs. Ainsi, le prix du lait en 2012 se situe dans une moyenne haute par rapport aux prix des dix dernières années. Le problème réside essentiellement dans l’absence de répercussion des hausses des prix tout au long de la filière. Il en va de même s’agissant de l’élevage allaitant. La progression des cours des gros bovins finis n’a pas permis de rattraper la hausse des charges. D’après la FNB, l’indicateur du coût de production se situe à + 58 % par rapport à son niveau de référence de 2005, tandis que les cours des bovins maigres n’ont progressé que de l’ordre de 10 % par rapport à 2010. La FNB estime que par rapport à l’explosion des coûts de production, les cours moyens des bovins finis devraient se situer à environ 4,70 euros par kg carcasse, payé au producteur, alors que la cotation à l’entrée de l’abattoir est de 4 euros. De fait, il existe une dissymétrie des rapports de force économique dans les filières agro-alimentaires. La production agricole est dispersée face aux quelques transformateurs et distributeurs. L’existence de pouvoirs de négociation inégaux a un impact sur la transmission des variations de prix le long des chaînes de valeur. Ce problème de transmission imparfaite des prix est d’autant plus important quand ces marchés sont confrontés à une forte volatilité. En outre, comme l’a rappelé l’association des producteurs de lait indépendants APLI lors de son audition par vos rapporteurs, contrairement à un céréalier par exemple, c’est la nature même du lait, produit périssable et non stockable qui fragilise la position de l’éleveur dans la chaîne de la filière ». Une analyse de juillet 2009 du Centre études et prospectives du ministère de l’agriculture confirme les contraintes liées aux spécificités du lait pour les producteurs Les caractéristiques du lait, produit périssable et pondéreux, composé à 90 % d’eau, induisent des contraintes pour sa collecte. Elle doit être fréquente et régulière, sous un délai maximal de 72 heures. De ce fait, la première transformation ne peut être réalisée à une distance trop lointaine du lieu de production la transformation du lait au sein des exploitations ne concerne que 2 % de la production. Ainsi, à l’exception de quelques rares zones où la densité laitière est importante, il n’existe bien souvent qu’une usine de transformation qui collecte la production de l’ensemble du bassin de production environnant. Cette contrainte imposée par la nature du produit rend quasiment impossible la mise en place d’un marché concurrentiel entre la production et la première transformation. Elle place chaque producteur devant le risque d’être évincé de la collecte de son unique » client. En outre, à l’instar de la plupart des autres filières, les producteurs restent largement atomisés face à une industrie laitière de plus en plus concentrée. En France, on comptait 82 600 livreurs de lait en 2008. Face à eux, les 4 premières entreprises laitières françaises représentaient près de 41,1 % de la collecte et les 9 premières 50,4 %. Les relations entre les producteurs et la première transformation relèvent donc davantage d’un schéma du marché captif que de la concurrence pure et parfaite. Cet état de fait n’est pas sans conséquence sur la formation du prix payé aux producteurs. Cette question ne concerne bien évidemment pas les structures de transformation coopératives contrôlées par les producteurs eux-mêmes. Il apparaît même que la coopération, via le développement ou la prise de contrôle d’outils de transformation, a historiquement constitué la principale alternative à cette défaillance de marché. Les coopératives laitières danoises et néerlandaises sont à ce titre exemplaires que ce soit Arla Foods pour les premiers ou Friesland-Campina pour les seconds, dans les deux cas un groupe coopératif est en situation de quasi-monopole à l’échelle nationale » 8 Il faut toutefois noter que le rapport 2012 de l’Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires, présenté en novembre 2012 a pour la première fois fait apparaître les marges nettes de la grande distribution et qu’il a montré une grande variabilité de la marge nette en fonction du rayon. Cette marge est par exemple négative de 1,90 euro pour le rayon boucherie. Observatoire des prix et des marges, 2012 En fait, on observe en France une faible répercussion des hausses et des baisses de prix aux consommateurs, ce qui explique les compressions des marges des différents acteurs de la chaîne de valeur quand les cours sont hauts. En Allemagne au contraire, les prix de détail pour le lait liquide, le beurre et les produits ultra frais ont fortement augmenté depuis l’été 2012. Évolution des prix sur le marché de détail en Allemagne CNIEL Vos rapporteurs ne plaident pas pour une forte augmentation des prix alors que le pouvoir d’achat des consommateurs est très contraint. Néanmoins, ils estiment qu’il faut trouver un équilibre, un juste prix, qui permette à chacun de pouvoir vivre décemment de son travail. Ils estiment qu’une stagnation des prix du lait ou de la viande alors que les coûts de production des éleveurs augmentent dévalorise leur travail. C.— LE LAIT LA FIN D’UN CADRE RÉGLEMENTAIRE QUI TERRITORIALISAIT LA PRODUCTION L’économie laitière 9 – une présence sur tout le territoire avec des systèmes de production diversifiés ; – 48 000 exploitations spécialisées et 24 milliards de litres collectés 2e producteur européen ; – un revenu longtemps stable autour de 20 000 euros, devenu volatil depuis 2006 ; – un revenu plutôt faible des éleveurs par rapport à leurs principaux concurrents européens où la moyenne des revenus s’établit à près de 40 000 euros ; – 1 000 entreprises, dont 260 coopératives, fabriquent des produits laitiers et emploient 51 000 salariés ; – la balance commerciale des produits laitiers est excédentaire de 3,8 milliards d’euros en 2012. 1. Le système des quotas a permis de territorialiser la production Après les crises de surproduction, le secteur laitier a été encadré au niveau européen par les quotas laitiers en 1984 et des instruments de soutien des prix à la production. Les quotas, en répartissant les droits à produire entre les pays, et en les fixant au sol, notamment en France compte tenu du lien fort entre quotas et foncier, ont permis de préserver une répartition géographique équilibrée de la production, alors que l’évolution antérieure avait tendance à déplacer les capacités de production vers le Nord de l’Europe et plus largement vers le littoral de la mer du Nord et de la Manche. Ces régions présentent en effet des éléments de compétitivité déterminants – la présence des grands ports d’importations de céréales et de soja, – le potentiel industriel, En outre, elles sont soumises à des contraintes pédoclimatiques qui rendent difficiles les conversions vers d’autres productions. Le lait était en revanche menacé dans les régions de montagne à plus fortes contraintes. C’est la raison pour laquelle des politiques spécifiques appliquées aux zones de montagne, en particulier l’indemnité compensatoire de handicap naturel ICHN, ont été mises en place afin de permettre le maintien de cette activité dans certaines zones à fortes contraintes. Cette territorialisation des productions ne s’est pas traduite par une homogénéisation des structures ni des systèmes de production entre pays. Aujourd’hui, d’importantes divergences existent dans la dimension des exploitations entre l’Europe du Nord et celle du Sud. A cet égard, la France se situe dans une position médiane, avec un quota moyen de 350 000 litres de lait par éleveur. Pour autant, comme le souligne la CNE dans son rapport, La supériorité de tel ou tel système de production, structure par pays, n’est absolument pas avérée. La seule démonstration faite tourne autour d’un avantage coût, lié à la productivité du travail pour un prix du lait donné, et ceci jusqu’à un certain seuil autour des 300 000 litres de lait par travailleur et par an, dans les systèmes de plaine. En deçà les exploitations peuvent être confrontées à de lourdes charges fixées à l’unité produite travail et capital. Au-delà les charges liées à la capitalisation et l’endettement qui s’en suit, peuvent rendre les systèmes extrêmement sensibles et vulnérables aux variations de prix et coûts des intrants, comme le montrent les résultats économiques particulièrement désastreux des exploitations danoises en période d’effondrement des prix du lait. » 2. Les quotas n’ont pas empêché une concentration de l’élevage, qui risque encore de s’accentuer avec la fin de ce système En France, un important mouvement de concentration s’est enclenché depuis 1984 et s’est accentué depuis les années 2000. Le nombre d’exploitations laitière est ainsi passé de 71 000 en 2000 à 47 000 en 2011. En moyenne les exploitations possède désormais 52 vaches laitières en 2011, contre 38 vaches laitières en 2000. Agreste, CNIEL Le cheptel laitier, lui, ne cesse de diminuer, de 13 % entre 2000 et 2011. Cette baisse du cheptel est toutefois largement compensée par une hausse des rendements. La majorité des exploitations laitières se situe dans le croissant laitier » qui s’étend de la Bretagne à l’Auvergne en passant par la Normandie, le Nord-Pas-de-Calais, la Champagne-Ardenne, l’Alsace-Lorraine, la Franche-Comté et la partie nord de la région Rhône-Alpes. Le CER France a pointé l’existence de quatre bassins laitiers en France, héritage de la politique des quotas à la française aux caractéristiques et résultats très différents. CER France Les exploitations laitières ont réalisé un effort d’investissement continu depuis dix ans, notamment dans le matériel et les bâtiments d’élevage. Ces investissements ont entraîné une nette progression du taux d’endettement et des annuités. Cette exigence de remboursement, dans un contexte de plus en plus volatil, fragilise les trésoreries, au point d’entraîner des arrêts d’exploitations. Évolution de la capacité d’autofinancement CER France Surtout, la fin des quotas en 2015 et la réforme de la PAC en cours participent à un climat d’incertitudes quant à l’avenir de la filière laitière. La restructuration des outils industriels permise par la fin des quotas et donc de la gestion des volumes au niveau départemental pourrait entraîner une spécialisation dans la production laitière dans certaines régions et une forte déprise dans les zones intermédiaires de montagne. D.— LA VIANDE, UNE DÉCAPITALISATION INQUIÉTANTE 1. L’importance du troupeau allaitant français La France détient le plus gros cheptel reproducteur bovin de l’Union européenne, avec 4 100 000 vaches allaitantes et 3 600 000 vaches laitières, soit 34 % des vaches allaitantes, et 22 % des vaches de l’UE. Elle est néanmoins devenue importatrice nette de viande bovine depuis les années 2000 au niveau européen 10. Échanges intra communautaires de viande bovine en 2011 FranceAgriMer L’élevage allaitant est majoritairement présent dans les zones intermédiaires et les zones de montagne. Trois espaces assurent la majeure partie de la production la périphérie du bassin laitier breton ; le bassin charolais et le bassin limousin. L’élevage allaitant est également présent en Lorraine et dans les contreforts du massif pyrénéen. De même que pour le cheptel laitier, un mouvement de concentration est à l’œuvre depuis plusieurs dizaines d’années. La taille moyenne des troupeaux s’accroît régulièrement, passant de 26 vaches allaitantes en 2000 à 34 vaches en 2010. En ce qui concerne le cheptel allaitant, une diminution est également en cours depuis 2010, qui s’est accentuée avec la sécheresse du printemps 2011. D’une part les prairies ne suffisaient plus à l’alimentation des bovins mis à l’herbe et, d’autre part, la pousse sur les prairies destinées au fauchage a été insuffisante, entraînant un déficit de stocks de fourrages futurs. Les abattages de gros bovins marquent une tendance à la baisse sur une longue période, dans le sillage de la baisse du cheptel. Les abattages de jeunes bovins ont également diminué sur cette période en raison d’une production en baisse en 2011 mais aussi de l’augmentation des exportations en vif, notamment vers la Turquie. Les viandes produites à partir du troupeau de vaches allaitantes représentent aujourd’hui 58 % du total des viandes produites en France. Ce chiffre s’élevait à 52 % au milieu des années 1990. Le reste de la production est assuré par l’abattage des vaches laitières de réforme. L’importance des apports sur le marché des vaches de réforme pèse sur le marché de la viande bovine issue de races à viande. Ainsi, en 2009, lorsque le prix du lait était faible, les éleveurs se sont séparés de manière anticipée des vaches les plus âgées, les moins productives, et ceci a pesé à la baisse sur les prix de la viande bovine issue du cheptel allaitant. 2. Une production haut de gamme et peu d’activités d’engraissement La production française de viande bovine ne correspond pas à la consommation domestique. Ainsi, on assiste à des importations de femelles et à l’export de jeunes bovins et de génisses. La production française a renforcé son potentiel et sa spécificité qui consiste à faire naître des animaux. Malgré l’exportation d’un grand nombre de broutards, 65 % des tonnages de viande produits en France correspondent à des produits du troupeau allaitant, et donc à des viandes dites de haut de gamme, issues de carcasses bien conformées. Or ces caractéristiques ne sont pas nécessairement en harmonie, en termes de prix, avec les attentes exprimées par la grande distribution, qui elle-même assure 62 % de la consommation totale. Les caractéristiques de ces viandes issues du troupeau allaitant ont notamment de grandes difficultés à correspondre aux exigences de prix exprimées par la restauration collective de type scolaire et institutionnelle. La production de viande bovine française se trouve ainsi prise en tenaille entre une réponse à des attentes qualitatives et des exigences de prix. Cette situation est aggravée par la distorsion de concurrence qui existe avec l’Allemagne, où le recours massif à une main-d’œuvre étrangère à bas coût par les industries de l’abattage et de la transformation leur permet de réaliser un gain de 9 centimes par kilo équivalent de carcasse par rapport à la France 11. La relance de l’engraissement des jeunes bovins est une piste régulièrement explorée pour améliorer la situation des éleveurs. Elle est défendue notamment par les jeunes agriculteurs. Cette relance de l’engraissement répond à une volonté de rapatrier la valeur ajoutée sur le territoire national. Dans une étude datant de 2008 portant sur l’avenir de l’engraissement des jeunes bovins en France, l’Office de l’élevage 12 identifiait les facteurs clefs de succès de projets de renforcement de l’engraissement La première difficulté tient aux besoins de trésorerie des exploitants. L’engraissement allonge en effet le délai de présence des animaux sur l’exploitation au lieu de vendre des broutards entre 8 et 12 mois, l’éleveur doit les garder une année de plus. La deuxième difficulté tient à la nécessité d’adapter les bâtiments d’élevage à la nouvelle capacité de l’exploitation, ce qui suppose de nouveaux investissements. La troisième difficulté consiste à disposer de plus d’alimentation animale ce qui se heurte à une insuffisante production de protéagineux, rendant nécessaire l’importation de tourteaux de colza, riches en protéines. La quatrième difficulté tient à la concentration des risques économiques sur l’éleveur puisque l’engraissement expose davantage l’éleveur aux aléas de la conjoncture, qu’ils soient climatiques ou économiques. II.— D’INDÉNIABLES OPPORTUNITÉS QUI DOIVENT ÊTRE EXPLOITÉES A.— LA DEMANDE DES CONSOMMATEURS POUR DES PRODUITS TRACÉS ET DE QUALITÉ 1. Un étiquetage obligatoire des produits transformés à base de bœuf Depuis la crise de la vache folle, l’étiquetage de l’origine de la viande bovine fraîche, c’est-à-dire non transformée, est obligatoire en vertu des règlements CE 820/97 et 1 760/2000 13. L’information du consommateur, en particulier par l’étiquetage des viandes, résulte de trois règlements européens. Cadre réglementaire actuel de l’Union en matière d’information du consommateur – Le règlement CE n° 178/2002 sur les principes généraux de la législation alimentaire et de la sécurité des denrées alimentaires, qui dispose que la législation alimentaire doit permettre aux consommateurs de choisir leurs denrées en connaissance de cause et doit empêcher toute pratique susceptible d’induire le consommateur en erreur. Ce règlement prévoit aussi qu’il appartient aux exploitants de s’assurer qu’ils répondent aux exigences applicables de la législation alimentaire et qu’il incombe aux États membres de garantir l’application de cette législation ainsi que de contrôler et de vérifier que les exigences ad hoc sont respectées à toutes les étapes de la production, de la transformation et de la distribution ; – la directive 2000/13/CE sur l’étiquetage des denrées alimentaires, qui prévoit que celui-ci ne doit pas être de nature à induire le consommateur en erreur et que tous les ingrédients doivent figurer sur l’étiquette des denrées alimentaires préemballées destinées au consommateur final ; – le règlement CE n° 1169/2011 concernant l’information des consommateurs sur les denrées alimentaires ; ce règlement, qui n’est pas encore entré en vigueur, remplace un certain nombre d’actes antérieurs, dont la directive 2000/13/CE. Il introduit l’obligation d’indiquer le pays d’origine à partir du 31 décembre 2013 pour les viandes fraîches des espèces porcine, ovine, caprine et de volailles pour l’espèce bovine, cette obligation a été introduite dans un règlement séparé à la suite de la crise de l’ESB. Ces dispositions ne s’appliquent pas, cependant, à la viande en tant qu’ingrédient dans les produits transformés. En vertu de ces règlements, la Commission doit présenter un rapport au Parlement européen et au Conseil sur l’indication obligatoire des pays d’origine et du lieu de provenance pour la viande utilisée en tant qu’ingrédient. Ce rapport est attendu au plus tard le 13 décembre 2013. L’amélioration de l’information du consommateur était donc envisagée avant le scandale dit de la viande de cheval ». L’actualité a cependant transformé cette éventualité en impératif. Le scandale de la viande de cheval Le 15 janvier 2013, l’autorité irlandaise de sécurité des aliments a annoncé avoir découvert de l’ADN de cheval dans un certain nombre de steaks hachés de bœuf vendus dans de grandes chaînes de supermarchés. Début février, d’autres cas de viande de cheval détectée dans des produits dont l’étiquette indiquait la présence de viande de bœuf ont été signalés au Royaume-Uni puis en France. Plusieurs analyses ont donc été effectuées pour vérifier, dans toute l’Union, le contenu exact des produits à base de viande transformée. De la viande de cheval a été décelée dans un large éventail de denrées alimentaires. La présence illégale de viande de cheval dans les denrées alimentaires a soulevé d’autres questions liées à la sécurité alimentaire. Un sujet a notamment suscité des inquiétudes la présence éventuelle de traces de phénylbutazone dans la chaîne alimentaire, soupçons qui se sont avérés dans au moins un cas en France. La phénylbutazone est un anti-inflammatoire vétérinaire administré aux chevaux, qui présente cependant des risques potentiellement graves quoique rares pour la santé des personnes. En vertu de la législation de l’Union, les chevaux auxquels ce médicament a été administré doivent être exclus définitivement de la chaîne alimentaire. Pour faire face à cette situation, il a été décidé de procéder à des analyses sur des viandes et des produits à base de viande dans l’ensemble de l’Union, à la suite de propositions formulées par la Commission et après consultation des États membres au sein des comités de réglementation concernés. En effet, le scandale de la viande de cheval, et la chute impressionnante des ventes de tous les produits transformés à base de bœuf ont montré que les Français sont toujours plus exigeants sur la sécurité et sur la qualité des produits. Comme l’a indiqué Interbev lors de son audition, que les Français s’approvisionnent auprès d’une chaîne alimentaire devenue complexe ou qu’ils privilégient les circuits courts et un approvisionnement de proximité, tous ont besoin des mêmes sécurités. Leur demande se diversifie et ils sont aussi de plus en plus attentifs aux conditions de production. Vos rapporteurs estiment impératif que la Commission accélère la remise de ce rapport, première étape nécessaire avant la présentation d’une proposition législative. Il convient d’autoriser au plus vite l’étiquetage viande bovine française » VBF pour l’ensemble des produits, nés, élevés, abattus et transformés en France. 2. Une politique de la qualité Le lait destiné aux fabrications de produits appellation d’origine contrôlée AOC et le lait bio, même plus chers, résistent mieux que le lait conventionnel quand les prix se contractent. En Allemagne, par exemple, le prix du lait bio a chuté de 22 % en 2009 contre 40 % pour le marché conventionnel. Lors de son audition par vos rapporteurs, Mme Massat, présidente de l’association nationale des élus de la montagne ANEM, a fait observer que l’on constate invariablement que les exploitations laitières de montagne en appellation d’origine protégée AOP ou indication géographique protégée IGP résistent mieux aux crises. Ainsi, l’Institut de l’élevage relève qu’en Franche-Comté, le prix du lait a continué à augmenter plus 20 euros par 1 000 litres en 2010, passant la barre des 40 000 euros de revenu par unité de main-d’œuvre. Ces types de production sont loin d’être marginaux puisque le lait sous AOP-IGP concerne 10 % de la production totale de lait mais 30 % du lait de montagne. CNIEL En France, le lait bio reste une production relativement marginale 1,9 % de la collecte, contrairement à certains pays de l’Union européenne. L’Allemagne, le Danemark et l’Autriche produisent à eux seuls la moitié de la production européenne 2,5 millions de litres en 2008, ce qui représente jusqu’à 10 % de la collecte de lait en Autriche 14. En 2008, le lait bio représentait en France 5 % de la consommation de lait liquide. 30 % de la consommation française est importée, ce qui montre que le marché existe et qu’il se développe. Les mêmes constats s’appliquent à la viande bovine. Il existe 21 IGP en viande bovine, selon l’Institut national de l’origine et de la qualité INAO. La qualité peut aussi être attestée par le label, du type label rouge », qui garantit le respect par le producteur d’un cahier des charges exigeant. Vos rapporteurs estiment en conséquence que l’encouragement à la valorisation du lait et de la viande en produits certifiés doit constituer donc un objectif prioritaire comme réponse à la disparition des quotas, en particulier dans les zones difficiles, où les coûts de collecte sont plus élevés. 3. Favoriser les circuits de proximité Selon le ministère de l’agriculture, est considéré comme circuit court un mode de commercialisation des produits agricoles qui s’exerce soit par la vente directe du producteur au consommateur, soit par la vente indirecte, à condition qu’il n’y ait qu’un seul intermédiaire. L’ANEM estime que les circuits courts de type AMAP association pour le maintien d’une agriculture paysanne correspondent à un débouché en pleine expansion qu’il faudrait accentuer dans le secteur des produits laitiers, en ce qu’ils apportent satisfaction à la fois au consommateur et au producteur ; ce que résumait assez bien un exposant au Salon de l’agriculture en montagne, le reblochon acheté 3,60 euros chez le producteur est vendu 16 à 18 euros en grande surface et jusqu’à 24 euros en crémerie. Si je le vends 11,50 euros, tout le monde s’y retrouve » 15. Le lait liquide ne voyage pas ou très peu. Cette contrainte commerciale peut aussi se transformer en atout lorsque le lait est valorisé comme un produit de proximité. Comme l’indiquait le rapport du sénateur M. Jean Bizet, la valorisation locale peut se faire de façon implicite, comme c’est le cas au Royaume-Uni, qui a pour caractéristique d’être un pays gros consommateur de lait frais pasteurisé et par conséquent à durée de conservation courte 16. Le lait consommé au Royaume-Uni est donc par nécessité un lait produit localement. Il en va de même en Autriche. Ce même rapport montrait que la valorisation peut aussi être explicite comme c’est le cas chez certaines grandes enseignes commerciales qui vendent du lait de montagne » ou bien encore en Alsace, où, avec l’appui des autorités locales, les laiteries ont proposé du lait d’Alsace ». Cette initiative rencontrerait un succès certain. Dans le même ordre d’idée, il faut citer l’expérience des tanks » de distribution directe, sortes de distributeurs automatiques de lait, qui permettent de livrer du lait frais pasteurisé, sans intermédiaire, ni conditionnement 17. Un nouveau débouché doit également s’ouvrir en priorité à la filière viande française celui de la restauration collective. En effet, alors même que les enjeux politiques d’une relocalisation de l’approvisionnement de la restauration collective sont nombreux, 80 % de la viande consommée en restauration collective est issue de l’importation 18, malgré l’engagement de certaines enseignes comme McDonald’s, qui s’approvisionnent en viande hachée sur le marché français. Pour favoriser l’approvisionnement de la restauration collective via les circuits courts, le code des marchés publics a été modifié par décret le 25 août 2011. Il donne la possibilité aux acheteurs de retenir parmi les critères de choix de l’offre économiquement la plus avantageuse, les performances en matière de développement des approvisionnements directs de produits de l’agriculture.» La notion de circuits courts ne désigne donc pas une préférence locale, ce qui serait contraire aux règles européennes de la commande publique, mais un mode de distribution. La Commission des affaires économiques a auditionné le 20 février 2013 le président du Conseil général du Gers de l’époque, M. Philippe Martin, qui a mis en place une opération intéressante visant à servir depuis le 1er janvier 2009, des repas de saison, biologiques, labellisés et locaux dans les restaurants scolaires des 19 collèges du Gers. Vos rapporteurs suggèrent de développer les circuits courts et les filières de qualité au sein de la restauration hors foyers, notamment en utilisant la possibilité ouverte par le décret du 25 août 2011. B.— DES MARCHÉS EN CROISSANCE 1. Des marchés en croissance En moyenne, à l’échelle mondiale, sont consommés, par habitant et par an, 100 litres de lait ou équivalents et 42 kg de viande, dont 9 kilos de viande bovine. Cette consommation est très inégalement répartie. Les Français consomment par exemple 300 litres équivalents de lait et 24 kilos de viande bovine. Le niveau de la consommation de protéines animales atteint en France et dans les pays développés n’est pas nécessairement généralisable, mais les experts misent sur une forte croissance de la demande mondiale et sur le maintien d’un haut niveau d’exigence qualitative. La progression de la consommation des protéines d’origine animale sur la planète a d’ailleurs été forte cette dernière décennie entre 2 et 3 % par an, en lait comme en viande. Selon la FAO et l’OCDE, la croissance devrait être la même, voire supérieure à l’horizon 2020. Dans les pays émergent, à faible diversification alimentaire, l’augmentation de la consommation de produits laitiers et de viande suit l’augmentation du pouvoir d’achat et l’émergence des classes moyennes. a Le lait La production mondiale de lait, de l’ordre de 440 millions de tonnes en 2010, progresse régulièrement, approximativement à la même vitesse que la population mondiale. L’Union européenne est le principal producteur avec 135 millions de tonnes, devant les États-Unis – 88 millions de tonnes – et l’Inde – 50 millions. La France et l’Allemagne sont les deux grandes industries laitières de l’UE. Les échanges sont en croissance en volume et en valeur. Ils sont réalisés essentiellement sous la forme de trois types de produits – les fromages et les poudres grasses, pour à la fois la matière grasse et la matière protéique du lait ; – le beurre pour la matière grasse ; – la poudre de lait écrémé pour la protéine. La CNE a souligné que Les poudres grasses ou écrémées sont largement produites pour les échanges internationaux, puisque pour ces produits les échanges portent sur une très forte proportion de la production mondiale respectivement 50 et 40 %. En revanche, en beurre et fromages, le commerce international ne porte que sur 10 % des volumes produits. L’Europe et les États-Unis, grands producteurs de fromages produisent d’abord pour leur marché intérieur. De même pour ce qui concerne la production beurre de l’Europe et de l’Inde. Il n’en demeure pas moins que l’Europe a pu exporter des volumes plus importants de fromages ces dernières années, en répondant à une demande de nouveaux consommateurs à bon pouvoir d’achat dans les pays en croissance. De nouveaux marchés s’ouvrent, y compris sur des produits industriels de qualité porteurs de valeur ajoutée ainsi du marché des poudres infantiles en » CNE b La viande bovine Au cours des années 2000, la consommation mondiale globale de viandes a progressé au rythme annuel de 2,3 % pour atteindre 286 millions de tonnes en 2010. Elle correspond à une consommation de 42 kg équivalent carcasse par habitant. L’OCDE et la FAO prévoient pour la décennie à venir que la consommation mondiale de viande continuera d’enregistrer l’un des taux les plus élevés de croissance parmi les principales denrées agricoles. Il est estimé à 1,5 % pour la viande bovine. Ces deux organisations prévoient également la poursuite de la forte tendance à la hausse des prix de la viande bovine sur le marché mondial. Cette dynamique se traduit par un resserrement des prix mondiaux, ce qui constitue une véritable rupture. Ce mouvement est enclenché depuis 2009 avec une forte hausse des prix chez les trois principaux exportateurs mondiaux Brésil, Australie, États-Unis. En deux ans, les prix brésiliens ont doublé pour se rapprocher des prix européens fin 2010. Dans son rapport daté de 2012 sur l’analyse stratégique de la filière de la viande bovine, le Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux CGAAER souligne que les pays du Moyen-Orient et du Maghreb constituent des cibles privilégiées, compte tenu de leur proximité et de leur appartenance à la zone de chalandise naturelle de l’Europe ». Ces pays vont sensiblement augmenter leurs importations dans les années à venir, offrant une véritable opportunité pour la filière française. 2. Des opportunités pour la filière française a La viande La France, forte de son troupeau allaitant, est sans doute l’un des pays européens les mieux placés pour bénéficier des opportunités offertes par le marché mondial. Si du fait de la baisse structurelle de la production liée à la baisse du cheptel laitier, la filière viande est déficitaire depuis 2003 en termes de volume, elle est largement excédentaire s’agissant des races à viande. Ce résultat est directement lié aux exportations d’animaux maigres mais aussi de jeunes bovins, à forte valeur ajoutée. Près d’un tiers des veaux nés du cheptel allaitant français sont exportés, principalement vers l’Italie et l’Espagne, et plus récemment, vers les pays tiers. La FNB estime que pour conforter la production de la filière, il est indispensable de renforcer les moyens engagés pour rechercher et développer ces nouveaux débouchés. Elle suggère en conséquence d’amplifier l’action du GEF groupement export France créé en 2011 par la filière bovine. Vos rapporteurs sont convaincus qu’il est également important de maintenir la mobilisation active des services de l’État pour obtenir la négociation des certificats sanitaires indispensables à l’ouverture des marchés, et entreprendre les démarches diplomatiques essentielles pour les relations commerciales au plan mondial. b Le lait L’Europe du Nord et particulièrement la France disposent des meilleurs atouts pour l’après quotas en raison de leur savoir-faire, de leurs potentiels humains et pédoclimatiques, et de leurs outils industriels. Le solde commercial des produits laitiers constitue le troisième excédent agroalimentaire français, en augmentation régulière. Les fromages assurent 1,5 milliard d’euros des 3,7 milliards d’euros du solde positif du commerce extérieur devant les produits frais qui représentent le deuxième poste positif, avec près de 450 millions d’euros, et les laits écrémés. L’Allemagne, la Pologne, l’Espagne et la Grande-Bretagne sont les principaux partenaires de la France. Au début des années 2000, le lait français n’était pas compétitif sur le marché mondial, ce qui explique que les exportations françaises sont destinées à 75 % à l’UE. L’écart de compétitivité avec l’Océanie s’est néanmoins sensiblement resserré depuis 2006, ce qui explique qu’on observe ces dernières années une nette progression des exportations françaises vers les pays tiers. En 2011, les exportations de la France vers l’UE et le reste du monde se sont élevées à 10,2 milliards de litres équivalents de lait, soit 42,5 % de la collecte, alors que les importations ont été de 5,2 milliards de litres. Service économique du CNIEL, juin 2013 Le mix produits » de la France compte une part importante de produits industriels 30 % des fabrications, contre 20 % en Allemagne, dont la valorisation est en lien direct avec les marchés mondiaux. Les autres produits fabriqués sont des produits de grande consommation à forte valeur ajoutée lait, yaourt, fromages. Le paradoxe français est d’avoir historiquement des entreprises nationales puissantes sur le plan mondial, très implantées industriellement sur les différents continents, innovantes en termes de produits qui dégagent de la valeur ajoutée, mais qui se sont peu positionnées sur les segments des poudres et des fromages standard qui s’échangent le plus sur le marché mondial. Les personnes auditionnées par vos rapporteurs ont néanmoins indiqué que la France développe ces activités de poudres, à très haute valeur ajoutée, notamment à destination du lait infantile. Eurostat/CNIEL Dans ce contexte général de demande soutenue, vos rapporteurs estiment que la formation d’un groupement d’intérêt économique en charge de la promotion des produits laitiers et de la recherche de nouveaux marchés permettrait de dynamiser plus encore les exportations françaises. 20 III.— LES CONDITIONS DE LA REPRISE A.— L’AMÉLIORATION DES RAPPORTS PRODUCTEURS – FOURNISSEURS – DISTRIBUTEURS 1. La table ronde fournisseur distributeurs, une aide bienvenue mais ponctuelle La table ronde organisée par le médiateur des relations commerciales agricoles le 8 avril 2013 est intervenue dans un contexte tendu, celui du ciseau insoutenable de l’augmentation des charges et de l’insuffisante répercussion à la hausse des prix de vente du lait. Pour leur part, les transformateurs dénoncent des négociations avec les distributeurs de plus en plus tendues au fil des années. Le médiateur des relations commerciales agricoles a néanmoins pu proposer le 26 avril à l’ensemble des intervenants de la filière laitière un dispositif permettant de financer un relèvement immédiat de 25 euros du prix payé aux producteurs laitiers pour 1 000 litres de lait collectés. Au 1er juin, les distributeurs ont accepté une hausse des prix payés aux industriels de 3 centimes le litre de lait de consommation et de 2 centimes le litre de lait intégré aux produits transformés, en fonction de coefficients techniques de transformation. Les producteurs devraient en échange s’engager à ne pas perturber l’activité des distributeurs et des industriels pendant la durée de l’accord. Globalement les hausses envisagées par le dispositif du médiateur correspondraient à une enveloppe de l’ordre de 300 millions d’euros. Il s’agit d’une solution utile et bienvenue pour les producteurs mais ponctuelle, qui ne résout pas les problèmes de fond de la filière. 2. L’innovation du projet de loi relatif à la consommation, la clause de renégociation en cas de volatilité des matières premières L’accord, signé sur la base du volontariat en présence du ministre de l’agriculture le 3 mai 2011, entre treize organisations professionnelles représentant agriculteurs, industriels et secteur de la distribution et qui prévoit la réouverture des négociations commerciales entre ces différents partenaires lorsque les prix de l’alimentation animale dépassent un certain niveau, à la hausse comme à la baisse est peut-être une piste intéressante pour limiter l’impact négatif de l’augmentation du coût des matières premières sur les éleveurs. Il faut pour cela que les prix de l’alimentation animale soit de plus ou moins 10 % par rapport au même mois de l’année précédente et pendant trois mois consécutifs. Par ailleurs, l’évolution de la part du coût de l’alimentation dans le prix à la production doit se situer à plus ou moins 10 %, au-delà ou en deçà d’une référence préétablie. Un corridor de prix est alors défini de manière à lisser l’impact de la volatilité des cours des matières premières agricoles au profit des filières des viandes bovine, avicole et porcine. Cet accord dont le champ d’application est restreint repose néanmoins sur une base volontaire. Le projet de loi relatif à la consommation qui a été adopté en première lecture à l’Assemblée nationale le 2 juillet 2013 prévoit donc une clause de renégociation en cas de fortes variations des prix des matières premières agricoles. Comme l’a indiqué notre collègue Mme Annick Le Loch, rapporteure de ce texte s’agissant des aspects relatifs à la loi de modernisation de l’économie Le nouvel article L. 441-8 du code de commerce est fondamental et répond parfaitement aux inquiétudes que les producteurs de fruits et légumes notamment mais la situation des éleveurs et des producteurs de produits d’origine animale, comme le lait, a également pu être affectée ont pu manifester au cours des années récentes. … Afin d’éviter toute dérive lors de la réouverture des négociations, il est également prévu que la clause de renégociation fasse référence à un ou plusieurs indices publics des prix des produits agricoles ou alimentaires », définis par exemple par FranceAgriMer, l’Observatoire de formation des prix et des marges ou tout autre structure comparable. L’objectivité des indices ainsi définis devrait permettre aux différents acteurs de pouvoir négocier en toute transparence, sur des bases non sujettes à caution. Afin de garantir que ces négociations soient menées de bonne foi, il est par ailleurs précisé qu’un compte rendu doit être établi afin d’en retracer les étapes et les points de vue, celui-ci pouvant s’avérer particulièrement utile, notamment pour permettre aux autorités compétentes voire au juge d’apprécier le caractère sincère et constructif des discussions ainsi menées. » Les contrats tripartites entre les producteurs, les transformateurs et les distributeurs Système U a convenu en 2010 un accord tripartite avec le groupement de producteurs Biolait et la laiterie de Saint-Denis de L’Hôtel. Nous nous engagions pour la première fois sur une marque de lait bio de production française. Pour sécuriser les producteurs sur le prix, et en même temps inciter à la conversion un certain nombre d’éleveurs du conventionnel vers le bio, nous avons voulu prévoir dans nos contrats 3 centimes d’euros supplémentaires, orientés directement vers les producteurs. » Le mécanisme a si bien fonctionné qu’en trois ans, Biolait, au départ surtout localisé dans le Grand Ouest et désormais sur toute la France, est passé de 700 à 1 200 producteurs. Aujourd’hui, le nombre d’éleveurs étant jugé suffisant pour remplir les demandes de volume, l’accord qui visait à aider à la conversion ne va pas être reconduit. Le prix payé au producteur lui devrait être maintenu il est fixé à 43 centimes d’euros le litre, contre 31,5 centimes dans le conventionnel 21. Vos rapporteurs saluent l’introduction de cette clause de renégociation dans le droit français. 3. Le fonds de solidarité céréaliers- éleveurs, une péréquation intéressante Suite à la hausse des cours constatée au printemps 2012, un regroupement de producteurs de céréales et d’oléagineux, l’ORAMA fédérant trois associations spécialisées dépendant du syndicat majoritaire au sein des chambres d’agriculture l’AGPB, l’Association Générale des Producteurs de Blé, l’AGPM, l’Association Générale des Producteurs de Maïs et la FOP, Fédération française des producteurs d’oléagineux et de protéagineux a proposé le 30 août 2012 de mettre en place un fonds professionnel de modernisation céréalier-éleveur de 100 millions d’euros en faveur des éleveurs. Le président de la FNSEA, M. Xavier Beulin a expliqué avoir soutenu l'initiative d'Orama sur le fonds de solidarité céréaliers-éleveurs, a-t-il rappelé. Face à la faible mobilisation autour de la mise en place d'une contribution volontaire pour alimenter ce fonds, et devant notre refus d'une taxe, nous proposons la mise en place d'une CVO contribution volontaire obligatoire qui sera modulée et modulable. Ce fonds devrait voir le jour dès 2013. »22 Selon ses promoteurs, ce fonds serait destiné à financer des mesures structurelles de soutien – investissements dans la rénovation des bâtiments, développement de la méthanisation ou du photovoltaïque sur les exploitations – aux filières d’élevage les plus touchées par la hausse des prix selon des modalités qui seraient définies ultérieurement par les céréaliers et les éleveurs. Cette proposition a suscité de vives réactions. Si le principe d’une solidarité des céréaliers envers les éleveurs mérite d’être étudié et salué, il conviendra d’examiner avec la plus grande vigilance les modalités de mise en œuvre de ce fonds. 4. La contractualisation, un outil de régulation Le rapport du CGAAER de juillet 2012 sur la contractualisation a permis de mesurer les premiers effets de l’article 12 de la loi de modernisation de l’agriculture et de la pêche LMAP du 27 juillet 2010, et des décrets du 30 décembre 2010 qui ont rendu obligatoire la contractualisation dans le secteur du lait de vache et celui des fruits et légumes. Ce rapport ne remet pas en cause le principe de la contractualisation comme outil de régulation de la filière. Ses auteurs estiment que la contractualisation et les organisations de producteurs ont amélioré les rapports de force entre producteurs et industriels, apportant une assurance supérieure à celle que l’on pouvait attendre des contrats tacites non écrits existants jusqu’alors». Le rapport souligne que le contrat est d’abord un instrument dans la négociation », mais qu’il ne peut se substituer à la totalité des instruments de gestion des marchés. Il propose que la contractualisation soit également appliquée à la viande bovine. Interbev a proposé un accord-cadre sur la contractualisation en filière bovine tenant compte des coûts de production. L’accord-cadre offre la possibilité aux abatteurs et aux éleveurs de passer des contrats. Aujourd’hui 15 à 20 % des bovins français sont sous contrats. Interbev se fixe comme objectif 30 % en trois à cinq ans. Vos rapporteurs estiment également que la contractualisation est l’un des outils permettant de réguler la filière laitière. En cela, ils plaident pour l’extension de la contractualisation à la filière de la viande bovine. B.— L’APRÈS QUOTAS LAITIERS 1. Le mini-paquet lait, une première étape C’est dans le contexte globalement favorable à une application stricte des règles de concurrence, qu’est intervenu le mini-paquet lait », le 14 mars 2012. Le secteur laitier sortait alors de la crise particulièrement grave de 2009. Le règlement UE n° 261/2012 du Parlement européen et du Conseil du 14 mars 2012 relatif aux relations contractuelles dans le secteur du lait et des produits laitiers a introduit des modifications substantielles au règlement OCM unique qui régit l’organisation du secteur en reconnaissant – le rôle des OP et de leurs associations dans le secteur du lait et des produits laitiers ; – la qualité des OP pour négocier les prix et les volumes, sous certaines conditions, avec les transformateurs. Il s’agit, en quelque sorte, d’une autorisation explicite, bien que sous conditions, des ententes dans ce secteur. Le règlement précise les conditions de négociation des contrats par les OP au nom des producteurs de lait. Trois conditions doivent être réunies il faut que le volume de lait cru faisant l’objet de ces négociations n’excède pas 3,5 % de la production totale de l’Union, 33 % de la production nationale de l’État membre dans lequel est produit le lait cru et 33 % de la production nationale de l’État membre où est livré le lait cru. Cette limite de 3,5 % de la production correspond de facto à la production d’un grand bassin laitier ou à la part de la production nationale dans la production européenne d’un grand producteur. Ainsi, l’objet de ces OP dépasse celui des regroupements actuels. Une OP reconnue pourra négocier le contrat de vente avec l’industriel transformateur au nom des agriculteurs qui en sont membres, qu’il y ait, ou non, transfert de propriété du lait. Les États membres peuvent également reconnaître les organisations interprofessionnelles qui ... c mènent une ou plusieurs activités suivantes ... i amélioration de la connaissance et de la transparence de la production et du marché, au moyen, notamment, de la publication de données statistiques relatives aux prix, aux volumes et à la durée des contrats précédemment conclus pour la livraison de lait cru, ainsi que de la réalisation d’études sur les perspectives d’évolution du marché au niveau régional, national ou international ». S’agissant des prix du lait, depuis 1997, le Centre National Interprofessionnel de l’Économie Laitière CNIEL communiquait des recommandations de prix trimestrielles, non obligatoires mais qui servaient de référence au niveau des centres régionaux, les CRIEL, et des acteurs de la filière éleveurs et fabricants. Cette pratique a été condamnée et a été abandonnée. Elle a été remplacée par un dispositif plus neutre d’indices de tendances dont la légalité a été assise par un amendement à la loi de finances pour 2009. Même si le règlement ne traite pas de l’ensemble des difficultés du secteur laitier – il n’aborde notamment pas la question de la régulation – vos rapporteurs se réjouissent de ce premier pas et de l’évolution de la Commission européenne, qui reconnaît désormais la nécessité d’adapter le droit de la concurrence aux spécificités du secteur laitier. 2. La concertation européenne sur l’après-quotas doit permettre de définir un cadre permettant de réguler le secteur laitier L’Union européenne aura besoin d’un cadre efficace pour réguler » le secteur laitier après la fin des quotas, a estimé le commissaire européen à l’agriculture Dacian Ciolos le 21 janvier. Il a rappelé que le paquet lait n’est une première étape ». Il a également souligné la nécessité de disposer d’outils pour faire face aux crises sévères qui menacent tous les producteurs de lait, même ceux qui sont parfaitement compétitifs dans des conditions de marché normales. Le deuxième défi majeur de l’après-quotas est d’assurer la durabilité de la production laitière y compris sur le plan territorial. Le commissaire européen a souligné qu’il faut tenir compte non seulement de la compétitivité telle qu’elle est actuellement mais aussi des coûts environnementaux et de la durabilité à long terme des systèmes de production intensifs. Ces dernières années, on a vu l’impact négatif d’une hausse des prix des aliments pour animaux sur les exploitations laitières intensives. Une grande conférence sur l’après-quotas doit se tenir en septembre 2013 pour examiner les pistes d’évolutions. En lien avec l’avis du 30 mai 2013 du comité des régions, vos rapporteurs demandent des études complémentaires urgentes pour évaluer les impacts territoriaux de la suppression des quotas. Ils considèrent qu’un système efficace de gestion de crise doit faire preuve d’une bonne réactivité, qu’il est nécessaire pour cela de centraliser l’information nationale et européenne des livraisons par exploitation sur plusieurs années, de définir l’état de crise via les prix de référence et les marges, ce qui suppose une gestion directe via une Agence européenne de régulation. C.— LA PAC APRÈS 2013 ET LA RÉFLEXION SUR LA PAC APRÈS 2020 1. Un premier pilier qui prend en compte les besoins de l’élevage a Un niveau élevé d’aides couplées est indispensable Dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune PAC après 2013, le couplage à la vache allaitante reste une aide indispensable pour les producteurs de viande bovine. La France doit pouvoir mobiliser une enveloppe couplée suffisante, et la compléter par une prime nationale comme actuellement. L’aide actuelle correspond à 150 euros de prime européenne par tête, à laquelle s’ajoute une prime nationale supplémentaire de 50 euros. La FNB estime qu’une hausse de l’aide vache allaitante à 300 euros par tête est indispensable pour conforter le secteur, maintenir la production et améliorer le revenu des producteurs. Pour primer l’ensemble des vaches allaitantes présentes en France, de l’ordre de 4 millions de têtes, l’enveloppe doit être de 1 200 millions d’euros, soit 16 % de couplage pour cette mesure, indépendamment des autres mesures de couplage. Niveau actuel des crédits de la prime au maintien du troupeau de vaches allaitantes » PMTVA – Enveloppe européenne 525 millions d’euros 150 euros par tête – Enveloppe de crédits nationaux 160 millions d’euros 50 euros par tête pour les 40 premières, 26 euros au-delà À l’issue des trilogues entre le Conseil, la Commission et le Parlement européen, le taux de couplage a été porté à 13 % contre 10 % actuellement. Une possibilité supplémentaire de 2 % a été obtenue pour la production de protéines végétales, qui permettra de soutenir le développement de l’autonomie fourragère protéique de l’élevage. Vos rapporteurs saluent cette grande avancée, favorable aux élevages allaitants. b La surprime aux cinquante premiers hectares et une pente de convergence des aides à l’hectare plus douce La convergence des aides directes, telle que proposée par la Commission européenne dans le cadre de la réforme de la PAC, consiste à rapprocher le montant de l’aide à l’hectare, aujourd’hui fondé sur des références historiques et de ce fait différent suivant les types de production, vers une valeur commune correspondant à la moyenne nationale. La Commission propose que la convergence à un paiement de base soit uniforme à l’échelle de la région ou de l’État en 2019 et que dès 2014, au minimum 40 % des paiements de base soient uniformisés. S’agissant de la France, ce scénario bénéficierait surtout aux élevages extensifs et pénaliserait l’élevage maïs qu’il soit lait ou viande. Il impacterait peu la situation des producteurs en grandes cultures car leur montant d’aide moyen à l’hectare actuel n’est que légèrement supérieur à la moyenne. L’évolution des aides serait la suivante – diminution de 15 % pour les grandes cultures ; – diminution de 15 % pour l’élevage bovins lait, et de 31 % pour l’élevage bovins lait maïs ; – augmentation de 14 % pour l’élevage bovins viande, et de 19 % pour l’élevage bovins viande à l’herbe ; – diminution de 10 % pour la polyculture-élevage. Tant le Conseil que le Parlement européen se sont accordés sur le principe d’une convergence plus lente afin de préserver l’équilibre économique des différents types de production. Vos rapporteurs soutiennent activement ce choix. En outre, à l’initiative de la France et de son ministre de l’agriculture, M. Stéphane Le Foll, a été introduite dans la position du Conseil du 19 mars un innovant paiement de redistribution » facultatif qui permettra aux États membres d’accorder un complément en plus du paiement de base pour les premiers hectares de chaque exploitation et, ainsi, de tenir compte de la plus forte intensité de main-d’œuvre qui caractérise les petites exploitations. La surprime aux 50 premiers hectares permettra d’atténuer l’effet de la convergence sur les élevages intensifs. 2. L’importance du second pilier pour les zones défavorisées Le régime de soutien aux zones agricoles défavorisées est compris dans l’axe 2 de la politique de développement rural pour 2007-2013. Le règlement CE 1257/1999 détermine trois catégories de zones agricoles défavorisées ZAD – les zones de montagne sont les zones handicapées par une période de végétation sensiblement raccourcie en raison de l’altitude, par de fortes pentes à une altitude moindre, ou par la combinaison de ces deux facteurs ; – les zones défavorisées intermédiaires» 23 qui présentent l’ensemble des handicaps suivants mauvaise productivité de la terre, production sensiblement inférieure à la moyenne en raison de cette faible productivité du milieu naturel et faible densité ou tendance à la régression d’une population qui dépend de manière prépondérante de l’activité agricole ; – les zones affectées par des handicaps spécifiques sont des zones où le maintien de l’activité agricole est nécessaire afin d’assurer la conservation ou l’amélioration de l’environnement, d’entretenir l’espace naturel, de préserver le potentiel touristique ou de protéger les espaces côtiers. Pour la période 2007-2013, 12,6 milliards d’euros ont été consacrés à ces aides, soit environ 14 % du financement total par le FEADER. Ces crédits ont principalement financé l’attribution de l’indemnité compensatoire de handicaps naturels ICHN. Cette indemnité est accordée pour une surface maximum de 50 hectares, avec une surprime de 50 % pour les 25 premiers hectares. Elle pourrait servir de modèle à la surprime aux premiers hectares pour les aides directes du premier pilier. Le plafond de l’ICNH sera augmenté dans le cadre de la nouvelle PAC, ce qui constitue une très bonne nouvelle pour les éleveurs de montagne. Montant des ICHN Aide actuelle en France niveau moyen Plafond proposé dans la PAC 2014-2020 Zone Montagne 160 euros par ha 300 euros par ha ou 450 euros dans proposition Parlement européen Zone Défavorisée Simple 25 à 50 euros par ha 250 euros par ha La prime herbagère agroenvironnementale PHAE est un dispositif dont l’objectif est de favoriser la biodiversité sur les exploitations herbagères. L’objectif est de stabiliser les surfaces en herbe, en particulier dans les zones menacées de déprise agricole et d’y maintenir des pratiques respectueuses de l’environnement via des engagements pris sur cinq ans en contrepartie d’une rémunération. Le dispositif s’appuie sur un chargement limité, sur la présence d’éléments de biodiversité et sur une gestion économe en intrants. Plusieurs personnes auditionnées par vos rapporteurs ont estimé que cette aide était tellement contraignante qu’ils préfèreraient y renoncer. 3. Un système d’aides contracycliques doit être étudié dans le cadre de la réforme de la PAC après 2020 Mme Aurélie Trouvé, économiste et spécialiste du secteur laitier a souligné qu’en matière de régulation laitière, l’Union européenne était beaucoup plus libérale que les États-Unis Les États-Unis prennent le chemin inverse de celui suivi par l’Europe. Ils encadrent leur marché laitier sans aucun complexe. La Suisse a supprimé les quotas et mis en place une contractualisation avec les éleveurs. On peut parler d’échec. Si on ne fait rien, on aura une nouvelle crise du lait. On risque d’assister en France à un déménagement du territoire et à la concentration des élevages dans les régions les plus favorables à cette production 24. » Le futur Farm Bill 25 Si le futur Farm Bill n’est pas encore arrêté, les discussions témoignent d’ores et déjà d’une volonté affirmée de renforcer encore l’orientation anticyclique de la politique agricole américaine. C’est ce que traduit le vote de la future loi-cadre le 21 juin dernier au Sénat qui prévoit la suppression totale des aides directes découplées, à l’instar de ce qu’avait proposé la Maison Blanche dans un souci d’économies budgétaires. Ces aides, versées indépendamment des prix, des rendements, des revenus et de la production agricoles, sont en effet devenues difficilement justifiables pour le gouvernement et les congressmen, d’autant plus dans un contexte où les revenus agricoles ont atteint des niveaux records. Le vote du Sénat témoigne aussi d’une volonté de renforcer les dispositifs assurantiels, déjà particulièrement développés aux États-Unis, tout en cherchant à améliorer leur articulation avec les autres soutiens à caractère anticyclique. L’arsenal assurantiel existant est en effet globalement reconduit, tandis que de nouveaux programmes sont proposés notamment pour le coton ou l’arachide et de nouveaux enjeux pris en compte subvention additionnelle pour les agriculteurs récemment installés, meilleure prise en compte des spécificités des productions biologiques. Le Sénat propose également un nouveau dispositif additionnel de soutien, de type assurantiel, qui permettrait à un exploitant de compléter la prise en charge de ses risques en bénéficiant d’indemnités supplémentaires couvrant une partie de la franchise imposée par l’assureur. Versée en cas de pertes significatives au niveau du comté et non au niveau individuel, cette forme de couverture additionnelle, Supplemental Coverage Option SCO, serait même subventionnée à 70 % contre 62 % en moyenne pour les dispositifs existants. Plusieurs programmes nouveaux seraient également mis à l’étude ou expérimentés, tels une assurance sur indice climatique ou encore une assurance sur le revenu global des exploitations. Sans toutefois les remettre en cause, l’administration Obama proposait plusieurs ajustements significatifs destinés à améliorer l’efficience de ces programmes, considérés comme particulièrement coûteux, promettant une économie de plus de 8 milliards de dollars sur 10 ans. Le Sénat a choisi une autre voie, refusant de fragiliser ce qui devient de facto la clé de voûte de la protection contre la variabilité intra-annuelle. Toutefois, en vue d’assurer une meilleure cohérence entre les différents dispositifs, le Sénat a introduit deux inflexions pour ces programmes assurantiels. Il s’agit, d’une part, d’une certaine dégressivité des soutiens, avec un taux de subvention des primes d’assurance réduit de 15 points, dès lors que le produit brut de l’exploitation dépasse le seuil de 750 000 $. D’autre part, la perception des soutiens serait soumise à une conditionnalité environnementale, par la mise en œuvre de programmes de conservation » environnementale. Parallèlement, le Sénat propose de fusionner plusieurs aides anticycliques existantes, dont les paiements contracycliques et le dispositif ACRE Average Crop Revenue Election, qui avait été initié lors du précédent Farm Bill. Un nouveau dispositif viendrait les remplacer, ARC Agriculture Risk Coverage, qui reprendrait le principe d’une aide compensant, pour partie, une baisse du chiffre d’affaires interannuel des différentes cultures couvertes, en complément des dispositifs assurantiels qui couvrent uniquement les pertes intra-annuelles. De loin l’innovation la plus coûteuse du projet sénatorial, ce nouvel outil se verrait doté d’un budget de plus de 28 milliards de dollars. En termes d’articulation entre programmes, les niveaux de franchises pris en charge par le dispositif SCO tiendraient compte de la souscription à ce programme ARC afin d’éviter les doubles paiements. Le vote du Sénat témoigne par ailleurs d’une volonté d’intervention renforcée et innovante pour le secteur laitier. Les producteurs bénéficieraient d’un nouveau dispositif d’aides anticycliques composé de deux niveaux un paiement de base, couvrant un niveau minimal de marge différence entre la valeur de la production de lait et le coût de l’alimentation des vaches laitières ; et un paiement complémentaire, pour ceux désirant une couverture supérieure de leur marge, avec possibilité de choisir le niveau de marge sécurisé et le volume de production couvert entre 25 % et 90 % de la production. Ce programme anticyclique serait conditionné à la participation à un programme de stabilisation du marché des produits laitiers. En cas de baisse des prix et des marges, les producteurs seraient incités à réduire leur production par rapport à une référence évolutive dans le temps moyenne des 3 mois précédant la date d’activation du programme ou, au choix du producteur, de la production du mois de l’année n - 1 par rapport à la date d’activation du programme. Concrètement, à mesure que les marges baissent, les producteurs ne seraient plus payés sur les volumes dépassant entre 92 % et 98 % de leur référence selon l’intensité des déséquilibres. Les laiteries qui transformeront néanmoins ces volumes surnuméraires seraient alors tenues de reverser les montants correspondants à l’État fédéral, afin d’être utilisés pour dynamiser la consommation de produits laitiers. Le programme serait désactivé en cas de remontée des marges ou des prix des produits laitiers. Le calendrier se resserre pour le futur Farm Bill, la majorité des dispositions actuelles arrivant à échéance le 30 septembre. La Chambre des représentants étant à majorité républicaine, on peut s’attendre à une forte pression sur le budget agricole et alimentaire dans la mesure où le chiffrage des impacts budgétaires de la version émanant du Sénat conduirait à une quasi-stagnation par rapport au niveau actuel. C’est d’ailleurs ce dont témoigne déjà le vote en commission agricole de la Chambre du 12 juillet. S’il confirme les orientations émanant du Sénat, d’importantes réductions pour les programmes alimentaires sont aussi proposées. Les interférences probables avec la campagne présidentielle américaine pourraient également conduire au statu quo avec, à défaut d’accord, la prorogation du Farm Bill actuel au moins pour une année. Toutefois, bien que non terminées, les discussions confirment d’ores et déjà les options actées précédemment, à savoir une reconfiguration des soutiens au secteur agricole autour d’une orientation résolument anticyclique. Et elles soulignent également que les contraintes OMC, qui poussent au contraire à davantage de découplage, ne constituent pas un élément déterminant de l’évolution de la politique agricole américaine. Vos rapporteurs plaident pour que dès à présent une réflexion soit engagée sur la pertinence d’introduire une part de contracyclicité dans l’attribution des aides dans le cadre de la réforme de la PAC après 2013. Il est en effet incompréhensible aux yeux de l’opinion publique que des aides publiques soient attribuées en 2013 aux agriculteurs céréaliers alors que leurs revenus connaissent des sommets. D.— UNE MEILLEURE AUTONOMIE DES EXPLOITATIONS 1. Une meilleure efficience énergétique La perspective de tension durable sur les prix de l’énergie doit inciter le secteur de l’élevage à une meilleure efficience énergétique. Déjà pratiquée dans d’autres pays européens comme l’Allemagne, la méthanisation constitue une voie de valorisation des effluents d’élevage alternative à l’épandage direct. La LMAP a encouragé sans réel succès la création d’unités de méthanisation collective, dont la production est assimilée à un produit agricole du point de vue fiscal et social. La France ne compte qu’une dizaine d’unités de méthanisation opérationnelles, contre près de 6 000 en Allemagne. La méthanisation produit du biogaz, qui peut soit être utilisé comme tel soit être transformé en électricité. L’unité de méthanisation produit également un digestat, qui peut être utilisé comme engrais organique et intégré dans le plan d’épandage et qui présente une meilleure valeur agronomique que les effluents bruts. Le retard français s’explique notamment par la faiblesse des tarifs de rachat de l’électricité produite à partir du biogaz. Il s’explique également par l’importance de l’investissement que représente l’installation d’une unité de méthanisation. L’agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie estime ces coûts à 5 000 euros le kW pour une installation de 100 kW, soit un investissement de 500 000 euros, sans compter les investissements de raccordement au réseau électrique existant, qui peuvent être élevés. Le 29 mars 2013 Mme Delphine Batho, alors ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie, et M. Stéphane Le Foll, ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt ont présenté le plan Énergie Méthanisation Autonomie Azote » EMAA. Ce plan vise à développer un modèle français de la méthanisation agricole, privilégiant des installations collectives, des circuits d’approvisionnement courts et des technologies et savoir-faire français. L’objectif du Gouvernement est de développer en France, à l’horizon 2020, 1 000 méthaniseurs à la ferme. Le plan prévoit notamment – le lancement, en 2013, d’un appel à projets gestion collective et intégrée de l’azote » ; – l’optimisation du tarif d’achat pour l’électricité produite à partir de biogaz pour favoriser les projets de méthanisation collective à la ferme ; – la simplification des procédures administratives pour le développement des projets de méthanisation ; – un meilleur accompagnement des porteurs de projets ; – des efforts de structuration de la filière, dans le cadre d’un projet présenté au Programme investissement d’avenir pour créer une filière nationale dans le domaine des équipements de méthanisation et dans le domaine de la valorisation des digestats. 2. L’autonomie protéique et fourragère Plusieurs rapports récents – celui du CNE, celui de Mme Marion Guillou remis en juin 2013 au ministère de l’agriculture – ont mis en exergue l’importance de l’autonomie alimentaire pour les élevages. En effet, l’alimentation est le premier poste de charges dans les coûts de production. Les exploitations françaises en élevage allaitant et laitier sont globalement autonomes en fourrages mais sont plus ou moins dépendantes des aliments concentrés achetés 7 à 22 % de la ration. Les fourrages occupent près de 15 millions d’hectares de SAU, dont 80 % en prairie. La production fourragère est directement impactée par le changement climatique, notamment par les sécheresses de plus en plus fréquentes. Il faut souligner à cet égard l’intérêt agronomique et économique des systèmes de polyculture élevage. Le rapport Guillou identifie un certain nombre de pistes d’amélioration i l’accroissement de la part du pâturage dans l’alimentation des troupeaux via l’amélioration de la gestion des surfaces pâturées aujourd’hui très souvent sous-exploitées et l’extension des périodes de pâturage en intersaison ; ii les évolutions des techniques d’élevage pour en particulier mieux caler les phases de besoins élevés des animaux avec les périodes de disponibilité en ressources fourragères de qualité ; iii une légère extensification diminution du nombre d’animaux par hectare permettant d’accroître la part des fourrages dans l’alimentation du bétail et de dégager des marges de sécurité, ces deux dimensions n’étant pas incompatibles avec un maintien, voire une augmentation, des résultats économiques ; iv l’amélioration de la qualité des fourrages conservés pour limiter le recours aux concentrés achetés en dehors de l’exploitation ; v la recherche d’une meilleure complémentarité entre le maïs et l’herbe dans les zones où les deux cultures peuvent cohabiter ; et vi l’utilisation accrue des légumineuses de façon à réaliser des économies de tourteaux d’oléagineux utilisés en alimentation du bétail et des économies d’azote de synthèse sur les productions végétales. » 26 E.— UN CHOC DE SIMPLIFICATION AU SERVICE DE LA COMPÉTITIVITÉ Au cours des auditions qu’ils ont menées, vos rapporteurs ont identifié plusieurs mesures de simplification qui pourraient être utilement mise en œuvre. 1. Les tests ESB Par la décision 2009/719/CE la Commission européenne autorise à partir du 1er janvier 2013 certains États membres à déroger à l’obligation de dépister systématiquement tous les bovins sains abattus de plus de 72 mois. Le ministère de l’agriculture estime le coût des tests pour la seule partie publique à plus de 7 millions d’euros par an. Aucun cas n’a été détecté en abattoir depuis 2010. L’ANSES ayant émis un avis favorable le 11 mars 2003 à cette suppression, vos rapporteurs estiment qu’il convient de profiter de cette dérogation. 2. Les installations classées Pour maîtriser les coûts de production, vos rapporteurs sont convaincus qu’il faut, sans évidemment sacrifier les objectifs sanitaires et environnementaux, lever certaines contraintes qui pèsent sur les exploitations. La Fédération nationale bovine a ainsi fait part de son étonnement devant la persistance de normes plus sévères en France qu’en Allemagne, en matière d’exploitations classées pour la protection de l’environnement ICPE. Alors que les textes européens ne l’imposent pas, la France a ainsi mis en place un seuil d’entrée dans le régime d’autorisation des ICPE en élevage bovin à 50 vaches laitières et 100 vaches allaitantes, faisant peser sur tout projet d’agrandissement d’élevage un risque de refus, au terme de procédures longues et coûteuses. 3. L’obligation de démédullation des carcasses bovines avant fente Par dérogation au principe de saisie des trois carcasses collatérales à la carcasse testée positif à l’ESB, la France a décidé de rendre obligatoire la technique de l’aspiration de la moelle épinière avant la fente de la carcasse. Cependant, ce dispositif est délicat et cher à exploiter. Il nécessite des équipements, des consommables et surtout du personnel car il n’est pas automatisable. Cette estimation donne un coût d’exploitation de la démédullation situé entre 2,30 euros/tec et 10 euros/tec. En extrapolant ces coûts au tonnage abattu au niveau national, le coût de cette mesure serait estimé à plus de 6 millions d’euros par an. Il est largement supérieur à ce que coûterait le dispositif de destruction des carcasses édicté par le règlement CE 999/2001 sachant qu’aucun cas d’ESB n’a été recensé en France depuis 2010 et qu’en 2011, sur les 1 632 372 prélèvements réalisés à l’abattoir et à l’équarrissage seuls 20 ont donné lieu à un résultat non négatif. CONCLUSION La situation de l’élevage bovin laitier et allaitant en France nécessite une mobilisation sans précédent. C’est un véritable cri d’alarme qu’ont passé nombre des personnes auditionnées par vos rapporteurs. Les difficultés conjoncturelles et structurelles rencontrées par nos éleveurs ne sont pourtant pas irrémédiables. L’élevage a un avenir en France. De nombreuses opportunités existent et peuvent être développées. Vos rapporteurs plaident donc pour - Une politique forte de modernisation des bâtiments et des équipements, telle que le plan de modernisation des bâtiments d’élevage PMBE. Vos rapporteurs estiment par ailleurs indispensables de conserver, voire de développer, le crédit d’impôt remplacement ; - Un juste prix, qui permette à chacun de pouvoir vivre décemment de son travail. Ils estiment qu’une stagnation des prix du lait ou de la viande alors que les coûts de production des éleveurs augmentent dévalorise leur travail ; - Un étiquetage viande bovine française » VBF pour l’ensemble des produits, nés, élevés, abattus et transformés en France. Cet étiquetage nécessite une modification de la réglementation européenne ; - L’encouragement à la valorisation du lait et de la viande en produits certifiés comme réponse à la disparition des quotas, en particulier dans les zones difficiles, où les coûts de collecte sont plus élevés ; - Le développement des circuits courts et les filières de qualité au sein de la restauration hors foyers, notamment en utilisant la possibilité ouverte par le décret du 25 août 2011 ; - Le maintien de la mobilisation active des services de l’État pour obtenir la négociation des certificats sanitaires indispensables à l’ouverture des marchés, et entreprendre les démarches diplomatiques essentielles pour les relations commerciales au plan mondial ; - La constitution d’un groupement d’intérêt économique en charge de la promotion des produits laitiers et de la recherche de nouveaux marchés permettrait de dynamiser plus encore les exportations françaises ; - Le lancement d’une grande réflexion sur la pertinence d’introduire une part de contracyclicité dans l’attribution des aides dans le cadre de la réforme de la PAC après 2013 ; - L’extension de la contractualisation à la filière de la viande bovine. Vos rapporteurs estiment en effet que la contractualisation est l’un des outils permettant de réguler les filières ; - Un choc de simplification en simplification des procédures administratives lourdes dans le respect des exigences environnementales. Vos rapporteurs saluent - Le consensus, à l’issue des trilogues entre le Conseil, la Commission et le Parlement européen sur la réforme de la PAC, sur un taux de couplage 13 % contre 10 % actuellement. Une possibilité supplémentaire de 2 % a été obtenue pour la production de protéines végétales, qui permettra de soutenir le développement de l’autonomie fourragère protéique de l’élevage ; - Le relèvement du plafond de l’ICNH, ce qui constitue une très bonne nouvelle pour les éleveurs de montagne ; - L’adoption à l’Assemblée Nationale en première lecture du projet de loi relatif à la consommation qui instaure une clause de renégociation en cas de forte volatilité des coûts des matières premières agricoles ; - Le plan Énergie Méthanisation Autonomie Azote » EMAA lancé par M. Stéphane Le Foll, ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt ont présenté. Ce plan vise à développer un modèle français de la méthanisation agricole, privilégiant des installations collectives, des circuits d’approvisionnement courts et des technologies et savoir-faire français. EXAMEN DU RAPPORT Lors de sa réunion du 10 juillet 2013, la commission a examiné le rapport de la mission d’information sur la filière bovine et la production laitière en France présenté par MM. Germinal Peiro et Alain Marc, rapporteurs. M. le président Brottes. Nous examinons aujourd'hui les conclusions du rapport de MM. Peiro et Marc sur la filière bovine et la production laitière en France. M. Alain Marc, rapporteur. L’avenir de l’élevage bovin revêt un caractère stratégique pour l’économie, l’emploi, l’aménagement et la vitalité des territoires ruraux. Ainsi, dans la plupart des régions de montagne, le troupeau laitier est le principal utilisateur des prairies. Il permet de maintenir des paysages ouverts et habités, favorables au tourisme, à la biodiversité et à l’environnement. Pourtant l’élevage connaît une crise profonde. Les éleveurs sont confrontés à de nombreuses difficultés, tant conjoncturelles que structurelles. Des difficultés conjoncturelles d’abord, car quand les cours des matières premières agricoles augmentent et que les éleveurs ne peuvent les répercuter sur le prix du lait ou de la viande, cela engendre un effet ciseau, qui entraîne une compression insupportable des marges des éleveurs. Ainsi, le prix du lait en 2012 se situe dans une moyenne haute par rapport aux prix des dix dernières années. Le problème réside essentiellement dans l’absence de répercussion des hausses des prix tout au long de la filière. En fait, on observe en France une faible répercussion des hausses et des baisses de prix aux consommateurs, ce qui explique les compressions des marges des différents acteurs de la chaîne de valeur quand les cours sont hauts. En Allemagne au contraire, les prix de détail pour le lait liquide, le beurre et les produits ultra frais ont fortement augmenté depuis l’été 2012. L’élevage connaît aussi des difficultés structurelles. L’astreinte conjuguée à la pénibilité explique que certains préfèrent se concentrer sur la culture de céréales ou jeter l’éponge. Le nombre d’éleveurs de vaches laitières baisse ainsi de 4 à 5 % par an. Dans les zones à fort potentiel pédoclimatique, la conversion d’exploitation en grandes cultures, plus rémunératrices et moins astreignantes, est déjà une réalité tangible. Dans les zones à forte activité économique, si l’élevage est menacé, c’est plutôt par les alternatives offertes en matière d’utilisation des sols, que ce soient pour l’artificialisation ou l’urbanisation des sols. Or, ces alternatives signifient toujours un arrêt irréversible de l’élevage. Elles présentent en outre des risques en termes d’emplois, d’équilibre écologique, de fertilité organique et de capacité productive Il est donc essentiel d’assurer aux éleveurs une juste rémunération, qui soit en rapport avec les astreintes et les contraintes inhérentes à leur métier. Plusieurs réflexions ont orienté la démarche de vos rapporteurs comment éviter une végétalisation de la France au cours de la prochaine décennie qui aurait des conséquences dramatiques pour l’équilibre des territoires ? Comment favoriser le maintien des exploitations d’élevages sur les territoires ? Comment assurer une juste rémunération aux éleveurs et des conditions de vie décentes ? La mission d’information était composée, outre de ses deux rapporteurs, Germinal Peiro et moi-même, de Mme Annick Le Loch, M. Dominique Potier, Mme Brigitte Allain et de M. Thierry Benoit. Nous avons rencontré une soixantaine de personnes, d’horizons très différents, syndicats, experts et personnalités qualifiées, organismes publics, entreprises, association d’élus Mme Massat, coopératives. Notre but était d’établir un panorama aussi complet que possible de l’état des filières bovines laitière et allaitante, de recueillir des propositions opérationnelles pour améliorer de façon concrète et immédiate la vie des éleveurs, d’étudier sur le temps long, quels ajustement structurels peuvent permettre à ces filières d’excellence de se développer en France, et à l’étranger. M. Germinal Peiro, rapporteur. C’est un véritable cri d’alarme qu’ont poussé nombre des personnes auditionnées par vos rapporteurs. La situation de l’élevage bovin laitier et allaitant en France nécessite une mobilisation sans précédent. Il est nécessaire de réorienter les politiques publiques. L’élevage est présent dans près d’une exploitation sur deux, et dans 95 % des cantons, autant dire sur tout le territoire. Il fait vivre près de 70 000 éleveurs laitiers et 60 000 éleveurs en viande bovine. Les difficultés conjoncturelles et structurelles rencontrées par nos éleveurs ne sont pourtant pas irrémédiables. L’élevage a un avenir en France. De nombreuses opportunités existent et peuvent être développées. La croissance mondiale est importante et pérenne. Pour la satisfaire, encore faut-il que nos éleveurs ne jettent pas l’éponge. Nous tenons à cet égard, avec Alain Marc, à saluer un certain nombre de mesures récentes qui vont dans le bon sens pour nos éleveurs Le rééquilibrage dans l’attribution des aides PAC, en faveur de l’élevage. Ainsi, un consensus a été trouvé, à l’issue des trilogues entre le Conseil, la Commission et le Parlement européen sur la réforme de la PAC, sur un taux de couplage 13 % contre 10 % actuellement. Une possibilité supplémentaire de 2 % a par ailleurs été obtenue pour la production de protéines végétales, qui permettra de soutenir le développement de l’autonomie fourragère protéique de l’élevage. Nous saluons également la surprime aux cinquante premiers hectares, qui va avantager globalement l’élevage, car les premiers hectares sont les plus intensifs en emploi. Cela ne veut pas dire que la PAC est désormais contre les autres types d’agriculture. Mais les chiffres sont parlants un céréalier a gagné en 2011 72 000 euros, contre 26 500 euros pour un éleveur laitier et 15000 euros pour un éleveur en viande bovine. Le temps de travail est également très déséquilibré selon les filières. Il y a donc une menace sur l’élevage pour des raisons non seulement économiques, mais également sociales et sociétales. Toujours s’agissant de la réforme de la PAC, le relèvement du plafond de l’ICNH indemnité compensatoire de handicap naturel, ce qui constitue une très bonne nouvelle pour les éleveurs de montagne ; L’adoption à l’Assemblée Nationale en première lecture du projet de loi relatif à la consommation qui instaure une clause de renégociation en cas de forte volatilité des coûts des matières premières agricoles ; je tiens d’ailleurs à saluer tout particulièrement les rapporteurs de ce texte, Razzy Hammadi et Annick Le Loch Le plan Énergie Méthanisation Autonomie Azote » EMAA lancé par M. Stéphane Le Foll, ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt ont présenté. Ce plan vise à développer un modèle français de la méthanisation agricole, privilégiant des installations collectives, des circuits d’approvisionnement courts et des technologies et savoir-faire français. Mais toutes ces mesures ne sont pas encore suffisante, vos rapporteurs plaident donc pour – Une politique forte de modernisation des bâtiments et des équipements, telle que le plan de modernisation des bâtiments d’élevage PMBE. Nous estimons par ailleurs indispensables de conserver, voire de développer, le crédit d’impôt remplacement ; nous serons donc très attentifs au projet de loi de finances pour 2014. – Un juste prix, qui permette à chacun de pouvoir vivre décemment de son travail. Nous estimons qu’une stagnation des prix du lait ou de la viande alors que les coûts de production des éleveurs augmentent dévalorise leur travail. A cet égard, la récente médiation sur le prix du lait a porté ses fruits. – Un étiquetage viande bovine française » VBF pour l’ensemble des produits, nés, élevés, abattus et transformés en France. Cet étiquetage nécessite une modification de la réglementation européenne. Un rapport devait être remis en décembre 2013, il devrait en fait l’être dans les prochaines semaines. Nous avons eu des débats très vifs lors de la discussion du projet de loi relatif à la consommation. Il ne faut pas céder sur ce point. C’est ce que les consommateurs attendent. – L’encouragement à la valorisation du lait et de la viande en produits certifiés comme réponse à la disparition des quotas, en particulier dans les zones difficiles, où les coûts de collecte sont plus élevés. – Le développement des circuits courts et les filières de qualité au sein de la restauration hors foyers, notamment en utilisant la possibilité ouverte par le décret du 25 août 2011. 80 % de la restauration collective française est approvisionnée par de la viande bovine importée. – Le maintien de la mobilisation active des services de l’État pour obtenir la négociation des certificats sanitaires indispensables à l’ouverture des marchés. – La constitution d’un groupement d’intérêt économique en charge de la promotion des produits laitiers et de la recherche de nouveaux marchés permettrait de dynamiser plus encore les exportations françaises. – Le lancement d’une grande réflexion sur la pertinence d’introduire une part de contracyclicité dans l’attribution des aides dans le cadre de la réforme de la PAC après 2020. M. Dacian Ciolos, que j’ai interrogé à ce sujet, a répété que ce système n’était pas compréhensible pour nos concitoyens. – L’extension de la contractualisation à la filière de la viande bovine. Nous estimons en effet que la contractualisation est l’un des outils permettant de réguler les filières. – Un choc de simplification en simplification des procédures administratives lourdes dans le respect des exigences environnementales. M. le président François Brottes. Je vous remercie pour ces propositions concrètes, je donne maintenant la parole aux représentants des groupes politiques. M. Dominique Potier. Je vous remercie pour la qualité du travail fourni et pour votre capacité à prendre de la hauteur par rapport au sujet et à présenter des propositions prospectives. En définitive, la question que vous posez au travers de ce rapport, qui rejoint celle au sujet de la forêt, est de savoir si nous devons nous résigner à être un pays exportateur de matières premières et importateur de produits finis ou si nous avons l’ambition, dans le cadre plus global du redressement productif, de continuer à produire de la valeur ajoutée, de l’emploi et des externalités environnementales favorables par une défense de l’élevage. Nous sommes en effet un pays exportateur qui déménage sa production sur l’arc atlantique, selon une logique de ports, génératrice de diagonales arides pour des régions qui perdront de l’emploi, de la biodiversité et de la valeur ajoutée. Ce n’est pas le scénario que vous préconisez puisque vous évoquez des pistes de redressement réalistes. Votre diagnostic tient en quelques chiffres clés, 50 % des exploitations ont encore en leur sein des bovins, 50 % des éleveurs ont plus de cinquante ans et on constate 5 % de déprise annuelle. L’alerte est donc là et c’est ce qui ressort de ce rapport. Je vous félicite d’avoir pris en compte les données sociaux-culturelles qui sont essentielles. Comme l’avait indiqué notre collègue Hervé Gaymard dans le cadre de la mission d’information sur la PAC, la question de l’élevage, et tout particulièrement celle de l’élevage de montagne, n’est pas qu’une question de revenu mais également une question de qualité de vie et de passion du métier. Vous avez eu raison de souligner l’importance de beaux outils de travail, d’une fierté du métier, d’une filière d’enseignement de grande qualité et de des services de remplacement qui apportent un minimum de vie sociale moderne aux jeunes qui entreprennent dans ce secteur de l’élevage que je connais très bien pour y avoir évolué vingt ans durant. Je suis favorable aux services de remplacement, à des plans de bâtiment dans les contrats de plan, à des budgets européens fléchés en la matière. J’aimerais toutefois attirer votre attention sur un point très précis, les groupements d’employeurs ont pour l’instant, pour des questions juridiques, été exclus du bénéfice du CICE. Il est fondamental de soutenir le maillage autour des éleveurs, notamment dans les régions où l’activité est très difficile. Bien entendu le niveau des revenus compte également beaucoup pour l’attrait de ce métier. Sur ces questions macro-économiques vous avez pointé les avancées régulières conduites par ce gouvernement dont nous sommes fiers. Je pense notamment aux avancées portées par la rapporteure Annick Le Loch en matière de négociation avec la grande distribution dans le projet de loi sur la consommation et au combat mené par le ministre de l’agriculture dans le cadre de la PAC pour maintenir son budget et le réajuster. Je tiens à lui faire part du soutien de notre groupe dans le rééquilibrage à l’égard de l’élevage entre le premier et le deuxième pilier Je souhaite insister sur plusieurs régulations à venir. La PAC 2020 devra aller plus loin dans le rééquilibrage vers l’élevage, les 9 centimes de différentiel sur l’abattage avec l’Allemagne qui mène une politique sociale délétère appellent une régulation sociale très forte sur les outils agro-alimentaires à l’échelle de l’Europe, pour les céréales la création d’un deuxième marché à destination de la consommation animale serait une avancée décisive à l’horizon de 2020. Je tiens à souligner les avancées en matière de lutte contre la spéculation des denrées alimentaires, qui amplifient les phénomènes de hausse des cours des denrées alimentaires, dans le cadre de la loi de régulation bancaire. Enfin, rien ne sera possible sans une politique d’installation qui freine les politiques d’agrandissement et qui empêchent les initiatives en matière de poly-culture-élevage en dressant des stratégies qui se traduisent par des situations d’appauvrissement. M. Antoine Herth. Je tiens à mon tour à saluer la qualité de ce rapport qui pointe notamment la stabilité du revenu des éleveurs et la différence de coût de main d’œuvre avec nos voisins européens. Vous préconisez l’étiquetage des viandes bovines françaises, vous avez bien identifié le potentiel du marché à l’export vers la Chine et je vous rejoins dans l’idée qu’il convient de modifier la culture politique de l’Union européenne pour revenir sur la primauté des règles de la concurrence qui écrasent toutes les autres considérations. Le rapport souligne, à raison, les problèmes qui peuvent survenir en lien avec la suppression des quotas en termes de déménagements des élevages sur le territoire national. Je vous rejoins également sur l’analyse du Farm bill américain et sur la question des aides contra-cycliques qui sont demandées depuis des années par les céréaliers français. Vos propositions sur les effluents d’élevage vont dans le bon sens, il convient de réfléchir à la simplification des procédures en ce domaine. Enfin bravo pour vos propositions sur l’ESB qui sont très courageuses dans ce domaine politiquement et médiatiquement sensible. Il existe en revanche un certain nombre de points sur lesquels je pense qu’il est encore nécessaire de travailler. Je regrette notamment les chiffres que vous avancez sur le temps de travail qui me semblent proche de la caricature, 3 600 heures par an pour l’élevage contre 800 pour les céréaliers cela voudrait dire qu’un éleveur travaille onze heures par jour et un céréalier seulement deux ! Il y a désormais des réponses en matière d’élevage, les GAEC, les groupements d’employeurs, les CUMA et les robots de traite qui permettent d’avancer en matière de charge de travail. Il ne faut pas se tromper, lorsqu’un céréalier fait le tour de plaine pour observer ses cultures et essayer de réduire le nombre de traitements phytosanitaires, il travaille aussi ! Je pense qu’il faut s’en tenir aux données observables sans tomber dans la caricature. Sur la question du revenu agricole vous avez abordé des pistes intéressantes. Je crois qu’il faut retenir que ce revenu est la différence entre les charges et les produits. Vos propositions sur les charges variables, sur l’autonomie alimentaire, sont particulièrement importantes. Je vous appelle en revanche à la prudence s’agissant des charges fixes et la modernisation des installations agricoles. En effet l’éleveur va souvent au-delà de la seule modernisation et anticipe une augmentation de son cheptel, ce qui peut le placer dans une situation délicate en cas de modification de la conjoncture. En ce qui concerne le chiffre d’affaire, je vous rejoins sur la nécessité de trouver des stabilisateurs sur le prix payé au producteur. La subvention ne résoudra pas tout. Il y a enfin un besoin de capitalisation dans le cheptel, c’est un investissement que l’éleveur retrouve au terme de sa carrière mais qui pèse sur les jeunes voulant s’installer. Enfin, je souligne l’absence de développements sur la prise en compte du risque, risque climatique bien sûr mais aussi risque sanitaire, qui fragilise bon nombre d’élevages. Je rejoins notre collègue Potier sur le fait que l’indicateur de bonne santé du secteur c’est celui de la capacité à l’installation des jeunes. M. Thierry Benoit. Ce rapport ne peut que conforter les membres de la commission sur un certain nombre d’idées qui sont également celles des rapporteurs. Il convient de souligner les efforts considérables réalisés par les éleveurs français depuis de nombreuses années sur la qualité des produits mis sur le marché, qualité nutritive et qualité gustative. Les efforts en matière de qualité sanitaire, de sécurité alimentaire mais aussi en faveur de la reconquête de la qualité de l’eau et de la protection de l’environnement. Je trouve que ces différents éléments auraient pu être davantage mis en avant dans le rapport car ils ont incontestablement usés les agriculteurs. Il en va de même pour les contrôles des différentes administrations qui reposent trop souvent sur la suspicion à l’égard des agriculteurs et encore davantage des éleveurs. Nous devons modifier cette approche en renforçant la confiance à l’égard des agriculteurs. Le rapport aurait pu être encore plus précis sur les orientations. Il en va ainsi d’une nécessaire harmonisation européenne sur les ICPE, il en va de même de la modernisation de notre parc de bâtiments, de la qualité environnementale et du bien-être animal. C’est également le cas en matière d’évaluation des politiques publiques, notamment en matière de ZES qu’il convient d’évaluer et de remettre au goût du jour car des progrès considérables ont été réalisés sur le terrain. En ce qui concerne l’étiquetage, nous avons eu un débat intéressant lors du débat sur le projet de loi consommation. L’étiquetage sur l’origine des produits et de la viande dans les plats préparés constitue un enjeu considérable. J’insiste sur le sujet des contrôles qui sont bien entendus nécessaires mais qui doivent être effectués dans le respect des formes. En matière de simplification il faut désormais passer des paroles aux actes et l’harmonisation sur les ICPE participe à cette simplification. Il s’agit de mesures simples à prendre et qui ne coûtent pas. La précédente majorité n’a pas osé aller suffisamment loin sur ces questions, notamment pour ne pas heurter les associations environnementales. L’actuel gouvernement va réussir à avancer dans la voie de l’harmonisation car nous qui sommes dans l’opposition souhaitons aller dans le même sens. Sur les questions européennes, l’actuel ministre de l’agriculture poursuit le travail initié par la précédente majorité, ce qui va dans le bon sens. Il faut également avoir à l’esprit le fait que les décisions agricoles sont des décisions transversales qui concernent tout autant les ministères de l’économie et de l’environnement. Il faut enfin que les décisions prises par le ministre soient relayées en région par les préfets et les services de l’État DRAF, DSV qui doivent appliquer ces mesures sans les interpréter selon leur propre appréciation. Je soutiens donc ce rapport tout en indiquant qu’il était possible d’aller encore plus loin, sans dépenses supplémentaires. M. André Chassaigne. C’est un excellent rapport, ce qui ne m’étonne pas compte tenu de la composition de la mission d’information. Je regrette que de notre groupe n’ait pas pu y participer en raison de la charge de travail de ses membres. Il est urgent d’apporter des réponses concrètes à la crise de l’élevage car, comme celle d’autres professions, la souffrance des éleveurs est très forte. Sans ce type de réponses, quelle que soit la conjoncture, nous risquons une catastrophe économique. Comme je l’ai déjà dit en séance dans le cadre de la discussion du projet de loi sur la consommation, la modification de la réglementation européenne en matière d’étiquetage ne serait pas suffisante. Une volonté politique forte est nécessaire, sans quoi nous aggraverons le sentiment de rejet vis-à-vis de l’Europe. Je suis favorable à votre proposition de développer les circuits courts et les filières de qualité au sein de la restauration hors foyers. Il convient pour cela de s’appuyer sur les bonnes pratiques au niveau local le conseil général de la Drôme et celui du Puy de Dôme ont ainsi mis en œuvre des circuits courts pour la restauration collective dans les collèges, dans le respect du code des marchés publics. Je regrette que les conséquences des accords commerciaux internationaux soient sous-estimées dans les conclusions du rapport. Vous ne mentionnez en effet que la négociation des certificats sanitaires, alors que la question des droits de douane est essentielle. L’accord entre l’Union européenne et le Canada qui doit être conclu prochainement aura inévitablement un effet sur les importations de viande bovine canadienne. Les États-Unis, dans les négociations qui se sont ouvertes avec l’Union européenne, ont une volonté très forte d’obtenir la fin de la protection de la viande française, ainsi que la modification des règles sanitaires. Mme Jeanine Dubié. Je salue ce rapport de grande qualité, qui dresse un état des lieux complet du secteur et formule des propositions pour soutenir les filières. Le secteur du lait rencontre de graves difficultés mais il reste stratégique pour notre économie. Les difficultés s’expliquent par le manque de rentabilité en raison de l’absence de compensation par les prix de la hausse des coûts de production. Le relèvement de 25 euros du prix payé aux producteurs pour 1 000 litres de lait collectés proposé par le médiateur des relations commerciales agricoles et accepté par les distributeurs est une solution ponctuelle qui ne résout pas les problèmes structurels de la filière. Le partage de la valeur ajoutée est en effet très défavorable aux producteurs. Il est donc nécessaire de réformer la contractualisation mise en œuvre dans le cadre de la loi de modernisation de l’agriculture du 27 juillet 2010. Le regroupement des producteurs au sein d’organisations de producteurs peut apporter une solution car il renforce leur poids dans les négociations. Le projet de loi sur la consommation permet un rééquilibrage et un meilleur encadrement des relations commerciales avec les distributeurs, grâce à l’affirmation de la primauté des conditions générales de vente dans les négociations, au renforcement de la transparence des contrats et à la clause de renégociation des prix. Il conviendrait également de renforcer l’accompagnement technique des producteurs en matière d’alimentation et de génétique. La réforme de la PAC et la fin des quotas laitiers sont sources d’incertitude pour la filière. Les producteurs craignent que la contractualisation avantage exclusivement les transformateurs, qui pourraient en outre être tentés de favoriser les excédents pour peser sur les prix. Ne serait-il pas souhaitable de créer une instance de régulation européenne qui évaluerait les quantités nécessaires en fonction de l’offre et de la demande ? Par ailleurs, notre groupe soutient l’aide financière à la mise aux normes des bâtiments d’élevage, qui représente des investissements très lourds pour les éleveurs et n’est pas rentabilisée en raison du niveau insuffisant des prix. Pour la filière bovine, l’objectif est le maintien des exploitations tout en assurant une juste rémunération des éleveurs. Faut-il accepter la concentration naturelle des producteurs dans un objectif de rentabilité ou aider les petits éleveurs qui produisent des externalités positives en matière d’activité économique, de tourisme, de paysage ? La réponse ne doit pas se limiter aux subventions car il est essentiel que les éleveurs soient rémunérés au juste prix, afin de prendre en compte la hausse des coûts de production. Il faut revaloriser les prix car les transformateurs et les distributeurs imposent un niveau trop bas. Le risque est celui d’une désaffection des agriculteurs et des jeunes pour les filières d’élevage. Concernant l’étiquetage de l’origine nationale des viandes, nous sommes favorables à l’amendement qui avait été déposé par M. Germinal Peiro sur le projet de loi relatif à la consommation. Les circuits courts, qui répondent à une demande des consommateurs, doivent en effet être développés mais cela suppose la présence d’abattoirs à proximité, ce qui peut poser problème en milieu rural. Dans ma circonscription, l’enseigne Carré fermier » connaît un important succès dans le développement de circuits courts. Il convient d’encourager ce type d’initiatives et de les ouvrir aux filières de viande française pour la restauration collective. Mme Brigitte Allain. Je remercie les rapporteurs pour la qualité de leur travail et regrette de n’avoir pas pu participer davantage aux travaux de la mission d’information par manque de temps. Les revenus moyens varient de 1 à 5 entre éleveurs et céréaliers. Les données sur le temps de travail des éleveurs citées dans le rapport correspondent à la réalité. Nous partageons tous l’objectif d’assurer un revenu suffisant aux éleveurs et de permettre le maintien des exploitations sur l’ensemble du territoire, notamment dans les zones de montagne ou les zones à handicap naturel. Le système des quotas laitiers n’était pas parfait mais il permettait de réguler le marché. La contractualisation ne permet pas d’assurer des revenus suffisants ni de réguler la production. La faiblesse des prix va entraîner un recul du nombre d’exploitations et de la production laitière. Alors que l’Union européenne a décidé de maintenir les droits de plantation de vignes, et que les États-Unis et le Canada disposent d’instruments de régulation de la production laitière, pourquoi l’Europe ne mettrait-elle pas en place un nouveau système d’autorisations ? La réforme de la PAC vise à rééquilibrer les revenus et mieux répartir les aides entre les différents secteurs producteurs de fruits et légumes, éleveurs et pour les nouveaux États membres mais il est inacceptable que les aides soient actuellement distribuées de façon injuste. Le projet de loi relatif à la consommation prévoit une clause révision des contrats en cas de hausse des prix des matières premières et un renforcement de la transparence et des contrôles mais est-ce suffisant ? La présence du médiateur des relations commerciales agricoles a eu un effet régulateur. Tout l’enjeu est de remplacer les éleveurs qui vont prendre leur retraite dans les prochaines années, puisque 50 % d’entre eux sont âgés de plus de 50 ans. Dans une perspective d’avenir, il convient de développer l’agro-écologie et de favoriser l’autonomie protéique, grâce à un plan pour les protéines végétales tant dans le cadre de la PAC qu’au niveau national. Compte tenu du niveau élevé des importations de viande en France, il faut se montrer particulièrement ambitieux pour les filières de l’élevage. Cette question devra être l’un des sujets essentiels du futur projet de loi d’avenir pour l’agriculture. Il conviendra notamment de développer les formations en agro-écologie rotation des cultures, polyculture et les filières de consommation locale, ce qui répond à une réelle demande de la société. Mme Laure de la Raudière. Je félicite les rapporteurs pour leur excellent travail et les remercie d’avoir mis en avant cet important sujet. Nous devons en effet porter une attention particulière aux éleveurs. Le rapport fait état des revenus moyens des céréaliers en 2012, année où le cours du blé a été particulièrement élevé 260 euros la tonne contre 100 à 130 euros en 2009. Il aurait été intéressant de procéder à un lissage dans le temps ou de citer les chiffres des années précédentes. Je souhaiterais avoir l’avis des rapporteurs sur les possibilités de prévoir, dans le cadre de la PAC, des aides variables en fonction du cours des céréales, dans le contexte de forte volatilité des marchés. Mme Annick Le Loch. Il s’agit d’un très bon rapport, qui propose des solutions efficaces. Nous avons aujourd’hui une obligation de résultat pour l’avenir de la filière et des producteurs. Une juste rémunération des différents acteurs est nécessaire. L’accord du 3 mai 2011 entre agriculteurs, industriels et distributeurs sur la réouverture de négociations commerciales en cas de variations du prix de l’alimentation animale reposait sur le volontariat. Les industriels ont demandé leur part de la hausse des prix de 25 euros décidée récemment. En l’absence de solidarité des différents acteurs de la filière, les producteurs auront en effet des difficultés pour peser face aux distributeurs. Le projet de loi sur la consommation prévoit une clause de renégociation en cas de fortes variations des prix des matières premières agricoles. Il est prévu que la liste des secteurs concernés, qui inclura les produits laitiers, sera précisée par décret. Il est nécessaire que les éleveurs soient justement rétribués mais rien n’est garanti pour l’instant. La solidarité de la filière est nécessaire. M. Jean-Claude Mathis. L’accord tripartite du 3 mai 2011 entre agriculteurs, transformateurs et distributeurs prévoit la renégociation des prix des produits agricoles en cas de forte variation des coûts de revient, du fait notamment de l’alimentation des animaux. Cela n’empêche pas la grande distribution d’exercer une pression en vue de la baisse du prix du lait. Comment favoriser, selon vous, l’application effective de l’accord et faire en sorte que l’augmentation des coûts de production des éleveurs soit répercutée sur les prix de vente des distributeurs ? Par ailleurs, comment parvenir à imposer l’étiquetage de l’origine de la matière première, qui offrira aux consommateurs une information loyale tout en valorisant les efforts de traçabilité réalisés tout au long de la chaîne ? Mme Frédérique Massat. Mon intervention portera sur l’élevage en zone de montagne, sujet sur lequel j’ai du reste été auditionnée par les rapporteurs au titre de l’association nationale des élus de la montagne. Cette audition a eu lieu au mois de mars dernier et des avancées au niveau européen sont intervenues depuis cette date. À la lecture du rapport, je comprends en quoi la convergence des aides risque de déséquilibrer les autres productions mais je tiens tout de même à relayer le souhait des éleveurs des zones de montagne d’une convergence plus rapide. J’insiste d’autant plus sur la nécessité de les sortir de la situation pénalisante actuelle que le secteur se trouve aujourd’hui dans une situation particulièrement difficile. Si demain il ne devait plus y avoir d’agriculture dans nos montagnes, l’entretien des paysages et la préservation de l’environnement seraient gravement remis en question. Il s’agit donc d’adapter les paiements de base aux spécificités de la montagne. Certes des avancées ont été réalisées, avec notamment le relèvement des indemnités compensatoires de handicaps naturels ICHN, mais demeure le problème de la prime herbagère agroenvironnementale PHAE, qui doit disparaître pour être précisément couplée aux ICHN. Les éleveurs vont-ils y trouver leur compte, telle est leur inquiétude aujourd’hui. M. Daniel Fasquelle. Le cri d’alarme que nous pouvons tous pousser ce matin ne concerne pas seulement les zones de montagne. L’élevage laitier est en grande partie déstabilisé partout en France, je partage le diagnostic dressé par ce rapport, et il est donc urgent d’agir sur les aides ou encore sur la revalorisation des produits. À ce sujet, je regrette que dans le cadre du projet de loi sur la consommation, nous ne soyons pas allés jusqu’au bout de la volonté d’indiquer l’origine des produits dans les plats préparés. S’agissant des rémunérations annexes, il faut à tout prix faire avancer le dossier de la méthanisation. Les projets qui sont aujourd’hui portés sur le terrain n’arrivent en effet pas à aboutir. Je souhaite revenir aussi sur la question de la fiscalité et des charges sociales, et plus généralement sur le sujet de l’environnement législatif et réglementaire. Pouvons-nous tirer des enseignements auprès de nos partenaires européens, en particulier l’Allemagne, le Danemark et les Pays-Bas ? M. Hervé Pellois. Notre pays dispose de nombreux atouts, à condition de mieux les exploiter. Il sera notamment nécessaire de se battre sur la question des indications géographiques protégées IGP dans le cadre de la négociation de l’accord entre l’Union européenne et les États-Unis. Je perçois par ailleurs une faiblesse à l’export du fait du trop grand nombre d’interlocuteurs et d’initiatives prises aujourd’hui, sans compter les races répertoriées et le nombre de labels. Chacun essaye de se positionner seul alors que nous devrions jouer groupés pour conforter nos points forts, comme par exemple notre avance en matière de génétique animale. M. Dino Cinieri. Je tiens à saluer le travail réalisé par nos deux rapporteurs avant de les interroger sur deux points. Tout d’abord, pensez-vous nécessaire d’élaborer un nouveau système de régulation du marché du lait au sein de l’Union européenne. Dans un rapport publié à l’automne 2012, la Commission européenne a en effet confirmé la suppression d’ici à 2015 du système des quotas, qui avait pourtant permis depuis 1984 de limiter les distorsions de concurrence dans le secteur laitier. Ce même rapport ne laisse par ailleurs entrevoir aucune perspective de mise en place d’un nouveau système de régulation. Les effets risques d’être dévastateurs sur la production de lait en Europe, d’autant que les deux tiers de cette production proviennent de zones défavorisées ou de zones de montagne. Avez-vous imaginé des solutions permettant de pérenniser les zones d’élevage les moins compétitives et pour assurer un revenu stable aux producteurs laitiers français et européens ? Hier, plus d’une centaine de producteurs laitiers de la Loire ont convergé vers l’usine de Lactalis à Andrézieux pour réclamer l’application des indicateurs économiques moyens, soit 345 € par tonne de lait en 2013. Lactalis, premier groupe mondial dans le secteur, propose un prix de 334 €, qui ne permet pas de compenser l’augmentation de 35 % du coût de l’alimentation des animaux. Comment faire en sorte que les industriels permettent aux producteurs de vivre décemment de leur travail ? M. Frédéric Roig. Cet excellent rapport pointe la souffrance d’une filière, mais insiste également sur sa fonction sociale et économique, ainsi que son rôle dans l’aménagement du territoire et l’entretien des espaces. Les enjeux en matière de sécurité alimentaire ont également été mentionnés, ainsi que la question des circuits courts et de la vente directe. Un vrai potentiel de croissance existe ! Je tiens à souligner à cet effet l’intérêt du projet de plateforme de commercialisation Agrilocal, mené par le conseil général de la Drôme, dont nous nous inspirons également dans l’Hérault. Je souhaite évoquer le modèle économique des abattoirs de proximité, que la concentration du secteur tend à faire disparaître. Dans mon département, nous avons adossé un atelier de découpe à l’abattoir, ce qui permet d’équilibrer la rentabilité de l’ensemble. Une telle piste mériterait d’être approfondie, dans le prolongement de votre rapport. M. Yves Nicolin. Ce rapport ne lève malheureusement pas les inquiétudes de la filière, qui sont aussi les nôtres. Nous traversons aujourd’hui une véritable crise de confiance qui met en péril le secteur et face à ce danger, les propositions que vous faites demeurent à mon sens un peu timides. Dans le domaine de la simplification, vous avez identifié de vrais sujets, je pense aux tests ESB et aux installations classées, mais si vous ne harcelez pas le ministère de l’agriculture pour que des mesures soient prises dans le sens que vous envisagez, je suis certain qu’il n’y aura aucune avancée. Ce travail constitue une base claire mais qui doit être consolidée. Une guérilla doit être menée auprès des autorités nationales et européennes par nos deux rapporteurs, avec l’appui du président de la Commission. M. André Chassaigne. Je partage cette suggestion ! M. Jean Grellier. Avez-vous pu dresser un premier bilan de la mise en œuvre de la contractualisation par la loi de modernisation de l’agriculture et comment appréciez-vous le cas échéant le rapport de force entre les contractants ? Ce système pourrait-il être étendu à d’autres secteurs, comme la viande ? S’agissant du secteur coopératif, la défiance des producteurs-sociétaires envers les coopératives se manifeste de plus en plus ouvertement. Dans ma région, le rachat de Bongrain par Terra Lacta suscite de vraies interrogations. J’avais déjà dénoncé, sous la précédente législature, la vente à des américains de Yoplait par le groupement coopératif Sodial. Au moment où d’importantes restructurations interviennent, qui éloignent les centres de décisions des producteurs, quelle vision portez-vous sur la gouvernance des coopératives ? Enfin, s’agissant de la surprime sur les cinquante premiers hectares, que j’avais accueillie favorablement, des effets de seuil annuleraient son bénéfice. Pouvez-vous nous éclairer et le cas échéant nous rassurer sur ce point ? M. Philippe Le Ray. Votre rapport est intéressant mais il faut employer des mots plus forts nous assistons aujourd’hui à un véritable écroulement de l’élevage, qui se manifeste par une production en baisse et une diminution du nombre d’éleveurs. Il s’agit de métiers très exigeants en main d’œuvre, en technicité, en investissements, du fait aussi des obligations sanitaires. La filière laitière, un peu d’ailleurs comme la filière porcine, se caractérise cependant par une véritable désorganisation et l’absence d’une stratégie claire pour faire face à l’avenir. La politique de l’après quotas est totalement improvisée de sorte qu’en l’absence de régulation, les prix se fixeront en fonction du marché. Après une période particulièrement dure, les éleveurs n’attendent plus grand-chose, et surtout pas des mesures de bricolage. De ce point de vue, je ne trouve rien de probant dans le projet de loi sur la consommation. On ne voit rien venir non plus du côté de l’Europe et pourtant, cela fait trente ans que nous réclamons un plan protéines ! Le besoin d’une politique claire est urgent, les discours ne suffiront pas à inciter les jeunes à s’installer… Mme Marie-Lou Marcel. Vous faites des suggestions concernant le développement des circuits courts. Des actions en ce sens ont été entreprises depuis longtemps par certaines collectivités, notamment la région Midi-Pyrénées. Comment concrètement aller plus loin ? Un fonds de solidarité des céréaliers éleveurs à hauteur de cinq millions d’euros a été mis en place par Orama, qui fédère trois associations dépendantes du syndicat majoritaire. Ce fonds, qui pourrait être utilisé pour la rénovation des bâtiments ou la méthanisation, a suscité de vives réactions. Qui est chargé des modalités de sa mise en œuvre ? Ne constitue-t-il pas en quelque sorte une aumône des céréaliers vis-à-vis des autres agriculteurs ? Enfin, sur la modernisation des bâtiments d’élevage, où en est-on de la fongibilité des aides entre régions, que j’avais évoquée dans mon avis budgétaire à l’automne dernier ? M. Damien Abad. J’espère que votre rapport mettra un peu de baume au cœur des éleveurs, qui n’ont pas toujours le sentiment que le ministre fait tout son travail pour les soutenir… Je voudrais rappeler combien en l’état la loi sur la consommation est décevante au sujet de l’étiquetage. Un véritable effort doit être entrepris, au-delà des étiquettes politiques ! Sur la politique agricole commune, il reste aussi du travail à faire, d’autant qu’une question émerge, dont vous ne parlez pas dans le rapport, à savoir l’harmonisation européenne des normes sanitaires et sociales. Je voudrais souligner l’importance du travail du Parlement européen sur ces sujets. Je rejoins votre préconisation concernant le développement des circuits courts et de proximité mais la question des modalités de leur promotion par les marchés publics reste entière. Je rejoins aussi ce qui a été dit sur les abattoirs de proximité, en lien direct avec la question des circuits courts. Vous avez pointé à juste titre le problème du différentiel entre les laits bénéficiant ou pas d’une AOC. Dans mon territoire du Haut-Bugey, le lait produit dans le périmètre de l’AOC Comté se vend ainsi à un prix correct, contrairement au lait industriel qu’on trouve dans le sud du territoire. Je souhaite enfin évoquer rapidement la question du fonds entre éleveurs et céréaliers – comment rendre ses obligations plus contraignantes ? –, les limites du principe de précaution, avec les tests ESB, et les retraites agricoles ! Ne les oubliez-pas ! Mme Michèle Bonneton. Merci pour ce rapport, très important. Effectivement, en France et en Europe, en particulier dans les pays voisins de la France, il est prévu que la demande, aussi bien en produits laitiers qu’en viande, augmente dans les années à venir. Or, le métier d’éleveur est très contraignant et mal rémunéré. Il est donc fondamental, pour nos territoires, qu’on encourage les éleveurs qui présentent souvent une diversification de l’agriculture très complémentaire avec les autres activités agricoles. Il est urgent d’améliorer leurs revenus et leurs conditions de vie. J’insisterai particulièrement sur la nécessité de développer les circuits courts, les abattoirs de proximité, dont un certain nombre sont menacés. J’ai bon espoir qu’on sauve le nôtre dans l’Isère. Mais on peut aussi aider à mettre en place des magasins de producteurs et favoriser, par l’intermédiaire des conseils généraux par exemple, ou d’autres collectivités locales, le développement de centrales d’achat locales. Ceci pourrait répondre au questionnement de M. Abad, d’ailleurs. Bien entendu, inclure dans les marchés publics des clauses spécifiques concernant les circuits courts, les produits locaux, serait très important. Je voudrais insister tout particulièrement sur des réglementations qui changent très fréquemment, notamment en ce qui concerne les bâtiments, ce qui demande aux agriculteurs des investissements importants, même s’ils font souvent eux-mêmes beaucoup de travaux. Quels aides pourraient-ils recevoir dans le cadre de fonds spécifiques ? M. François Sauvadet. Votre mission fait un certain nombre de constats et de suggestions, mais il faut désormais les porter rapidement auprès de la commission et du gouvernement, parce que le monde de l’élevage, qui souffre terriblement, attend des actes. En premier lieu, sur la question des charges, je vous invite à prolonger le travail en allant voir ce qui se passe ailleurs en Allemagne par exemple, notamment chez nos voisins, qui sont à la fois nos amis et nos concurrents directs. Ensuite, les contraintes qui pèsent sur les élevages doivent faire l’objet de mises au point, sans désarmer sur l’aspect sanitaire. S’il s’agit de lever le pied sur ce plan, il ne faut le faire qu’au niveau européen. J’étais président de la commission d’enquête sur la vache folle et c’est un désastre dès lors qu’il y a une suspicion de risque sanitaire à juguler. Cela nécessite des moyens. Sur la tuberculose, par exemple, qui touche beaucoup certains secteurs, le gouvernement tarde à indemniser pour les troupeaux abattus au point qu’un certain nombre d’éleveurs envisagent de ne plus faire les prophylaxies, faute d’être soutenus ; il faut faire attention et le gouvernement doit réagir sur ce sujet ! Troisièmement, il faut identifier quelle viande est produite pour la valoriser au mieux. Ce travail, déjà engagé, doit être poursuivi, de manière très volontariste. Enfin, faites très attention au sujet de la surprime à 50 hectares dans les zones d’élevage, notamment intermédiaires. Cela veut dire qu’on va supprimer un certain nombre d’élevages. Aujourd’hui, dans certaines régions, nous sommes en déprise de prés des exploitants n’exploitent plus leurs prés. Faire une surprime, sans distinguer région par région, et alors qu’un exploitant ne peut aujourd’hui s’installer sur moins de 120 hectares, peut conduire à déstabiliser complétement des zones extensives. Mme Marie-Noëlle Battistel. Je voudrais à mon tour, messieurs les rapporteurs, saluer votre travail de qualité sur ce secteur de l’élevage bovin, qui est stratégique pour l’économie et la vitalité des territoires ruraux. Le relèvement du plafond de l’ICHM est une bonne nouvelle, bien évidemment, pour les éleveurs de montagne, afin de leur permettre de maintenir leur capacité à investir. Concernant la modernisation des bâtiments, outre l’harmonisation européenne des normes, il faut veiller à ce que la règle des plafonds en matière de subventions ne pénalise pas les secteurs de montagne, où le coût de réhabilitation est plus élevé et souvent mal évalué. Or, sauf erreur de ma part, je n’ai pas vu cette question traitée dans votre rapport. Pouvez-vous m’en dire deux mots ? M. le président François Brottes. Messieurs les rapporteurs, vous avez de nombreuses sollicitations, notamment à continuer le travail, beaucoup de félicitations pour un rapport de grande qualité qui balaie l’ensemble de la problématique, même si quelques points ont semble-t-il été oubliés, ce qui est tout à fait normal, vu que l’on manque toujours un peu de temps. M. Alain Marc, rapporteur. J’ai bien noté que les aspects réglementaires et les contraintes qui pèsent sur les agriculteurs ont été évoqués plusieurs fois. Nous allons demander à l’exécutif qu’au niveau de l’administration départementale, notamment, les éleveurs n’aient pas l’impression de subir, à chaque fois que des gens se déplacent chez eux, un interrogatoire parfois très traumatisant. Il faudra bien que soit débrayée l’information à partir du ministère jusqu’au niveau local afin que l’on n’ait plus ce type de comportements de la part de certains contrôleurs, qui y vont parfois un petit peu trop fort. Nous évoquons les installations classées. Il est complètement anormal que nous soyons soumis en France à ce type d’autorisations à installations classées pour des élevages à 50 vaches laitières, alors que, dans d’autres pays, c’est 100, ou plus. Il faut donc vraiment une harmonisation européenne. Nous allons bien évidemment le dire très très fortement. Le maintien des abattoirs nécessitera une mission beaucoup plus précise, car nous avons reçu les représentants des abattoirs et cette question centrale est très difficile à traiter - suivant les espèces, très peu d’entre eux arrivent à l’équilibre économique. La formation, qui n’a pas tellement été l’objet de nos auditions, est quand même très bien faite en France. Il y a eu certains soucis dans certains lycées et Michel Barnier nous a aidés, notamment à maintenir l’élevage ovin bio dans certaines zones. Les filières agricoles doivent sans arrêt être adaptées. En ce qui concerne les écarts de prix, Laure de la Raudière nous a dit qu’en 2009 le prix des céréales était bas. C’était aussi le moment de la crise laitière, où le prix du lait était encore plus bas qu’il ne l’est aujourd’hui, ce qui nous a valu toutes ces manifestations au niveau national. Ce qui compte, c’est bien sûr le prix auquel sont rémunérés nos agriculteurs, mais aussi le prix des intrants, le prix des céréales. C’est l’écart entre les deux qui permet le revenu. Lorsqu’il y a un effet de ciseaux, malheureusement, comme aujourd’hui avec l’augmentation sans précédent de ces coûts-là, on assiste à une baisse sensible du revenu des agriculteurs. Antoine Herth a évoqué ce que pourrait être la caricature du nombre d’heures travaillées si l’on comparait les éleveurs aux céréaliers. Les éleveurs sont à leur ferme 365 jours sur 365 et il est évident qu’à côté de ces problèmes conjoncturels de prix des intrants, il est bon de reconnaître la possibilité pour les éleveurs de partir en vacances grâce à la défiscalisation, ce qui n’était pas quelque chose d’assurée à un moment donné. Pour certains d’entre eux, c’était la première fois de leur vie, à quarante-cinq ans, qu’ils partaient en vacances. Cela ne leur était jamais arrivé auparavant. C’est donc quelque chose de très intéressant, qu’il faut continuer. Je ne voudrais pas que les circuits courts relèvent en quelque sorte de "la tarte à la crème". C’est une niche très intéressante ; au niveau économique, le montant global de ce que pourraient représenter l’intégralité des circuits courts ne ferait toutefois que quelques pourcents de la production. Je suis d’accord qu’il faut les favoriser. Mais il ne faut sans doute pas en faire l’alpha et l’oméga de ce que doit être l’agriculture française dans l’avenir. En ce qui concerne les exploitations et le groupement export France » pour la viande, il y a effectivement des possibilités extrêmement intéressantes au niveau international. Il faudra de plus en plus de lait de vache et la demande mondiale de viande est présente. En revanche, le vrai problème est d’assurer nos exportations. Sur la poudre de lait, par exemple, nous avions connu du retard, que nous sommes progressivement en train de rattraper. Nous ne sommes pas très outillés à l’export pour conquérir certains marchés. Nos ambassades et nos services économiques à l’extérieur ne sont peut-être pas suffisamment structurés pour permettre à nos grandes coopératives d’exporter sur les marchés émergents, malgré leur regroupement. A l’intérieur de l’outil qui pourrait être un GIE constitué, nous pourrions avoir des outils bien meilleurs de façon à acquérir ces marchés – ce que d’autres font, notamment les Allemands et les pays de l’Europe du Nord. M. Germinal Peiro, rapporteur. Tout d’abord, je voudrais dire à M. Sauvadet que tout le monde attend des actes, et le Gouvernement français les a posés en défendant le budget de la PAC, ce qui a été salué par toutes les organisations syndicales, y compris celles qui n’avaient pas appelé à voter pour lui. Les actes ont également été posés de manière partagée au niveau de la Commission, du Parlement et du Conseil européen, en augmentant la possibilité de recouplage des aides qui passe de 10 % à 13 %, – ce qui est très important –, et en offrant une marge de manœuvre de 2 % supplémentaire pour le plan protéines végétales ». Ce sont des avancées notables, mais il faut aussi aujourd’hui aussi poser des actes au niveau franco-français et c’est l’objet des scénarios que le ministre est en train de proposer aux représentants syndicaux depuis hier. En effet, selon le scénario, l’impact en faveur de l’élevage ne sera pas le même quelle sera la part laissée au recouplage sur le 1er pilier, car il est possible d’atteindre 30 % ? Quel sera le choix sur la convergence ? A cet égard, il va falloir concilier les demandes des éleveurs extensifs et des zones de montagnes qui actuellement sont à moins de 200 € de droits à paiement unique aujourd’hui et qui souhaitent atteindre rapidement une moyenne de 270 €, avec celles d’autres zones qui sont à 350 € voire 400 € et qui craignent une perte de revenus. Il faut donc que des choix soient réalisés au niveau national. Nous aurons ainsi l’occasion de montrer qui défend véritablement l’élevage. Concernant la surprime, il faut l’étudier de près pour l’élevage extensif car elle favorise aujourd’hui les exploitations jusqu’à 100 hectares, le point de bascule se faisant entre 90 et 100 hectares. Attention, il faut bien savoir que la surprime ne sapplique pas à l’ensemble du droit à paiement unique moyen la surprime est faite sur une partie de l’aide seulement. La difficulté est de savoir comment on encourage l’emploi. Les 9 Md€ d’argent public versés annuellement à l’agriculture doivent être utilisés de la façon la plus efficace possible en terme d’emploi, d’aménagement du territoire et de protection de l’environnement pour que la France reste un grand pays producteur, comme l’a affirmé le Gouvernement et le Président de la république. Il est très difficile de trouver une formule qui aide l’emploi et la commission européenne l’a refusée. Au final la France n’aurait peut-être pas été gagnante en comparaison de pays comme la Roumanie ou la Bulgarie qui ont encore des millions d’agriculteurs avec de toutes petites exploitations. Supprimer les premiers hectares revient en réalité à aider l’emploi car les chiffres indiquent clairement que ce sont sur les exploitations d’élevage que se trouvent le plus grand nombre d’emplois. C’est donc avec des outils franco-français que l’on va pouvoir aider l’élevage ou d’autres secteurs. Nous aurons ainsi l’occasion de montrer si l’élevage est véritablement une grande cause nationale dans notre pays et s’il existe une volonté nationale de le soutenir. Je ne reviens pas sur l’aspect caricatural du rapport qui nous a été reproché, car ni Alain Marc ni moi-même n’avons voulu caricaturer les situations, mais c’est une évidence qu’un éleveur laitier doit procéder à deux traites quotidiennes alors qu’un maïsiculteur n’est pas obligé de vérifier son champ tous les jours de l’année. La question des revenus est également une évidence absolue, même s’il ne faut pas oublier qu’il y a 4 ou 5 ans, 1 500 tracteurs avaient envahi la place de la Nation à cause de la baisse des cours. La volatilité des prix peut donc toucher aussi le secteur des céréales. L’année 2013 étant annoncée comme une année record pour la production de céréales, on verra ses conséquences sur les prix, sachant aussi qu’il y a une demande croissante de céréales dans le monde. Il ne faut pas oublier que la charge principale qui pèse sur le budget des exploitations d’élevage est celle liée à l’alimentation, elle-même liée au coût des céréales. Un transfert doit donc s’opérer. C’est ainsi que nous avançons l’idée, pour une autre PAC, d’aides contracycliques, qui seront une forme de régulation. Au sujet des circuits courts, la France en est encore à la Préhistoire. Elle a intérêt à mettre en place un plan national de relocalisation des activités agricoles. J’y suis très attaché et défends cette idée depuis plusieurs années déjà car je crois à la proximité, à la traçabilité, au besoin des citoyens de consommer des produits qu’ils connaissent et qui représentent l’identité de leur territoire. La marge de manœuvre est énorme puisque 80 % de la viande consommée en restauration collective provient de l’importation. La France devrait parvenir à faire en sorte que les vaches charolaises de Bourgogne soient consommées sur leur territoire de production sans devoir faire appel à des vaches de réforme provenant des Pays Bas. Comme il l’a déjà été souligné, l’un des coûts les plus importants pour les éleveurs est l’alimentation, et le plan protéines végétales »est une bonne solution. Avec les 2 % que la PAC autorise aujourd’hui, il faut encourager la culture des féveroles, des pois, de la luzerne, etc… pour ne pas être totalement dépendant du soja OGM, venu notamment du Brésil. Concernant l’après quotas, l’Union européenne a malheureusement démantelé le système de régulation des quotas mis en place en 1984. Pourtant, celui-ci a permis non seulement de maintenir une production laitière en France, mais surtout de la répartir sur l’ensemble du territoire. Aujourd’hui, sans les quotas, le risque majeur en France réside dans la concentration de la production laitière. Au sujet de l’étiquetage et de la traçabilité, nous sommes tous d’accord pour poursuivre les efforts. En matière d’accords internationaux, que ce soit ceux de l’OMC ou la libéralisation des échanges entre les États-Unis et l’Union européenne, il faut être vigilant puisqu’à terme, avec la pression pour l’ouverture de nos marchés, nous serons forcés d’accepter les produits aux hormones et aux OGM que nous refusons encore aujourd’hui. En conclusion, nous avons voulu, avec Alain Marc, pousser le cri d’alarme et poser des actes. S’il n’y a pas une meilleure répartition des aides de la PAC dans notre pays, l’élevage va quasiment disparaître dans beaucoup de régions, et cela ne va pas dans l’intérêt général de la France, qui consiste à maintenir une activité d’élevage répartie sur l’ensemble du territoire, créant des emplois et valorisant la production agricole en matière de lait, la France est un des plus grands producteurs de fromage et de produits transformés et pour la filière viande », il est aussi possible d’améliorer notre production. Il faut garder à l’esprit que si la France connaît un succès touristique aussi important avec 83 millions de visiteurs en 2012, c’est grâce à son patrimoine historique, naturel mais aussi gastronomique, qui fait de la France un pays un peu à part dans le monde. Monsieur le président Brottes. Merci pour ce travail d’une excellente qualité. Une audition spécifique sera organisée prochainement sur les abattoirs. LISTE DES PERSONNES AUDITIONNÉES 26 mars 2013 Association nationale des élus de la montagne ANEM Mme Frédérique Massat, présidente M. Hervé Benoit, chargé de mission Institut de l’élevage M. Philippe Chotteau, chef du département économie M. Christophe Perrot, chargé de mission Économie, élevage et territoire Syndicat National de l’Industrie de la Nutrition Animale SNIA M. François Cholat, vice-président M. Stéphane Radet, directeur 2 avril 2013 Fédération nationale des exploitants d’abattoirs prestataires de service FNEAP M. André Eloi, directeur Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles FNSEA M. Henri Brichart, vice-président M. Antoine Suau, chargé de mission Économie Mme Nadine Normand, chargée des Relations avec le Parlement 9 avril 2013 Fédération nationale des exploitants d’abattoirs prestataires de service FNEAP M. André Eloi, directeur Fédération nationale des producteurs de lait FNPL M. Gilles Psalmon, directeur Coordination rurale CRUN M. François Lucas, vice-président de la CRUN M. Michel Manoury, président de la section viande de la CRUN Mme Véronique Le Floch, membre du conseil d’administration de l’Organisation des producteurs de lait OPL Fédération des entreprises du Commerce et de la Distribution FCD M. Mathieu Pecqueur, directeur Agriculture et qualité M. Gérard Cladière, représentant de la FCD au sein d’Interbev, M. Antoine Sauvagnargues, chargé de mission Affaires publiques Confédération paysanne M. Gérard Durand, Secrétaire national en charge du dossier élevage M. Jean Guinand, en charge du dossier lait M. Yves Sauvaget, responsable de la commission lait M. Christian Drouin, responsable de la commission bovins viande 16 avril 2013 SODIAAL M. Frédéric Chausson, directeur du développement coopératif Fédération Nationale des Coopératives Laitières FNCL M. Dominique Chargé, président Mme Christèle Josse, directrice Centre d’économie rurale M. Philippe Boullet, directeur du développement M. Alain Le Boulanger, spécialiste élevage, directeur des études économiques Cerfrance Normandie Maine, animateur du groupe veille économique filière lait du réseau Cerfrance M. Jean-Marie Seronie, responsable de la veille économique FranceAgriMer M. Frédéric Gueudar-Delahaye, directeur général adjoint M. André Barlier, directeur des marchés, études et prospectives M. Frédéric Douel, délégué de la filière lait M. Michel Meunier, délégué de la filière viande 23 avril 2013 Ministère de l’agriculture M. Jean-Guillaume Bretenoux, conseiller technique chargé des filières animales et agroalimentaires M. Bruno Ferreira, conseiller technique chargé des questions de sécurité sanitaire et de l’alimentation Direction générale des politiques agricole, agroalimentaire et des territoires DGPAAT Mme Véronique Borzeix, adjointe au sous-directeur produits et marchés Coop de France M. Bruno Colin, président de la filière bovine de Coop de France et vice-président de la Coopérative agricole Lorraine CAL M. Philippe Dumas, président de SICAREV, groupe coopératif en production bovine, porcine et abattage M. Denis Gilliot, coordinateur filières au pôle animal Mme Irène de Bretteville, chargée des relations parlementaires Fédération nationale bovine FNB M. Pierre Chevalier, président M. Guy Hermouet, premier vice-président M. Thierry Rapin, directeur M. Jean-Pierre Fleury, secrétaire général 14 mai 2013 Association des producteurs de lait indépendants APLI M. Paul de Montvalon, administrateur Interprofession de la viande Interbev M. Dominique Langlois, président M. Marc Pagès, directeur général adjoint M. Yves Berger, délégué général Fédération nationale de l’industrie et des commerces en gros de viandes FNICGV M. Hervé des Déserts, directeur général M. Henri Demaegdt, président de la commission gros bovins Mme Marine Colli, chargée des relations parlementaires Assemblée permanente des chambres d’agriculture APCA M. Daniel Gremillet, président de la chambre d’agriculture des Vosges 28 mai 2013 LACTALIS M. Michel Nalet, directeur des relations extérieures Syndicat national de l’industrie des viandes SNIV-SNCP M. Jean-Paul Bigard, président M. Pierre Halliez, directeur général Jeunes agriculteurs M. Jérôme Chapon, vice-président en charge de l’économie, Mme Suzanne Dalle, conseillère productions animales M. Régis Rivailler, attaché de direction, conseiller parlementaire et affaires publiques 4 juin 2013 Observatoire des prix et des marges M. Philippe Chalmin, président PAS VENU, auditionné par téléphone ?? Groupe Bongrain M. Daniel Chevreul, directeur des approvisionnements laitiers Centre national interprofessionnel de l’économie laitière CNIEL M. Thierry Roquefeuil, président M. Benoit Mangenot, directeur général M. Benoit Rouyer, chef du service économie Mme Marie-Pierre Vernhes, responsable de la communication institutionnelle 1 Rapport de la confédération nationale de l’élevage, 2012. 2 Ministère de l’agriculture, 12 décembre 2012. 3 Ibid. 4 Assemblée nationale, Rapport d’information n° 3863 marché des matières premières volatilité des prix, spéculation, régulation. Présidente Mme Pascale Got. Rapporteurs Mme Catherine Vautrin et M. François Loos. 5 6 FNB, rapport d’Assemblée Générale, 2013. 7 Contribution du CER France. 8 Centre études et prospectives du ministère de l’agriculture, analyse 11, juillet 2009. 9 Chambres d’agriculture. 10 Audition de la FNB. 11 Institut de l’élevage. 12 Aujourd’hui FranceAgriMer 13 Règlements européens. 14 Sénat, Jean Bizet, Le prix du lait dans les États membres de l’Union européenne », 2009. 15 Audition de l’ANEM. 16 Sénat, Jean Bizet, Le prix du lait dans les États membres de l’Union européenne », 2009. 17 Ibid. 18 Audition d’Interbev. 19 Rapport de la confédération nationale de l’élevage, 2012. 20 Proposition des chambres d’agriculture. 21 Agrapresse, n° 3393, lundi 8 avril 2013. 22 23 Voir l’encadré ci-après sur leur révision. 24 Ouest France, Anticiper de futures crises laitières », 14 décembre 2012 25 Centre d’études et de prospective, n° 53, juin 2012, Marie Sophie Dedie et Pierre Claquin. 26 Rapport de Mme Marion GUILLOU, mai 2013, sur l’agro-écologie à M. Stéphane LE FOLL, Ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. © Assemblée nationale
Lesarbres le long de la RD610 entre Puichéric et La Redorte, dans l'Aude, sont-ils dangereux ? Oui selon une enquête visant à sécuriser cet axe routier. 111 arbres doivent ainsi être abattus
Tous les marchés publics et leurs DCE pour 89€/mois21108 appels d'offres, dont 3635 publiés depuis 7 joursDCE garantis - alertes illimitées - Marchés < 90K inclusAppels d'offres similairesElagage, abattage et dessouchage d'arbres sur le territoire communalCLIENTMairie d'ArcachonREGIONCLÔTURE12/09/2022taille, Abattage, Dessouchage et Rognage d'arbres sur la Commune d'arlesCLIENTville d'arlesREGIONProvence-Alpes-Côte d'AzurCLÔTURE28/09/2022Prestation d'élagage et abattage des arbres pour la commune de FloiracCLIENTMairie de FloiracREGIONNouvelle-AquitaineCLÔTURE16/09/2022prestations d'entretien d'espaces verts, d'élagage et d'abattage au profit des Gsbdd CFD et LVVCLIENTminarm/ema/sca/pfaf-ce/bapREGIONAuvergne-Rhône-AlpesCLÔTURE12/09/2022Elagage, abattage d'arbres du patrimoine communal et intercommunal sur le territoire de l'agglomération Roissy Pays de FranceCLIENTCOMMUNAUTÉ D'AGGLOMÉRATION ROISSY PAYS DE FRANCEREGIONÎle-de-FranceCLÔTURE20/09/2022elagage, abattage d'arbres du patrimoine communal et intercommunal sur le territoire de l'agglomération Roissy Pays de FranceCLIENTcommunaute d agl roissy pays de franceREGIONÎle-de-FranceCLÔTURE20/09/2022Entretien, abattage et élagage sur le patrimoine départemental du Pas-de-CalaisCLIENTCD62REGIONHauts-de-FranceCLÔTURE29/08/2022services d'élagage et abattage, d'entretien des espaces verts, de désherbage pour la commune de Beaucaire. Lot no3 Entretien des espaces vertsCLIENTville de BeaucaireREGIONOccitanieCLÔTURE23/09/2022Taille, abattage, essouchage et diagnostic phytosanitaire des arbres situés sur le territoire de la Ville de DugnyCLIENTVILLE DE DUGNYREGIONCLÔTURE08/09/2022aoo lbms 202262a0893 - entretien, abattage et élagage sur le patrimoine départemental du Pas-De-CalaisCLIENTconseil départemental du Pas-De-CalaisREGIONHauts-de-FranceCLÔTURE29/08/2022
Paysde la Loire. La Saosnoise cherche toujours de nouveaux éleveurs. 06 juillet 2022 . La Saosnoise est une vache d'herbage de grand format, dont le berceau est à cheval sur la Sarthe et la La Saosnoise cherche toujours de nouveaux éleveurs. 06 juillet 2022. La Saosnoise est une vache d'herbage de grand format, dont le berceau est à cheval sur la Sarthe et la La Rouge
Voici des explications sur la manifestation du 27 février ; nous invitons toutes celles et ceux qui nous rejoindront à ce moment-là à les lire attentivement Rappel L’annonce le 11 février d’un possible référendum local par François Hollande ne remet aucunement en cause la mobilisation du 27 février et notre détermination. Nous appelons à manifester d’autant plus nombreux ensemble ce jour là pour l’arrêt des menaces d’expulsion, l’abandon du projet d’aéroport et l’avenir de la zad ! Merci ! D’abord un grand merci à toutes celles et ceux qui se mobilisent depuis des semaines de près comme de loin pour que la manifestation du 27 soit un succès, pour les relais, collages d’affiches, organisations de bus, soirées d’infos… Cela s’annonce déjà énorme et nous avons encore dix jours pour faire encore croître la mobilisation. Le déroulement général de la manifestation – Un plan pour mieux s’y retrouver est trouvable ici Samedi 27 février nous manifesterons aux deux extrémités de la zad, là où le gouvernement voudrait commencer les travaux, en l’occurence aux deux endroits où seraient situés les échangeurs entre les 4 voies existantes et la desserte de l’aéroport en projet. Il s’agira ce jour là de montrer notre capacité à protéger et entourer la zad en cas de tentative d’expulsion ou de démarrage des travaux. La manifestation commencera à 10h et sera d’abord constituée de deux cortèges – l’un piéton et aussi vélos à l’ouest Rv aux Quatre Nations -sur route Nantes Vannes – Voir plan qui se dirigera par la 4 voies Nantes-Vannes jusqu’au niveau du Temple de Bretagne, soit une marche de 5 kms. – l’autre en tracteur et vélo seulement, à l’est RV à l’Erette – Près de la route Nantes-Rennes – Voir plan qui se dirigera vers la 4 voies Nantes-Rennes et l’occupera pendant 1 heure. Ce cortège Est rejoindra ensuite le reste des manifestants sur la 4 voies à l’ouest au niveau du Temple de Bretagne en passant par le bourg de Notre-Dame et les routes qui seraient élargies dans le cadre du démarrage des travaux du projet d’aéroport, soit une quinzaine de km. Il est possible de prendre ce convoi à vélo en cours de route, notamment lors de son passage à Notre Dame des Landes, aux Ardillières ou au Chêne des Perrières. Sur la quatre voies de Vannes au niveau du Temple de Bretagne, il y aura entre autres un concert, un grand pique-nique et le soutien à l’édification d’une tour de guet sur un des champs menacés par le bétonnage. Il est recommandé aux manifestants de faire de leur mieux pour arriver aux deux points de rendez-vous à l’heure car il sera probablement plus difficile de nous rejoindre en voiture par les 4 voies une fois que chaque manifestation s’y sera installée. Il sera d’ailleurs fortement conseillé après 10h de passer par les départementales. – Nous proposons aux comités qui le souhaiteraient de venir avec des panneaux et messages de solidarité à disposer et implanter le long de la route, ainsi qu’avec de quoi faire des fresques sur le bitume. – Nous invitons les fanfares, groupes, circassien-ne-s et autres artistes qui pourraient jouer de manière autonome l’après-midi en acoustique à le faire ils peuvent nous contacter à reclaimthezad – Des cantines seront présentes sur place, mais vu le nombre de personnes attendues, nous invitons à venir avec de quoi pique-niquer et avec de bonnes choses à partager. La manifestation prendra fin à 18H. Elle sera suivie d’une fête et fest noz dans un endroit proche de la zad. Nous demandons aux participant-e-s à la fête d’être particulièrement attentif/ves à nos voisins des bourgs alentours, notamment pour ce qui concerne le stationnement et le passage dans les bourgs. Et bien sûr, pensez à prendre des bottes ! Rejoignez aussi le convoi Est et la tracto vélo – On invite fortement les manifestants de la région ou d’ailleurs qui peuvent venir avec leur vélo à se rendre à l’est sur l’axe Nantes-Rennes pour qu’il y ait aussi du monde de ce côté là. Nous vous promettons une belle balade à travers le bocage et un accueil triomphal à l’Ouest à l’heure du repas. Pour venir – Plein de bus sont prévus de différentes villes et régions. Des covoiturages s’organisent aussi de partout. Un site dédié qui regroupe plein d’infos covoit, hébergement, cars… Parking et arrivées Bus – Un accueil et des boissons chaudes sont prévus au point d’arrivée des bus qui se fera côté Ouest, sur la Zi des 4 Nations à Vigneux de Bretagne Point GPS N 47° 18’ W 1° 45’ – Les bus repartiront du bourg du Temple de Bretagne Point GPS N47° 19 ’ W 1° 47’ sera demandé les numéros de tel du chauffeur de bus et d’un responsable par car pour parer à toute difficulté Parking autres – Les différents points de parking aux 4 Nations et à l’Erette sont sur la carte. – Il est aussi possible de se garer à Notre Dame des Landes ou à La Pâquelais et de partir en vélo rejoindre les convois. Cela laissera de la place sur les autres points de parking et ça fait une jolie balade. Parkings pour camping cars – Blain Parking Place Joallan de Clerville centre ville – Fay de Bretagne Aire Communale parking des Etangs – Heric Aire de Camping ” La Pindière ” La Denais – La Chapelle Sur Edre Aire Communale Rue de L’Erdre Couchage – Pour ceux et celles qui voudraient arriver la veille et dormir sur place dans la nuit de samedi à dimanche, ll existe des possibilités de logement chez des voisins et opposants du coin. Faites le savoir à l’avance ! Attention les possibilités de couchage sur la zad sont limitées il y a déjà pas mal de monde sur zone dans les espaces d’accueil surtout en cette saison peu propice au camping, et on aimerait fort que les gens ne se se posent pas partout en vrac afin de préserver les coins de champs et de forêts. – Alors si vous voulez arriver avant ou après, et dormir sur place allez voir le site Si vous n’arrivez pas à vous inscrire, vous pouvez toujours écrire un mail à dodo27fevrier Points infos Plusieurs points d’infos documentation ainsi que T-shirts, badges, autocollants de la lutte… seront proposés * au local de Notre Dame des Landes, rue des Chênes de 9h à 18h le samedi 27 et le dimanche 28 * à l’arrivée des cars sur la zone des 4 Nations à Vigneux de Bretagne de 9h à 11h * à l’arrivée des 2 convois sur la 4 voies de Vannes au nord de la commune du Temple de Bretagne de 11h à 18h Rencontre intercomités du 28 Une rencontre intercomités aura lieu le dimanche 28. Nous invitons chaque comité à y envoyer un ou deux émissaires plus de précisions seront envoyées aux comités à ce sujet Résumé du déroulement et des Rendez-vous – 10h – RDV piétons + vélos sur la zone des Quatre Nations à Vigneux de Bretagne-axe Nantes-Vannes 10h – RDV vélo-tracteurs sur la zone de l’Erette à Grandchamp des Fontaines -axe Nantes- Rennes – 11h00 Début de la manif piétons-vélos sur la quatre voies Nantes-Vannes jusqu’à la zone du projet d’échangeur ouest 5km, au niveau du Temple de Bretagne 11h00 Descente en vélo et tracteur sur la quatre voies Nantes Rennes sur la zone de l’échangeur. Environ 1 heure de blocage de la quatre voies avec prises de parole, puis départ en convoi 15 km pour rejoindre l’échangeur ouest, en passant par le bourg de Notre-Dame et les routes qui seraient élargies dans le cadre d’un éventuel démarrage des travaux du projet d’aéroport. Il y aura des concerts tout le long du convoi. – 13h30 Arrivée des tracteurs et vélos à l’ouest. Rassemblement de tous sur la quatre voies de Nantes Vannes avec prises de paroles, construction de vigies, concerts, cantine and co…. – 18h Fin de l’occupation de la 4 voies Nantes Vannes, départ en convoi piétons, tracteurs, vélo vers une grande fête pour l’avenir de la ZAD concerts et fest-noz, bar et cantine, infirmerie ET dortoirs. — Zone A defendre –
Mêmesi, depuis 2013, le nombre de médecins généralistes libéraux augmente de 0,5 % en Pays de la Loire, la « bombe à retardement », c’est la pyramide des âges : 27 % des médecins sont
Formation25/08/2022 Le nouveau catalogue des formations BIO BOURGOGNE vient de paraître Vous y trouverez l'offre de formation proposée par BIO BOURGOGNE de septembre 2022 à août 2023. Ce programme varié a été enrichi par de nouveaux thèmes tels que Devenir référent bien-être animal », la conservation des aliments, mais aussi pour répondre à vos besoins, identifiés lors de notre enquête de début d'année, et notamment vitiforesterie, créer ses outils de communication, accueillir du public sur sa ferme, communiquer sur son métier… …et toujours les formations techniques sur les pratiques culturales, l'amélioration des performances en élevage, les nouvelles obligations sanitaires, et sur la communication, l'accompagnement à la cessation d'activité, la nouvelle PAC… Nous ne doutons pas qu'une ou plusieurs de nos formations répondront à vos attentes. Si vous n'avez pas encore reçu notre catalogue dans votre boîte aux lettres, consultez-le dès maintenant …et n'hésitez pas à nous en demander un exemplaire, nous vous l'enverrons gratuitement. Si vous êtes intéressée par une ou plusieurs formations, vous pouvez contacter le ou la responsable de stage ou remplir le bulletin de préinscription téléchargeable ici. Les programmes détaillés vous sont envoyés par mail dans le mois précédant les formations. Dans l'attente de vous retrouver ! Pour consulter notre page "Se former" COMME SI VOUS Y ETIEZ...16/08/2022 Retour sur les visites techniques maraîchage bio bourguignonnes Les maraîchers et maraîchères bio de Bourgogne ont eu l'occasion de se retrouver cet été lors des visites de fermes organisées par Bio Bourgogne dans les 4 départements. Les visites ont été riches d'échanges sur les pratiques de chacun et chacune. Ce fût également l'occasion de découvrir des fermes et des outils, comme le robot Oz et la campagnole. Les personnes participantes sont reparties après les journées en dehors de leur ferme avec un nouveau souffle et de nouvelles idées pour avancer dans leur projet. Prochaines visites en maraîchage bio prévues à l'automne. ANNONCES11/08/2022 Responsable du service Élevage BIO BOURGOGNE est une association qui développe l'agriculture biologique avec une équipe jeune et dynamique de 30 salariés portant les mêmes valeurs. Nous recherchons un Responsable du service Élevage qui aura en charge les actions suivantes – Conseil polyculture-élevage biologique • Appui technique collectif et individuel des éleveurs bio et en conversion • Accompagnement des éleveurs conventionnels dans leur projet de conversion à l'agriculture biologique • Organisation de portes ouvertes, de journées techniques et de formations auprès des polyculteurs éleveurs du département et région. • Veille bibliographique, rédaction de brochures techniques et d'articles numériques sur le site internet et pages Facebook de BIO BOURGOGNE. • Interventions en établissements de formation agricole Ces actions seront ciblées sur les bassins d'alimentation de captage de l'Agence de l'Eau Seine Normandie département de l'Yonne et une partie de la Côte d'Or. – Responsable du service Élevages • Définition et planification de la programmation des actions du service Élevages, en lien avec la commission élevages, les attentes des producteurs et les sources de financement, • Animation de la commission élevages – représentation de la filière élevage à la commission nationale FNAB • Coordination, animation et encadrement d'une équipe de 6 personnes • Recherche de financements, suivi et développement de partenariats financiers. Profil recherché • Ingénieur avec expérience dans l'animation et le conseil en élevage bio • Expérience et motivation pour l'encadrement d'une équipe et la gestion de projets • Capacités rédactionnelles, d'organisation et d'autonomie • Esprit d'équipe • Maîtrise des outils informatiques. Conditions de travail • Temps complet, CDI • Base 37,5 h avec flexibilité des horaires et RTT • Voitures de services • Ordinateur et téléphone de fonction • Poste à pourvoir dès septembre • Rémunération selon grille et expérience Contact Les candidatures lettre de motivation + CV sont à envoyer uniquement par mail à l'adresse biobourgogne avant le 15 septembre 2022 ANNONCES11/08/2022 Animateurtrice, Conseillerère élevages monogastriques BIO BOURGOGNE est une association qui développe l'agriculture biologique avec une équipe jeune et dynamique de 30 salariés portant les mêmes valeurs. Nous recherchons une Animateurtrice, Conseillerère élevages monogastriques pour renforcer l'équipe du service Polyculture-Élevage 4 salariés. Cœur de métier de l'équipe Polyculture-Élevage 1. Accompagnement technico-économique, en collectif et en individuel, des éleveurs formations, journées techniques, études de faisabilités économiques, prestations techniques, etc 2. Suivi des projets de conversion/installation à l'agriculture biologique 3. Accompagnement à l'émergence de filières GIEE Émergence “Filière porcs bio de Bourgogne 4. Veille bibliographique et réglementaire sur les sujets en lien avec les enjeux de l'élevage réglementation, PAC, pratiques innovantes …, et diffusion auprès des adhérents Les missions principales d'une chargée de mission élevage monogastriques sont En lien avec le PAEC Projet Agro-Environnemental et Climatiques - Animation du PAEC lien avec les partenaires, suivi du dossier sous la responsabilité du supérieur hiérarchique, diffusion auprès d'agriculteurs - Élaboration d'un outil de diagnostic BEA Bien Être Animal et parcours adapté aux systèmes bio de la région - Réalisation de diagnostics BEA et parcours chez les candidats à la MAEC Mesures Agro-Environnemental et Climatiques et construction des plans d'action budgétisés concernant l'aménagement des parcours. - Accompagnement collectif et individuel des éleveurs contractualisant la MAEC formations, suivi des plans d'actions, temps d'échange technique… Appui du service pour la réalisation des actions techniques en lien avec les monogastriques - Accompagnement pour la réalisation des formations Devenir référents BEA » porcs et volailles prévues durant l'hiver 2023. - Soutien aux demandes techniques des éleveurs - Appui GIEE Émergence Filière porcs bio de Bourgogne » cahier des charges, suivi du groupe d'éleveur - Valorisation des pratiques des éleveurs dans les bulletins techniques du service - Veille informationnelle en collaboration avec le Réseau FNAB Profil recherché - Ingénieur ou technicien en élevage, avec ou sans expérience - Connaissances des élevages plein-air de porcs et volailles, et/ou attrait pour l'étude du comportement animal - Aptitudes relationnelles, capacités d'organisation et rigueur - Maitrise des outils informatiques. Conditions de travail - Poste basé à Cluny 71, nombreux déplacements en région BFC permis B indispensable - Temps complet CDD de 12 mois - Base 37,5 h avec flexibilité des horaires et RTT - Voiture de service - Ordinateur et téléphone de fonction - Télétravail 2j/semaine - Rémunération selon grille et expérience Contact Les candidatures lettre de motivation + CV sont à envoyer avant le 9 septembre 2022 à l'adresse biobourgogne ANNONCES11/08/2022 Animateurtrice conseiller grandes cultures sur zones à enjeu eau BIO BOURGOGNE est une association qui développe l'agriculture biologique avec une équipe jeune et dynamique de 30 salariés portant les mêmes valeurs. Nous recherchons, en partenariat avec Eau de Paris, une Animateurtrice conseiller grandes cultures sur zones à enjeu eau pour renforcer l'équipe du service Grandes Cultures 6 salariés. Description du poste 1. L'animation et le conseil technique en grandes cultures - Mise en place d'actions de sensibilisation des producteurs conventionnels à l'agriculture biologique - Accompagnement à la conversion des agriculteurs conventionnels intéressés par la bio - Appui technique et économique des producteurs bio - Mise en œuvre d'un programme d'actions techniques formations, journées de démonstration, rédaction d'articles - Acquisition de références technico-économiques spécifiques au territoire 2. L'animation territoriale - Développement et suivi de projets filières. Accompagnement des agriculteurs pour la transformation et la commercialisation de leurs productions biologiques. - Accompagnement d'Eau de Paris dans la conception du projet de protection de la ressource en eau sur le territoire. - Définition, production et diffusion des indicateurs de développement en lien avec les objectifs du projet. - Appui à la mise en œuvre d'actions de communication et de sensibilisation à l'intérêt de l'agriculture biologique pour protéger l'eau auprès d'élèves en filières agricoles . Profil recherché • Ingénieur ou technicien en grandes cultures • Expérience dans l'animation et le conseil en grandes cultures AB souhaitée • Compétences en animation de groupe et gestion de projet • Aptitudes relationnelles, capacités d'organisation et d'autonomie. Maîtrise informatique. • Esprit d'équipe Conditions de travail • Temps complet, CDI • Poste à pourvoir à partir du 15 octobre 2022 • Poste basé à Auxerre – nombreux déplacements sur l'aire d'alimentation de captages de la Vallée de la Vanne permis B indispensable • Base 37,5 h avec flexibilité des horaires et RTT • Voiture de service • Ordinateur et téléphone de fonction • Télétravail 2j/semaine • Rémunération selon grille et expérience Contact Les candidatures sont à envoyer uniquement par mail à l'adresse biobourgogne avant le 9 septembre 2022 ANNONCES07/07/2022 Ateliers d'échanges sur l'adaptation de l'agriculture au changement climatique Le Département de Saône-et-Loire organise des ateliers d'échanges et de concertation sur l'adaptation de l'agriculture au changement climatique dans les différents secteurs du territoire, du 12 au 30 septembre 2022. L'objectif est d'élaborer un diagnostic et un plan d'actions d'adaptation en concertation avec le monde agricole. Nous vous invitons à y participer afin de faire entendre la voix des agriculteurs et agricultrices bio, selon votre localisation géographique et votre disponibilité. Afin d'adapter ces ateliers et de connaître vos réflexions sur la thématique que vous participiez ou non, le Département vous invite à remplir un questionnaire en ligne. Contact Département de Saône-et-Loire Léa Morque, INFOS TECHNIQUES05/07/2022 Ayez le réflexe Agri-Echange en cas de panne, casse, attente de pièce Inscrivez-vous ou connectez-vous sur Agri-Echange recherchez l'offre dont vous avez besoin au plus près de chez vous et mettez vous en contact avec l'agriculteur. Pas besoin de chercher quoi lui rendre, grâce à la plateforme, vous pourrez rendre un service au moment où vous le pourrez et à la personne qui en aura besoin ! Et grâce à votre compte en ligne, pas de transfert d'argent… Si ce que vous cherchez n'est pas disponible contactez nous, nous nous ferons un plaisir de vous aider a trouver une solution contact ou tel 06 47 75 27 92 FNAB04/07/2022 Prochaine PAC les avantages de la Bio enfin reconnus dans les arbitrages ministériels présentés en CSO Paris, le 01/07/2022. Avec la création d'un 3eme niveau dédié à l'agriculture biologique dans l'éco-régime et une différence de 30€/ha/an avec le niveau 2, le CSO reconnaît que les avantages environnementaux et sociaux des certifications bio et HVE ne sont pas comparables. Avec l'augmentation du crédit d'impôt à partir de 2023, les paysans bio voient arriver une PAC qui va compenser un peu ce qui a été perdu en 2017. Retrouvez ici l'intégralité du communiqué de presse FNAB01/07/2022 Une fin de semaine sous haute tension pour la bio ! Paris, le 30/06/2022. Alors que la Cour des comptes publie ce matin son rapport sur la situation du soutien public à l'agriculture biologique, le nouveau ministre de l'agriculture annoncera demain les arbitrages de la future Politique Agricole Commune. C'est en réalité maintenant que se joue le bilan du quinquennat sur la transition écologique de l'agriculture et à ce stade il n'est pas bon. Retrouvez ici l'intégralité du communiqué de presse FNAB24/06/2022 Communiqué FNAB PAC, Combien valent les producteurs bio ? Paris, le 23/06/2022. Dans la dernière ligne droite des négociations sur la politique agricole commune, les discussions vont bon train sur un élément clé demandé par la commission européenne rémunérer les labels en fonction de leurs bénéfices réels pour l'environnement, et donc mieux rémunérer la Bio. Une récente information publiée par Contexte avance le chiffre de 10 euros de différence par hectare et par an entre les labels Bio et HVE, amenant la Bio à n'être valorisée qu'à 90 euros par hectare et par an. Pourtant des travaux scientifiques passés montrent que la valeur des pratiques bio se situe bien au-delà. Retrouvez l'intégralité du communiqué ici AIDES22/06/2022 De nouvelles aides accessibles aux agriculteurs bio Contenu réservé aux adhérentes des GAB via Les nouvelles de la bio ! Pour adhérer, contactez l'animateurice du GAB de votre département. ENQUETE17/06/2022 L'AVENIR DES FERMES BIO EN BOURGOGNE FRANCHE-COMTÉ Le contexte national et régional révèle l'urgence de se saisir de la question de la transmission des fermes sur nos terri- toires. L'enjeu pour maintenir les fermes et la résilience des territoires est fort, et questionne aussi l'impact sur le développement de l'agriculture biologique. Depuis 2021, le réseau bio de Bourgogne Franche-Comté a lancé une enquête sur l'avenir de nos fermes bio sur le territoire. L'objectif ? mieux connaître les fermes à transmettre et les échéances des transmissions, sensibiliser les producteurs à l'importance d'anticiper la transmission et leur permettre d'exprimer leurs besoins d'accompagnement. Cliquez sur ce lien pour trouver les résultats de l'enquête. Contact Laurine Jolis - chargée de missions Futurs bio 06 31 19 48 40 - laurinepointjolisatbiobourgognepointorg 01/06/2022 Marché de producteurs de l'Abbaye de la Pierre qui Vire le 05 juin L'abbaye de la Pierre qui Vire vous donne rendez vous à Saint-Léger Vauban pour la prochaine édition 2022 de son marché de producteurs. Celui-ci aura lieu le dimanche 05 juin, de 10h à 18h sur le site. Vous trouverez plus de détails sur les productions que vous pourrez y trouver ici. FNAB30/05/2022 Législatives 2022 20% de Bio à la cantine c'est pour quand ? Paris, le 25/05/2022. Alors que la plupart des député-e-s de la majorité redemandent le soutien des français pour un second mandat, la FNAB fait le constat qu'ils n'ont pas atteint les objectifs qu'ils se sont fixés sur la Bio . A trois semaines du 1er tour des législatives, le réseau FNAB lance sa campagne sur les cantines Bio pour demander aux futur-es député-esde s'engager à voter les mesures nécessaires à l'atteinte des objectifs ! Candidats et candidates, engagez-vous pour que les 20% de Bio à la cantine soient une réalité ! … Retrouvez l'intégralité du communiqué ici FNAB29/05/2022 Les trois chantiers Bio de Marc Fesneau Paris, le 24/05/2022. Le président de la République entame son second mandat en affirmant que ce quinquennat sera écologique ou ne le sera pas ». Pourtant jusqu'à aujourd'hui le gouvernement a échoué à atteindre les objectifs qu'il s'était fixé en matière de développement de l'agriculture biologique. Ni l'objectif de 15% de surfaces en Bio au 1er janvier 2022, ni celui de 20% d'aliments bio dans les cantines à la même date n'ont été atteint. La profession agricole biologique attend donc de son nouveau ministre des annonces fortes et rapides pour que la Bio soit à nouveau une priorité politique.… Retrouvez l'intégralité du communiqué ici MOBILISATION DU RESEAU25/05/2022 Interpellation des candidates aux législatives sur l'abattage de proximité en Saône-et-Loire 71 Le GABSeL s'est associé avec la Confédération paysanne de Saône-et-Loire et l'Association pour un abattage de proximité dans le Clunisois APAP afin d'interpeller les candidates aux élections législatives du mois de juin concernant l'importance du maintien d'outils d'abattage de proximité sur le territoire. Un courrier a été envoyé le 25 mai 2022 aux candidates pour leur demander de soutenir les projets d'abattage de proximité, dont celui de l'APAP, en particulier via un dispositif financier spécifique. Cliquez ici pour lire le courrier. REGLEMENTATION17/05/2022 Grippe Aviaire amélioration de la situation sanitaire L'arrêté du 10/05/22 fait passer d'élevé à modéré le niveau de risque d'introduction du virus influenza aviaire par l'avifaune en Bourgogne-Franche-Comté. Cette diminution de niveau de risque entraîne la levée de l'obligation de mise à l'abri des volailles pour les exploitations située HORS ZRP Zone à risque particulier uniquement. REGLEMENTATION16/05/2022 REGLEMENTATION Nouvelle base de données pour l'approvisionnement des animaux bio Conformément à la réglementation, l'approvisionnement en animaux biologiques dans les fermes bio doit être privilégié. Pour faciliter l'accès et donner un aperçu de la disponibilité, l'INAO a récemment mis en ligne une base de donnée nationale des animaux bio disponibles à la vente. A terme elle devra servir de référence pour tout achat d'animaux. INFOS TECHNIQUES16/05/2022 Un coup de pouce technologique pour les apiculteurs ! Nos collègues du réseau bio en Puy de Dôme Bio 63 partagent une fiche pour présenter et faciliter la prise en main de l'outil BEEGIS par les apiculteurs bio pour gérer leurs emplacements de ruchers. Pour la consulter Télécharger la fiche Contact Bio 63 concernant l'outil Marie REDON BOURGOGNE Baptiste CORNETTE FC Chloé SALEN REGLEMENTATION28/04/2022 Désignation des référents Bien être animal En application de l'arrêté ministériel du 16 décembre 2021 AGRG2134169A et de l'instruction technique liée DGAL/SDSBEA/2022-25 du 30/12/2021, à compter du 1er janvier 2022, tous les élevages doivent désigner un "référent bien-être animal" avec obligation de formation de ce dernier dans le cas des élevages de porcs et de volailles. Pour tous les éleveurs Qui peut-être désigné "référent bien-être animal" ? Le référent bien-être animal» peut être le responsable d'élevage lui-même ou une personne qu'il désigne au sein de son personnel. Le responsable d'élevage s'assure de disposer en tout temps d'un référent bien-être animal» désigné. Où et comment identifier le "référent bien-être animal" ? La désignation du référent bien-être animal» est annoncée par voie d'affichage sur chaque site de l'élevage où il intervient, ainsi que mentionnée explicitement dans le registre d'élevage nom, prénom, coordonnées, date de désignation et signature du référent. Quels élevages sont concernés par l'obligation de formation ? A l'heure actuelle, seuls les élevages de porcs et volailles sont concernés par l'obligation de formation de leur "Référents bien-être animal". Plus d'informations la formation > suivez le lien + d'infos. ENQUETE21/04/2022 QUEL AVENIR POUR NOS FERMES BIO EN BOURGOGNE ? "Mon projet est de rendre ma ferme transmissible, pour qu'un jeune puisse en vivre" En 2021, une première enquête envoyée aux agriculteurs et agricultrices bio de Bourgogne a permis de dresser un premier état des lieux des fermes bio à transmettre. L'objectif était de commencer un premier recensement des fermes à transmettre et des besoins en termes d'accompagnement. BIO BOURGOGNE ayant à coeur de vous accompagner au mieux dans votre projet de transmission et son anticipation répondez à la deuxième vague de l'enquête via ce questionnaire qui ne prend que quelques minutes! Retrouvez les premiers résultats de l'état des lieux 2021 sur ce document. Merci pour votre participation! Contact Laurine JOLIS - chargée de missions Futurs bio 06 31 19 48 40 laurinepointjolisatbiobourgognepointorg COMME SI VOUS Y ETIEZ...21/04/2022 UN PREMIER PARCOURS D'ACCOMPAGNEMENT À LA CESSATION D'ACTIVITÉ TERMINÉ Depuis janvier, une petite dizaine de personnes en réflexion sur leur projet de transmission se sont retrouvées durant 4 journées rythmées par des partages d'expériences, des interventions d'experts, une visite de ferme et des animations pour les aider à construire leur parcours de transmission. Chacun ayant un projet unique production variée, statut différent, échéance allant de 10 ans à quelques mois, etc. En bref la construction d'un groupe bienveillant et les apports de Terre de liens, la SAFER, la MSA, l'AFOCG, BIO BOURGOGNE et d'une médiatrice en relations humaines, a permis à chacun d'avancer sur son parcours. Ce parcours co-organisé avec Terre de Liens BFC était une première et sera renouvelé prochainement ! Si vous avez des questions sur la transmission n'hésitez pas à nous contacter. Contact Laurine Jolis - chargée de mission Futurs bio 06 31 19 48 40 laurinepointjolisatbiobourgognepointorg ANNONCES21/04/2022 RECHERCHE D'ASSOCIÉ DANS UN BEL OASIS 21 Jérôme Clabeau, maraîcher à Genlis recherche un associé pour travailler sur le petit oasis qu'il a créé en maraîchage sur sol vivant, avec agroforesterie. 10 ha de culture avec 2100m2 de serres. Avec vente en directe sur les marchés et AMAP, et forte proximité avec Dijon. N'hésitez pas à le contacter ! Lejardin Deséquinoxes jardindesequinoxes - 06 30 29 12 51 Contact Laurine Jolis - chargée de mission Futurs bio 06 31 19 48 40 - laurinepointjolisatbiobourgognepointorg ANNONCES15/04/2022 SPECTACLE PAYSAN HORS CONTROLE 58 Spectacle "Paysan hors contrôle" de Jean Charles Cougny le 23 avril prochain à 18h à la salle culturelle de Saint Seine 58 Pour le moment deux autres représentations sont prévues le mercredi 25 mai veille de l'Ascension à 19h00 à Chiddes et le 9 octobre à Lormes horaire à préciser. Prix 8 euros. Réservation conseillée, contacts jch.cougnyatsfr.fr ou 06 16 57 07 48 Demande de soutien12/04/2022 Une belle initiative à soutenir Un projet de microbrasserie à La Ferme aux Cailloux "Nous voulons brasser à la ferme, des bières paysannes, savoureuses, bio, pour prolonger notre envie de circuits courts et d'autonomie." Converti en bio depuis 15 ans, diversifié en maraîchage, commercialisant en circuit-court via les AMAP et plus récemment grâce à l'ouverture d'un magasin à la ferme. Aujourd'hui, les producteurs de La Ferme aux Cailloux ont un grand projet celui de réaliser leur propre microbrasserie à la ferme ! N'hésitez pas à les soutenir dans leur projet et à le partager ! Je souhaite soutenir le projet sur Miimosa Toutes les infos sont disponibles sur leur site et sur leur page facebook Contact Pour plus d'information Audrey Tinarelli - Animatrice et Conseillère GC BIOBOURGOGNE - - 06 77 46 59 65 AIDES07/04/2022 Politique agricole commune carton jaune de la Commission pour le Plan Stratégique National français La Commission européenne a envoyé, la semaine dernière, ses lettres d'observations » à 19 des 27 États membres, dont la France, sur leurs Plans Stratégiques Nationaux PSN de la PAC. Si la Commission avait initialement annoncé rendre ces lettres immédiatement publiques, elle a finalement reporté leur publication à fin avril. Une fuite de la lettre adressée à la France aura cependant permis à la plateforme Pour une autre PAC d'y avoir accès. La Commission y incite explicitement la France à rehausser l'ambition de son projet de PAC 2023–2027, en particulier son architecture environnementale, confirmant, par-là, l'analyse et les demandes formulées par Pour une autre PAC depuis le début des négociations. En particulier, le fait de traiter la bio et HVE au même niveau dans l'éco régime est sévèrement critiqué. Retrouvez l'article complet ici et là. VIE DU RESEAU06/04/2022 Portes ouvertes du Jardin des Thorains le 16 avril 2022 Nous avons le plaisir de vous informer et vous convier aux portes ouvertes du Jardin des Thorains qui se tiendront le Samedi 16 Avril 2022, de 9h à 18h, dans notre ferme à Lavau 89. Au programme voir flyer ci-contre visite du jardin, dégustation des produits transformés à la ferme sirops, tartines, confiture…, animations tout public autour de la biodiversité et du jardinage… Nous aurons le plaisir d'accueillir plusieurs acteurs du monde agricole afin de discuter autour d'une table ronde sur les thèmes de l'agroécologie, des initiatives locales, la biodiversité et tout autre sujet en lien avec ces thématiques. Il y aura une buvette à disposition, notre épicerie et la vente de plants et de semences seront bien évidemment ouvertes et à partir de 16h, se tiendra un petit marché paysan. Contact François Bientz 06 80 46 72 19 FNAB06/04/2022 Baromètre de la consommation et de la perception des produits bio Malgré la dispersion des Français vers de nouvelles tendances de consommation responsables, le bio reste le repère de la transition alimentaire. Des Français de moins en moins freinés par le prix du bio, notamment chez les jeunes et les plus modestes » Le label AB demeure le référent du mieux-manger des Français, qui demandent à être davantage informés sur les garanties du bio » Retrouvez le dernier baromètre de l'Agence bio sur la situation du marché ICI AIDES06/04/2022 Mesure de compensation exceptionnelle pour les exploitants touchés par le gel en avril 2021 Une procédure d'indemnisation complémentaire des agriculteurs assurés contre les risques climatiques est ouverte du 25 mars au 6 mai 2022 à 14 h00 Ce dispositif permet aux entreprises agricoles, qui ont perçu une indemnisation au titre de leur contrat d'assurance climatique pour couvrir des pertes de récolte en arboriculture, en raisin de cuve et raisin de table, petits fruits, ainsi que pour certaines grandes cultures betterave sucrière, colza, lin, houblon et semences de ces cultures, de bénéficier d'une aide ayant vocation à compléter l'indemnisation reçue de leur assurance, sous certaines conditions, et dans le cadre posé par les lignes directrices agricoles et forestières. L'ensemble des informations relatives à cette aide procédure de dépôt, calendrier, calcul de l'aide… sont disponibles ici. COMME SI VOUS Y ETIEZ...01/04/2022 LES BIO RENCONTRES 2022 Mardi 22 mars, 68 vignerons bio de la Bourgogne, du Beaujolais et du Jura se sont retrouvés pour un salon professionnel organisé par BIO BOURGOGNE. Au sein du Clos Frantin Domaine Albert Bichot et de la cuverie du Domaine Chicotot, plus de 350 visiteurs professionnels ont pu venir découvrir les vins de vigneronnes en viticulture biologique. L'évènement s'est déroulé paisiblement avec l'assouplissement des règles sanitaires et une météo radieuse ! Au programme, dégustation, échange entre vignerons et un repas bio et local proposé par La Cuisine Flottante, traiteur dijonnais. Ce fut une belle journée de rencontre et d'échange autour des vins bio de la région. Les visiteurs ont apprécié la proximité avec les producteurs et la qualité des vins présentés. Cet évènement est organisé par l'équipe viti de l'association tous les 2 ans… Rendez-vous en 2024 ! Contact Élise Rivière Viticulture01/04/2022 LE GROUPE DEPHY COTE CHALONNAISE SE RETROUVE EN 2022 Le groupe DEPHY Côte Chalonnaise s'est réuni pour préparer la prochaine campagne 2022 le Mardi 29 Mars. Le groupe a été renouvelé pour 5 années 2022-2026 et compte aujourd'hui 12 vigneronnes dont 3 nouveaux arrivants Xavier Desfontaines Château de Chamilly, Camille Feuillat Domaine Feuillat-Juillot et Yann Flandre Domaine de Montorge. Ce fut également l'occasion pour Sarah Lagarde, nouvelle animatrice viti Bio Bourgogne sur la Saône et Loire de faire connaissance avec le groupe ! Le groupe DEPHY travaille sur de multiples sujets dont la réduction des phytos, l'adaptation au changement climatique et la biodiversité via des essais, des échanges et des visites terrains. Contact Sarah Lagarde COMME SI VOUS Y ETIEZ...28/03/2022 S'installer en maraîchage bio dans l'Yonne Mercredi 23 mars, les porteurs de projets en maraîchage bio icaunais ont fait la rencontre d'Eric, maraîcher bio installé à Marsangy depuis 12 ans sur une ferme Terre de Liens Le jardin des Marais. Cette journée en partenariat avec le PAI de l'Yonne a été le moment d'échanger autour des thématiques de l'installation investissement, création d'entreprise, choix du foncier, ergonomie de travail, choix des pratiques maraîchères plastique ou pas, travail du sol ou pas…etc revenu et même vacances ! L'après-midi de la journée était dédiée à la visite de la ferme d'Eric tour de serre, du matériel, techniques de culture, fertilisation, la pépinière, lutte contre les maladies et ravageurs de façon à utiliser le moins de produits phytosanitaires. La journée s'est clôturée par la dégustation du jus de pomme produit sur la ferme. FNAB28/03/2022 Méga-bassines du sud-ouest la FNAB déplore la tentative de décrédibilisation des mobilisations tout en condamnant les éventuelles dégradations Paris, le 28/03/22 La FNAB a toujours manifesté son désaccord politique dans la légalité, le respect des biens et des personnes Ce week-end, des milliers de personnes ont répondu à l'appel des associations et syndicats à venir manifester, dans la non violence, leur désaccord aux projets de méga-bassines, leur intérêt pour l'enjeu eau et leur souhait de débattre de ses justes usages. Retrouvez l'intégralité du communiqué ici COMME SI VOUS Y ETIEZ...23/03/2022 UN PROJET D'ABATTAGE DE PROXIMITÉ QUI AVANCE... Le 25 février, les membres de l'Association Pour un Abattage de Proximité étaient présents à Cluny pour rencontrer Jacques Alvernhe, ancien paysan, directeur d'abattoir et aujourd'hui consultant accompagnant les projets d'abattoirs paysans en France. Cette rencontre riche en échanges a permis de redonner plus d'énergie au collectif et de définir une orientation, portée par les personnes présentes. Contact Laurine JOLIS - chargée de mission Filières et Territoires - 06 31 19 48 40 laurinepointjolisatbiobourgognepointorg COMME SI VOUS Y ETIEZ...17/03/2022 RETOUR SUR LA FORMATION PRISE DE PAROLE EN PUBLIC Le jeudi 17 février dernier, plusieurs administrateurs et adhérents du GABNi se sont retrouvés pour échanger autour de la prise de parole en public Comment expliquer et défendre la bio aux agriculteurs conventionnels, aux consommateurs, aux élus ? Et le GAB ? Autant d'exercices pratiques réalisés au cours de la formation, animée par une ex chargée de communication de la FNAB, Aurélie Habasque. La formation sera probablement reproposée, n'hésitez pas à vous faire connaître si celle ci vous intéresse auprès de votre animateur de GAB. ANNONCES09/03/2022 Recherche volailles et produits transformés Personne possédant une expérience dans la vente de volailles sur le marché des halles de Dijon cherche producteurs intéressés pour lui fournir des volailles bio et dérivés, et tous type de produits transformés non strictement carnés. Cliquez sur plus d'infos pour accéder à tous les détails. Contact Animatrice GAB21 gab21 06-78-54-48-48 VIE DU RESEAU09/03/2022 BON DE COMMANDE OUTILS DE COM Comme chaque année, nous proposons à nos adhérents de bénéficier d'une commande groupée d'outils de communication à un tarif préférentiel, pour une meilleure identification et la mise en valeur de vos produits bio. Retrouvez ici le bon de commande. Attention, commande avant le 15 avril ! VIE DU RESEAU09/03/2022 Les bulletins d'adhésion du GABNi 2022 sont disponibles A tous nos adhérents, les bulletins d'adhésion du GABNi 2022 sont disponibles ! Vous pouvez les retrouver ici. N'hésitez pas à contacter votre animatrice pour plus d'information Julianne Aubertot, gabniatbiobourgogne.org - 06 02 01 22 24 5 bonnes raisons d'adhérer au GABNi -Soutenir le réseau bio départemental, régional et national la FNAB pour faire avancer la cause des producteurs et productrices bios -Être défendue en cas de problème -Être représentée collectivement auprès des pouvoirs publiques et autres instances agricoles -Bénéficier des services techniques de BIO BOURGOGNE et des informations réglementaires -Rejoindre un réseau de producteurs et productrices bio engagé et proche de chez vous ! Vous trouverez ici la charte des valeurs du réseau FNAB. VIE DU RESEAU09/03/2022 Le GABNi a tenu son assemblée générale Le 8 mars dernier, à Saint Saulge, le GABNi a tenu son assemblée générale. Au programme temps d'échange sur les activités du GABNi, actualités syndicales, échanges sur le développement de la bio... La vingtaine d'adhérents présents a été rejoint l'après midi par quelques partenaires pour poursuivre les échanges autour des chiffres de la bio dans la Nièvre pour 2021 du paradoxe de la PAC qui met la BIO et HVE au même niveau et ne rémunère plus les services rendus par l'agriculture bio aux territoires d'éléments d'analyse autour de la consommation bio de l'importance d'anticiper et d'être bien accompagné au moment de sa transmission, en particulier pour pérenniser les surfaces en bio ! Pour plus d'information gabniatbiobourgogne.org VIE DU RESEAU09/03/2022 Retour sur l'assemblée générale du GABSeL 71 Le Groupement des Agro-Biologistes de Saône-et-Loire, GABSeL, a tenu son assemblée générale le 3 février 2022 à Rosey 71. L'occasion pour les agriculteurs bio du département de se retrouver le matin pour la partie statutaire du groupement. L'après-midi a réuni des partenaires du GABSeL intéressés par les actions du réseau bio dans le département. Le label FNAB Fédération nationale de l'agriculture biologique a été présenté à tous. Vous pouvez retrouver le diaporama présenté à cette occasion en cliquant ici. Pour lire l'article consacré par L'Exploitant agricole de Saône-et-Loire à notre assemblée générale, cliquez ici. Contact Aline VUE, animatrice du GABSeL gabselatbiobourgognepointorg, 06 33 35 37 48 FNAB08/03/2022 Enfin des campagnes de promotion de l'agriculture bio ! La FNAB se félicite de l'accord trouvé ce jeudi au Salon de l'agriculture à l'issue d'une série de réunions entre les acteurs de la bio et les organisations interprofessionnelles, pour lancer la première campagne de promotion de l'agriculture biologique qui sera co-construite par l'Agence Bio et les interprofessions. … Retrouvez ici l'intégralité du communiqué de presse manifestation07/03/2022 GRAND MARCHÉ BIO DE QUETIGNY 21 - ÉDITION 2022 La Ville de Quetigny, le GAB21 et BIO BOURGOGNE organisent ensemble la septième édition du Grand marché bio de Quetigny le samedi 17 septembre 2022 prochain. Les inscriptions étant d'ores et déjà ouvertes pour ce marché bio incontournable en Bourgogne-Franche-Comté, cliquez sur plus d'infos pour vous inscrire dès à présent ! Contact Pour plus d'information, vous pouvez contacter M. Lavier à la Ville de Quetigny ylavier ou Mme Fragnaud à BIO BOURGOGNE gab21 FNAB02/03/2022 Les interprofessions souhaitent-elles l'effondrement de la Bio ? Paris, le 26 février 2022. Alors que le salon international de l'agriculture, grand évènement des interprofessions agricoles, ouvre ses portes, paysans et paysannes bio des réseaux FNAB et FOREBIO se posent la question du rôle que pourrait jouer ces structures pour agir contre le ralentissement des marchés biologiques. Entre petites phrases assassines et refus de financer des campagnes promotionnelles sur la bio, c'est à se demander si ces structures sont vraiment alignées sur l'objectif de 18% de SAU bio annoncé par le gouvernement pour 2027. Retrouvez ici l'intégralité du communiqué de presse ANNONCES01/03/2022 TRANSMISSION EN SEINE-ET-MARNE Bio Ile-de-France accompagne actuellement une transmission de ferme, très proche de nos frontières bourguignonnes. Il s'agit d'une exploitation en maraîchage biologique d'un peu plus de 6ha, en commodat. Une belle opportunité pour une ferme qui tourne bien! Vous pouvez trouver sur ce lien l'annonce, n'hésitez pas à diffuser autour de vous! Contact Laurine Jolis - chargée de mission Futurs bio 06 31 19 48 40 laurinepointjolisatbiobourgognepointorg AIDES01/03/2022 Aide région Investissements en cultures maraîchères et de petits fruits et de plantes à parfum, aromatiques et médicinales PPAM L'aide régionale sur les investissements en cultures maraîchères et de petits fruits et de plantes à parfum, aromatiques et médicinales PPAM est sortie. Pour rappel le taux d'aide de la région est de 30% des dépenses éligibles. Le taux d'aide peut être majoré dans les cas suivants - + 10 % pour un jeune agriculteur installé depuis moins de 5 ans. - + 10 % pour les ateliers certifiés en AB ou en cours de conversion - + 10 % pour les CUMA Les majorations JA et AB sont cumulables. Le taux maximal d'aide publique autorisé est de 50% Dépot de dossier jusqu'au 30 juin 2023. Contact Equipe maraîchage de Bio Bourgogne equipemaraichageatbiobourgognepointorg ANNONCES23/02/2022 Recherche de fruits pour un café-cantine et épicerie bio locale à Montcenis 71 Du vent dans les fleurs est un café-cantine et épicerie qui ouvrira ses portes place de l'église à Montcenis, à côté du Creusot 71, en mars 2022. On y trouvera des fruits et légumes bio et locaux ainsi que du fromage et de l'épicerie sèche pour la cuisine du quotidien. Côté cantine, la cuisine sera gourmande et élaborée à partir des produits de l'épicerie petits déjeuners, formules du midi, brunchs et goûters ! Pour l'ouverture, l'épicerie recherche des producteurs de fruits, et des boulangers. Contact pauline 06 74 44 58 22 FNAB22/02/2022 LES AGRICULTEURS BIO DE LA FNAB VONT PLUS LOIN POUR PRÉSERVER LA BIODIVERSITÉ Paris, le 22 février 2022. Le cahier des charges du label FNAB s'enrichit de onze nouveaux critères visant à favoriser la biodiversité sur les fermes biologiques, ils viennent s'ajouter aux neuf critères sociaux présentés le 15 février dernier et à ceux qui préexistaient sur le commerce équitable. Ces indicateurs ont été construits par les agriculteurs et agricultrices du réseau FNAB pendant toute l'année 2020, avec l'appui d'expertises extérieures dans le but d'améliorer encore la performance de la bio sur la protection de la biodiversité. Retrouvez ici l'intégralité du communiqué de presse. COMME SI VOUS Y ETIEZ...18/02/2022 Retour sur la démonstration de plantation de haie dans l'Yonne Jeudi 17 février, la démonstration de la plantation de 1200 mètres linéaires de haies à Chigy chez Florence et Jérôme Vincent à rassembler des agriculteurs prêts à planter. Lors de cette visite, les pépinières Naudet ont fait la démonstration de leur prestation de plantation en compagnie d'Isabelle Jounot. Cette démonstration a été appuyée par la présence de Romuald Bardot, technicien bocage au CPIE Yonne-Nièvre. Cela a permis également de rappeler les aides existantes pour planter en Bourgogne, ainsi que les premiers entretiens à bien penser. FNAB17/02/2022 Les agriculteurs bio de la FNAB s'engagent dans une démarche de progrès social Paris, le 15/02/2022 Acteur de la transition écologique et du progrès de l'agriculture depuis 40 ans, la FNAB s'engage aujourd'hui dans une démarche de progrès et d'innovation sociale. Au terme d'une année de travail qui a mobilisé l'ensemble de son réseau, elle a identifié et formalisé neuf critères pour améliorer le bien-être au travail. Adoptés à l'unanimité par son Conseil d'administration, ils seront intégrés dès cette année au label qu'elle a lancé à titre expérimental en 2020. Retrouvez ici l'intégralité du communiqué de presse ENQUETE11/02/2022 QUEL AVENIR POUR NOS FERMES BIO EN BOURGOGNE ? "La transmission d'une ferme c'est délicat et complexe. C'est pourquoi ça vaut le coup de la préparer plusieurs années à l'avance" D'ici 2026, la moitié des agriculteurs et agricultrices seront en âge de partir à la retraite CESE 2020 afin de répondre à l'enjeu fort du renouvellement des générations agricoles, BIO BOURGOGNE souhaite accompagner au mieux la transmission des fermes en agriculture biologique . Pour cela, nous vous invitons à répondre à un court questionnaire en cliquant sur ce lien 3 minutes pour que nous puissions connaître votre situation, identifier vos besoins et les potentielles fermes à transmettre dans les prochaines années pour en informer des porteurs de projet, et sensbiliser les acteurs territoriaux de l'enjeu fort du renouvellement des générations agricoles. Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à nous contacter Merci par avance de votre participation ! Contact Laurine Jolis, chargée de mission Futurs Bio à BIO BOURGOGNE laurine.jolisatbiobourgogne.org / 06 31 19 48 40 ANNONCES09/02/2022 Première édition des Etats Généraux de l'Agriculture Alternative les 25 et 26 février à Joigny Parmi les grands enjeux des temps que nous vivons et nous apprêtons à vivre, se nourrir, disposer d'énergies propres et renouvelables, préserver les ressources et la biodiversité, limiter les effets du réchauffement climatique repose en bonne partie sur les épaules du monde agricole. Ainsi, le maintien d'une agriculture de qualité, locale et résiliente est une des clés de voute d'un avenir souhaitable. A l'heure où nombre d'agriculteurs partant à la retraite ne sont pas remplacés, où des nécessités environnementales impérieuses et les aléas climatiques viennent s'ajouter aux difficultés d'affronter un marché mondialisé toujours plus normalisé, il apparait indispensable qu'élus et citoyens soutiennent et comprennent le monde paysan dans les nombreuses transformations qu'il subit perpétuellement. Inversement, les évolutions sociétales impliquent qu'un nouveau type de dialogue s'engage entre les différents acteurs ou usagers du territoire en partage, en pleine conscience des réalités du terrain. Rendez-vous les 25 et 26 Février à la salle Claude Debussy 61 rue Saint Jacques à Joigny, pour plusieurs tables rondes autour de la place de l'agriculture aussi riches que nos 14 intervenants déjà confirmés. La billetterie est désormais ouverte réservation obligatoire possible via ce lien 📍Libre participation avec prix-plancher 2€ la table ronde ou 5€ la journée. 📍Possibilité de payer plus pour soutenir l'association organisatrice. Merci d'inscrire dans la case du tarif le montant que vous souhaitez/pouvez régler. 🤝Afin de permettre un équilibre entre public agricole et non-agricole, 50% des places sont réservées aux agriculteurs et acteurs du monde agricole. Vous trouverez le programme détaillé ici cet évènement se tiendra en respectant les règles sanitaires en vigueur Nous espérons vous voir nombreux lors de cet évènement qui réunira agriculteurs, professionnels du secteur, futurs porteurs de projet, grand public et élus locaux. N'hésitez pas à vous manifester auprès de nos organisateurs pour manifester votre volonté de participer à cet évènement, lieu d'échange et de débat autour de l'avenir de l'agriculture de notre territoire ! Contact Pour l'association Renaissance Joigny *Eric Lenoir 06 15 09 28 45 *Camille Paillier 06 31 63 46 39 COMME SI VOUS Y ETIEZ...07/02/2022 Retour sur les formations de plantation de haies et arbres champêtres Les formations "Planter des haies et des arbres quels intérêts dans mon système de production en bio ?" ont regroupé une quinzaine de producteurs à travers les départements de l'Yonne, de la Côte d'or et de la Nièvre. Romuald Bardot, technicien bocage pour le CPIE Yonne-Nièvre, a expliqué les différents intérêts climatiques des arbres dans les parcelles agricoles brise-vent, lutte contre le gel, anti-dérive, ombrage, ainsi que les productions que les arbres peuvent fournir à terme, comme le bois de chauffage, la litière pour les animaux, les copeaux en paillage etc... La journée de formation s'est terminée par la visite d'une plantation dans chacun des départements avec les rappels des clefs d'une plantation réussie ! COMME SI VOUS Y ETIEZ...07/02/2022 Retour sur la démonstration de plantation de haie en Côte d'or Mardi 1er février, la démonstration de la plantation de 400 mètres linéaires de haies à Varois-et-Chaignot chez Nicolas Bellet à rassembler une dizaine de curieux et d'agriculteurs prêts à planter. La visite de sa plantation appuyer par la présence de Romuald Bardot, technicien bocage au CPIE Yonne-Nièvre a été le moment de rappeler les aides existantes pour planter en Bourgogne, ainsi que les premiers entretiens à bien penser. COMME SI VOUS Y ETIEZ...07/02/2022 Retour sur la formation ergonomie en maraîchage biologique La formation "Ergonomie en maraîchage biologique gestes, postures et astuces mécaniques" s'est déroulée à Longecourt-les-culêtres en présence de Jérémie Clairotte, ergonome pour la MSA services. Les maraîchers présents ont pu prendre le temps pendant une journée de réfléchir à leurs postures dans leurs activités quotidiennes plantation, désherbage, lavage, récolte, chargement des légumes pour la vente, stockage. L'après-midi s'est déroulée sur une ferme ayant réfléchie l'ergonomie au champ et dans le batiment de stockage et vente avec de nombreux outils pour limiter le port de charges charriot, porte-tout, limiter le temps de travail triangle d'attelage et adaptés ces outils aux maraîchers et salariés de la ferme. Les échanges ont été riches et les astuces de chacun et chacune pour préserver son corps dans la durée ont été nombreuses ! VIE DU RESEAU04/02/2022 Le Salon de l'agriculture débarque à la Ferme dans la Nièvre! Le salon à la ferme qu'est-ce que c'est ? Le Salon à la Ferme a pour but de faire découvrir l'agriculture paysanne et de montrer la réalité de notre métier en ouvrant nos portes. La thématique nationale de cette deuxième édition, et la première dans la Nièvre, est le renouvellement des générations. Sans paysannes et paysans nombreux, impossible de réussir la transition agroécologique et de développer des campagnes vivantes et dynamiques. Au programme, des portes ouvertes de ferme 100% bio et des discussions passionnantes - Ferme des Desrues à Dornes, le 26 Février - Domaine Neuf à St Hilaire Fontaine, le 4 Mars - Ferme de L'Huis Dupin à Gâcogne, le 5 Mars - La Petite Ferme à Brassy, le 5 Mars - Le Fresnes à Mont et Marré, le 5 Mars - Ferme Bauduron à Montambert, le 5 Mars Retrouvez le programme détaillé ici. ENQUETE26/01/2022 RECHERCHE PORTEURS DE PROJET PRATIQUES AGRO-ECOLOGIQUES L'Institut de recherche sur la Nature et la Forêt et Bruxelles Environnement mène une étude sur les interactions entre l'agriculture et la conservation de la nature dans les zones protégées. Ils sont à la recherche de projets/entreprises agricoles, répondant aux critères suivants - Pratique agro-écologique agriculture en coopération avec la nature, de manière circulaire et durable, sans utilisation de produits chimiques. - Pratique appliquée dans une zone protégée zone soumise à des restrictions légales en faveur de la conservation de la nature ou du paysage - Pratique agricole économiquement viable fournissant au moins un emploi à temps partiel Pour trouver ces projets/entreprises, ils lancent une enquête qui prend 15 minutes ENQUÊTE SUR L'AGRICULTURE AGRO-ÉCOLOGIQUE ET LA PROTECTION DE LA NATURE La date limite pour remplir l'enquête est le 20 février 2022. Vie des structures bio bourguignonnes19/01/2022 MEILLEURS VOEUX ! Les élues et salariées du réseau bio de Bourgogne vous présentent leurs meilleurs voeux. COMME SI VOUS Y ETIEZ...17/01/2022 Retour sur la formation "Vers l'engraissement de boeufs dans mon élevage bio" Mardi 15 décembre 2021, une quinzaine d'éleveurs, principalement nivernais, se sont réunis en visioconférence pour le lancement d'une formation en 4 séquences portant sur la conduite et l'évaluation des intérêts économiques et humain de l'élevage de bœufs en bio. Cette première 1/2 journée à distance a permis une forte participation, tout en gardant les pieds à proximité de la ferme en ces début des vêlages. Les apports, sur le pointage des animaux broutards et potentiels reproducteurs et reproductrices, et les différentes méthodes de castration et leurs cadres règlementaires d'usages, ont été fait à plusieurs voix entre Marie DE GENTIL Coopérative SICAGIEB et les conseillers de BIO BOURGOGNE. Ils ont amené de nombreux échanges entre les participants laissant entrevoir des bonnes bases pour la suite de la formation, planifiée le 15 février 2022. COMME SI VOUS Y ETIEZ...17/01/2022 Retour sur la formation avicole - module technico-économiqe Après 1 jour et demi de travail en visioconférence et en salle, les participants à la formation "Analyser l'efficacité technico-économique de son élevage avicole et progresser par des pratiques innovantes" ont appris à identifier et à analyser les indicateurs clef de la gestion économique de leur ferme présents dans leur comptabilité. à calculer leurs coûts de production sur tous leurs ateliers. Lors du 26 et 27 janvier prochains le groupe de 12 éleveurs monterons en compétence sur le volet sanitaire, grâce à l'intervention de Christine FILLIAT, vétérinaire spécialiste des élevages avicoles alternatifs. COMME SI VOUS Y ETIEZ...17/01/2022 UNE VISITE DE MELTING POPOTE QUI ATTIRE DU MONDE Vendredi 14 janvier a eu lieu la deuxième visite du laboratoire de transformation agroalimentaire du Clunisois. Deux groupes d'une dizaine de producteurs ont pu visiter les locaux, voir l'équipement et poser leurs questions aux salariés pour comprendre le fonctionnement de cet outil collectif en plein développement. D'autres visites dans le cadre du Projet alimentaire territorial du Clunisois seront certainement à prévoir au vu de la forte demande ! Merci pour votre participation ! Contact Laurine Jolis - chargée de missions Filières et Territoires 06 31 19 48 40 laurinepointjolisatbiobourgognepointorg AIDES11/01/2022 Aides à la plantation d'arbres et de haies en 2022 100 % Contenu réservé aux adhérentes des GAB via Les nouvelles de la bio ! Pour adhérer, contactez l'animateurtrice du Groupement des Agro-Biologistes GAB de votre département. Contact Camille Giraudet / 06 49 58 62 40 COMME SI VOUS Y ETIEZ...05/01/2022 Retour sur les bilans de campagne des maraîchers bio 2021 Mi-décembre, les maraîchers et maraîchères bio de Bourgogne se sont retrouvées dans chacun des départments pour échanger sur la saison froide et pluvieuse de l'année 2021. Les échanges, nombreux, se sont notamment portés sur les adaptions au climat comme avec l'usage de voiles thermiques sur tomate en cas de gel ou encore l'usage de toiles d'ombrage aussi facile à mettre en place qu'à retirer pour gérer la température dans les abris. Chacun et chacune a pu également partager sa façon de conduire des légumes face à des bioagresseurs comme par exemple les oignons de conservation face au mildiou et mineuse, la tomate face aux maladies cryptogamiques, les concombres faces aux acariens, les betteraves et blettes faces aux charançons et puis les rongeurs sur tout type de légumes. Ce bilan saisonnier a aussi été l'occasion de se retrouver dans un moment convivial et de clôturer la saison 2021. ANNONCES24/12/2021 Recherche associée pour exploitation maraichère 21 Recherche une chef de culture/associée pour seconder le gérant dans les activités polyvalentes de l'exploitation maraichère. Installé depuis 7 ans en agriculture biologique dans le Val de Saône, sur 11h dont 7 en légumes et 4000 m2 couverts, produisant en gros et semi-gros pour des secteurs dynamiques restauration collective et magasins spécialisés. Contact Anastasia FRAGNAUD 06-78-54-48-48 VIE DU RESEAU22/12/2021 FORMATION Prise de parole en public Le GABNi a le plaisir de vous inviter à sa formation "Prise de parole en public" qui aura lieu dans la Nièvre le 17 février prochain de 9h à 17h30. L'intervenante Aurélie Habasque nous vient de loin et a été pendant plusieurs années chargée de communication à la FNAB. Objectifs - Être capable de réaliser des prises de parole de qualité pour faire passer ses messages et ses idées à son audience - Connaître les éléments de langage non verbal et en tirer parti pour réaliser de bonnes prises de parole - Mettre en pratique les apports théoriques et s'entraîner à parler en public, notamment grâce à des exercices filmés Un temps fort pour l'association ! Retrouvez le programme détaillé et le bulletin d'inscription ici. Contact gabniatbiobourgogne.org - 06 02 01 22 24 ANNONCES16/12/2021 Transmission de ferme / à louer NIEVRE-58 La ferme de l'Huis Dupin cherche des d'ici début 2024 pour faire suite au départ en retraite des actuels Localisée à Gacogne dans la Nièvre, ferme BIO en polyculture élevage avec 20 charolaises, 2 porcs en naissance/engraissement, et cereales le tout sur une surface de 118ha. Il est aussi possible de développer d'autres productions maraichage plein champ, poule pondeuses, pain, laitier.. ! Plus d'informations ici au sujet de l'annonce images/imagesFCK/file/actualites/2021/ Contact / 06 19 02 41 63 AIDES15/12/2021 Des nouvelles sur les aides bio de la PAC en 2022 et les changements à venir dans la nouvelle PAC 2023-2027 Contenu réservé aux des GAB via Les nouvelles de la bio ! Pour adhérer, contactez l'animateur/trice du Groupement des Agro-Biologistes GAB de votre département. Contact Lucie Paumelle, 06 89 27 97 68 COMME SI VOUS Y ETIEZ...14/12/2021 Journée Filières en grandes cultures bio BIO BOURGOGNE souhaite vous partager un compte rendu du forum sur les filières grandes cultures bio qui a eu lieu jeudi 9 décembre 2021 Marsannay-la-Côte afin que les informations principales de cette journée soient disponibles pour tous. Evénement organisé par BIO BOURGOGNE et l'InterCLE nappe Dijon Sud. Compte rendu de la journée filières grandes cultures bio - 09/12/2021 Contact Lucie Paumelle - 06 89 27 97 68 - lucie.paumelleatbiobourgogne.org MOBILISATION DU RESEAU07/12/2021 Trois recours pour sauver le plein air le communiqué de presse dans le contexte de grippe aviaire La France a récemment perdu son statut "indemne" de grippe aviaire suite à la contamination d'un élevage industriel. Huit associations et syndicats agricoles se mobilisent en s'appuyant sur les principes suivants l'atteinte au bien-être animal et aux labels de qualité du fait de l'obligation de claustration des volailles sans dérogations possible pour les élevages certifiés La menace pour la pérennité des élevages qui pratiquent le plein air. Pourtant cette entrave à la liberté d'entreprendre n'est pas justifiée. Vers une claustration toute l'année ? Consulter le communiqué de presse complet Participez à la pétition lancée libérezlespoulets Signez le manifeste réservé aux éleveurs ANNONCES06/12/2021 Futur magasin bio à Perrigny-lès-dijon recherche producteurs Un magasin "So bio" va ouvrir ses portes en avril 2022 sur la commune de Perrigny-lès-Dijon. Tous types de productions locales sont recherchées pour approvisionner le magasin. Pour connaitre toutes les modalités cliquez sur "plus d'infos" ! Contact Anastasia FRAGNAUD - animatrice remplaçante GAB21 gab21 BOURSE D'ECHANGES03/12/2021 TISSER DES LIENS ENTRE AGRICULTEURS D'ICI ET D'AILLEURS Depuis septembre 2021, une nouvelle association s'implique dans l'agriculture dans la Nièvre. Connaissez vous Vergers du Monde ? C'est une association qui cherche à valoriser les savoir-faire agricoles d'ici et d'ailleurs. Camille Bru, chargée de projet basée à Châtillon-en-Bazois, organise des ateliers, des visites de ferme et autres activités avec des agriculteurs locaux et du monde. Ceci dans l'objectif de créer des liens et d'accompagner des binômes d'agriculteurs français / migrant à travailler ensemble. Vous avez un projet de diversification, envie de partager des savoir-faire, vous voulez ouvrir votre ferme pour une visite, ou vous êtes simplement curieux? Contactez Camille Bru ou votre animateurrice de GAB camillebruatvergersdumonde.net REGLEMENTATION16/11/2021 Evolutions règlementaires bio en 2021 De nombreuses évolutions règlementaires pour l'agriculture biologique ont eu lieu en 2021, avec notamment des évolutions du guide de lecture français ainsi que la parution du nouveau règlement bio qui sera mis en application au 1er janvier 2022. Bio Bourgogne vous propose une synthèse de ces évolutions. Contenu complet réservé aux Adhérents AIDES12/11/2021 Projet de loi de finance 2022 la FNAB se félicite du soutien des député-e-s et de l'Etat pour augmenter et prolonger le crédit d'impôt biologique Paris, le 12/11/2021. Ce matin, l'Assemblée Nationale a adopté deux amendements déposés sur le projet de loi de finance 2022 prévoyant de prolonger le crédit d'impôt bio jusqu'à 2025 et de l'augmenter à € par bénéficiaire et par an. Ces amendements ont reçu le soutien de plusieurs groupes parlementaires et un soutien de sagesse » du gouvernement. Si pour être adopté définitivement ce dispositif doit encore passer par la navette parlementaire, cette décision est enfin un signal positif envoyé par le gouvernement aux agriculteurs et agricultrices biologique après des arbitrages PAC défavorables pour les fermes bio. Retrouvez l'intégralité du communiqué ici MOBILISATION DU RESEAU08/11/2021 FUTUR ETIQUETAGE ENVIRONNEMENTAL L'ITAB, Sayari et Very Good Future ont remis à l'Ademe et au Ministère de la Transition écologique leur proposition d'affichage environnemental des produits alimentaires le Planet-Score. Basée sur l'ACV, cette proposition intègre les avancées scientifiques récentes sur les impacts des pesticides sur la santé et l'environnement, les impacts des pratiques sur le climat et la biodiversité et synthétise cette évaluation multicritère dans un score composite, intuitif et visuel, en phase avec les attentes des consommateurs. En application de la loi relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire et à l'économie circulaire, une expérimentation de 18 mois a été engagée par le Gouvernement pour définir, d'ici fin 2021, un affichage environnemental destiné aux produits alimentaires. Retrouvez le communiqué de presse ici. ENQUETE02/11/2021 Pratiques d'alimentation des jeunes caprins en phase lactée Questionnaire Dans le cadre de l'évolution réglementaire à venir, la FNAB souhaite faire un état des lieux des pratiques des éleveurs caprins bio concernant l'alimentation des jeunes en phase lactée. >>>> remplir le questionnaire en ligne en cliquant ici > Nous recherchons en particulier des exposants pour les produits suivants viande autre que porc, fromage autre que chèvre, champignons, escargots, chutney/bocaux, farines, huiles, œufs, jus de fruits, lentilles, épices. Le formulaire d'inscription en ligne est disponible à cette adresse Contact Pour plus d'information, vous pouvez contacter M. Kubiak à la Ville de Quetigny bkubiak ou Mme PRUDENT à BIO BOURGOGNE AIDES07/05/2021 L'AGRICULTURE BIOLOGIQUE, GRANDE PERDANTE EN FRANCE DE LA FUTURE PAC ? Communiqué de presse Auxerre, le 4 mai 2021. Les premiers arbitrages viennent de tomber avec une baisse moyenne de 132 euros par hectare et par an à partir de 2023, l'agriculture biologique serait la grande perdante des débats sur la reconnaissance des services environnementaux dans la version française de la future PAC. Où est donc le virage écologique promis par le président français dans les médias ? Nous, paysans bio de Bourgogne Franche-Comté, ne pouvons accepter de voir les vertus de l'agriculture biologique oubliées et les ambitions de développement enterrées ! … Téléchargez ici le communiqué de presse dans son intégralité Et n'oubliez pas de signer la pétition OnVeutLaBioPourTous ! ANNONCES06/05/2021 CREATION D'UN MARCHE BIO ET LOCAL A APREMONT SUR ALLIER Un marché bio et local se monte à Apremont sur allier, classé un des plus beaux villages de France », le 2 mai et tous les dimanches. Pour les producteurs intéressés et à proximité n'hésitez pas à vous inscrire ! Il manque encore quelques produits tels que de la viande de veau, de boeuf, de porc, et d'agneau, des jus de fruits, pommes et poires, prunes et raisin en saison, certains vins, des plantes aromatiques, des semences et des plants de légumes Contact gabni COMME SI VOUS Y ETIEZ...04/05/2021 RETOUR SUR LA FORMATION STERILISATION A SAVIGNY POIL FOL 58 Lundi 3 mai dernier a eu lieu la formation "Identifier les bonnes pratiques de stérilisation adaptées à mon exploitation et connaître la réglementation" à Savigny Poil Fol, au potager du Séguret. La dizaine de participants s'est tout d'abord plongée dans la pratique en observant l'autoclave présent et a pu s'initier à l'utilisation du thermobouton, ce qui a suscité dès le départ de nombreuses questions, répondues au fil de la journée par l'intervenante Françoise Morizot du CERD. Les participants sont repartis avec un peu de travail et l'envie d'approfondir le sujet autour d'une formation "hygiène" ou "étiquettage" ! AIDES29/04/2021 CP FNAB - La future PAC enterre les promesses d'Emmanuel Macron sur les services environnementaux Paris, 28/04/2021. 200 millions d'euros par an dans la PAC pour les services environnementaux rendus par les agriculteurs et agricultrices. C'était la promesse de campagne du candidat Macron à la présidentielle de 2017 Quatre ans plus tard, alors que les négociations PAC battent leur plein et qu'une nouvelle manifestation de la FNSEA contre les éco-régimes est attendue vendredi 30/04 à Strasbourg, les premiers arbitrages sont tombés, l'agriculture biologique perdrait 132 euros par hectare et par an. Retrouvez ici l'intégralité du communiqué de presse AIDES27/04/2021 Développement de l'agriculture biologique plus de 300 élu-es français demandent à l'Etat de s'engager en faveur de la Bio Alors que les négociations autour de la prochaine PAC sont en cours, plusieurs médias de la presse quotidienne régionale Sud Ouest, médias du groupe Ebra ont publié une tribune signée de plus de 300 élues français pour demander à l'Etat de prendre sa part dans les efforts de transition alimentaire et agricole. "L'Etat doit nous aider à prendre soin de nos concitoyen-ne-s et de nos territoires. La politique agricole en cours de négociation dessinera l'agriculture et l'alimentation des 10 prochaines années, nous ne pouvons plus nous permettre de perdre encore 10 ans dans la transition écologique agricole." Retrouvez ici l'article paru dans Le Bien Public. A l'initiative de la FNAB, cette tribune a été signée par des élues de toutes les familles politiques pour demander un soutien fort en faveur du développement de l'agriculture biologique dans la prochaine PAC. Communiqué de presse de la FNAB téléchargeable dans son intégralité ici. ANNONCES21/04/2021 LE MARCHÉ ASSOCIATIF DE MARTIGNY-LE-COMTE CHERCHE DES PRODUCTEURS 71 La forge est un projet citoyen pour redynamiser l'activité économique, sociale et culturelle du bassin de vie un lieu/des liens ! Le projet de transformation de l'ancien atelier Fricaud en tiers lieux se poursuit avec l'association Les Amis de la Forge, où un marché couvert de producteurs a vu le jour depuis mars dernier et est au coeur du projet. Pour alimenter le marché associatif qui se tient tous les jeudis matins à Martigny-le-Comte, l'association est en recherche de producteurs de fruits et légumes si vous êtes intéressé n'hésitez pas à nous contacter ! Contact Laurine Jolis - chargée de mission Filières et Territoires 71 06 31 19 48 40 laurinepointjolisatbiobourgognepointorg ENQUETE16/04/2021 L'AVENIR DES FERMES BIO EN BOURGOGNE "La transmission d'une ferme c'est délicat et complexe. C'est pourquoi ça vaut le coup de la préparer plusieurs années à l'avance" Dans moins de 10 ans, la moitié des agriculteurs et agricultrices partent à la retraite afin de répondre à l'enjeu fort du renouvellement des générations agricoles, BIO BOURGOGNE souhaite accompagner au mieux la transmission des fermes en agriculture biologique . Pour cela, nous vous invitons à répondre à un court questionnaire 5 minutes, en cliquant ici sur ce lien pour que nous puissions connaître votre situation, identifier vos besoins et les potentielles fermes à transmettre dans les prochaines années pour en informer des porteurs de projet. Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à contacter Laurine Jolis, chargée de mission Futurs Bio à BIO BOURGOGNE Merci par avance de votre participation ! Contact laurine.jolisatbiobourgogne.org / 06 31 19 48 40 VIE DU RESEAU16/04/2021 Participez au Printemps Bio ! Le Printemps BIO, temps fort national de l'agriculture biologique, est un événement national coordonné par l'Agence Bio pour informer et sensibiliser le public à l'agriculture biologique. Dans toute la France, les acteurs du Bio se mobilisent pour informer et sensibiliser tous les publics à ce mode de production respectueux de l'environnement et du bien-être animal qu'est l'agriculture biologique. Pour sa 22ème édition, le Printemps BIO aura lieu du 13 mai au 13 juin 2021. BIO BOURGOGNE, qui coordonne la campagne en région en partenariat avec les GAB départementaux, vous propose de se faire le relai des manifestations organisées en Bourgogne. Ils seront visibles sur la page dédiée du site de l'Agence Bio ainsi que sur le site internet "Le Portail de la Bio en Bourgogne" et la page facebook "La Bio en Bourgogne". Si vous organisez un événement, merci de remplir le formulaire en ligne accessible ici, avant le 3 mai. Pour tout renseignement complémentaire, n'hésitez pas à contacter votre animatrice/teur de GAB GAB21 Séverine Prudent - 06 78 54 48 48 - gab21atbiobourgognepointorg GABNi Julianne Aubertot - 06 02 01 22 24 - gabniatbiobourgognepointorg GABSeL Aline Vue - 06 33 35 37 48 - gabselatbiobourgognepointorg GABY Florestan Bargain - 06 08 02 87 94 - gabyatbiobourgognepointorg ENQUETE16/04/2021 Synthèse sur les produits bio locaux dans la Nièvre En 2020, le Conseil Département de la Nièvre avait sollicité BIO BOURGOGNE pour réaliser une étude sur la production, distribution et consommation des produits bio locaux Nivernais, autour de trois principaux objectifs 1. Faciliter l'accès à une alimentation bio et locale aux nivernais 2. Développer les débouchés des fermes bio et en offrir aux nouveaux installés ou convertis en structurant un réseau et en développant des partenariats durables avec les distributeurs du territoire 3. Créer de l'activité économique sur le territoire ainsi que des emplois permettant l'insertion par l'activité économique Cela a permis de mettre en lumière différents enjeux et d'élaborer un plan d'action ambitieux sur le territoire afin d'augmenter l'offre, favoriser la distribution et améliorer l'accessibilité physique et socio-économique des produits bio locaux sur le territoire. -> Retrouvez les principaux résultats de l'étude ici. Place à la mise en oeuvre ! Pour plus d'information, contactez Julianne Aubertot au Contact COMME SI VOUS Y ETIEZ...14/04/2021 Journée d'échanges sur la réduction du travail du sol en maraîchage bio Lundi 12 avril, une quinzaine de maraîchers se sont retrouvés à Bussières 89 pour échanger sur leurs expériences visant à réduire le travail du sol en maraîchage bio. Pierre Cluzel, maraîcher installé depuis 2018, nous a accueilli sur son jardin et a présenté aux participants ses systèmes de cultures et ses outils auto-fabriqués notamment pour faciliter le semis et la plantation en non travail du sol. Chacun a pu partager avec les autres ses pratiques, ses astuces mais aussi s'exprimer sur les impasses et les limites qu'il rencontre pression des rongeurs, disponibilité de la matière organique, .... Un bilan positif pour cette première journée, qui engage à en prévoir de nouvelles ! Contact Hélène Cadiou, conseillère maraîchage, helene.cadiouatbiobourgogne.org, INFOS TECHNIQUES13/04/2021 Synthèse des essais Sarrasin 2020 Depuis 2016, BIO BOURGOGNE accompagne une filière Sarrasin dans le Nord Côte d'Or. Passant de quelques producteurs à l'époque à une trentaine en 2021, le travail de structuration de la filière a permis d'intégrer de nouveaux producteurs et de pérenniser les débouchés, dans une démarche collective intégrant les transformateurs. En 2020, l'engagement de nos partenaires institutionnels DRAAF et Agence de L'eau Seine Normandie a permis à BIO BOURGOGNE d'accompagner les producteurs de la filière dans leur structuration et de porter un programme technique dédié au sarrasin. Une synthèse technique sur cette première année est disponible en téléchargement sur notre site internet sur la page Grandes Cultures / Expérimentations Il n'y a pas qu'en Bretagne que le blé noir bio à de beaux jours devant lui ! Contact Coordination Filière Conseil technique Sarrasin COMME SI VOUS Y ETIEZ...09/04/2021 DES ÉLEVEURS ET ÉLEVEUSES QUI SE MOBILISENT POUR UN ABATTAGE DE PROXIMITÉ Ce mardi 6 avril a eu lieu au Domaine Saint Laurent, une rencontre organisée par l'APAP Association Pour un Abattage de Proximité et BIO BOURGOGNE à destination des éleveurs et éleveuses du Clunisois et des alentours. L'objectif? Présenter les réflexions et travaux menés jusqu'à présent par les éleveurs impliqués et mobiliser de nouvelles personnes pour concrétiser le projet d'abattage de proximité. Une vingtaine de personnes étaient présente et ont pu exprimer leurs besoins, pratiques, envies et interrogations autour de deux ateliers proposés sur le format et fonctionnement de l'outil et la structuration d'une filière territorialisée. La rencontre s'est terminée par un appel à mobilisation des nouveaux éleveurs au sein de l'APAP et pour la constitution d'un GIEE autour du projet d'abattage de proximité. Si plusieurs questions restent à trancher, tous et toutes ont manifesté leur grand intérêt pour cet outil territorial, pour accompagner leurs animaux jusqu'au bout et nourrir les habitants du territoire. Merci pour votre participation ! N'hésitez pas à rejoindre la dynamique ou à poser vos questions à petit-abattoir Contact Laurine Jolis - chargée de mission filières et territoire - laurine.jolisatbiobourgogne.org 06 31 19 48 40 FNAB08/04/2021 La PAC sera t-elle l'occasion ratée d'une vraie transition agricole et écologique ? Une soixantaine de parlementaires participaient le 7 avril - à l'invitation de leurs pairs - à un temps d'échange organisé avec la FNAB sur la place de la Bio dans la PAC. Alors que l'Allemagne va présenter au Bundestag son propre plan stratégique national sur l'agriculture, celui de la France ne sera pas débattu devant le Parlement avant sa transmission à la Commission européenne. Retrouvez ici le communiqué de presse ANNONCES02/04/2021 LES MARCHÉS BIO ET LOCAUX DE CLUNY REVIENNENT EN MAI ! COMME SI VOUS Y ETIEZ...29/03/2021 Retour sur le journée technique au verger du Grillet 58 Le mercredi 24 mars, des agriculteurs et agricultrices sont venues des 4 coins de la Bourgogne pour visiter les 20 ha des vergers du Grillet menés en agriculture biologique depuis 5 ans. Augustin et Charles ont présenté leur outils de production aux visiteurs trieuse/calibreuse, pressoir à jus, broyeur… et bien sûr les vergers de pommes, poires et cerises. Nous avons profité de la période de taille pour observer et s'essayer à la façon de tailler des deux arboriculteurs. Les échanges nombreux se sont clôturés par une dégustation de jus de pomme et poire. Contact Camille Giraudet - 06 49 58 62 40 - camillepointgiraudetatbiobourgognepointorg COMME SI VOUS Y ETIEZ...22/03/2021 Formation compréhension des sols en culture de sapin de noël Les producteurs du groupe 30000 ABIES Agriculture Biologique En Sapin de Noël se sont retrouvés dernièrement pendant deux jours pour approfondir la compréhension des sols et leur fonctionnement. Deux jours d'échange intéressant avec l'intervention de Dominique Massenot. A la une20/03/2021 Ouverture du site internet Yonne Nature Environnement Yonne Nature Environnement a le plaisir de vous annoncer l'ouverture de son site internet dans lequel vous trouverez toutes les actus de l'association, ainsi que les événements organisés manifestations pour le climat, semaine pour les alternatives aux pesticides... Et n'oubliez pas la Semaine pour les alternatives aux pesticides commence ce samedi 20 mars ! Profitez-en pour visionner les vidéos réalisées par l'ADENY et YNE pour illustrer un projet de cantine bio et le travail de différentes fermes bio et de la région LA BIO POUR TOUS DANS L'YONNE Viticulture15/03/2021 Bio-Rencontres en Caves - Edition 2021 Bio-Rencontres en caves » du 15 au 19 mars 2021 - sur rdv Le lundi 15 mars Vignobles de l'Yonne Le mardi 16 mars Vignobles de la Côte de Nuits et le Jura en Côte de Nuits Le mercredi 17 mars Vignobles du Mâconnais Le jeudi 18 mars Vignobles de la Côte Chalonnaise Le vendredi 19 mars Vignobles de la Côte de Beaune et le Jura en Côte de Beaune. Retrouvez le carnet de dégustation en cliquant ici Retrouvez le programme de la semaine en cliquant ici Contacts Agnès Boisson - agnes.boissonatbiobourgogne.org et Elise Rivière - elise.rivièreatbiobourgogne.org ANNONCES15/03/2021 La ville de Coulanges-lès-Nevers recherche un producteur maraîcher bio La commune de Coulanges-lès-Nevers propose un terrain d'environ 1,6 ha pour l'installation d'une nouvelle ferme. Elle cherche donc un candidat souhaitant produire des légumes et/ou des fruits en agriculture biologique sur ce terrain. Pour consulter l'appel à candidature complet, veuillez cliquer ici. Contact Hélène Cadiou, conseillère maraîchage à BIO BOURGOGNE, helene.cadiouatbiobourgogne.org 11/03/2021 Pour une alimentation de qualité et bio dans les cantines ! Cantines l'élevage intensif s'invite en catimini au menu ! La FNAB s'est mobilisée aux cotés d'organisation environnementales, de protection animale et des représentant-es d'éleveur-ses pour dénoncer l'introduction de la volaille issue d'élevage intensif dans les cantines scolaires ! En effet, un arrêté vient d'autoriser la volaille standard française à obtenir une certification environnementale de niveau 2, permettant ainsi à ces productions d'entrer dans les 50% d'alimentation durable pour la restauration collective de la loi Egalim. Ainsi, tous les élevages intensifs de poulets peuvent désormais bénéficier d'un accès protégé au marché de la restauration collective “de qualité” en se targuant d'être “durable" ! Une aberration ! Communiqué de presse téléchargeable ici VIE DU RESEAU11/03/2021 RENCONTRE POUR UN ABATTOIR DE PROXIMITÉ DANS LE CLUNISOIS Depuis 2018, un collectif d'éleveur et éleveuses s'est réuni autour du projet de création d'un abattoir et a réalisé une étude d'opportunité qui met en évidence le besoin et la réalité d'un tel outil, pour le territoire du Clunisois et ses alentours. Aujourd'hui le projet se retrouve à la croisée de plusieurs chemins et nous avons besoin de vous pour choisir les bonnes directions. Car ce projet sera votre outil de demain, afin de répondre aux demandes fortes de consommation locale, de limiter les déplacements et le stress des animaux, de favoriser la bien-traitance animale et le bien-être humain et de structurer une filière, par et pour les éleveureuses. C'est pourquoi nous vous invitons à nous rejoindre le mardi 6 avril à 14h à la Ferme Saint Laurent, à Château 71. En raison des conditions sanitaires, nous vous demandons de vous inscrire à l'avance en cliquant sur ce lien Contact petit-abattoir / 06 51 03 68 32 / 07 89 57 65 50 / 06 31 19 48 40 COMME SI VOUS Y ETIEZ...10/03/2021 Retour sur la démonstration de plantation de haie 89 Un céréalier bio de Pasilly, a ouvert à la démonstration la plantation de plus de 2km de haie et d'un bosquet sur ses parcelles jeudi 18 février. Cette démonstration a suscité l'intérêt d'une dizaine d'agriculteurs du département de l'Yonne. Elle s'est déroulée en présence de Romuald Bardot de la SRPM qui a délivré les différents conseils pour une plantation réussie ainsi que de l'entreprise Naudet prestataire pour la plantation. Le projet de haie haut brise vent de l'agriculteur a été accompagné par Bio Bourgogne pour le choix des essences et de l'emplacement des arbres ainsi que pour le montage du dossier d'aide régionale à la plantation de haie Bocage et Paysage Contact Camille Giraudet - 06 49 58 62 40 - camillepointgiraudetatbiobourgognepointorg COMME SI VOUS Y ETIEZ...10/03/2021 Formation Intégrer des plantations de haies et agroforesteries dans son système bio Le 16 et 17 février, une vingtaine d'agriculteurs de tout type de production ont suivi une formation pour définir le lieu d'implantation des haies et/ou agroforesteries ainsi que les essences d'arbres qu'ils et elles souhaitent planter à l'automne-hiver prochain. Sylvie Monier de Mission haie Auvergne et Romuald Bardot de la SRPM ont accompagné les agriculteurrices dans leur projet. Prochaine étape commande groupée de plants et plantation à l'automne-hiver 2021 Contact Camille Giraudet - 06 49 58 62 40 - camillepointgiraudetatbiobourgognepointorg COMME SI VOUS Y ETIEZ...10/03/2021 Formation pilotage de l'irrigation en maraîchage bio Le 8 et 9 février, une dizaine de maraîchers et maraîchères sont venues se former au pilotage de l'irrigation sur leur ferme avec l'intervention de Simon Cordier conseiller en irrigation au CRIIAM Sud ancien ARDEPI. Après des rappels de notions d'hydraulique débit et pression, les éléments indispensables au dimensionnement du système d'irrigation ont été présentés besoins en eau des plantes, surface à irriguer et temps d'irrigation maximum. Les participants ont pu discuter des avantages et inconvénients des différents matériels d'irrigation goutte-à-goutte, asperseurs, micro-asperseurs... etc La deuxième journée de formation s'est clôturée avec la visite d'un système d'irrigation existant et des moyens de contrôler le bon fonctionnement du réseau. Contact Camille Giraudet - 06 49 58 62 40 - camillepointgiraudetatbiobourgognepointorg ANNONCES10/03/2021 UNE FERME À TRANSMETTRE EN COLLECTIF François Belmont, du GAEC Belmont situé à Marandeuil 21 souhaite transmettre d'une façon collective, sa ferme. Le GAEC travaille aujourd'hui dans les grandes cultures et la production maraîchère, certifiées agriculture biologique depuis 2018. François Belmont a à cœur de favoriser une installation collective sur ses terres. Son objectif serait d'installer plusieurs projets différents, solidaires entre eux pour sécuriser les installations et créer une dynamique sur le territoire. Il aimerait voir se créer un projet de paysannerie-boulangère un bâtiment pourrait être aménagé en meulerie mais des projets d'élevage volailles, petits ruminants, etc semblent aussi possibles avec le réaménagement des bâtiments, ainsi que la création d'un verger noyers, pommiers, pruniers, etc. En bref de nombreux projets sont envisageables pour de la distribution de proximité et des activités viables. Un système de parrainage peut être envisagé si les porteurs ou porteuses de projet sont intéressés. Contact Laurine Jolis - Chargée de mission Futurs Bio laurinepointjolisatbiobourgognepointorg 06 31 19 48 40 09/03/2021 Toujours à la recherche de producteurs bio pour approvisionner le collège de Couches 71 Depuis 2020, le collège de Couches en Saône-et-Loire mène une démarche d'approvisionnement en produits bio et locaux, que BIO BOURGOGNE et le Groupement des Agro-Biologistes de Saône-et-Loire GABSeL accompagnent. Le collège est en particulier à la recherche de fruits, légumes, viande, produits laitiers ainsi que de légumineuses et céréales. Contact Aline Vue, animatrice territoriale de BIO BOURGOGNE en Saône-et-Loire aline.vueatbiobourgogne.org supprimez les parenthèses et remplacez "at" par "" ou 06 33 35 37 48 ENQUETE08/03/2021 UNE ÉTUDE SUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA FILIÈRE BOEUF BIO Afin de travailler sur le développement de la filière boeuf en agriculture biologique en Bourgogne, Coralie Barbery, étudiante en BTS Production Animale, a mis en place cette enquête sur les caractéristiques de la production et les enjeux de la filière. Vous élevez des boeufs en bio ? Prenez quelques minutes pour répondre à cette étude pour décrire vos pratiques et faire connaître votre avis sur la filière. L'objectif est que cette étude puisse permettre à BIO BOURGOGNE d'utiliser ces résultats pour mieux accompagner cette filière. Pour répondre à l'enquête, cliquez ci-dessous Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à contacter Coralie Barbery. Merci par avance de votre participation ! Contact Coralie Barbery - coralie_barbery10atorangepointfr - 06 70 49 37 85 VIE DU RESEAU08/03/2021 Tenue de l'assemblée générale statutaire du GABSeL Le GABSeL, Groupement des Agro-Biologistes de Saône-et-Loire, a organisé son assemblée générale le 25 février 2021 au matin en distanciel. A l'ordre du jour la présentation du rapport d'activités et du rapport financier pour l'année écoulée, des perspectives et nouveautés 2021, ou encore le renouvellement des membres du conseil d'administration, des délégués à BIO BOURGOGNE et des commissions spécialisées. Au-delà de la stricte partie statutaire, les adhérents présents ont souhaité échanger sur leurs préoccupations agricoles ainsi que sur le nouveau label mis en place par la FNAB pour différencier une agriculture biologique plus exigeante que le label européen et permettant de labelliser des filières entièrement françaises. Contact Aline VUE, animatrice du GABSeL - gabselatbiobourgognepointorg - 06 33 35 37 48 VIE DU RESEAU04/03/2021 LE GABNi A TENU SON ASSEMBLÉE GENERALE A DORNES L'Assemblée Générale du GABNi a eu lieu mardi 02 mars 2021 à la ferme des Desrues à Dornes ! La matinée de cette AG a permis de présenter aux adhérents l'ensemble des actions menées par le GABNi et BIO BOURGOGNE sur le département pour œuvrer au développement de la bio, accompagner les producteurs qui s'engagent dans ce mode de production, défendre et soutenir l'ensemble des agriculteurs bio face aux dégâts de sangliers, aux retards de paiement des aides bio, et autre. Les échanges ont été nombreux et riches, merci à ceux qui étaient présents ! Après un repas tiré du sac et partagé en extérieur, nous avons continué les échanges l'après midi, rejoints par de nouveaux adhérents, le président de BIO BOURGOGNE Philippe Camburet et son directeur Laurent Barle, pour échanger sur les évolutions et le besoin de différenciation au sein de l'agriculture biologique en lien avec le lancement du label " = par la FNAB. Tout cela laisse espérer une belle année 2021 pour le développement de la bio dans la Nièvre ! Contact gabni MOBILISATION DU RESEAU04/03/2021 L'ITAB ALERTE SUR DES ETUDES NON ABOUTIES POUVANT MENER A DES CONCLUSIONS DANGEREUSES L'ITAB a récemment publié deux notes de synthèse, suite au projet d'ouverture au retour anticipé du maïs dans les rotations après une culture de betteraves enrobées aux néonicotinoïdes et d'affichage environnemental sur les produits alimentaires, qui défavorisent les modes de production "bio" et "extensifs". Densités des abeilles en cultures de maïs Note d'analyse février 2021 rédigée pour éclairer les membres du Conseil de Surveillance suite à la séance du 22 janvier 2021. L'ITAB relève un écueil d'interprétation dans un article invoqué en séance le 22 janvier 2021 consacré à la présence des abeilles domestiques dans les cultures de maïs, et alerte sur les conclusions erronées qui peuvent en découler en matière de protection des abeilles et d'anticipation du retour du maïs dans la rotation après une culture traitée aux néonicotinoïdes. AGRIBALYSE - Affichage environnemental Suite à la publication de la base de données AGRIBALYSE le 30 septembre 2020 par l'ADEME, l'ITAB alerte sur les conclusions erronées qui peuvent découler de son utilisation pour l'évaluation environnementale des produits agricoles et l'affichage environnemental des produits alimentaires. Le lien vers les publications VIE DU RESEAU25/02/2021 LE SALON À LA FERME L'édition 2021 du Salon international de l'Agriculture ayant été annulée, la Confédération paysanne a décidé de faire salon partout en France. Du 27 février au 7 mars, les fermes du réseau sont ouvertes pour faire découvrir, au plus près du terrain, l'agriculture paysanne. Ces moments de rencontre, 100% paysans, seront l'occasion d'engager le débat avec les responsables politiques et les citoyennes, qui chaque année sont de plus en plus nombreux à se rendre au SIA. Quelle meilleure vitrine que le terrain et quel meilleur discours que nos pratiques ?! Pour voir la carte des 200 fermes ouvertes en France, cliquez sur la carte VIE DU RESEAU10/02/2021 Démarche RARES le premier comité stratégique s'est déroulé à Dijon le 28 janvier 2021 Le premier comité stratégique de la Démarche RARES s'est tenu jeudi 28 janvier après-midi à Dijon. Ce projet, soutenu par la région Bourgogne Franche-Comté et l'Europe rassemble des accompagnateurs des créateurs d'activités agri-rurales les chambres d'agricultures, BIO BOURGOGNE, Semeurs du possible, Accueil Paysan Bourgogne, CIVAM Le Serpolet, CERD, FDFR89, PES21, ACTIVE 71, AgroSupDijon, Terre de Lien BFC et des porteurs de projets. L'objectif est de mettre en place une culture commune et une plus grande coopération entre les acteurs de l'accompagnement afin de placer au coeur de leur démarche les besoins de porteurs de projet multiactivités productions agricoles, transformation, tourisme, artisanat, commercialisation en circuit court, etc. pouvant rencontrer aujourd'hui des difficultés d'installation techniques, juridiques, accès à l'information.... Ce comité stratégique a été l'occasion de présenter à une assemblée d'acteurs diversifiés les enjeux de la Démarche et ses différentes actions sur 2021. Les discussions ont été riches sur les stratégies a adopter pour la suite. Vous pouvez suivre les différents évènements de la Démarche sur la page facebook. Contact Alix Bell chargée de mission installation-transmission 06 33 65 08 14 VIE DU RESEAU10/02/2021 un nouvel entrepreneur en test en maraichage bio, à magny-cours 58 James développe une activité de maraîchage et production de petits fruits en agriculture biologique en s'inspirant de la permaculture et de l'agroécologie, sur le site de la Ferme du Marault, mis à disposition par l'association Agropôle du Marault. James est entré en espace test en janvier 2021 avec pour objectifs de se tester sur ses techniques de production, de développer un modèle économique basé sur de la vente en circuit court ainsi que de participer au développement d'un circuit pédagogique biodiversité, alimentation, innovation agricole, etc.. La création et le suivi de cet espace test agricole est soutenu par le Conseil départemental de la Nièvre, l'agglomération de Nevers, BIO BOURGOGNE, la Chambre d'agriculture de la Nièvre, l'Agropôle du Marault et Semeurs du possible. Pour en apprendre plus sur les espaces tests agricoles, venez visiter le site de Semeurs du possible Contact Alix Bell chargée de mission installation transmission 06 33 65 08 14 ANNONCES09/02/2021 LE PAT DU CLUNISOIS RECRUTE UN ANIMATEUR H/F La Communauté de Communes du Clunisois CCC souhaite réaliser un PAT qui lui permettra de réaliser un diagnostic des actions déjà mises en œuvre en termes d'autonomie alimentaire, de lutte contre le gaspillage alimentaire et de développement d'une alimentation durable et locale, encourageant la production biologique et l'économie circulaire. La CCC souhaite porter ce projet de façon concertée et collective, et a donc sollicité une large palette de partenaires et collaborateurs afin de composer un Comité de pilotage touchant à tous les maillons de la fourche à la fourchette, ainsi que les collaborateurs territoriaux visant à faire de ce projet un modèle de coopération inter-territoriale, dont BIO BOURGOGNE fait partie. C'est pourquoi la CCC recrute un animateur ou animatrice pour réaliser le diagnostic territorial et animer les différentes instances et groupes de travail du PAT pour la mise en place d'actions prochaines. Retrouvez l'offre détaillée ici ! Contact Laurine JOLIS laurinepointjolisatbiobourgognepointorg FNAB08/02/2021 Les agriculteurs et agricultrices bio en appellent au soutien citoyen. Paris, 05/02/2021. Alors que commencent les tractations pour la prochaine politique agricole commune, qui dureront six mois, nous sommes bien loin des objectifs fixés lors des Etats Généraux de l'alimentation par le chef de l'Etat de 9% de surfaces agricoles biologiques au lieu des 15% annoncés pour 2022 et de 4,5% de produits biologiques en restauration collective au lieu des 20% promis. Lire le communiqué de presse ici La FNAB lance la pétition OnVeutLaBioPourTous, n'hésitez pas à la signer et à la relayer ! VIE DU RESEAU05/02/2021 NOUVELLE CHARGÉE DE MISSION FILIÈRES ET TERRITOIRES ET FUTURS BIO EN SAÔNE-ET-LOIRE Bonjour à toutes et tous ! Je suis Laurine JOLIS, la nouvelle recrue à BIO BOURGOGNE, en tant que chargée de mission Filières et territoires en Saône-et-Loire et Futurs Bio, basée à Cluny. Je travaille aux côtés d'Aline VUE sur les projets de filières et territoires en Saône-et-Loire. Et ce n'est pas tout, puisque je suis également chargée de mission Futurs Bio, pour travailler sur la transmission des fermes en agriculture biologique en Bourgogne. Je suis fraîchement diplômée d'une école d'ingénieur agronome avec une spécialisation sur l'animation des projets de territoire en agriculture et alimentation, et je suis très enthousiaste à l'idée de participer au développement de l'agriculture biologique en Bourgogne. Après ces premières semaines de démarrage, je suis disponible pour répondre à vos questions et curieuse de vous rencontrer. Alors, n'hésitez pas à me contacter ! Vous pouvez me joindre par mail laurinepointjolisat et par téléphone 06 31 19 48 40. Au plaisir d'échanger avec vous très prochainement, Laurine JOLIS COMME SI VOUS Y ETIEZ...03/02/2021 Reprise du groupe 30000 ABIES Agriculture Biologique En Sapin de noël Le groupe de travail ABIES Agriculture Biologique En Sapin de noël s'est retrouvé pour débuter cette nouvelle année. Au programme de cette journée bilan des pratiques agronomiques et travail sur les coûts de production lors d'un passage à l'agriculture biologique. Une belle dynamique de travail avec des producteurs motivés. Prochain rendez-vous en Mars pour une formation sur la compréhension des sols en culture de sapin de noël. Contact Elise RIVIERE - elise.riviereatbiobourgogne.org Grandes cultures03/02/2021 Enquête INRAE sur la perception des adventices Stéphane Cordeau est chercheur à l'INRAE de Dijon et animateur de la plateforme CA-SYS sans pesticides. Dans le cadre de ses recherches, il souhaite mettre en avant l'expertise des agriculteurs, et valoriser leur savoir sur les adventices. Pour cela, il a réalisé une enquête sur la perception des adventices aspects positifs et négatifs des mauvaises herbes et vous propose d'y répondre. A ce jour cette enquête nationale par les acteurs de terrain a recueilli 1300 réponses. Si vous souhaitez l'aider dans ses recherches, prenez le temps de répondre au questionnaire en cliquant ici, cela prendra 10 min à remplir et c'est anonyme COMME SI VOUS Y ETIEZ...28/01/2021 Commission arboricutlure biologique La commission arboriculture biologique de BIO BOURGOGNE qui a eu lieu le 14 janvier dernier a permis de recenser les attentes et actions des arboriculteurs du réseau bio en Bourgogne. Cette journée d'échanges entre arboriculteurs et arboricultrices étaient aussi l'occasion de visiter le verger de l'une d'entre eux Le verger de l'abeille à Avosnes 21. Contact Camille Giraudet - 06 49 58 62 40 - camillepointgiraudetatbiobourgognepointorg COMME SI VOUS Y ETIEZ...28/01/2021 Formation Des haies et des arbres en agriculture bio quels intérêts dans mon système ? Les formations d'initiation à l'agroforesterie au sens large du terme haies, arbres, alignement intra-parcellaire... ont suscité beaucoup d'intérêt avec la présence d'une trentaine d'agriculteurs et agricultrices le 19 et le 20 janvier dernier. La matinée Sylvie Monier de mission haie Auvergne et Romuald Bardot de la ont présenté les intérêts des arbres au niveau de l'effet brise-vent, de la lutte contre l'érosion, de la capacité épuratrice des ripisylves, de l'importance de la lutte auxiliaire, du cadre de vie et surtout de sa productivité bois énergie, copeaux, litière.... L'après-midi était consacrée aux moyens de planter des arbres de façon durable au champ. La journée s'est clôturée par la visite d'une future parcelle plantée dans l'Yonne et par la visite d'une ferme ayant déjà plantée des haies il y a 2 ans en Côte d'or. Contact Camille Giraudet - 06 49 58 62 40 - camillepointgiraudetatbiobourgognepointorg INFOS TECHNIQUES25/01/2021 Risque de contamination sur vos parcelles en agriculture biologique que faire ? Contenu réservé aux des GAB via Les nouvelles de la bio ! Pour adhérer, contactez l'animateur/trice du Groupement des Agro-Biologistes GAB de votre département. AIDES21/01/2021 Réforme de la PAC arrêtons de parler de la transition, faisons-la ! Paris, 15/01/2021. Ce matin, le ministre de l'agriculture et le président de Régions de France ouvraient officiellement les discussions sur le futur Plan stratégique national lors d'un Conseil Supérieur d'Orientation et de coordination de l'économie agricole CSO dédié. Ce CSO marque le début de 6 mois de négociations sur la déclinaison française de la prochaine PAC. En jeu notamment les conditions d'attribution du budget dédié au schéma environnemental Ecoscheme. Alors que la Commission européenne affiche dans son Green Deal 2020 un objectif de 25% en 2030 de surfaces agricoles en bio, la France, elle, n'atteindra pas l'objectif fixé par Emmanuel Macron de 15% de surfaces Bio en 2022. Retrouvez ici le communiqué dans son intégralité VIE DU RESEAU14/01/2021 Meilleurs voeux ! Le réseau bio de Bourgogne, BIO BOURGOGNE et les GAB départementaux, les présidents, les élus et les salariés vous présentent leurs meilleurs voeux. AIDES14/01/2021 Lancement d'une nouvelle aide en faveur du développement d'outils de distribution en circuits courts des produits agricoles régionaux Dans le cadre du plan de relance, la région Bourgogne Franche-Comté lance une nouvelle aide en faveur du développement d'outils de distribution en circuits courts des produits agricoles régionaux. Le dépôt des dossiers de candidatures est possible à compter du 4 janvier 2021 et jusqu'au 31 décembre 2021. Dans le contexte de pandémie COVID-19, la Région se mobilise pour accompagner durablement la dynamique de l'alimentation de proximité en permettant aux agriculteurs et autres acteurs du territoire de développer des outils de commercialisation en vente directe. Les investissements immobiliers et mobiliers sont éligibles pour le développement ou l'acquisition d'équipements nécessaires à la structuration des réseaux de commercialisation des produits agricoles régionaux en vente directe plateformes logistiques, drives fermiers, distributeurs, magasins de producteurs, sites de vente en ligne.... Cette aide s'adresse aux exploitants agricoles individuels et collectifs ainsi qu'aux PME, associations ou collectivités territoriales en lien direct avec des exploitations agricoles régionales. L'instruction sera menée en concertation avec les services de l'Etat, dans le cadre de l'accord de relance trouvé en Bourgogne-Franche-Comté. Contact Cyprina JORDAN-MAZZOLENI Chargée de mission alimentation de proximité Direction de l'agriculture et de la forêt 03 81 61 62 19 AIDES12/01/2021 Investissements en cultures maraîchères et de petits fruits et de plantes à parfum aromatiques et médicinales La Région Bourgogne Franche-Comté reconduit, en 2021, le dispositif "Investissements en cultures maraîchères, de petits fruits et de plantes à parfum aromatiques et médicinales". Pour en savoir plus sur le dispositif, rendez-vous à la page dédiée sur le site de la Région. Pour déposer un dossier de demande de financements, rendez-vous sur la plateforme OLGA. AIDES24/12/2020 Plantation de haies subventionnées à 100 % dans l'Yonne Contenu réservé aux des GAB via Les nouvelles de la bio ! Pour adhérer, contactez l'animateur/trice du Groupement des Agro-Biologistes GAB de votre département. Contact Camille GIRAUDET • 06 49 58 62 40 • camillepointgiraudetatbiobourgognepointorg ENQUETE24/12/2020 Enquête usage du spinosad et de l'azadirachtine en maraîchage et arboriculture biologique La FNAB lance une enquête pour mieux connaître les usages du spinosad et de l'azadirachtine en maraîchage et arboriculture bio. Cette enquête vise à mieux cerner les usages qui sont faits de ces substances actives sur le terrain, et notamment à évaluer le degré d'impasse technique de ces usages. Elle vise également à identifier les différentes alternatives déjà mises en place dans les fermes. Les questionnaires sont disponibles aux liens suivants Questionnaire pour l'arboriculture Questionnaire pour le maraîchage Contact Camille GIRAUDET • 06 49 58 62 40 • camillepointgiraudetatbiobourgognepointorg VIE DU RESEAU22/12/2020 Témoignages d'agriculteurs bio, la suite ! L'ADENY et YNE Yonne Nature Environnement ont réalisé de courtes vidéos pour illustrer un projet de cantine bio et le travail de différentes fermes bio et de la région. 4 nouvelles vidéos sont disponibles sur leur chaîne Youtube. COMME SI VOUS Y ETIEZ...22/12/2020 Retour sur la journée formation plantation de haie dans le 58 Lundi 21 novembre après-midi, des éleveurs de la Nièvre ont participé à une démonstration de plantation de haie avec l'intervention de Romuald Bardot, technicien du bocage de la La plantation s'est déroulée dans le cadre de la formation "Intégrer des plantations de haies et agroforesteries" qui a démarré en février 2020. Si vous êtes intéressés pour planter des haies ou agroforesteries, nous renouvelons la formation pour l'année 2021. Veuillez consulter notre agenda pour en connaître les dates et lieux agenda de Bio Bourgogne Contact Camille GIRAUDET • 06 49 58 62 40 • camillepointgiraudetatbiobourgognepointorg VIE DU RESEAU21/12/2020 La matinale BIO, la nouvelle émission live de l'Agence Bio ANNONCES21/12/2020 RECHERCHE DE PRODUCTEURS/TRICES BIO POUR APPROVISIONNER UN COLLÈGE DE CHALON-SUR-SAÔNE 71 Un collège de Chalon-sur-Saône en Saône-et-Loire est accompagné par BIO BOURGOGNE et le Groupement des Agro-Biologistes de Saône-et-Loire GABSeL pour développer son approvisionnement en produits bio et locaux ! Le collège est en particulier à la recherche de légumes, fruits, viande, produits laitiers ainsi que de légumineuses et céréales. Contact Aline Vue, animatrice territoriale de BIO BOURGOGNE en Saône-et-Loire alinepointvueat supprimez les parenthèses, remplacez "point" par "." "at" par "" ou 06 33 35 37 48 21/12/2020 Animation autour de l'AB dans des collèges début février 2021 Entre le lundi 1er et le vendredi 5 février 2021, 7 collèges de Saône-et-Loire, à Buxy, Charolles, Chauffailles, Marcigny, Montceau, Paray-le-Monial et Sanvignes, participent à l'événement national "Au pré de la ferme" de l'association Agrilocal, plateforme de mise en relation entre producteurs et acheteurs de la restauration collective. Vous livrez déjà l'un de ces établissements, alors proposez-leur vos produits pour cet événement ! Vous ne livrez pas encore l'un de ces collèges mais souhaiteriez le faire ? C'est le moment de vous inscrire sur Agrilocal 71 et d'envoyer un message dédié aux acheteurs Dans le cadre de l'opération "Au pré de la ferme" à laquelle vous êtes inscrit du 1er au 5 février, ….», pour savoir comment faire, consultez le guide fournisseur, ! Contactez-nous pour vous faire part de votre intérêt d'intervenir dans un collège la 1è semaine de février durant 1 à 2 heures, pour sensibiliser les enfants aux produits bio et locaux que vous pouvez proposer. Contact Aline VUE, animatrice territoriale de BIO BOURGOGNE en Saône-et-Loire aline.vueatbiobourgogne.org ou 06 33 35 37 48 COMME SI VOUS Y ETIEZ...18/12/2020 Bilans de campagne Viticulture 2020 Les bilans de campagne 2020 du service Viticulture ont eu lieu dans l'Yonne et en Côte d'Or mercredi et jeudi derniers. Ces moments d'échange étaient l'occasion de faire un bilan sur les pratiques effectuées lors de ce millésime 2020, d'exposer la dynamique de conversion à partir des chiffres de l'ORAB disponible sur notre site ou bien encore d'exposer les différents résultats d'expérimentations de BIO BOURGOGNE macération huileuse d'ail, diminution des doses de soufre et de cuivre,.... Un bilan aura lieu en Saône et Loire en Janvier. L'Echos des vignes bilan a été envoyé aux adhérents en début de semaine et clôture ainsi la saison de viticulture de 2020. Nous vous retrouvons dès Janvier avec un nouveau numéro de l'Echos des Vins bio. Si vous avez des questions ou besoin d'informations complémentaires, n'hésitez pas à contacter vos conseillers. Contacts Agnès Boisson 21 - agnespointboissonat - Diane Guilhem 71 - dianepointguilhemat ; Elise Rivière 89, 58- elisepointriviereat COMME SI VOUS Y ETIEZ...17/12/2020 Bilan de campagne maraîchage bio 2020 Mi-décembre, les maraîcherères bio des 4 coins de la Bourgogne, se sont retrouvées dans chaque département Côte d'or, Nièvre, Saône-et-Loire et Yonne pour faire le bilan de la campagne 2020. Une dizaine de fermes dans chaque département ont pu échanger sur les évolutions de la production bio française et bourguignonne, les adaptations au climat toujours plus sec en été et les solutions mises en place pour lutter contre les maladies et ravageurs des cultures altise, doryphores, pucerons, mildiou.... Contact Emilie Janoyer - emiliepointjanoyeratbiobourgogne.org / Hélène Cadiou - helenepointcadiouatbiobourgogne.org / Camille Giraudet - camillepointgiraudetatbiobourgogne.org INFOS TECHNIQUES17/12/2020 GUIDE Produire des légumes biologiques TOME 3 Composer avec les adventices Un guide complet pour gérer les adventices en culture biologique de légumes, tant en maraichage diversifié qu'en production légumière spécialisée. Ce troisième tome vient compléter les deux premiers tomes du guide Produire des légumes biologiques. Il s'adresse Aux producteurs de légumes déjà en bio ou en projet de conversion, Aux candidats à l'installation. Aux conseillers agricoles, techniciens, enseignants et étudiants. ANNONCES14/12/2020 Les Trophées de l'Excellence Bio Candidatez jusqu'au 28 janvier 2021 Organisé par l'Agence Bio et le Crédit Agricole, ce concours a pour objectif de faire émerger et soutenir des initiatives exemplaires, innovantes et reproductibles de tous les acteurs de l'agriculture biologique. Ouvert à tous les acteurs professionnels et à toutes les entreprises des filières biologiques, qu'ils soient producteurs, transformateurs, distributeurs ou associations, les candidats ont jusqu'au 28 janvier 2021 pour adresser leur dossier. Récompenses Un lauréat sera désigné dans chacune des 2 catégories Producteurs et Entreprises/Associations. Ils recevront chacun la somme de 6000 €. 2 “coups de coeur” du jury seront désignés et recevront la somme de 1500 € chacun. Télécharger le Règlement du Concours Dossier de Candidature Trophées de l'Excellence BIO Informations complémentaires concours Anne Basset COMME SI VOUS Y ETIEZ...11/12/2020 Retour sur les visites techniques "Couverts végétaux" Pour faire suite au webinaire "Intérêts et limites des couverts végétaux" organisé par le BIVB dans le cadre du projet DECOUVEG, des visites techniques ont été organisées dans chaque département. L'occasion d'échanger collectivement sur les essais mis en place par chaque organisme partenaire du projet. Les sessions de la Côte d'Or et de l'Yonne ont eu lieu les 3 et 4 décembre derniers. La visite en Saône et Loire a lieu vendredi 11 décembre prochain. Pour visionner le webinaire avec la participation de BIO BOURGOGNE cliquez-ici INFOS TECHNIQUES11/12/2020 Les Echos des Prairies Bio sont sortis ! Le deuxième bulletin technique élevage de 2020 est sorti, et sera envoyé aux adhérents du réseau bio qui y ont souscrit. Au sommaire Évolution de la réglementation en élevage biologique La filière porcine biologique en Bourgogne-Franche-Comté Engraissement des vaches et génisses en bio, suivi d'une fermoscopie. La qualité des viandes à l'herbe Mercuriale sur les prix des fourrages et de la paille bio Les brèves du réseau bio Contactez votre animateur/trice de GAB pour en bénéficier ! COMME SI VOUS Y ETIEZ...10/12/2020 Retour formation Taille respectueuse des flux de sève La première session de formation sur la taille respectueuse des flux de sève a eu lieu à Chablis avec un groupe dynamique et motivé. Une matinée théorique suivie d'une application sur le terrain sur jeunes et vieilles vignes à permis de répondre au mieux aux attentes de chacun. Deux autres sessions auront lieu les 16 et 17 décembre respectivement en Saône et Loire et Côte d'Or. ANNONCES04/12/2020 Appel à participation à la démarche RARES des porteurs de projets agri-ruraux pour favoriser la création et le maintien d'activités agri-rurales en Bourgogne-Franche-Comté Vous êtes porteur de projet agri-rural installé ou en parcours d'installation ? Vous n'êtes pas nécessairement issu du milieu agricole ou votre projet se fait hors cadre familial ? Votre projet repose peut-être sur plusieurs activités pas exclusivement agricoles productions agricoles, accueil à la ferme, transformation, autre... et/ou des valeurs particulières familiale, économie sociale, coopératives, etc. ? Si vous répondez oui à une ou plusieurs de ces questions, votre expérience pourrait contribuer au travail du collectif de la Démarche RARES, dont fait partie BIO BOURGOGNE. Ce collectif compte des structures d'accompagnement, des chercheurs et des porteurs de projets agri-ruraux dont l'objectif est de favoriser la création et le maintien d'activités agri-rurales innovantes en Bourgogne Franche-Comté. Contact Alix BELL, Chargée de mission Installation-Transmission, 06 33 65 08 14, alix.bellatbiobourgogne.org ANNONCES03/12/2020 Recherche de producteurs/trices bio pour la Biocoop de Mâcon 71 Une Biocoop va ouvrir ses portes à Mâcon 71 000 le 21 janvier 2021 à 9h. Elle se situera 73 route de Lyon. Quelques producteurs locaux fourniront des légumes, du fromage de chèvre et de la bière. Pour approvisionner le magasin recherche de produis bio ou en conversion de la région mâconnaise max 150 km, tous rayons alimentaires et non alimentaires. En particulier, recherche de fromage de vache et de fruits ! Avis aux producteurs/trices ! Contact ou magasinatbiocoop-macon.fr ANNONCES03/12/2020 Proposez vos produits bio à la restauration collective via Agrilocal 71 Vous êtes sur Agrilocal 71 ? Proposez maintenant vos produits disponibles pour l'événement "Au pré de la ferme" la 1è semaine de février 2021 en envoyant dès à présent un message à tous les acheteurs inscrits sur la plateforme Agrilocal 71 pour savoir comment faire, consultez le guide fournisseur, ! Vous êtes pour vendre à la restauration collective, en particulier scolaire, et n'êtes pas encore sur Agrilocal 71 ? Inscrivez-vous sur le site dédié en complétant toutes vos informations pour pouvoir ensuite recevoir les demandes et proposer vos produits. Contact Aline VUE, animatrice territoriale de BIO BOURGOGNE en Saône-et-Loire aline.vueatbiobourgogne.org ou 06 33 35 37 48 VIE DU RESEAU03/12/2020 Projet politique de la FNAB Contenu réservé aux des GAB via Les nouvelles de la bio ! Pour adhérer, contactez l'animateur/trice du Groupement des Agro-Biologistes GAB de votre département. AIDES03/12/2020 Fin des aides au maintien en bio le GABNi s'exprime Le Journal du Centre a consacré un article sur la fin des aides au maintien en bio dans la Région Bourgogne Franche-Comté. A travers cet article, les administrateurs du GABNi font part de leurs inquiétudes et leurs déceptions. INFOS TECHNIQUES03/12/2020 Parution de l'Observatoire Régional de l'Agriculture Biologique en Bourgogne-Franche-Comté Réalisé en collaboration avec Interbio Franche-Comté, cet observatoire vous permettra d'apprécier l'évolution de l'agriculture biologique dans notre région. Vous y retrouverez une analyse détaillée à l'échelle régionale et par secteur de production, qui illustre une dynamique de conversion qui est encore très encourageante cette année. Retrouvez l'intégralité de la brochure sur la page dédiée aux chiffres de la bio. Communiqué de presse téléchargeable ici. REGLEMENTATION02/12/2020 Grippe aviaire Publication de l'instruction technique et mise à jour des documents dérogatoires Grippe aviaire l'instruction technique encadrant les dérogations à l'obligation à la claustration ou la mise sous filets a été publiée le 24 nov 2020. Les conditions de délivrance des dérogations à l'obligation de claustration ont été actualisées. De nouveaux documents doivent être utilisés pour présenter cette demande si celle-ci n'a pas déjà été faite. Pour plus d'information, contacter votre GAB. REGLEMENTATION01/12/2020 Publication du dernier guide de lecture quels changements pour l'élevage ? Le guide de lecture est la déclinaison française du règlement bio européen. Mis à jour régulièrement, il sert de support de contrôle pour les organismes certificateurs. Cette version de novembre 2020 n'intègre pas le nouveau règlement bio qui sera appliqué au 1er janvier 2022. Quelques changements concernent l'élevage Composts Bâtiments volailles dimension des trappes de sortie/d'entrée et accès facile à l'espace de plein air Pratiques d'élevage et conditions de logement des animaux Porcs pose d'anneaux Cliquez sur plus d'infos pour lire les détails. AIDES30/11/2020 Des nouvelles de la PAC post 2020 Contenu réservé aux des GAB via Les nouvelles de la bio ! Pour adhérer, contactez l'animateur/trice du Groupement des Agro-Biologistes GAB de votre département. Contact Lucie Paumelle, 06 89 27 97 68 FNAB25/11/2020 Communiqué de presse Contre l'artificialisation et la concentration des terres pour une politique foncière agricole efficace Suite à la publication par la Cour des comptes d'un référé déplorant l'artificialisation des terres et constatant que la concentration des terres agricoles se poursuit, nos organisations exigent une politique foncière agricole efficace et une meilleure composition de l'instance nationale de gouvernance des Safer. Retrouvez ici l'intégralité du communiqué ENQUETE24/11/2020 REVABIO - Enquête sur les pratiques des éleveurs d'ovins d'ovins, vous souhaitez nous aider à trouver des solutions pour adapter la sortie d'agneaux bio aux spécificités de la production biologique et cette filière fort décalage temporel entre la période de sortie des animaux et les périodes de fortes consommations ? Une enquête est en cours dans le cadre du projet REVABIO. Merci de remplir le questionnaire ci-dessous 5 minutes sur vos pratiques actuelles et vos marchés de commercialisation. Répondre au questionnaire Pour en savoir davantage sur ce projet, en connaître l'ensemble des acteurs et la valorisation des résultats qui sera produite, vous pouvez télécharger le document de présentation du programme. ANNONCES24/11/2020 Recherche de dons de produits par les Restos du Coeur de Cluny 71 Les Restos du Coeur de Cluny ont sollicité le GABSeL pour relayer leur appel aux dons auprès des producteurs/trices l'association recherche des produits pour offrir de la nourriture de qualité aux personnes qui en ont besoin. Des bénévoles de l'association peuvent venir récupérer les produits directement sur votre ferme. A l'attention des maraîchers/ères vous pouvez contacter l'association si vous avez des légumes invendus ou déclassés, ou si des légumes peuvent être ramassés directement en terre. Vous pouvez bien évidemment également apporter vos produits disponibles directement à l'association à Cluny, à l'occasion d'un marché, d'une tournée de livraisons..., lors des journées d'ouverture de l'association mardi, mercredi, jeudi entre 8h30 et 11h30 Contact Association les Restaurants du Coeur de Cluny, 12 avenue Charles de Gaulle, 71 250 Cluny ; 06 67 20 73 81 ; ad71.clunyrestosducoeur.org AIDES23/11/2020 Aide au veau bio sous la mère évolution de la prise en compte de la couleur La FNAB a co-signé aux côtés de FOREBIO et de la Confédération paysanne un courrier à l'attention du ministère concernant les critères d'attribution de l'aide aux veaux bio. Nous avons ainsi réitéré notre demande de l'an dernier de supprimer le critère de couleur. Cette demande a cette fois été appuyée par de récentes évolutions dans le contrôle de ce critère en abattoir, qui ont provoqué la perte de la prime pour de nombreuses carcasses Lire le courrier pour plus d'informations. Nous espérons que le critère de couleur sera supprimé déjà pour la campagne à venir, mais nous avons demandé qu'il le soit dès à présent. COMME SI VOUS Y ETIEZ...17/11/2020 Intervention d'un maraîcher bio en conférence à Quetigny 89 Intervention de Yanick Loubet, maraîcher bio lors de la Conférence organisée par la Ville de Quetigny et BIO BOURGOGNE à l'occasion du Grand Marché Bio de Quetigny du 19 septembre 2020. REGLEMENTATION13/11/2020 Grippe aviaire situation sanitaire et implications dans les élevages biologiques en Bourgogne Mise à jour sur la situation sanitaire Suite à la détection d'un premier foyer d'influenza aviaire hautement pathogène en Haute-Corse, le Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation a décidé de relever le niveau de risque à "Elevé" sur l'ensemble du territoire national. Tous les éleveurs de volailles donc concernés par les implications détaillées ci-dessous mesures de claustration ou mise sous filet, avec dérogation possible. Les dispositions d'accès à la dérogation sont en cours d'évolution au niveau national. N'hésitez pas à vous tourner vers le réseau bio si vous rencontrez des difficultés. Grippe aviaire synthèse sur la situation sanitaire et implications dans les élevages biologiques en Bourgogne Le niveau de risque Élevé » implique certaines mesures obligatoires sur tout le territoire national Arrêté du 16/03/2016, dont la surveillance clinique quotidienne dans les élevages, et la mise en place de claustration ou protection des élevages de volailles par un filet avec réduction des parcours extérieurs pour les animaux dérogation possible, voir ci-dessous. Les éleveurs bio peuvent décider de claustrer les animaux, et doivent de fait demander une dérogation à leur organisme certificateur ; ou bien établir une demande de dérogation à la claustration en mettant en avant le cahier des charges biologique. Cliquez sur le lien "+ d'info" pour connaître les implications réglementaires de chacun des choix et les démarches à conduire. ENQUETE12/11/2020 Le sondage 2020 COMME SI VOUS Y ETIEZ...12/11/2020 Retour sur la formation acupuncture en Saône-et-Loire La formation initiation à l'acupuncture a pu se terminer par une journée de pratique en élevage, dans le secteur du Creusot 71. Les stagiaires ont manipulé les veaux atteints de diarrhées, et mobilisé leurs connaissances de la première journée pour appliquer un protocole à une vache suspectée d'avoir ingéré un corps étranger. La journée s'est terminée par l'étude de deux jeunes génisses à fortes caractéristiques poil hirsute, arrêt du développement..., qui a rappelé l'intérêt de croiser les connaissances des médecines douces homéopathie, médecine chinoise, acupuncture et ostéopathie, pour une approche globale. FNAB05/11/2020 Abattoirs pour une vraie prise en compte de la protection animale, des conditions de travail et des territoires Communiqué de presse Les 130 millions d'euros du plan de modernisation des abattoirs prévu par le ministère de l'agriculture ne répondent pas aux nombreuses exigences concrètes et aux attentes des des et de la société civile soutenir dans la relance les outils d'abattage adaptés à l'élevage de demain, tant en matière de conditions de travail, de relocalisation, que de protection animale. C'est une nouvelle occasion manquée de faire évoluer le secteur de l'abattage. Retrouvez ici l'intégralité du communiqué de presse FNAB05/11/2020 Deux ans après la promulgation de la loi EGalim, ses ambitions sont définitivement enterrées ! Communiqué de presse Deux ans après l'adoption de la loi EGalim1, un collectif de 28 syndicats et associations publie un bilan dont le constat d'échec est sans appel la quasi-totalité des indicateurs est au rouge et des reculs sont à noter. Presque aucune des ambitions et bonnes intentions déclarées en grande pompe n'ont été suivies d'effet. Retrouvez ici l'intégralité du communiqué de presse 1La loi pour l'Équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et une alimentation saine, durable et accessible à tous. COMME SI VOUS Y ETIEZ...28/10/2020 Retour sur la visite d'un atelier de découpe et de transformation 71 Lundi 19 octobre, une vingtaine d'éleveurs de toute la Bourgogne et au-delà a découvert Loca Marmite, atelier de découpe bio pour la viande bovine, ovine, porcine et autres, couplé à une salle de transformation certifiée bio. Cet atelier, situé à Saint-Léger-sous-Beuvray nord-ouest de la Saône-et-Loire – limite Nièvre. Si vous avez raté la visite mais que vous souhaitez utiliser cet atelier de découpe et de transformation, n'hésitez pas à contacter directement la productrice gérant cet atelier 06 87 39 73 65. Contact Aline VUE, animatrice territoriale de Saône-et-Loire aline.vueatbiobourgogne.org COMME SI VOUS Y ETIEZ...15/10/2020 Retour sur la journée porteurses de projet en maraîchage biologique 89 La journée d'information à destination des personnes souhaitant créer une activité maraîchère biologique dans l'Yonne a accueilli dix porteurs et porteuses de projet. Les participants et participantes ont pu échanger sur leurs interrogations à propos de l'installation en maraîchage bio avec la présence du maraîcher Jean Lalès, des conseillères du point accueil installation de la CA de l'Yonne et de la conseillère maraîchage bio de l'Yonne à Bio Bourgogne. Contact Camille Giraudet - 06 49 58 62 40 - camille.giraudetatbiobourgogne.org REGLEMENTATION12/10/2020 Alimentation des chevreaux et chevrettes bio en phase lactée Le futur règlement bio, qui entrera en vigueur au 1er janvier 2022, précise que les laits reconstitués contenant des matières d'origines végétales ne pourront pas être considérés comme du lait naturel » et ne pourront pas être utilisés en bio pour l'alimentation des jeunes mammifères. C'est le cas de certaines poudres de lait actuellement certifiées et "utilisables en AB". Par contre, l'utilisation de lait en poudre non bio pour raison sanitaire, justifiée par une préconisation vétérinaire, n'est pas remise en cause jusqu'à présent. Pensez à vérifier auprès de votre organisme certificateur que ce que vous utilisez pour l'alimentation lactée de vos jeunes animaux sera conforme au nouveau règlement. Dans le cas contraire, commencez à chercher une autre solution lait maternel, lait de vache bio, poudre de lait bio conforme au cahier des charges 2022. Une enquête en ligne vous sera prochainement proposée afin de dresser un état des lieux des pratiques et d'identifier les marges de manoeuvre pour trouver des solutions cohérentes, conformes au règlement, mais aussi techniquement et économiquement viables pour les éleveurs et éleveuses bio. Source Réseau FNAB / Image FRAB Nouvelle Aquitaine VIE DU RESEAU29/09/2020 Une nouvelle présidente pour le GAB21 Le Conseil d'Administration du GAB21 est heureux de vous annoncer l'élection de sa nouvelle présidente, Laurence Henriot qui succède à Pascal Guérin. Après quatre années de présidence, Pascal a souhaité laisser sa place. Laurence devient la 1ère femme présidente du GAB21 et sera épaulée par un conseil d'administration de 10 membres et un bureau constitué de Geoffroy Gavignet, vice-président ; Laure Darphin, secrétaire et Caroline Pellenard, trésorière. Je suis associée au sein du GAEC HENRIOT à VILLEBICHOT 3 associés, ferme en polyculture élevage élevage de vaches charolaises bazadaises et ferrandaises et productions de céréales. Notre système est autonome, l'atelier animal et l'atelier végétal sont parfaitement complémentaires. Il est important pour moi de continuer à défendre une agriculture respectueuse des hommes qui la pratiquent et de l'environnement qui nous entoure en veillant à maintenir une agronomie cohérente, des fermes nombreuses et à taille humaine. Nous sommes interdépendants, producteurs et consommateurs, la crise sanitaire que nous vivons actuellement nous le rappelle cruellement. Aussi, je suis fière d'appartenir à notre réseau pour qui l'agriculture biologique est plus qu'un label c'est un véritable projet de société humaniste et solidaire !" Laurence Henriot Lire le communiqué AIDES22/09/2020 Aide au maintien à l'agriculture biologique, le gouvernement doit appliquer les engagements du président de la République Paris, 19/09/2020. La Convention citoyenne pour le climat, qui a rendu ses conclusions définitives en juin 2020, a identifié le développement de l'agriculture biologique comme une action centrale pour aller vers une agriculture à faible impact en gaz à effet de serre et à faible impact sur la biodiversité ». Dans leur proposition les citoyen-nes ont porté des demandes claires pour développer l'agriculture biologique dont la restauration de l'aide au maintien. Le président de la République s'est engagé fin juin 2020 à reprendre cette proposition. Le processus était très clair, le président s'est exprimé, maintenant il faut appliquer et agir. Retrouvez ici l'intégralité du communiqué de presse COMME SI VOUS Y ETIEZ...17/09/2020 Retour sur la visite de ferme à la Chapelle-Thècle 71 Mercredi 16 septembre, les éleveurs de volailles se sont retrouvés à la Chapelle Thècle pour la visite de la Ferme des Palisses, un système conduit en bio depuis 1988. Les éleveurs ont échangé sur la conduite biologique des volailles de chair et des poules pondeuses, la gestion préventive de leur santé et l'autonomie alimentaire. Une fermoscopie est disponible, contactez votre conseiller BIO BOURGOGNE si vous souhaitez la consulter. Par ailleurs, l'équipe élevage de BIO BOURGOGNE organise régulièrement des visites de fermes d'élevage bovin, ovin, caprin, volailles... dans toute la région, pour créer du lien entre les éleveurs et partager entre collègues sur vos pratiques. Consultez le programme technique pour connaître les prochaines visites proches de chez vous ! VIE DU RESEAU17/09/2020 Journée d'étude aviculture dans l'Yonne, à Dollot et à la Ferté Loupière Le réseau des AMAP IDF organise une journée d'étude dans l'Yonne le lundi 28 septembre 2020; La thématique Visites et échanges avec deux fermes avicoles poulets de chairs et poules pondeuses avec production d'aliment, abattage et découpe des poulets. Un focus sera fait sur la commercialisation en AMAP. Toutes les informations sont disponibles ici, La journée est ouverte à tous les s'intéressant au sujet! Si vous avez des questions, n'hésitez pas à appeler Lucie Humbaire du réseau AMAP IdF. Pour vous inscrire ou covoiturer, cliquez sur les liens ci-dessous Covoiturage // Inscription Contact Lucie Humbaire, Chargée d'accompagnement paysans et installation agricole Réseau AMAP Ile de France Mundo-M 47 avenue Pasteur 93100 Montreuil Tél 01 80 89 99 46 - 07 77 97 57 26 COMME SI VOUS Y ETIEZ...16/09/2020 Retour sur la visite technique favoriser les auxiliaires en maraîchage biologique Le mardi 15 septembre, une dizaine de maraîcherères et horticulteurrices sont allées à la rencontre des auxiliaires de cultures présents dans les légumes des jardins de la Croisière, lors d'une matinée technique co-organisée avec la CRA BFC et le GRAB Groupe de recherche en agriculture biologique dans le cadre du projet DEPHY COSYNUS Conception de Systèmes maraîchers favorisant la régulation Naturelle des organismes Nuisibles. Contact Camille Giraudet camille.giraudetatbiobourgogne.org / 06 49 58 62 40 FNAB15/09/2020 Communiqué 10 raisons pour ne pas voter la dérogation à l'interdiction des néonicotinoïdes ANNONCES08/09/2020 Recherche de producteurs/trices bio pour une future Biocoop à Chalon-sur-Saône 71 Dans le cadre de l'ouverture de la Biocoop de Chalon-sur-Saône prévue à l'été 2021, recherche de producteurs locaux max 150 km, tous rayons alimentaires et non alimentaires, bio ou en conversion. Priorité aux produits locaux et de saison ! Pour plus d'informations, consultez le document de présentation du projet ou contactez la future gérante. Contact Camille MICHELIN-TOITOT, 4 rue du Port Villiers - 71 100 Chalon-sur-Saône, 06 22 74 25 83, toitotcaatgmail.com INFOS TECHNIQUES08/09/2020 Ouverture d'un laboratoire agroalimentaire à Salornay-sur-Guye 71 Vous avez peut-être suivi le projet la construction d'un laboratoire agroalimentaire à Salornay-sur-Guye 71 par la Communauté de communes de Clunisois. Au service des producteurs, certifié bio, ce laboratoire sera accessible dès novembre 2020 ! Vous pourrez y transformer vos produits, y faire découper et emballer votre viande, faire stériliser vos produits avec un autoclave... Vous êtes producteur/trice bio et vous souhaitez utiliser ce laboratoire ? Contactez Melting popote qui est missionnée par la Communauté de communes du Clunisois pour monter ce projet ou directement la Communauté de communes, afin d'indiquer vos demandes et vos besoins et de réserver des créneaux pour votre ou vos activités. Contact meltingpopote71atgmail.com ; Boris Chevrot, chargé de développement économique, 07 64 67 09 86 INFOS TECHNIQUES07/09/2020 Le programme des actions techniques polyculture-élevage est sorti ! Les conseillers polyculture-élevage de BIO BOURGOGNE vous invitent à prendre connaissance du calendrier des actions techniques et des formations mises en place pour l'automne 2020 et l'hiver 2021. Consultez le programme technique en ligne Pour plus d'informations invitations détaillées et pour accéder aux formulaires d'inscription en ligne, consultez l'Agenda de BIO BOURGOGNE Contact Conseillers équipe élevage voir trombinoscope REGLEMENTATION04/09/2020 Report du nouveau règlement bio au 1er janvier 2022 La Commission européenne a annoncé ce vendredi 4 septembre 2020 reporter d'un an l'entrée en vigueur du nouveau règlement bio européen. Le projet de texte modifiant le règlement de base 2018/848 doit encore être approuvé par les Etats membres et le Parlement. Les agriculteurs-rices bio devront donc appliquer ces nouvelles règles au 1er janvier 2022 et non au 1er janvier 2021 comme initialement prévu ENQUETE01/09/2020 FNAB - Recensement Obligations Réelles Environnementales En 2016, la loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages a créé un nouvel outil juridique, permettant aux propriétaires fonciers de faire naître sur leur terrain des obligations durables de protection de l'environnement l'obligation réelle environnementale ORE. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter cette petite vidéo explicative. 4 ans après la création de l'ORE, la Fédération des Conservatoires d'Espaces Naturels FCEN et de la Fédération Nationale d'Agriculture Biologique FNAB souhaitent réaliser un inventaire des Obligations Réelles Environnementale signées ou en projet en France. A cette fin, la FNAB et la FCEN ont élaboré conjointement le questionnaire disponible ici. Cette enquête s'adresse aux cocontractants ou futurs cocontractants d'une ORE, dont vous pouvez faire partie. Si c'est le cas, nous vous remercions vivement de votre contribution en participant à cette enquête. Les résultats seront analysés et donneront lieu à une restitution. ENQUETE01/09/2020 Enquête projet pressoir mobile Une entreprise de Franche-Comté réfléchi à un projet d'atelier mobile de pressage de fruits. Elle souhaite connaitre l'intérêt des producteurs bio de Bourgogne par rapport à ce projet pour évaluer sa faisabilité. Si vous êtes intéressés, n'hésitez pas à répondre au questionnaire en ligne très rapide, moins d'une minute ! Le questionnaire est accessible ici. ANNONCES31/08/2020 C'est la rentrée scolaire inscrivez-vous sur AGRI local 71 pour vendre à la restauration collective C'est la rentrée, alors n'hésitez pas à vous inscrire sur AGRI local 71 pour proposer vos produits bio et locaux à la restauration scolaire ! Si vous êtes déjà vous pouvez publier une annonce avec l'actualité de vos produits disponibles "push". Si vous n'êtes pas encore cela peut être le moment de le faire. La plate-forme AGRI local 71, gérée par le Conseil départemental de Saône-et-Loire, vous permet de vous inscrire en ligne pour une mise en relation directe avec les acheteurs de la restauration collective. Contact Pour toute question ou tout accompagnement pour l'inscription sur la plate-forme AGRI local 71, Aline VUE, animatrice territoriale de BIO BOURGOGNE en Saône-et-Loire et du Groupement des Agro-Biologistes de Saône-et-Loire GABSeL ou 06 33 35 37 48. VIE DU RESEAU12/08/2020 Le Conseil d'Administration du GAB21 a élu son nouveau bureau Une nouvelle présidente pour le GAB21 Le 6 juillet, le Conseil d'Administration du GAB21 s'est réuni pour élire son nouveau bureau et échanger sur les différents projets en cours, suivis par le groupement. Laurence Henriot, productrice dans un GAEC familial en polyculture élevage bio à Villebichot succède à Pascal Guerin pour la présidence du GAB21. Les autres membres du bureau du GAB21 Vice-président Geoffroy Gavignet, maraicher Secrétaire Laure Darphin, apicultrice Trésorière Caroline Pellenard, maraichère Vous pouvez trouver les coordonnées de l'ensemble des membres du Conseil d'Administration en cliquant ici. Nous restons à votre écoute et continuerons à nous mobiliser pour le développement de la bio sur en Côte d'Or. AIDES06/08/2020 Appel à projet Filières à bas niveau d'intrant Deux nouvelles dates de candidature ! Dans le cadre de son plan de reprise suite à la crise du COVID-19 et pour renforcer l'accompagnement du développement des filières BNI et notamment à la filière élevage herbager, l'agence de l'eau Seine Normandie a décidé d'ajouter 2 sessions de sélection des projets avec 2 nouvelles dates de dépôt des demandes d'aide 11 septembre et 10 décembre 2020. Accéder ici à la page dédiée et téléchargez ici la plaquette MOBILISATION DU RESEAU31/07/2020 Pour le maintien des tueries à la ferme dans les élevages de volailles répondez à la consultation ! Les tueries qui pratiquent la transformation bénéficient jusqu'à 2021 d'une dérogation temporaire à l'agrément CE. Le réseau s'est mobilisé pour défendre la pérennisation de cette dérogation spécifique à la transformation à l'échelle européenne. Pour cela, le ministère a besoin de prouver à la Commission européenne que le secteur de la volaille fermière est source d'emplois et de dynamiques territoriales et a besoin de ces tueries qui transforment. Les DDCSPP vont envoyer à tous les éleveurs possédant une tuerie un questionnaire en ligne sur leur activité. Le ministère s'est engagé à ne pas utiliser ces réponses à d'autres fins que la pérennisation de cette dérogation. La Confédération Paysanne et l'ANAFIC* appellent les éleveurs de volaille fermière à répondre à cette enquête pour démontrer à l'administration que l'aviculture fermière et indépendante est un secteur économique de grande importance. Retrouvez le questionnaire à remplir. * ANAFIC Association nationale de l'aviculture fermière indépendante et citoyenne, regroupant la Confédération paysanne, le Modef, des associations de producteurs, et des associations de consommateurs. Source image REGLEMENTATION31/07/2020 Attache des bovins qu'est-ce qui change dans le nouveau réglement bio ? La nouvelle réglementation applicable au 1er janvier 2021 comprend une modification des règles sur l'attache des bovins. Pour rappel, la dérogation autorisant l'attache des bovins l'hiver prévoit 3 conditions cumulatives accès au pâturage en période de pacage, accès au plein air deux fois par semaine quand l'accès au pâturage n'est plus possible, et ferme de petite taille. La nouvelle réglementation précise la notion de "petite ferme", en tenant compte du nombre maximal d'animaux présents sur la ferme. Ainsi, à partir du 1er janvier 2021, la dérogation sera accordée uniquement aux fermes de moins de 50 animaux en décomptant les jeunes. Cliquez sur "plus d'infos" pour connaître le type d'animaux à prendre en compte et les détails sur la situation de l'hiver 2020-2021. Contact Auprès de vos conseillers élevage ANNONCES29/07/2020 Recherche d' par un adhérent du GABSeL 71 Victor BONNOT de La Ferme de Papa recherche pour rejoindre son activité à Lalheue 71 élevage de bovins viande, culture de céréales, production d'huiles végétales, avec point de vente à la ferme viande, huile farine, produits locaux. Il est motivé pour partager ses réflexions avec et développer de nouveaux produits et de nouveaux marchés. Contact BONNOT Victor - 06 18 88 85 81 - COMME SI VOUS Y ETIEZ...28/07/2020 Retour sur la visite technique maraîchage et démonstration du Toutilo 89 Lundi 27 juillet dernier, la ferme aux cailloux a ouvert les portes de ses serres et de son plein champ, pour une visite technique en maraîchage bio orientée sur l'ergonomie au travail. Après la présentation de la ferme et de la conduite des cultures en place, par Laurent, maraîcher de l'exploitation, les participantes de la journée on pu tester le matériel Toutilo. L'usage de ce porte-outil et porte-personne à motorisation électrique a été testé sur le désherbage et buttage de poireau, la récolte de haricots, ainsi que la plantation de salade. Contact Camille Giraudet - camille.giraudetatbiobourgogne.org - 06 49 58 62 40 ANNONCES07/07/2020 Recherche de candidats pour installations multiples en bio et reprise d'une ferme en Côte d'Or 21 La ferme, localisée dans le Chatillonnais, est détenue par un GFA familial qui vendra l'ensemble de la propriété. Une discussion est en cours avec un acquéreur dont le projet commun est de pouvoir mettre en place plusieurs activités sur cette ferme. La ferme est actuellement conduite en agriculture biologique en production céréalière, avec une partie en prairies permanentes. Avec la mise en place potentielle de 2 projets, il reste une partie des bâtiments ancien corps de ferme comprenant bâtiments en pierre avec granges, hangar, stabulation et hangar métallique et du foncier à pourvoir, environ 70ha de terres labourables. Le projet est fortement orienté sur la location des bâtiments et du foncier. Il devra impérativement s'inscrire en agriculture biologique. Contact Séverine PRUDENT - animatrice GAB21 - 06 78 54 48 48 - gab21 FNAB07/07/2020 Aides bios face aux erreurs de l'administration, la Confédération paysanne et la FNAB vont exercer une action en justice Paris, le 01/07/20. Après les retards de paiements, la suppression des aides au maintien à l'agriculture biologique, la FNAB et la Confédération paysanne s'allient aujourd'hui pour défendre les producteurs bio faisant l'objet de demandes infondées de remboursement d'aides. La FNAB et la Confédération paysanne ont engagé contre l'Etat une action en reconnaissance de droit ». Si cette procédure juridique aboutit, elle devrait permettre à tous les paysan-ne-s bio injustement lésés de se voir reconnaître le droit de toucher les aides qui leur sont dues. Lire l'intégralité du communiqué de presse. VIE DU RESEAU03/07/2020 Communiqué de presse Vitrine web des bio de Bourgogne - site 100% dédié aux produits bio et locaux ANNONCES23/06/2020 Consultation publique en cours sur le projet de charte d'utilisation des produits phytosanitaires en Saône-et-Loire Une consultation publique est actuellement en cours en Saône-et-Loire via le site de la Chambre d'Agriculture de Saône-et-Loire, portant sur le projet de charte d'utilisation des produits phytosanitaires. Consultation publique disponible ici Il ne vous reste plus que quelques jours pour y répondre cette phase de concertation des riverains, organisations agricoles et associations départementales de défense des intérêts collectifs des habitants prendra fin le 30 juin en Saône-et-Loire. ANNONCES23/06/2020 Consultation publique en cours sur le projet de charte d'utilisation des produits phytosanitaires dans l'Yonne Une consultation publique est actuellement en cours dans l'Yonne via le site de la Chambre d'Agriculture de l'Yonne, portant sur le projet de charte d'utilisation des produits phytosanitaires. Consultation publique disponible ici Il ne vous reste plus que quelques jours pour y répondre cette phase de concertation des riverains, organisations agricoles et associations départementales de défense des intérêts collectifs des habitants prendra fin le 25 juin dans l'Yonne. ANNONCES12/06/2020 Assemblée générale de l'Association pour un abattoir de volailles dans le Charolais - Brionnais 71 29/06/2020 L'Association pour un abattoir de volailles dans le Charolais - Brionnais 71 organise son assemblée générale ordinaire le lundi 29 juin 2020, à 18h30, dans la salle du conseil municipal de Saint-Bonnet-de-Joux, 1 Place du Champ de foire 71 220. L'Association, créée en février 2019, vise à mettre en place un abattoir collectif de volailles afin de répondre aux besoins des éleveurs du Charolais - Brionnais, outil de proximité à petite échelle, au service des éleveurs, géré par eux-mêmes. Si vous êtes par ce projet, n'hésitez pas à venir à l'assemblée générale pour en savoir plus sur le projet et pour poser vos éventuelles questions ! Contact Aline VUE, animatrice territoriale de BIO BOURGOGNE en Saône-et-Loire aline.vue et 06 33 35 37 48 COMME SI VOUS Y ETIEZ...10/06/2020 Retour sur une visite technique arboriculture biologique au Clos de Rochy 89 Le Clos de Rochy, ferme pionnière dans l'arboriculture biologique du département de l'Yonne, a ouvert ses portes mardi 9 juin, pour une visite de ses vergers. La dizaine de participantes à cette matinée technique a pu découvrir les vergers piétons de pommes à couteau et de poires, ainsi que les prés-vergers de pommes à cidre. Les échanges entre arboriculteurrices bio de la région ont été nombreux... Contact Camille Giraudet - camille.giraudetatbiobourgogne.org - 06 49 58 62 40 Demande de soutien04/06/2020 Le Court-Circuit Création d'un magasin de producteurs locaux dans l'Yonne - Aidez les producteurs à financer leur projet ! 5 producteurs bio ont besoin de vous pour ouvrir un magasin de producteurs locaux dans l'Yonne aidez-les à financer leur projet ! Des agriculteurs bio du Pays d'Othe souhaitent créer un magasins de producteurs à Villeneuve-sur-Yonne. Cette démarche est porteuse de sens elle participe au développement économique et social du territoire, a un impact environnemental positif et favorise une alimentation plus saine et en lien direct avec les producteurs locaux. L'ouverture est prévue pour l'été 2020. Des produits locaux variés seront proposés à la vente viandes, légumes frais et secs, œufs, laitages, fruits, épicerie, boissons et boulangerie. Une belle initiative à soutenir sur Miimosa ! VIE DU RESEAU02/06/2020 Une équipe 100% dédiée à la bio, à votre service Suite aux dernières annonces du Gouvernement, les équipes de BIO BOURGOGNE ont pu reprendre leurs activités impliquant des rencontres physiques formations, visites techniques, …, sous réserve du respect des gestes barrières et de la distanciation physique. Nos bureaux restent fermés jusqu'à nouvel ordre mais les salariés restent joignables par téléphone portable professionnel et par e-mail aux coordonnées habituelles. Alors n'hésitez pas à faire appel à nos services spécialisés en Agriculture Biologique ! Coordonnées de l'équipe de BIO BOURGOGNE ANNONCES02/06/2020 L'Agence Bio vous invite à découvrir les prochains rendez-vous bio ANNONCES28/05/2020 Recherche de producteurs/trices bio pour approvisionner le collège de Couches 71 Le collège de Couches en Saône-et-Loire mène une démarche d'approvisionnement en produits bio et locaux ! BIO BOURGOGNE et le Groupement des Agro-Biologistes de Saône-et-Loire GABSeL l'accompagnent dans cette démarche. Le collège est en particulier à la recherche de fruits, légumes, viande, produits laitiers ainsi que de légumineuses et céréales. Contact Aline Vue, animatrice territoriale de BIO BOURGOGNE en Saône-et-Loire aline.vueatbiobourgogne.org supprimez les parenthèses et remplacez "at" par "" ou 06 33 35 37 48 VIE DU RESEAU18/05/2020 Fête du Lait Bio et Printemps Bio 2020 En raison de la pandémie du COVID-19, des événements organisés habituellement au mois de juin, ont été reportés. C'est le cas de la Fête du Lait Bio, initialement prévue le dimanche 7 juin et de la campagne nationale du Printemps bio coordonnée par l'Agence Bio, 1ère quinzaine de juin. L'Agence Bio prévoit une communication forte sur la bio début octobre. Toutefois, elle continuera de relayer sur son site et sur les réseaux sociaux les manifestations qui seront organisées en régions pendant la période estivale. N'hésitez pas à nous tenir informés des événements que vous aviez prévu d'organiser à l'occasion de ces campagnes, en contactant votre animateur/trice de GAB GAB21 Séverine Prudent 06 78 54 48 48 – gab21 GABNI Hélène Cadiou 06 07 50 61 09 – gabni GABSeL Aline Vue 06 33 35 37 48 – gabsel GABY Florestan Bargain 06 08 02 87 94 – gaby Nous pourrons ainsi communiquer sur vos événements tout au long de l'année, via nos deux sites internet BIO BOURGOGNE et BioBourgogne Vitrine, nos pages Facebook, ainsi que le bulletin Consom'Actions diffusé à plus de 2 500 abonnés. ANNONCES05/05/2020 Recherche de producteurs pour fournir un magasin bio 21 Contenu réservé aux des GAB via Les nouvelles de la bio ! Pour adhérer, contactez l'animateur/trice du Groupement des Agro-Biologistes GAB de votre département. ANNONCES05/05/2020 Recherche de maraîchers bio pour l'ouverture d'un locavor 21 Contenu réservé aux des GAB via Les nouvelles de la bio ! Pour adhérer, contactez l'animateur/trice du Groupement des Agro-Biologistes GAB de votre département. ENQUETE30/04/2020 Enquête en ligne sur la PAC et les petites exploitations Des chercheurs de l'INRAE et de Montpellier Supagro réalisent une étude sur les petites fermes et souhaitent avoir des remontées du terrain. Ils travaillent sur la définition d'aides spécifiques adaptées pour les petites fermes. Voici l'enquête FNAB29/04/2020 Consultation de la FNAB projet politique du réseau Contenu réservé aux des GAB via Les nouvelles de la bio ! Pour adhérer, contactez l'animateur/trice du Groupement des Agro-Biologistes GAB de votre département. REGLEMENTATION28/04/2020 Accès à l'extérieur des veaux laitiers en phase lactée Vous en avez sûrement entendu parler, il faudra désormais offrir l'accès à une aire d'exercice extérieure aux veaux d'élevages laitiers en phase lactée. La FNAB travaille sur le sujet avec ses commissions lait et réglementation, afin qu'une position claire soit prise au niveau de l'INAO qui gère l'application de la règlementation bio sur le terrain par les organismes certificateurs. Voici un premier point de situation. Les veaux devront pouvoir avoir accès à cet espace extérieur avec les m² minimum précisés dans le règlement. Mais de la même manière que l'accès au pâturage pour les vaches, cet accès à l'extérieur ne sera obligatoire que lorsque les conditions le permettent. REGLEMENTATION28/04/2020 Rester vigilant sur l'influenza aviaire La situation épidémiologique de l'Influenza aviaire continue d'évoluer défavorablement, notamment en Hongrie et en Allemagne, où de nombreux foyers ont été détectés en mars et en avril. Dans le même temps, la surveillance de la mortalité de l'avifaune sauvage maintenue malgré le contexte Covid-19 actuel, n'a pas permis à ce jour de détecter de cas en France. Il est cependant essentiel de maintenir la vigilance sur les signes cliniques dans les élevage pouvant laisser suspecter l'influenza. L'apparition des signes cliniques suivants, pas nécessairement associés à une mortalité, doit également inciter à inclure l'influenza aviaire dans la mise en œuvre du diagnostic différentiel chutes de ponte éventuellement associées à une altération de la coloration ou de la qualité de la coquille, signes neurologiques, respiratoires, cutanés œdème, congestion, hémorragies ou digestifs. AIDES28/04/2020 Obtenir un prêt à taux zéro grâce à une cagnotte solidaire 71 Vous en avez peut-être entendu parler, des cagnottes solidaires se mettent en place. Il s'agit d'attribuer des prêts à taux zéro à des producteurs/trices pour réaliser un investissement utile à leurs activité agricole en mobilisant l'épargne citoyenne. AIDES24/04/2020 La Région Bourgogne - Franche-Comté doit tenir ses engagements pour un vrai changement d'agriculture Après sa récente consultation, le Conseil Régional de Bourgogne - Franche-Comté supprime la possibilité de verser l'aide au Maintien » en agriculture biologique. Notre réseau bio, rejoint par d'autres organisations agricoles et par les associations environnementales et de consommateurs, souhaite exprimer publiquement son incompréhension. Lire l'intégralité du communiqué de presse. FNAB23/04/2020 Emmanuel Macron déclare la guerre à la transition écologique Paris, 23/04/20. Pour son premier déplacement dans le monde agricole depuis le début de la crise du COVID-19, le Président de la République a choisi de valoriser le modèle agricole le plus déconnecté du monde vivant ; un modèle aseptisé, artificialisé, où il y a plus de béton que de terre, où les fruits et les légumes sont chauffés toute l'année. Un modèle qui pourtant devrait aujourd'hui se remettre en question, à l'aune de ce que l'on comprend des pandémies, mais aussi du rôle que l'agriculture a joué et jouera encore dans les crises sanitaires et écologiques, passées et à venir. Lire l'intégralité du communiqué de presse. ANNONCES07/04/2020 Chiffres provisoires de la bio en Saône-et-Loire en 2019 Retrouvez les chiffres provisoires de l'agriculture biologique en Saône-et-Loire pour l'année 2019 dans le focus dédié de l'Observatoire régional de l'agriculture biologique en cliquant ici. Pour consulter ou télécharger l'Observatoire régional de l'agriculture biologique 2019 sur les données 2018, cliquez ici ou rendez-vous sur la page dédiée aux chiffres de l'AB en Bourgogne. ANNONCES07/04/2020 Focus A lire, des données sur l'agriculture biologique sur le bassin Rhône-Méditerrannée Corse à l'échelle de la région Bourgogne-Franche-Comté, spécifiquement en Côte d'Or et en Saône-et-Loire pour la Bourgogne, en cliquant ici. Pour consulter ou télécharger l'Observatoire régional de l'agriculture biologique 2019 sur les données 2018, cliquez ici ou rendez-vous sur la page dédiée aux chiffres de l'AB en Bourgogne. INFOS TECHNIQUES03/04/2020 OPTIBIO NOUVEL OUTIL D'ENREGISTREMENT SPECIFIQUE BIO ! Ce nouvel outil conçu par et pour les agriculteurs bio vous permettra D'enregistrer vos pratiques et de faciliter les audits des organismes de contrôle D'analyser vos pratiques en pluriannuel De comparer instantanément vos résultats économiques avec d'autres exploitations pour les optimiser MOBILISATION DU RESEAU03/04/2020 Continuer l'activité sur les fermes en toute sécurité - covid-19 Pôle Emploi a mis en place une plateforme officielle dédiée aux secteurs d'activité et entreprises jugés prioritaires, dont l'agriculture. La FNAB est partenaire de cette initiative. Retrouvez les documents ressources afin de mettre en place les mesures nécessaires en termes d'organisation du travail sur vos fermes, avec en particulier une synthèse du cadre légal et sanitaire des recrutements, ainsi que le lien vers la plateforme de Pôle Emploi en cliquant sur le lien ci-dessous "plus d'infos". REGLEMENTATION02/04/2020 Impacts du covid-19 sur la certification bio Vous êtes producteur/trice et souhaitez convertir vos terres en bio ? Vous souhaitez demander une réduction de la période de conversion ? Votre certificat bio arrive à échéance ? Vous souhaitez faire certifier une nouvelle activité bio ? Le site Produire bio de la FNAB apporte des réponses à vos questions concernant la certification bio en période de confinement. MOBILISATION DU RESEAU01/04/2020 Soutien à la commercialisation en circuit court Nous recevons des appels et demandes de consommateurs/trices pour s'approvisionner localement... Contenu réservé à nos ! Pour adhérer, contactez l'animateur/trice de votre Groupement départemental d'Agro-Biologistes GAB. ANNONCES01/04/2020 Visibilité grâce à la Vitrine des Bio de Bourgogne En cette période de crise sanitaire et de confinement, beaucoup de consommateurs/trices se tournent vers un approvisionnement local et bio. La Vitrine interactive des Bio de Bourgogne vous permet de communiquer largement sur vos produits disponibles en vente directe ou en circuits courts auprès des consommacteurs/trices ! Nous renvoyons les demandes de produits locaux et bio vers la Vitrine. Contact contact MOBILISATION DU RESEAU01/04/2020 Adaptation de la commercialisation les GAB se mobilisent L'ensemble des GAB de Bourgogne GABNi, GABY, GABSeL et GAB21 regrettent la mesure prise d'interdire les marchés de plein vent. Celle-ci nous semble inadaptée à nos marchés de campagne et de petites villes. Nous sommes convaincus qu'il est possible d'organiser les marchés de manière à respecter les gestes barrières, au moins aussi bien que dans les grandes et moyennes surfaces. Pour soutenir nos adhérents, nous avons envoyé un courrier aux différentes associations départementales des maires pour les encourager à maintenir les marchés de plein vent ouverts. Nous avons aussi proposé aux producteurs plusieurs alternatives pour la commercialisation de leurs produits dans le respect des règles sanitaires en vigueur pour lutter contre la propagation du virus. Si vous souhaitez être des possibilités de commercialisation du réseau bio de Bourgogne, réservées à ses contactez l'animateur/trice du GAB de votre département pour adhérer ! MOBILISATION DU RESEAU31/03/2020 Fermetures marchés de plein air Dans la crise il nous faut inventer de nouvelles solidarités Retrouvez ici le communiqué de presse de la Fédération Nationale d'Agriculture Biologique et de la Confédération Paysanne, auquel s'associent les Groupements des AgroBiologistes de Bourgogne, en réaction à la fermeture des marchés de plein air. AIDES30/03/2020 Point sur les aides bio 2020 Le Comité Régional Agri-Environnemental et Climatique CRAEC de la Bourgogne-Franche-Comté devait se tenir le 20 mars 2020 à Dijon. En raison de la crise sanitaire une consultation électronique a été mise en place en remplacement. Nous avons ainsi pu avoir quelques infos concernant les aides bio pour la campagne 2020. Contenu détaillé réservé aux des GAB. Pour adhérer, contacter l'animateur/trice du GAB de votre département. ANNONCES26/03/2020 Pour transformer vos produits dans le Clunisois 71, rejoignez Melting popote ! Pour Melting Popote, le chantier s'est arrêté comme beaucoup d'activités en ce mois de mars, mais l'état d'avancement laisse espérer un laboratoire partagé de transformation agro-alimentaire opérationnel pour l'automne prochain. L'association est à la recherche de personnel responsable de fabrication et boucher et de clients. Si vous êtes pour transformer vos produits légumes, viandes, fruits..., rejoignez le collectif des futurs usagers au sein de l'association Melting Popote, comme plusieurs producteurs/trices bio du Clunisois en particulier. Contact Marie FAUVET, chargée de projet de l'association Melting Popote, au ou meltingpopote71atgmail.com ANNONCES23/03/2020 Commercialisation en restauration collective avec Manger Bio Bourgogne Franche-Comté Vous souhaitez commercialiser vos produits aux restaurants collectifs de la région ? Rejoignez l'association Manger Bio Bourgogne Franche-Comté, un outil 100% coopératif aux mains des producteurs. Ouverte à tous, elle permet la reconnexion entre l'offre locale et les restaurants collectifs de la région. L'activité commerciale a débuté en janvier 2020 et les agriculteurs souhaitant proposer leurs produits et enrichir le catalogue sont les bienvenus. N'hésitez pas à prendre contact ! L'activité est bien évidemment quasiment à l'arrêt en cette période, mais il s'agit d'être pour la reprise ! Contact Camille KIPPEURT, responsable du développement de la plateforme ou 06 17 84 49 26 COMME SI VOUS Y ETIEZ...16/03/2020 Les producteurs de Sapins de Noël visitent des parcelles bio ! Les membres du Groupe 30 000 Sapins de Noël poursuivent leur travail pour améliorer leurs pratiques. La semaine dernière, avoir avoir visionné collectivement les résultats de leurs diagnostic et bilan IFT, ils ont pu visiter une exploitation conduite en agriculture biologique depuis plus de 5 ans. L'après-midi a été support d'échanges techniques de taille et de partages autour des questionnements propres à la conduite biologique gestion de l'enherbement, couleur des sapins, travail du sol et itinéraire technique, gestion des ravageurs et maladies etc... COMME SI VOUS Y ETIEZ...13/03/2020 Retour sur l'assemblée générale du GABSeL le 12 mars 2020 à Tournus 71 Le Groupement des Agro-Biologistes de Saône-et-Loire a tenu son assemblée générale le jeudi 12 mars 2020 au lycée de l'horticulture et du paysage de Tournus. Pour visualiser la présentation des activités du GABSeL, de l'état des lieux de l'agriculture biologique en Saône-et-Loire en 2019, cliquez ici. Pour lire l'article paru suite à l'AG dans L'exploitant agricole de Saône-et-Loire le 27 mars, cliquez ici. AIDES11/03/2020 La Région vous accompagne pour préserver la biodiversité - Les aides vergers / bocages 2020 sont en ligne ! La Région adapte son territoire au changement climatique, en préservant la biodiversité qui est au cœur de ses priorités. Le conseil régional apporte son soutien aux initiatives des collectivités, des associations et des particuliers pour la sauvegarde des variétés fruitières anciennes, la restauration et la plantation de haies bocagères, d'arbres et de bosquets. COMME SI VOUS Y ETIEZ...11/03/2020 Retour sur la formation "Entretenir ses arbres fruitiers en bio" Lundi 9 mars dernier, 15 agriculteurrices se sont initiées à l'arboriculture biologique lors de la formation Entretenir ses arbres fruitiers biologiques qui a eu lieu à Saint-Pierre-le-Moutier. Contact VIE DU RESEAU05/03/2020 SUSPENSION DE LA DEGUSTATION DES BIO-RENCONTRES prévue le 10 mars 2020 L'Association des Grands Jours de Bourgogne a pris la décision d'annuler l'ensemble des dégustations prévues la semaine du 9 au 13 mars en raison de l'épidémie du Covid-19 Coronavirus. La dégustation des Bio-Rencontres, organisée le mardi 10 mars au Domaine du Clos Frantin, à Nuits-Saint-Georges, est suspendue. Cette décision, en cohérence avec la suspension des Grands Jours de Bourgogne, vient d'être prise par le comité d'organisation de BIO BOURGOGNE et en prévention de l'évolution rapide de la pandémie de coronavirus. Le comité d'organisation souhaite garder un principe éthique et moral par rapport à l'état sanitaire de l'ensemble des participants. Le comité d'organisation espère pouvoir reporter cette manifestation. L'association des Grands Jours de Bourgogne se donne un mois pour décider de la suite à donner. VIE DU RESEAU03/03/2020 L'équipe salariée de la Nièvre s'agrandit L'équipe salariée du GABNi et de BIO BOURGOGNE basée à Nevers s'agrandit en 2020. Adrien LURIER à gauche sur la photo, conseiller grandes cultures et animateur du GIEE Innov Bio 58 était basé à Auxerre jusqu'à maintenant, il garde les mêmes missions mais les mettra en place depuis Nevers. Raphaëlle LAISSE à droite travaille pendant un an à nos côtés et en partenariat avec le Conseil Départemental de la Nièvre pour faciliter l'accès aux produits bio et locaux sur le département. Elle réalise dans un premier temps un diagnostic pour identifier les initiatives existantes, recenser les besoins du territoire et connaître la production/distribution des produits bio nivernais. Une deuxième étape se focalisera sur les actions à entreprendre, leur faisabilité et leur portage en lien avec l'ensemble des acteurs locaux. Avec Damien NICOLAS - conseiller polyculture-élevage et Hélène CADIOU - animatrice territoriale et conseillère maraîchage, l'équipe est là pour répondre à vos attentes et à vos questionnements concernant l'agriculture biologique sur le territoire. N'hésitez pas à nous solliciter ! Contact du GABNi 03 86 36 94 25 Photo prise par Théophile Mercier - Terres de Bourgogne MOBILISATION DU RESEAU03/03/2020 Débat public "imPACtons !" sur la PAC Contenu réservé à nos adhérents, pour adhérer contactez l' de votre département. ANNONCES02/03/2020 Recherche de producteurs locaux et bio par la BIOCOOP d'Autun 71 Pour son tout nouveau magasin dans le centre d'Autun 71, Biocoop recherche des producteurs bio et locaux pour l'approvisionner. Si vous êtes contactez directement le magasin au 09 67 22 51 27. Le magasin est situé 14 rue de la Croix blanche, 71 400 Autun. ANNONCES18/02/2020 BIO BOURGOGNE recrute une conseillere élevage / responsable du service Elevages BIO BOURGOGNE recrute un conseiller spécialisé élevages, qui aura la responsabilité du service Élevages de l'association. Travailler pour BIO BOURGOGNE, c'est rejoindre une équipe dynamique d'une vingtaine de personnes au service du développement de l'Agriculture biologique. Nous recherchons une personne expérimentée. Prise de poste entre mai et septembre, candidatures à envoyer avant le 13 mars. Consulter l'offre d'emploi Plus d'informations Aurélie BILLON, aurelie.billonatbiobourgogne.org, 06 80 43 16 97 Grandes cultures10/02/2020 Enquête thèse gestion des adventices et fertilisation azotée Bonjour, nous invitions tous les producteurs à répondre à l'enquête d'INRAE ex INRA sur la gestion des adventices et l'azote. Réalisée par 4 étudiants d'Agrosup Dijon, les résultats contribueront à une thèse et à l'amélioration des leviers de contrôle des adventices. AIDES07/02/2020 Communiqué FNAB - Future PAC Future PAC la Bio ne sera toujours pas le premier bénéficiaire de l'argent public agricole ! Communiqué de presse téléchargeable ici Paris, le 06/02/20. Alors que les bénéfices économiques, environnementaux et sociaux de l'agriculture biologique ont été démontrés et chiffrés par les scientifiques, alors que la Cour des comptes épingle la non efficacité des politiques de réduction des produits phytosanitaires, alors que le Sénat qualifie le plan Ambition Bio de communicationnel[3], le ministère de l'agriculture poursuit sa politique et relègue l'agriculture biologique au rang de variable d'ajustement de la future politique agricole commune PAC, aux côtés d'autres mesures qui n'ont pas prouvé leur efficacité. MOBILISATION DU RESEAU06/02/2020 Les gains syndicaux de la FNAB en 2019 Contenu réservé aux adhérents, pour adhérer veuillez contacter l'animateur/trice du GAB de votre département. VIE DU RESEAU06/02/2020 Décès d'un fervent administrateur du GABNi Gilbert Champagne nous a quittés beaucoup trop tôt. Paysan bio et musicien, il s'était installé à la ferme des Desrues à Dornes. Fervent défenseur de l'agriculture biologique, initiateur de la fête écobiologique nivernaise, administrateur actif et fédérateur au GABNi durant de nombreuses années, il venait de passer le relai à sa fille Lucile et à son gendre Anthony. S'il avait pris sa retraite d'agriculteur, il n'était pas moins engagé pour sa planète ». Merci Gilbert pour tout ce que tu as fait pour le développement de la bio ; les paysans bio et animateurs du réseau qui ont milité à tes côtés ne t'oublieront pas. ANNONCES05/02/2020 Rejoindre le projet d'abattoir collectif de volailles dans le Charolais-Brionnais 71 Vous voulez faire abattre vos volailles dans le Charolais - Brionnais 71 ? Rejoignez le projet d'abattoir collectif de volailles à Saint-Bonnet-de-Joux ! L'Association pour un abattoir de volailles dans le Charolais - Brionnais est ouverte à tous les éleveurs de volailles. L'enjeu est de répondre à un besoin des producteurs, en créant un outil de proximité à petite échelle, au service des éleveurs, géré par eux-mêmes. Contact Aline VUE, animatrice territoriale de BIO BOURGOGNE en Saône-et-Loire aline.vue et 06 33 35 37 48 VIE DU RESEAU03/02/2020 Consultation Climat & Agriculture Contenu réservé à nos adhérents, pour adhérer contactez l' de votre département. VIE DU RESEAU03/02/2020 Appel à candidatures commissions techniques de BIO BOURGOGNE Vous êtes adhérent à votre GAB départemental ? Si oui, vous connaissez certainement l'existence des commissions spécialisées de BIO BOURGOGNE et leur rôle essentiel pour faire remonter les problématiques et les besoins des agriculteurs bio, par secteur de production, au niveau régional et national. Elles permettent également de mettre en place une programmation d'actions la plus proche possible de vos besoins ! Nous sommes donc à la recherche d'agriculteurs intéressés pour faire partie de cette commission. Tous les profils sont bienvenus pas besoin d'être expérimenté en bio ou d'être au fait de l'actualité réglementaire ! Vie des structures bio bourguignonnes21/01/2020 Meilleurs voeux ! Le réseau bio de Bourgogne, BIOBOURGOGNE et les GAB départementaux, les présidents, l'ensemble des élus et des salariés vous présentent leurs meilleurs voeux. COMME SI VOUS Y ETIEZ...16/01/2020 Journée d'information pour les porteurs de projets en maraîchage bio Le 14 janvier, BIO BOURGOGNE a organisé une journée à destination des porteurs de projets en maraîchage bio dans la Nièvre, en collaboration avec la Chambre d'Agriculture de la Nièvre. Cette journée a rassemblé une vingtaine de participants, dont certains étudiants en CAPA Maraîchage du LEGTA de Challuy ou en BPREA au CFPPA du Morvan. Le matin, les échanges en salle ont permis de présenter le métier de maraîcher, les conseils à l'installation, le contexte règlementaire, notamment autour du cahier des charges en agriculture biologique. L'après-midi, les participants ont pu visiter la ferme de Guillaume Debeer, maraîcher installé à La Baratte à Nevers, et échanger avec lui sur son parcours à l'installation et son activité aujourd'hui. Contact Hélène Cadiou - - helene.cadiouatbiobourgogne.org ANNONCES15/01/2020 Recherche de partenaire pour projet agricole collectif dans le piméont charolais 71 Ferme de 60 ha, dans le piémont charolais, en polyculture élevage, en bio depuis 2003 production laitière, œufs, PAM, maraîchage, houblon... Recherche partenaire pour rejoindre le collectif et continuer à évoluer vers ses idéaux permacultures et autres - agroforesterie, bio-dynamie.... Sont déjà sur place élevages bovins, volailles, serres et irrigation, laboratoire de transfo froide, prairies, cultures. 1er contact par courriel fermedesgrandsnoyersatfree.fr ANNONCES14/01/2020 Réunions d'information AGRI local 71 pour la vente à la restauration collective - 02/2020 71 Le Conseil départemental organise, en partenariat avec BIO BOURGOGNE, le GABSeL, la Chambre d'agriculture et la Chambre des métiers et de l'artisanat, 3 réunions d'information destinées aux producteurs/trices, en particulier bio, et artisans, par le débouché de la restauration collective. Rendez-vous - Mardi 4 février, à Louhans, de 14h à 16h, à la Maison de l'emploi, 4 promenade des cordeliers - Lundi 10 février, à Chalon-sur-Saône,de 10h à 12h, à la Chambre des métiers et de l'artisanat, 185 Avenue Boucicaut - Lundi 10 février, à Mâcon, de 14h à 16h, au Département de Saône-et-Loire, Espace Duhesme, 18 rue de Flacé, Salle Rambuteau – bâtiment Loire Contact Aline VUE, animatrice territoriale de BIO BOURGOGNE en Saône-et-Loire et du Groupement des Agro-Biologistes de Saône-et-Loire GABSeL ou 06 33 35 37 48. FNAB10/01/2020 L'agriculture biologique, la solution mal-aimée du plan Ecophyto La FNAB réagit à l'annonce de la hausse des ventes de produits phytosanitaires en 2018 dans son communiqué de presse du 8 janvier, téléchargeable ici. VIE DU RESEAU10/01/2020 Témoignages d'agriculteurs bio L'ADENY et YNE Yonne Nature Environnement ont réalisé de courtes vidéos pour illustrer un projet de cantine bio et le travail de différentes fermes bio et de la région. ENQUETE10/01/2020 Enquête éleveurs de monogastriques annuaire régional des opérateurs bio Vous êtes éleveur bio en Bourgogne-Franche-Comté de volailles et/ou de porcs ? BIO BOURGOGNE et Interbio Franche-Comté vous proposent de répondre à une enquête qui nous permettra d'établir un annuaire régional des opérateurs et fournisseurs qui travaillent avec les éleveurs bio. La synthèse des réponses permettra d'établir un carnet d'adresses détaillé, qui sera fourni sur demande auprès de BIO BOURGOGNE. Répondre à l'enquête monogastriques Comptant sur votre participation afin d'établir un outil d'intérêt collectif, le plus complet possible. Contact Lola JEANNINGROS COMME SI VOUS Y ETIEZ...09/01/2020 Evaluer l'état d'engraissement des bovins bio faire le lien entre les animaux vifs et les carcasses 15 éleveurs ont participé à la formation faisant intervenir Féder Eleveurs Bio, portant sur la qualité des carcasses. La journée était divisée en deux périodes - Matinée en ferme les éleveurs ont été initiés au pointage, qui permet d'estimer les animaux vifs, et d'optimiser la période de départ des animaux de l'exploitation. - Après-midi à l'atelier de découpe Séléviandes à St Rémy les éleveurs ont pu profiter de la visite de l'atelier pour comprendre l'impact de leurs pratiques d'élevage et de la sélection des animaux sur la qualité des produits après abattage. Les participants étaient principalement originaires du secteur, 4 éleveurs ont fait le déplacement depuis la Nièvre et l'Yonne. COMME SI VOUS Y ETIEZ...19/12/2019 Retour sur la formation biodiversité dans les vignes Deux journées pour favoriser la biodiversité dans les vignes ! Deux formations sur la biodiversité des vignes ont été organisées les 21 et 28 novembre, respectivement à Beaune et à Chablis, avec l'intervention des LPO Côte-d'Or et Saône-et-Loire et LPO Yonne. Ces deux journées ont rassemblé 13 professionnels et ont permis d'identifier les éléments pouvant favoriser la faune et la flore sauvage dans le vignoble. Contact Diane GUILHEM - 06 71 63 29 73 ou FNAB13/12/2019 Agriculture biologique et biodiversité Le nouveau guide de la FNAB "Agriculture biologique et biodiversité" est disponible. Ce guide présente ce qui fait de l'agriculture biologique un partenaire de la biodiversité avant de donner des réponses à la question "Comment les collectivités locales peuvent-elles favoriser une agriculture favorable à la biodiversité ?". Il est accompagné de 10 fiches qui présentent des expériences concrètes portées par des agriculteurs, des collectifs agricoles et des collectivités locales. Pour consulter le guide cliquez ici. Pour consulter les 10 fiches expériences cliquez ici. ANNONCES09/12/2019 Projet d'atelier de transformation collectif sur la Ferme de Toussacq 77 Pour répondre aux interrogations des producteurs se questionnant sur la faisabilité et l'intérêt de la mise en place de projets de diversification par la transformation, la coopérative d'activités agricoles et alimentaires Les Champs des Possibles met en place et anime des ateliers collectifs de transformation. L'un de ces sites partagés est la ferme de Toussacq, ferme coopérative située dans le sud Seine et Marne et dont les bâtiments abritent un futur laboratoire de transformation. Celui-ci a pour objectif d'être rendu accessibles aux producteurs du territoire pour leur permettre de tester et développer des activités de diversification en utilisant de manière temporaire ou pérenne ces installations. Vous trouverez en premier lieu les détails du projet dans le document ci-joint. Nous vous invitons également à vous manifester auprès de alice Elle vous proposera de participer à une rencontre pour vous présenter plus en détails la ferme et la coopérative et pour partager en groupe les attentes, besoins et contraintes de chacun afin d'envisager les suites possibles pour ce laboratoire partagé. Contact alice VIE DU RESEAU06/12/2019 Nouvelle animatrice conseillère maraîchage et cultures pérennes Bonjour à toutes et tous ! Je suis Camille Giraudet la nouvelle recrue à BIO BOURGOGNE, en tant qu'animatrice conseillère en maraîchage biologique. Je prends la suite de Marin Arlaud, en animant notamment le groupe DEPHY de maraîcherères biologiques de l'Yonne. Et ce n'est pas tout, puisque je suis également animatrice et conseillère en cultures pérennes biologiques, à la fois arboriculture, petits fruits ainsi que sur l'agroforesterie au sens large. INFOS TECHNIQUES05/12/2019 Parution de l'Observatoire Régional de l'Agriculture Biologique en Bourgogne-Franche-Comté 2019 chiffres 2018 L'Observatoire Régional de l'Agriculture Biologique en Bourgogne-Franche-Comté 2019 chiffres 2018 est paru. Réalisé à partir des données collectées par BIO BOURGOGNE et Interbio Franche Comté, et avec la participation de la Chambre Régionale d'Agriculture pour le focus "installation", cet observatoire présente les chiffres de la bio au 31 décembre 2018 pour la grande région, et leur analyse. A retrouver sur la page dédiée aux chiffres de la bio. Pour lire le communiqué de presse, cliquez ici. VIE DU RESEAU29/11/2019 Plus de bio locale grâce à vos achats en ligne Aujourd'hui, le Pôle Bio Massif Central, association reconnue d'intérêt général dont fait partie Bio BOURGOGNE, rejoint l'aventure Prizle. Grâce à vos achats en ligne, vous pouvez nous soutenir gratuitement ! Prizle compte déjà plus de 1 000 sites marchands et plus de 300 associations issues de différents domaines. Comment ça marche ? Grâce à un pluging installé sur votre moteur de recherche, vous pouvez faire un don 100% gratuit à une association lors de vos achats en ligne. Lorsque vous réalisez un achat sur un site marchand partenaire de Prizle, celui-ci reverse un pourcentage de la commande à l'association. Le don ne vous coûte rien ! ANNONCES22/11/2019 Vendez à la restauration collective avec AGRI local 71, outil de mise en relation directe avec les acheteurs Vous souhaitez vendre à la restauration collective en Saône-et-Loire ? La plate-forme AGRI local 71, gérée par le Conseil départemental de Saône-et-Loire, vous permet de vous inscrire en ligne pour une mise en relation directe avec les acheteurs de la restauration collective. Pour vous inscrire gratuitement, rendez-vous sur le site internet Vous trouverez un guide détaillé concernant le fonctionnement de la plate-forme AGRI local ainsi qu'un document vous guidant pour l'inscription sur AGRI local. Pour toute question ou tout accompagnement pour l'inscription sur la plate-forme AGRI local 71, vous pouvez contacter Aline VUE, l'animatrice territoriale de BIO BOURGOGNE en Saône-et-Loire et du Groupement des Agro-Biologistes de Saône-et-Loire GABSeL ou 06 33 35 37 48. ANNONCES21/11/2019 Exploitation bio bovin viande limousine à louer en Bourgogne du Sud 71 Entre Moulins et Charolles, exploitation bio depuis février 2016 bovin viande limousine A LOUER. SAU de 30ha avec possibilité d'agrandissement de 20 ha dans les 2 ans. Possibilité de reprise d'une partie des vaches allaitantes. Stabulation de 480m2 et hangar de stockage en location vente Contact Mr NEYRAND Philibert, 0608625435, laviandedephilibertatgmail.com ANNONCES19/11/2019 Recherche d'agriculteurs/trices pour témoigner de la transmission et l'installation Terre de Liens Bourgogne-Franche-Comté recherche des personnes pour témoigner - soit de leur installation agricole et plus particulièrement leur accès au foncier pour les Cafés Installation "Trouver une terre pour son installation agricole", organisés le mardi 26 novembre à 18h à Château-Chinon 58 et le lundi 9 décembre à 18h à Autun 71. - soit de leur expérience de transmission de terres agricoles pour les Soirées Transmission "Comment et pourquoi transmettre sa ferme", organisées le lundi 25 novembre à 20h à Arleuf 58 et le vendredi 13 décembre à 20h à Étang-sur-Arroux 71 Débattre de tout ce qui est possible et tout ce qui fait obstacle lors de la transmission d'une exploitation agricole. Si vous avez des questions ou si vous êtes disponibles et pour témoigner, contactez l'animatrice de Terre de Liens Bourgogne-Franche-Comté, Marion Mazille 06-95-53-83-21 ou bfcatterredeliens.org VIE DU RESEAU18/11/2019 Suivez BIO BOURGOGNE sur Facebook ! ENQUETE18/11/2019 Dossier de presse Agence BIO Etat des lieux du bio en restauration hors domicile Le dossier de presse Etat des lieux du bio en restauration hors domicile. Un an après la promulgation de la loi EGalim » vient de paraître, suite à la conférence de presse de l'Agence BIO qui s'est tenue ce lundi 18 novembre 2019. Dossier de presse téléchargeable ici. Conférence de presse est disponible sur le site de l'Agence BIO, accessible ici. COMME SI VOUS Y ETIEZ...12/11/2019 Retour sur l'assemblée générale de l'AMAPP La Semence Cluny et Verosvres le 6 octobre 2019 L'assemblée générale annuelle de l'Association pour le maintien d'une agriculture paysanne et de proximité, l'AMAPP La semence, s'est déroulée le dimanche 6 octobre 2019 chez l'un des producteurs, membre du GABSeL, à la Ferme des Grands Noyers. Une dizaine de producteurs et productrices, sur les quinze que compte l'AMAPP, étaient Leurs productions et activités des légumes, du pain, des produits laitiers de vache et de brebis, des œufs, du bois et autres. Une quinzaine d'amappiens et amppiennes avait mis le nez dans la pluie automnale de cette journée à la ferme. Au programme le bilan de l'année écoulée, la situation des producteurs et productrices, le fonctionnement de l'association, l'implication des consomm'acteurs et consomm'actrices… REGLEMENTATION05/11/2019 Changement de réglementation sur l'utilisation du lait pour nourrir les jeunes animaux en bio Dans le cadre du futur règlement bio entrant en vigueur en janvier 2021, la commission européenne a éclairci son positionnement sur l'usage des différents types de lait pour l'alimentation des jeunes mammifères bio. L'INAO a souhaité retranscrire dès maintenant ce changement dans le guide de lecture du règlement bio. Pour connaître la nouvelle application de la réglementation, cliquez sur "Plus d'infos". Contact Aurélie BILLON - Conseillère élevage BIO BOURGOGNE - 06 80 43 16 97 - aurelie.billonatbiobourgogne.org COMME SI VOUS Y ETIEZ...30/10/2019 Projet d'abattoir collectif de volailles dans le Charolais-Brionnais 71 L'Association pour un abattoir de volailles dans le Charolais - Brionnais, créée en février 2019, vise à mettre en place un abattoir collectif de volailles afin de répondre aux besoins des éleveurs du Charolais - Brionnais, suite au départ à la retraite à la fin de l'année 2019 d'un éleveur-abatteur. L'enjeu est de répondre à un besoin des producteurs, en créant un outil de proximité à petite échelle, au service des éleveurs, géré par eux-mêmes. L'association est présidée par le vice-président du GABSeL. Elle compte à présent trois producteurs bio impliqués dans le projet, aux côtés d'autres éleveurs des environs. L'association est accompagnée par BIO BOURGOGNE pour mener son projet forme juridique, organisation du collectif, étude des coûts, recherche de financements, démarches administratives... L'abattoir est prévu sur la commune de Saint-Bonnet-de-Joux 71220 avec le soutien de la commune. Le collectif d'éleveurs est ouvert à tous les éleveurs/ses de volailles qui souhaitent rejoindre ce projet. Contact Aline VUE, animatrice territoriale de BIO BOURGOGNE en Saône-et-Loire aline.vue et 06 33 35 37 48 REGLEMENTATION29/10/2019 Changement de réglementation sur les bâtiments porcins Malgré la position de la FNAB Fédération Nationale d'Agriculture Biologique, l'application de la réglementation sur les bâtiments en élevage porcin va changer courrier présentant le détail des actions syndicales entreprises par la FNAB depuis fin 2017. La filière porc bio FNAB, INAPORC, FOREBIO, COOP DE FRANCE, IFIP a rencontré la directrice de l'INAO, et le Ministère de l'Agriculture, le 1er octobre 2019 pour établir un calendrier d'adaptation des bâtiments. Contact Contacter vos conseillers élevage pour plus d'informations. COMME SI VOUS Y ETIEZ...28/10/2019 Une micro-filière portée par les éleveurs bio pour valoriser localement le veau rosé ? BIO BOURGOGNE s'est associée à Féder Eleveurs Bio pour inviter les éleveurs à la réflexion autour de la construction d'une micro-filière qui valoriserait localement les veaux bio. Après une après-midi d'échanges, voici ce qui en est ressorti Le collectif d'éleveurs proposerait en circuits courts un veau rosé, bio et local, répondant aux critères suivants Respect du cahier des charges de l'Agriculture Biologique Veau 6-8 mois, race non spécifique né et élevé sur une ferme 100% bio en Bourgogne. Accès au plein air dès que possible, pas d'engraissement en bâtiment pendant la saison de pâturage. Alimentation des mères 100% origine France Zéro traitement antibiotique durant la vie du veau Respect du bien-être animal proximité de l'abattoir durée max transport, déposé par l'éleveur lui- même le jour de l'abattage. Une filière éthique et équitable à co-construire avec les acteurs de la filière En bio, les veaux sont rosés accepter la couleur, c'est favoriser le bien-être animal et la rémunération de l'éleveur ! Vous êtes éleveur et vous souhaitez rejoindre un groupe de réflexion ? Contactez l'animatrice. Crédit photo FNAB Contact Lola JEANNINGROS - Conseillère élevage BIO BOURGOGNE REGLEMENTATION25/10/2019 Aides bio sur les prairies temporaires rappel obligation de rotation Suite aux retours de plusieurs agriculteurs confrontés à l'obligation de rembourser les aides bio perçues sur les prairies temporaires, nous tenions à vous rappeler les engagements liés à ces aides. Pour que les prairies temporaires puissent être aidées au titre de l'aide à la conversion bio à hauteur de 300 €/ha catégorie "cultures annuelles", vous devez respecter deux conditions - au moins une année de culture annuelle et non de gel ! sur les 5 années d'engagement bio, - les prairies temporaires doivent être composées d'au moins 50% de légumineuses lors du semis. Cas les plus urgents les agriculteurs passés en bio en mai 2016 qui n'ont pas encore implanté de cultures annuelles sur certaines parcelles jusque là en prairies temporaires. La campagne actuelle est la dernière leur permettant de respecter leurs engagements. N'hésitez pas à partager cette information sur le terrain et à contacter vos conseillers BIO BOURGOGNE / animateurs de GAB pour un appui ! COMME SI VOUS Y ETIEZ...23/10/2019 Retour sur les deux visites de fermes en Saône et Loire Cet automne, les éleveurs bio ont eu l'occasion de se retrouver pour échanger sur leurs pratiques et sur les évolutions de leur métier dans le contexte climatique et politique local. Point commun entre tous la recherche de nouvelles solutions pour s'adapter au contexte local Créer de la valeur ajoutée sur la ferme en finissant les animaux et en maîtrisant leur commercialisation dans les filières bio, pour limiter sa dépendance aux aides Adapter et spécialiser la flore des prairies pour rester des élevage autonomes et économes dans les nouvelles conditions climatiques. VIE DU RESEAU21/10/2019 Une nouvelle tête au GABY ! L'automne arrive et avec lui vient Florestan BARGAIN, ingénieur agro d'UniLaSalle-Rouen et nouvel animateur du Groupement des AgroBiologistes de l'Yonne GABY. Basé à Auxerre, je prends le relais de Mathilde BEZARD en tant qu'animateur territorial de BIO BOURGOGNE dans l'Yonne. Mes principales missions seront - l'accompagnement, le développement et la promotion de l'agriculture biologique dans l'Yonne, - l'animation du GAB de l'Yonne, - l'accompagnement du Projet Agricole de la Communauté d'Agglomération de l'Auxerrois. Avec le soutien technique des équipes de BIO BOURGOGNE, je serai à votre disposition pour répondre à vos questions et vous accompagner dans vos projets ! N'hésitez pas à me contacter si besoin, par mail gaby par téléphone au 03 86 72 92 28 // 06 08 02 87 94 ou par voie postale / directement dans nos bureaux GABY - 19, avenue Pierre Larousse - BP 382 89006 Auxerre ANNONCES18/10/2019 Recherche de producteurs locaux et bio par les Jardins de Cocagne de Mâcon 71 Les Jardins de Cocagne, atelier d'insertion en maraîchage biologique, association basée à Mâcon 71, recherchent des producteurs locaux certifiés bio qui souhaitent proposer leur production à ses adhérents. Si vous souhaitez proposer vos produits à l'association, n'hésitez pas à la contacter. Contact adherents.jdcmacon MOBILISATION DU RESEAU16/10/2019 Hors-la-loi car ils privilégient les plantes aux antibios, 1052 éleveurs publient un manifeste. Ils assument utiliser des huiles essentielles pour guérir leur bétail, alors que c'est souvent illégal. Ce manifeste des éleveurs hors-la-loi» est un acte fort pour ouvrir le débat. Consultez l'article en ligne sur la mobilisation des éleveurs, portée par le réseau FNAB Lire le manifeste Lire l'article du Parisien 15/10/2019 Contact contact VIE DU RESEAU07/10/2019 Le bio a-t-il vraiment tout bon ? Philippe Camburet, Président de BIO BOURGOGNE, a été reçu par France Bleu Auxerre le 26 septembre dernier pour une émission sur le thème "Le bio a-t-il vraiment tout bon ?". Pour écouter l'émission, c'est ici. Evènement bio04/10/2019 Les Trophées de l'Excellence Bio L'Agence Bio et le Crédit Agricole ont lancé la 7ème édition des Trophées de l'Excellence Bio lors du salon Tech&Bio le 18 septembre 2019. Ce concours qui a pour objectif de faire émerger et soutenir des initiatives exemplaires, innovantes et reproductibles de tous les acteurs de l'agriculture biologique. Ouvert à tous les acteurs professionnels et à toutes les entreprises des filières biologiques, que vous soyez producteurs, transformateurs, distributeurs ou associations, vous pouvez adresser votre dossier jusqu'au 20 décembre 2019. Récompenses Un lauréat sera désigné dans chacune des 2 catégories Producteurs et Entreprises/Associations. Ils recevront chacun la somme de 6000 €. Nouveauté 2019 2 “coups de coeur” du jury seront désignés et recevront la somme de 1500 € chacun. Téléchargez ici le Règlement du Concours ici le Dossier De Candidature Trophées De L'Excellence BIO ici COMME SI VOUS Y ETIEZ...03/10/2019 Journée des éleveurs bio à Arnay Sous Vitteaux 21 BIO BOURGOGNE organise régulièrement des journées de rencontre entre futurs éleveurs bio. La matinée est consacrée à des échanges sur des thèmes d'actualités et les questions des éleveurs présents. L'après-midi, nous visitons la ferme des éleveurs accueillant la journée. Mercredi 2 octobre, une petite dizaine d'éleveurs se sont réunis à Arnay sous Vitteaux au GAEC de la Prairie, chez Sarah et Jean-François Lallemant. ENQUETE27/09/2019 Enquête sur l'utilisation des médias sociaux par les agriculteurs Le Pôle Bio Massif Central est partenaire du projet CASDAR AGORGRI dont l'objectif est d'optimiser l'usage des médias sociaux pour la transition agro-écologique. Dans ce cadre, nous réalisons une enquête à destination des agriculteurs, qu'ils soient connectés » ou non. Elle a pour objectifs De recenser les médias sociaux déjà utilisés par les agriculteurs et leurs usages ; De recueillir les besoins des agriculteurs qui pourraient être comblés grâce aux médias sociaux ; Enquête en Ligne Durée 15 min - délai 31 octobre 2019 VIE DU RESEAU25/09/2019 Programme des actions polyculture élevage et pré-inscriptions aux formations L'équipe élevage de BIO BOURGOGNE a le plaisir de vous présenter le programme technique polyculture-élevage des prochains mois Programme détaillé Synthèse une page NOUVEAUTE pré-inscriptions avant le 1er novembre Afin de répondre au mieux à vos attentes, nous vous proposons une consultation en ligne qui ne vous prendra que quelques minutes afin de fixer les lieux et périodes des différentes formations à venir cet automne et cet hiver. En vous pré-inscrivant sans engagement de votre part, vous nous permettez d'adapter le nombre de sessions de chaque formation et de les localiser à l'endroit le plus adapté. N'hésitez pas à cocher plusieurs options par formation ! Consultation en ligne Contact Aurélie BILLON - Conseillère élevage - aurelie.billonatbiobourgogne.org - 06 80 43 16 97 ENQUETE25/09/2019 Enquête A la demande d'apiculteurs et d'agriculteurs, nous souhaitons faciliter la mise en lien des uns et des autres. Cela permettrait aux apiculteurs de mettre leurs ruches à l'abri des insecticides, trouver de nouvelles ressources pour leurs abeilles et aux agriculteurs de bénéficier de la présence de pollinisateurs dans leurs parcelles voir de miel... Si vous êtes apiculteur ou si vous souhaitez accueillir des ruches sur vos parcelles bio, merci de prendre 2 minutes pour répondre à cette enquête en ligne avant le 1er novembre 2019. Cela nous permettra ensuite de mettre en relation les partenaires potentiels ! Enquête en ligne A noter cette enquête a déjà été menée en 2018 en Bourgogne, nous souhaitons l'élargir aujourd'hui à la grande région. Même si vous avez déjà participé l'année dernière, n'hésitez pas à y répondre à nouveau pour nous permettre de mettre à jour notre listing. Contact Aurélie BILLON - Conseillère élevage - aurelie.billonatbiobourgogne.org REGLEMENTATION17/09/2019 Que dit le texte de base du nouveau règlement bio ? Depuis le 30 mai 2018, le texte de base du nouveau règlement bio a été publié. Cet article donne les grandes lignes des changements à venir. Actuellement, la phase des négociations pour les actes secondaires se poursuit pour définir plus précisément les règles de production, d'étiquetage, de contrôles. Le réseau FNAB est fortement mobilisé dans ces négociations pour garantir un label bio respectant les fondamentaux de la bio. Retrouvez les détails dans l'extrait du Bulletin CAB des Pays de Loire Bulletin CAB N°128 Avril 2019 Sources CAB Pays de Loire / Image Natexo Groupe technique28/08/2019 BIO BOURGOGNE accompagne les producteurs de sapins de Noël vers la certification ! Depuis 2 ans, BIO BOURGOGNE entretient des liens avec les producteurs de sapins de Noël du Morvan, qui s'intéressent au mode de production biologique. Avec l'appui de l'Association Française du Sapin de Noël Naturel AFSNN, un groupe de 14 producteurs s'est constitué autour de la question de l'amélioration des pratiques. Depuis cet été, les travaux sont lancés pour faire émerger un groupe 30 000 visant à les accompagner dans la recherche de solutions pour se passer des pesticides, controversés pour cette culture emblématique du Massif du Morvan. Ce groupe est ouvert à tous les producteurs de sapin qui s'intéressent de près ou de loin au changement de pratiques. Contact Lola JEANNINGROS lola.jeanningrosat COMME SI VOUS Y ETIEZ...26/07/2019 Matinée technique Viticulture avec le groupe DEPHY 71 à Mercurey ! Vendredi 26 Juillet le groupe DEPHY Côte Chalonnaise animé par BIO BOURGOGNE proposait une matinée technique autour de 2 axes le travail de l'intercep et la réduction des doses de cuivre. Au programme de la démonstration d'outils Alain Charleux et Baronne pour la Traction équine, l'équipe de de chez Richy pour présenter les interceps mécanique Vitimir et un montage de chez Barh disques émotteurs/étoiles de binage, le domaine Ninot avec ses interceps déca de chez Braun et la présentation par Xavier Moissenet du Cultivion de chez Pellenc bineuse éléctrique. En fin de matinée, le caveau de la chapelle de Mercurey nous a accueilli à l'ombre! pour discuter réduction des doses de cuivre et pilotage des traitements avec l'OAD Promété, avec un retour d'expérience sur l'expérimentation menée chez Roelof Ligtmans depuis deux ans. Cette année, dans la modalité Promété = 3 traitements et 800 g de cuivre => Encourageant pour la suite! La petite pluie du matin n'a pas refroidi les viticulteurs qui se sont déplacés nombreux! Plus de 40 personnes sont venues échanger et partager ensuite le verre de l'amitié. Merci à tous les intervenants et tous les participants pour cette belle matinée! MOBILISATION DU RESEAU15/07/2019 Pas de tomates bio avant le muguet Le 11 juillet, le Comité national d'agriculture biologique CNAB s'est prononcé sur l'avenir des serres chauffées. Même si la décision prise n'interdit pas totalement le recours au chauffage des serres en bio, il le limite très fortement et pose une première limite au risque d'industrialisation de l'agriculture biologique. Ce que dit la décision du CNAB - Les fruits et légumes biologiques d'été cultivés sous serres chauffées ne pourront pas être commercialisés avant le 1er mai de chaque année. - Dès le 1er janvier 2020, tous les nouveaux projets de serres chauffées bio devront avoir recours à 100% d'énergies renouvelables. - Toutes les serres qui chauffent aujourd'hui devront passer en 100% renouvelables d'ici 2025. La FNAB se félicite du compromis trouvé et remercie la mobilisation. Jusqu'à aujourd'hui il n'y avait aucun encadrement de l'utilisation du recours au chauffage dans les serres bio, cette décision est donc une avancée significative. Pour plus d'informations, lire le communiqué de presse de la FNAB. VIE DU RESEAU15/07/2019 Nouvelle animatrice en Saône-et-Loire GABSel et animation territoriale Avec l'été est arrivée début juillet Aline VUE pour prendre la suite de Morgane LE BRIS, en tant qu'animatrice du Groupement des AgroBiologistes GAB de Saône-et-Loire et animatrice territoriale de BIO BOURGOGNE en Saône-et-Loire. Ses missions - accompagner le développement et la promotion de l'agriculture biologique - favoriser et accompagner le développement des circuits courts - animer le GAB de Saône-et-Loire - animer l'Observatoire régional de l'agriculture biologique. Aux côtés de Lola JEANNINGROS, conseillère en polyculture-élevage à Cluny, Aline VUE est à votre disposition pour répondre à vos questions autour de la bio, vous accompagner dans vos projets... N'hésitez pas à la contacter pour toute information. Contact / 06 33 35 37 48 COMME SI VOUS Y ETIEZ...12/07/2019 Retour sur la formation La formation "Conduite technique des légumes d'été en agriculture biologique" organisée par BIO BOURGOGNE s'est déroulée lundi 8 juillet 2019 à La Baratte à Nevers. Les témoignages des maraîchers présents et l'observation des légumes cultivés par le Potager d'Ici et la Baratt'ABio ont permis d'illustrer les propos de l'intervenante Catherine Mazollier, conseillère maraîchage au GRAB. Plusieurs thèmes ont été abordés gestion de l'irrigation, maîtrise du climat sous les tunnels, variétés cultivées, itinéraires techniques. Nous avons aussi passé du temps à observer à la loupe les ravageurs et les auxiliaires sur les cultures de concombre, courgettes, aubergines, entre autres, pour apprendre à les identifier. Contact Hélène CADIOU ENQUETE08/07/2019 Enquête "Terres labourables" L'enquête "Terres labourables", encadrée par des services du ministère en charge de l'agriculture, a pour objectif premier d'estimer les rendements d'une trentaine de cultures issues de terres labourables aux niveaux départemental, régional et national. Nous vous invitons à répondre aux questionnaires, disponibles sur et qui distinguent les cultures bio, afin d'améliorer la qualité de ces données statistiques. MOBILISATION DU RESEAU05/07/2019 Anticiper la sécheresse annoncez vos disponibilités/recherches de fourrages et de paille dès maintenant L'été s'annonce encore une fois chaud et sec, et les nappes phréatiques sont loin d'avoir été remplies cet hiver. Il est indispensable d'anticiper dès maintenant pour éviter la flambée des prix la solidarité entre producteurs bio, promue par notre réseau, est indispensable ! BIO BOURGOGNE met des outils à votre disposition pour favoriser les échanges entre producteurs. Contact N'hésitez pas à contacter vos conseillers élevage BIO BOURGOGNE. Retours de la commission élevage BIO BOURGOGNE05/07/2019 Mise en place de la biosécurité dans les élevages porcins le réseau bio soutient les éleveurs Depuis quelques mois maintenant, le réseau bio n'a de cesse de porter les revendications des éleveurs de porcs plein air pour une mise en place raisonnée de la biosécurité. Des visites d'élevages bio ont été organisées par la FNAB afin de présenter les solutions pouvant être mises en place pour éviter le contact "groin à groin" entre sangliers et cochons d'élevage ce contact favorisant la transmission de la peste porcine africaine. BIO BOURGOGNE et INTERBIO Franche-Comté ont écrit à la région pour demander qu'une enveloppe financière soit dédiée aux aménagements obligatoires. INFOS TECHNIQUES05/07/2019 L'agriculture biologique améliore les performances des colonies d'abeilles mellifères Une équipe de chercheurs du CNRS, de l'Inra et de La Rochelle Université vient de montrer pour la première fois que l'agriculture biologique profite aux colonies d'abeilles mellifères en particulier pendant la période de disette alimentaire à la fin du printemps. L'équipe de recherche a analysé six années de données collectées dans le cadre d'un dispositif, unique à l'échelle européenne, de suivi des abeilles domestiques. Cette étude est parue dans Journal of Applied Ecology le 26 juin 2019. COMME SI VOUS Y ETIEZ...05/06/2019 La ferme de la Marsottière a ouvert ses portes à l'occasion de la Fête du Lait Bio En ce premier week-end du Printemps Bio la ferme de la Marsottière, à Authumes en Saône-et-Loire, a organisé pour la première fois la Fête du Lait Bio. De nombreux visiteurs sont venus découvrir la ferme, intéressés par les produits locaux et les nombreux exposants présents Les Jardins de Cémaque, Ma-Ya Naturo et ses miels, Les Croqueurs de Pommes, les volontaires d'Accueil Paysan, Pierrette Palacios et ses poteries, la LPO Ligue Protection des Oiseaux, Jean-Paul Krach brasseur. Allez voir les photos sur la page Facebook de la ferme de la Marsottière ANNONCES28/05/2019 Annonce - groupage commande batiment mobile volailles Message réservé aux adhérents qui recevront les Nouvelles de la Bio MOBILISATION DU RESEAU24/05/2019 Industrialisation de la bio la FNAB et la Confédération paysanne quittent le comité bio d'Interfel Retrouvez ici l'intégralité du communiqué de presse de la FNAB et de la Confédération paysanne. VIE DU RESEAU14/05/2019 Renforcement de l'équipe en Saône et Loire ! En cette fin de printemps, il y a du changement en Saône et Loire ! Pour rappel, Marine PHILIPPE a quitté l'équipe depuis quelques mois, remplacée temporairement par Morgane LE BRIS. En mai, l'équipe technique se renforce avec l'arrivée de Lola JEANNINGROS, anciennement animatrice et conseillère dans la Nièvre, qui se consacrera désormais au conseil en polyculture-élevage depuis Cluny. N'hésitez pas à prendre contact avec elle si vous souhaitez organiser un rendez-vous individuel sur votre ferme ! L'ensemble des prestations BIO BOURGOGNE seront développées sur le territoire Accompagnement individuel et collectif Suivi des projets de conversion et des fermes déjà établie en AB Animation du territoire pour créer du lien entre les éleveurs bio de Saône et Loire organisation de formations, visites de fermes, outils d'échanges etc…. Contact Tél 06 40 43 01 44 Communauté de Communes du Clunisois 5 place du Marché 71250 CLUNY INFOS TECHNIQUES10/05/2019 Vigilance sur les risques de contamination des cires apicoles Votre cire gaufrée à façon est-elle bien la vôtre ? La cire achetée dans le commerce est-elle saine pour vos colonies? La cire que vous avez mis et que vous allez mettre dans vos colonies est-elle exempte de produits phytosanitaires ou autres produits d'adultération ? En cette saison 2019, la réponse à cette question est cruciale !!! Un apiculteur de Rhône-alpes a alerté notre réseau sur un problème concernant le gaufrage à façon de son propre lot de cire les analyses d'échantillon entre la cire avant et après gaufrage montre une différence manifeste avec la présence de contaminants. Contact Julia Wright à Agribiodrôme jwright - 06 98 42 36 80 MOBILISATION DU RESEAU06/05/2019 Aides versées en retard et plafonnées, le casse-tête des agriculteurs bio de la Nièvre Depuis 2015, les conversions en bio des exploitations agricoles augmentent en région Bourgogne-Franche-Comté. La Nièvre n'échappe pas au phénomène. Mais si les discours politiques sont favorables au bio, dans les faits, la situation est moins idyllique. Montant d'aides baissé et plafonné, retard de plusieurs années dans les versements les agriculteurs bio ont dû avaler quelques couleuvres. ANNONCES19/04/2019 Nouvelle édition des Chemins de la Bio ! Le guide "Les Chemins de la bio en Bourgogne" vient de paraître. Cette nouvelle édition rassemble les coordonnées des producteurs qui souhaitent vous faire découvrir leurs produits et leurs activités, ainsi que la liste des AMAP près de chez vous. Edité à 10 000 exemplaires, il est largement diffusé auprès des offices de tourismes, les magasins bio, lors des événements auxquels participe le réseau bio, et sur les lieux de vente des producteurs. Des exemplaires sont à votre disposition n'hésitez pas à vous rapprocher des animatrices de GAB pour en bénéficier GAB21 - Séverine Prudent 03 80 31 45 61 GABNi - Hélène Cadiou 03 86 36 94 25 GABSeL - Aline VUE 06 33 35 37 48 GABY - Florestan Bargain 03 86 72 92 28 COMME SI VOUS Y ETIEZ...15/04/2019 Retour sur l'AG du GABY Le 6 mars dernier s'est tenu l'Assemblée Générale du Groupement des Agrobiologistes de l'Yonne GABY, qui fêtait ses 40 ans en 2018, à Sauvigny-le-Bois 89. Retour sur cette journée conviviale et pleine d'échanges ! AIDES12/04/2019 Reconnaissance du caractère de calamité agricole L'arrêté ministériel du 6 mars 2019 reconnait la sécheresse de juin à octobre 2018 comme ayant un caractère de "calamité agricole", affectant la production de fourrage des prairies temporaires et permenentes sur les régions suivantes Auxois Morvan Champagne Crayeuse Plateau de Bourgogne Puisaye Vallée et Pays d'Othe Pour faire votre demande d'indémnisation accédez à la téléprocédure via le site TéléCALAM jusqu'au 30 avril 2019 en cliquant-ici. Pour plus d'informations, n'hésitez pas à contacter la DDT 03 86 48 42 34 / 03 86 48 42 66 uniquement le matin de 9h00 à 11h45 ou ddt-calam Vous trouverez la procédure pour la demande sur le site Internet de la DDT de l'Yonne VIE DU RESEAU05/04/2019 Assemblée Générale de BIO BOURGOGNE BIO BOURGOGNE tiendra son Assemblée Générale le mercredi 17 avril à Saint Brisson Maison du Parc du Morvan. Moment privilégié de l'année pour échanger, la journée se déroulera en deux temps Assemblée Générale statutaire le matin L'après-midi, présentation des chiffres de la bio et des activités 2018 de BIO BOURGOGNE puis intervention de Samuel Féret, gestionnaire de projets au Centre International de Hautes Etudes Agronomiques Méditerranéennes à Montpellier sur le thème La place de l'Agriculture Biologique dans la nouvelle Politique Agricole Commune » suivie d'échanges et de débat avec l'assemblée. VIE DU RESEAU20/03/2019 2019, il est temps d'adhérer à votre Groupement d'Agriculteurs Bio ! En 2019, continuez de faire partie du Groupement des Agriculteurs Bio de votre département, de soutenir le réseau bio et bénéficier de services et d'un soutien privilégiés ! Nos groupements ont pour objet de représenter, soutenir et rassembler les producteurs biologiques du département. Tous les moyens des GAB sont mis en œuvre pour assurer un développement cohérent, durable et solidaire de l'Agriculture Biologique. Si vous souhaitez continuer d'adhérer au groupement des bios et soutenir le développement d'une agriculture biologique cohérente et durable, vous trouverez ci-dessous un exemplaire de votre bulletin d'adhésion, à compléter et à nous retourner. VIE DU RESEAU20/03/2019 Fermes ouvertes du Printemps Bio Cette année à l'occasion du Printemps bio, nous vous proposons d'organiser les 1er et 2 juin à l'échelle de la région un week-end durant lequel tous les agriculteurs peuvent ouvrir leurs fermes et vivre un moment de partage sur leur activité agricole et la bio ! Tous les producteurs intéressés sont invités à se faire connaître afin que nous puissions communiquer sur cet événement. Pour cela, contactez directement l'animatrice de votre GAB Contact GABY Mathilde BEZARD - gabyatbiobourgogne.org ou 03-86-72-92-20 / 06 08 02 87 94 GABNi Hélène CADIOU - gabniatbiobourgogne.org ou 03-86-36-94-25 / 06 07 50 61 09 GAB21 Séverine PRUDENT - gab21atbiobourgogne.org ou 03-80-31-45-61 / 06-78-54-48-48 GABSEL Morgane LE BRIS - gabselatbiobourgogne.org ou 06-33-35-37-48 COMME SI VOUS Y ETIEZ...18/03/2019 Retour sur l'Assemblée Générale 2019 du GABSeL L'Assemblée Générale du GABSeL, très bien accueillie par la commune de Saint-Sernin-du-Bois le 14 mars dernier, a été un moment très convivial pour les adhérents et les nombreux partenaires présents. "Un coup d'accélérateur sur le bio" , le JSL "Une filière portée par des projets" , l'Exploitant Agricole Retour sur cette journée conviviale et riche en échange ! COMME SI VOUS Y ETIEZ...12/03/2019 Le GABSeL était au lycée de Davayé pour les 2èmes rencontres agroécologiques Le dimanche 10 mars, le GABSeL a tenu un stand lors des 2èmes Rencontres Agroécologiques organisées par le lycée Lucie Aubrac de Davayé. Une journée sur le thème de la biodiversité ! MOBILISATION DU RESEAU08/03/2019 Conversion bio, le gouvernement doit clarifier son soutien. VIE DU RESEAU06/03/2019 BIO BOURGOGNE accompagne tous vos projets de conversion Nous vous proposons de découvrir un article sur l'accompagnement des projets bio par BIO BOURGOGNE. Au sommaire interview de Philippe Camburet, président de l'association et le témoignage de Christophe Charrier, éleveur laitier récemment passé en bio. Pour lire l'article paru dans le numéro du 1er mars de Terres de Bourgogne, c'est ici. L'équipe de conseillers spécialisés de BIO BOURGOGNE est à votre disposition pour vous accompagner dans votre réflexion, n'hésitez pas à nous contacter, nous pouvons vous proposer un premier RDV gratuit en ferme. A venir formation "Se convertir en bio, quelle faisabilité pour mon exploitation ?" le 2 avril à Mâlain 21. Contact Pour être mis en relation avec un conseiller spécialisé pour vous accompagner dans votre projet de conversion 03 86 72 92 20. Pour vous inscrire à la formation Aurélie BILLON, 06 80 43 16 97 ou aurelie.billonatbiobourgogne.org COMME SI VOUS Y ETIEZ...22/02/2019 Baromètre 2019 de consommation et perception des produits biologiques en France L'Agence bio a présenté cette semaine sont "Baromètre de consommation et de perception des produits biologiques en France". Principaux résultats * La consommation de produits bio continue à croitre avec de plus en plus de nouveaux consommateurs, 17% en 2018, dont 1/3 ont entre 18 et 24 ans. * La consommation de produits bio est plébiscitée par 69% des consommateurs pour "Préserver leur santé", à 58% pour "La qualité et le Goût des produits" et à 56% pour "La préservation de l'environnement". Notons que les jeunes ont justifiés davantage l'achat de produits bio pour des raisons "Étique et sociale" et pour le "Respect du bien être animal" que l'ensemble des autres tranches d'age. Inversement, se sont les 25-49 ans qui justifient les moins l'achat de produits bio afin de "Préserver l'environnement". * Enfin, le sondage rend compte de légère disparités régionale. Les régions où la consommation de produits bio est la plus forte sont la Bretagne, l'Ile-de-France et PACA. De l'autre coté de classement, on retrouve les Hauts-de-France, le Grand-Est et malheureusement la BOURGOGNE-FRANCHE-COMTE. MOBILISATION DU RESEAU22/02/2019 Le réseau FNAB, figure de proue du bien-être animal Demain, le salon de l'agriculture 2019 ouvrira ses portes. C'est l'occasion pour les paysannes et paysans bio de rappeler la place centrale de l'élevage et du bien-être animal dans leur label. L'agriculture biologique, un label public respectueux du bien-être animal Parce que l'agriculture bio est basée sur le respect des êtres vivants, le règlement européen encadre leurs conditions de vie. Accès au plein air, espaces suffisants dans les bâtiments, cages interdites, litière obligatoire, alimentation bio sans hormones ni OGM. L'objectif n'est pas la recherche de la seule productivité mais avant tout celle de la qualité. Le règlement bio européen exige que la souffrance soit réduite au minimum pendant toute la durée de vie des animaux. "Lors de la dernière révision du règlement bio européen, la FNAB a défendu une limitation des temps de transport entre lieu d'élevage et lieu d'abattage. Nos adhérents réfléchissent aussi à développer les outils d'abattage de proximité ou l'abattage à la ferme qui supprimerait totalement le transport" conclut Jean-François Vincent, éleveur bio et secrétaire national en charge du sujet bien-être animal à la FNAB.. COMME SI VOUS Y ETIEZ...19/02/2019 Retour sur la formation La formation "Fabriquer une huile bio et artisanale de qualité" organisée par BIO BOURGOGNE s'est déroulée jeudi 7 février à Vézelay. Vous avez été un grand nombre à participer et manifester votre intérêt sur ce sujet passionnant. L'objectif de la journée était de découvrir ou d'optimiser ses techniques de fabrication d'huile à la ferme pour obtenir un produit de qualité. La matinée a été consacrée à la conduite des cultures d'oléagineux en AB et à l'optimisation de leur itinéraire technique en vu d'une transformation en huile, pour améliorer la qualité de cette dernière. L'après-midi, une huilerie artisanale bio a été visitée à Saint-Père. Des points techniques tels que le choix des presses, la conservation, le stockage, le conditionnement ou encore la valorisation des tourteaux ont été abordés. Contact Lucile BRETIN conseillère grandes cultures BIO BOURGOGNE REGLEMENTATION19/02/2019 Les petits élevages de volailles bio menacés par Bruxelles La Commission européenne discute en ce moment des règles d'application du futur règlement bio. Or, elles pourraient pénaliser les élevages de volailles les plus vertueux de la filière. On durcit les règles pour les petits élevages alors qu'on n'a pas osé le faire sur les gros élevages », estime David Léger, éleveur et secrétaire national volailles de la FNAB. MOBILISATION DU RESEAU18/02/2019 Lait bio equitable » pas sans les éleveurs-ses ! De plus en plus de marques et enseignes de la grande distribution se positionnent pour vendre du lait biologique dit équitable », communiquant sur un prix juste » payé aux producteurs-rices. Pourtant, aucun dialogue n'a eu lieu en amont entre ces marques et les éleveurs-ses pour savoir à quoi correspondait ce prix juste » annoncé sur les emballages des produits. Lait Bio de France, la Fédération Nationale d'Agriculture Biologique FNAB et Commerce Equitable France dénoncent cette situation et appellent les enseignes de la distribution et les laiteries à dialoguer avec les producteurs-rices bio. AIDES12/02/2019 Aide exceptionnelle sécheresse de la région La région Bourgogne Franche-Comté propose une aide à la trésorerie exceptionnelle versée aux éleveurs bovins, ovins, caprins et équins agricoles victimes de la sécheresse en 2018. L'aide est calculée sur la base d'un montant forfaitaire à l'UGB unité gros bétail, dont le montant varie en fonction du département dans lequel se trouve le siège de votre exploitation. Le dossier de demande doit être déposé avant le 31 mars 2019. Plus d'informations et dossier de demande disponibles sur le site internet de la région. REGLEMENTATION31/01/2019 Communiqué de Presse La FNAB appelle la France et l'Europe à barrer la route à l'industrialisation des élevages biologiques Cette semaine, la Commission débat avec les Etats membres des règles de production qui vont s'appliquer aux éleveurs et éleveuses biologiques d'Europe, en application du tout récent règlement biologique européen qui s'appliquera à partir de 2021. Alors que le risque d'industrialisation des élevages biologiques atteint désormais la France, il est urgent de réagir ! Formation28/01/2019 FINANCEMENT FAFSEA Nouveautés 2019 FAFSEA change ses conditions de prise en charge à compter du 1er janvier 2019!! L'Accompagnement du FAFSEA s'effectue jusqu'à 25% du coût du projet HT coût pédagogique 200€/jour + rémunération, sans dépasser le montant du coût pédagogique. Ces nouvelles règles de prise en charge ne sont valables que pour le 1er trimestre 2019 Pour toute questions éventuelles liées à la participation d'un salarié, n'hésitez pas à contacter Angéline GAULARD, Responsable qualité des formations formation AIDES21/01/2019 Dérogation pour l'achat de fourrages non bio Suite à la sécheresse de 2018, vous êtes nombreux à être confrontés à un manque de fourrages bio cet hiver. Des achats de fourrages non bio sont possibles, sous réserve de l'acceptation d'une dérogation. Votre demande de dérogation est à faire auprès de votre organisme certificateur, qui la transmettra ensuite à l'INAO. Contact Morgane LE BRIS - 06 33 35 37 48 - VIE DU RESEAU17/01/2019 Meilleurs voeux ! Le réseau bio de Bourgogne, BIO BOURGOGNE et les GAB départementaux, les présidents, l'ensemble des élus et des salariés vous présentent leurs meilleurs voeux. REGLEMENTATION09/01/2019 Réaliser son reliquat azoté sortie hiver une analyse de sol obligatoire en zones vulnérables QUE DIT LA RÉGLEMENTATION ? - Toute personne exploitant plus de 3 ha en zone vulnérable est tenue de réaliser, chaque année, au moins une analyse de sol sur un îlot cultural pour une des trois principales cultures exploitées en zone vulnérable. L'analyse porte sur le reliquat sortie hiver cultures annuelles ou le taux de matière organique cultures pérennes. - Si plus de 100 ha sont exploités en céréales à paille en zone vulnérable, une deuxième analyse devra être réalisée. AIDES09/01/2019 Déficit fourrager calamités agricoles, achats groupés et dérogations pour l'achat de fourrages non bio Contenu réservé aux adhérents, retrouvez l'article complet dans les Nouvelles de la Bio. REGLEMENTATION09/01/2019 Accès au plein-air des volailles évolution de la règlementation Il était en effet naïf de penser que les volailles, animaux craintifs, emprunteraient un pont enjambant une route ou une rivière », explique Yves Jan, référent pour la FNAB à l'INAO. REGLEMENTATION09/01/2019 Effluents d'élevage utilisables en bio changement de la réglementation Les règles concernant les matières organiques utilisables en bio vont évoluer. Pour rappel, les fertilisants utilisables en agriculture biologique UAB sont inscrits dans l'annexe 1 du RCE 889/2008. Les matières organiques issues d'élevages conventionnels sont autorisées, sauf si l'élevage est considéré comme "industriel". Or, depuis plus de 10 ans, ce critère n'est pas appliqué, faute de définition claire du terme "industriel". Un groupe de travail spécifique, auquel la FNAB a participé, s'est réuni à l'INAO pour donner une définition opérationnelle du terme "industriel". Cela permettra l'application progressive de nouvelles règles concernant l'usage de certains effluents d'élevage. INFOS TECHNIQUES07/01/2019 Programme "Des Terres et des Ailes - Faites revenir les oiseaux sur vos terres" Depuis plusieurs dizaines d'années, les oiseaux communs disparaissent de nos campagnes. La disparition des oiseaux n'est pas une fatalité. Il est encore temps d'agir. Grâce à vous la nature peut revenir. En participant à cette initiative nationale "Des Terres et des Ailes" avec la LPO, vous avez les cartes en main responsabilité, autoévaluation, gratuité... Ce programme propose Des aménagements favorables aux oiseaux et aux insectes faciles à mettre en place. Des conseils pour vous accompagner dans votre démarche. De faire connaître et valoriser vos actions concrètes. Votre participation est donc libre et autonome, peut rester anonyme et ne porte ni jugement ni évaluation. Il s'agit d'un projet collectif où chaque producteur est libre de de mettre en place les actions qu'il souhaite. Pour y participer 1. Rendez vous sur le site prenez connaissance du projet, des actions possibles, consultez la carte des réalisations par commune et créez votre compte. 2. Mettez en oeuvre les actions retenues. 3. Complétez les informations de votre compte - Renseignez vos réalisations - Notez et partagez vos observations photos et vidéos peuvent enrichir vos textes. 4. Affichez votre participation au programme sur votre exploitation. A vous de jouer ! AIDES04/01/2019 MEMO DES AIDES ET DEROGATIONS POUR LES AGRICULTEURS FACE A LA SECHERESSE Depuis le milieu de l'été les organismes agricoles tirent la sonnette d'alarme pour faire reconnaitre les conséquences dramatiques de la sécheresse estivale sur la pérennité des exploitations agricoles. Peu à peu les pouvoirs publics prennent conscience de la gravité de la situation et dévoilent des mesures de soutien et d'accompagnement. BIO BOURGOGNE vous propose un petit rappel des principales mesures dévoilées à l'heure actuelle VIE DU RESEAU17/12/2018 Changement d'animatrice au GABSeL Nouvelle animatrice en Saône-et-Loire ! Suite au départ de Marine PHILIPPE du GABSeL, Morgane LE BRIS est arrivée en décembre pour la remplacer. Elle sera donc l'animatrice du GABSeL et conseillère en élevage bio. Si vous avez besoin de conseil, si vous vous posez des questions sur l'élevage biologique en Saône-et-Loire, n'hésitez pas à prendre contact avec elle. Vous pouvez la joindre au au ou via les adresses mail gabselatbiobourgogne.org ou INFOS TECHNIQUES13/12/2018 Logicout un outil pour calculer le coût de vos livraisons en circuit court ! Suite à une enquête réalisée dans la Vallée de la Seine, il a été révélé que 60% des producteurs n'intégraient pas les coûts d'utilisation du véhicule et le temps passé à la livraison dans le prix de vente des produits. Plusieurs partenaires dont l'Association Bio Normandie réseau FNAB ont donc mis en place un nouvel outil vous permettant de calculer de façon simple et gratuite vos coûts de livraison lors de la vente en circuit court. Rendez vous sur AIDES13/12/2018 Aides bio 2019 Contenu réservé aux adhérents, retrouvez l'article complet dans les Nouvelles de la Bio. AIDES13/12/2018 Paiements des aides bio Contenu réservé aux adhérents, retrouvez l'article complet dans les Nouvelles de la Bio. VIE DU RESEAU13/12/2018 Nouveau schéma de gestion cynégétique de l'Yonne pour la période 2018-2024 Contenu réservé aux adhérents, retrouvez l'article complet dans les Nouvelles de la Bio. ANNONCES13/12/2018 Concours International des vins Biologiques et en conversion - Inscription Vous êtes invités à présenter vos vins aux jurés du Concours International des vins Biologiques et en conversion à Paris le 13 avril 2019. Participer à ce Concours c'est oeuvrer à la reconnaissance de vos vins et de la bio. Vitrine de la viticulture biologique, ce concours indépendant est reconnu par les instances professionnelles du vin et de la bio. C'est la plus grande dégustation de vins biologiques à Paris. Il contribue à donner une image positive de la démarche bio au travers de son sérieux et de son expertise. Sur le plan individuel, le Concours Amphore permet la promotion des producteurs distingués macarons, diffusion du palmarès, diplômes.... 500 macarons offerts aux médailles d'or, envoi d'un diplôme, reduction pour participer au salon Vinibio pour les domaines médaillés… VIE DU RESEAU12/12/2018 Le Parc naturel régional du Morvan et BIO BOURGOGNE renforcent leur partenariat Le lundi 10 décembre, le Parc Naturel Régional du Morvan et BIO BOURGOGNE ont signé une nouvelle convention du partenariat affirmant l'intérêt de la bio pour répondre aux défis de l'agriculture tels qu'identifiés dans la future Charte du Parc. BOURSE D'ECHANGES06/12/2018 BIO BOURGOGNE des bourses aux annonces à votre service Ces bourses permettent de rassembler les annonces fourrages, paille, fumier, grains, légumes, matériel... et de transmettre l'information à tous les agriculteurs de Bourgogne mais aussi des autres régions françaises. Cela vous offre la possibilité d'écouler vos excédents mais aussi d'exprimer vos besoins ou d'organiser un achat groupé. Pour retrouver l'ensemble des bourses aux annonces, RDV sur la page dédiée de notre site Internet. ANNONCES05/12/2018 Candidatez aux Trophées de l'Excellence Bio 6ème Edition L'Agence BIO et Crédit Agricole SA ont le plaisir de vous annoncer le lancement d'une nouvelle édition des Trophées de l'Excellence Bio. Ouvert à tous les acteurs professionnels et à toutes les entreprises des filières biologiques, qu'ils soient producteurs, transformateurs ou distributeurs, ce concours permet de soutenir des initiatives exemplaires, innovantes et reproductibles des filières biologiques. Cliquez ici pour télécharger le règlement. Cliquez ici pour télécharger le dossier de candidature. ENQUETE05/12/2018 Enquête FNAB sur les récoltes de miel bio et les prix 2018 Chaque année la FNAB réalise une enquête sur la récolte du miel bio et les prix pratiqués. Vous êtes apiculteur bio ? N'hésitez pas à y participer accès à l'enquête en ligne. Cette année, l'enquête intègre des éléments pour favoriser les échanges directs entre les apiculteurs biologiques sur les intrants de vos exploitations cire, reines, essaims, pollens. COMME SI VOUS Y ETIEZ...23/11/2018 Le projet de la Ville de Quetigny récompensé par les Trophées BIO des Territoires Le deuxième prix de la 1ère Edition des Trophées BIO des Territoires a été attribué à la ville de Quetigny 21 pour le projet une production de fruits, bio, locale et équitable ! ». Le projet vise à créer un verger bio sur 4 hectares de terres communales. L'entreprise adaptée PROMUT a été sélectionnée après un appel à projet pour s'implanter dans la commune afin de développer cette activité production, transformation, vente directe qui permettra également la création de 6 emplois pour des personnes en situation de handicap. Retrouvez ici le communiqué de presse de l'Agence Bio MOBILISATION DU RESEAU20/11/2018 Une initiative citoyenne européenne pour la fin des cages en élevage Une initiative citoyenne européenne ICE est en cours pour interdire l'utilisation des cages en élevage dans toute l'Union Européenne. Plus qu'une pétition, il s'agit d'un véritable référendum européen pour une proposition de loi. A signer et à diffuser ! VIE DU RESEAU16/11/2018 Retards de paiement des aides bio la FNAB saisit le défenseur des droits Le gouvernement annonce depuis un an, un retour à la normale sur le paiement des aides biologiques avant fin 2018, soit le versement effectif de l'ensemble des aides bio 2015, 2016, 2017. A deux mois de l'échéance, la FNAB fait le bilan et s'alarme de nouveaux retards. Vous retrouverez le communiqué de presse de la FNAB ici. COMME SI VOUS Y ETIEZ...13/11/2018 Retour sur la Conférence sur les Semences Paysannes Samedi 10 novembre dernier, le GABSeL et le lycée horticole de Tournus organisaient une conférence sur les semences paysannes. Ce fut l'occasion d'évoquer la réglementation et les évolutions prochaines, en particulier avec la révision du règlement bio européen, expliquées par Fiona Marty, chargée de réglementation à la FNAB et Philippe Roux délégué régional du GNIS. Yanick Loubet, producteur de semences maraichères en Côte d'Or, nous a fait part de son expérience en production de semences paysannes, et Bernard Ronot, paysan retraité et membre fondateur de Graines de Noé, nous a expliqué sa prise de conscience sur les limites de l'agriculture conventionnelle développée après la seconde guerre mondiale. Une cinquantaine de personnes sont venues assister et échanger lors de cette après-midi riche en témoignages. Merci à tous les participants, aux intervenants et au lycée horticole de Tournus qui nous a accueilli pour les 30 ans de son exploitation. INFOS TECHNIQUES07/11/2018 La nouvelle lettre technique FNAB sur l'apiculture est sortie ! Il s'agit d'un numéro spécial cire, consultable sur ici. N'hésitez pas à vous abonner pour recevoir directement les prochains numéros dans votre boite mail. REGLEMENTATION26/10/2018 La FNAB demande au gouvernement un plan "cuivre" Retrouvez ici l'intégralité du communiqué de presse de la FNAB, de ce 24 octobre 2018. MOBILISATION DU RESEAU23/10/2018 Communiqué de presse GAB21 - Pour une autre PAC Dans le cadre de la mobilisation européenne Pour une autre PAC, un week-end d'évènements s'est tenue à Dijon et aux alentours par Les Amis de la Terre Côte d'Or, soutenu par le GAB21, les 26, 27 et 28 octobre. A cette occasion, le GAB21 a diffusé un communiqué de presse pour soutenir la mobilisation et exprimer ses attentes Pour une autre PAC. Communiqué à télécharger ici. Formation23/10/2018 RETOUR SUR LA FORMATION PREPARATION DES SOLS ET REGLAGES DU SEMOIR EN AB Le 12 septembre dernier, une rencontre autour du semis et de la préparation du sol en agriculture biologique a eu lieu à Neuilly, organisée par l'association BIO BOURGOGNE. Un groupe d'agriculteurs bourguignons s'est réuni autour de Nicolas Thibaud, agro-ingénieur expert en agroéquipement. Cette journée a fait l'objet d'un article paru dans le journal Terre de Bourgogne, vous trouverez l'article complet en cliquant sur le lien suivant REGLEMENTATION10/10/2018 6ème programme d'actions nitrates quels changements pour les agriculteurs bio ? Le 6ème programme régional d'actions "Nitrates" entre en vigueur cet automne. Il s'agit principalement d'une harmonisation des programmes Bourgogne et Franche-Comté. Cependant, un certain nombre de modifications sont susceptibles de vous impacter. Contact Aurélie BILLON - 06 80 43 16 97 ou aurelie.billonatbiobourgogne.org REGLEMENTATION08/10/2018 L'ITAB lance un nouveau site sur les substances de base Protégez vos cultures à moindre coût grâce aux substances de base L'Institut Technique de l'Agriculture Biologique ITAB met gratuitement à votre disposition des fiches qui vous permettront d'utiliser au mieux les substances de base, via le tout nouveau site Substances. Mais les substances de base, qu'est-ce que c'est ? Ce sont des substances pouvant être utilisées à des fins phytopharmaceutiques en agriculture alors que cela n'est pas leur vocation première. Par exemple, le sel, le sucre, le vinaigre, la bière… Les substances de base permettent donc de se prémunir contre certaines maladies ou certains nuisibles à moindre coût. Accès au site Internet Formation01/10/2018 Suite à la formation Agroforestière dans la Nièvre Jeudi 27 septembre, la formation portant sur l'agroforesterie a regroupé 11 stagiaires, venus des départements de la Nièvre et de l'Yonne. Après avoir abordé les bases théoriques, les stagiaires ont pu observer un projet mis en place depuis 2015 dans le secteur. Photo parcelle agroforestière Noyers-luzerne à Dompierre sur Nièvre 58. La formation s'est poursuivie pour ceux qui le souhaitaient par l'observation d'une haie implantée récemment chez un des stagiaires. COMME SI VOUS Y ETIEZ...24/09/2018 Retour sur la visite de l'atelier de découpe Séleviandes à Saint Rémy En septembre, une vingtaine d'éleveurs ont participé à la visite de l'atelier de découpe de Séléviandes à Saint Rémy, co-organisée par BIO BOURGOGNE et les Eleveurs Bio de Bourgogne. Ce fut l'occasion d'échanger avec le responsable de l'atelier, Didier Berthiot, et les éleveurs présents sur différents sujets - la qualité de l'engraissement, le rendement carcasse et le choix des races - le fonctionnement de l'atelier et les prix de découpe - la réglementation en vente directe - les attentes des consommateurs et le marketing D'ailleurs, n'oubliez pas de nous faire part de vos besoins en terme de formations ou de visites ! Outils de communication18/09/2018 Consultez le Guide Bio de la Nièvre l'annuaire des points de vente Le Guide Bio de la Nièvre est disponible au téléchargement ! Télécharger le Guide Retrouvez la liste des agriculteurs bio qui commercialisent dans la Nièvre, ainsi que les AMAP, marchés et évènements bio. Les artisans et magasins spécialisés font également partie du guide ! Quelques exemplaires papier sont encore disponibles, contactez-nous pour en recevoir gabni Vie des structures bio bourguignonnes17/09/2018 Les agriculteurs bio volontaires pour accueillir des ruches sur leurs fermes ! Face aux difficultés rencontrées par les apiculteurs ces dernières années, le réseau bio a décidé de se mobiliser en proposant des sites à l'abri des pesticides de synthèse. BIO BOURGOGNE, structure de développement de l'agriculture biologique en Bourgogne, a réalisé une enquête auprès des agriculteurs bio de la région afin de savoir s'ils seraient favorables à l'hébergement de ruches sur leurs parcelles. La réponse est oui ! Nous avons constitué une liste d'agriculteurs volontaires, que nous tenons à disposition des apiculteurs intéressés. Contact Aurélie BILLON, conseillère polyculture-élevage à BIO BOURGOGNE – 06 80 43 16 97 – aurelie.billonatbiobourgogne.org ENQUETE17/09/2018 Enquête en ligne sur le prix des fourrages et de la paille biologiques Comme chaque semestre, BIO BOURGOGNE vous propose de répondre à son enquête en ligne sur - le prix de la paille - le prix des fourrages L'objectif est d'établir une mercuriale » qui pourra vous aider à définir ou évaluer des prix. Cette enquête ne vous prendra que quelques minutes et vous permettra de recevoir les résultats détaillés. Merci d'avance pour votre participation ! Contact Aurélie BILLON - 06 80 43 16 97 - aurelie.billonatbiobourgogne.org REGLEMENTATION13/09/2018 Glyphosate le vote de la dernière chance ! A partir du mercredi 12 septembre 2018, les députés seront appelés à voter une dernière fois l'ensemble de la loi Agriculture et Alimentation. A cette occasion, les députés auront la possibilité de voter un amendement interdisant le glyphosate au plus tard dans 3 ans. C'est notre dernière chance d'interdire cette substance classée cancérigène probable » par l'Organisation Mondiale de la Santé. Signez la pétition proposée par Agir pour l'Environnement ! Références10/09/2018 Elever des porcs bio un guide pour construire son projet La FNAB publie une brochure destinée aux porteurs de projet, producteurs et productrices intéressés par l'élevage de porcs bio. État des lieux de la filière et de ses dynamiques, débouchés, cahier des charges, repères techniques et financiers, témoignages d'éleveurs et d'éleveuses dans différents systèmes. Vous y trouverez de nombreux éléments pour réfléchir et construire votre projet. Plus d'informations / Télécharger la brochure. Formation07/09/2018 Le programme technique polyculture-élevage est sorti ! Le programme technique polyculture-élevage de BIO BOURGOGNE des prochains mois est disponible ici. N'hésitez pas à vous pré-inscrire aux actions les places sont limitées et à nous signaler les autres thèmes que vous souhaiteriez voir aborder. L'équipe polyculture-élevage de BIO BOURGOGNE REGLEMENTATION07/08/2018 Courrier à VIVEA sur les formations en phytothérapie vétérinaire Un collectif d'acteurs FNAB, ITAB, Zone Verte... a vivement réagi au courrier diffusé par VIVEA et visant à restreindre les possibilités de mise en place de formations à la phytothérapie à destination des éleveurs. Ces acteurs rappellent la nécessité d'une approche globale intégrant les plantes en santé animale si l'on veut réduire le recours aux médicaments de synthèse et notamment limiter l'antibio-résistance ! Vous trouverez le courrier adressé à VIVEA ici. REGLEMENTATION03/08/2018 Le guide des bonnes pratiques de biosécurité pour les petits élevages de volailles est paru ! Dans le cadre de la prévention contre l'Influenza aviaire, l'arrêté du 8 février 2016 a imposé des mesures de biosécurité dans les exploitations de volailles. Ces mesures ont soulevé de nombreuses questions et inquiétudes de la part des éleveurs bio. Afin de s'assurer que la mise en place de ces mesures de biosécurité ne mette pas en péril l'équilibre des exploitations avicoles biologiques, le réseau FNAB a contribué à la réalisation d'un guide de bonnes pratiques de biosécurité, qui soient compatibles avec le fonctionnement des systèmes d'exploitation diversifiés et en circuits courts. Ce guide a été rédigé par la Confédération paysanne, avec qui le réseau FNAB a collaboré pour que les spécificités des élevages de volailles biologiques soient particulièrement prises en compte. Téléchargez le guide ici ! AIDES11/07/2018 1ère Edition des Trophées BIO des Territoires L'Agence BIO et Les Eco Maires, en partenariat avec KissKissBankBank en lien avec le projet "Terres Nourricières" proposent Les Trophées BIO des Territoires », pour mettre en valeur les initiatives locales en faveur du développement de l'agriculture biologique dans les territoires. La participation aux Trophées BIO des Territoires » est gratuite et ouverte à toutes les communes, communautés de communes, communautés d'agglomération, communautés urbaines et métropoles de France métropolitaine et d'Outre-mer, ainsi qu'aux établissements publics territoriaux de la métropole du Grand Paris. Les dossiers de candidature devront être renvoyés au plus tard le 26 octobre 2018. Cliquez ici pour avoir plus d'information MOBILISATION DU RESEAU26/06/2018 CP FNAB Ambition bio un plan ambitieux sans argent ! La FNAB publie son communiqué de presse après l'annonce du plan ambition bio par le gouvernement, qui doit soutenir l'objectif de 15% de SAU bio en 2022. Où sont les 1,1 milliards promis ? 26/06/2018 Communiqué de Presse du Réseau bio les Agriculteurs bio ne sont pas pris au sérieux face aux sangliers Depuis plusieurs mois, le GABNi a pris en main la problématique de l'indemnisation des dégâts de gibiers pour les cultures biologiques. Voici les dernières actions du réseau bio à ce sujet Sollicitation du Préfet de la Nièvre pour interpeler l'administration et signaler l'incohérence de la situation. Mise à jour de la grille de référence indiquant le tarif moyen des cultures biologiques en Bourgogne. Transmission de l'ensemble de ces documents aux instances en charge de la gestion de l'indemnisation des dégâts de gibier Fédération Départementale des Chasseurs, DDT, Chambre d'Agriculture Rédaction d'un communiqué de presse par le réseau bio Références04/06/2018 BIOREFERENCES Sortie des résultats 2016 et du guide Printemps Bio29/05/2018 Printemps Bio 2018 en Bourgogne le programme ! Le programme des événements bourguignons organisés dans le cadre du Printemps Bio a été actualisé. Retrouvez ici les animations à destination du grand public, des agriculteurs, des consommateurs, des plus jeunes… marchés et fêtes bio, portes ouvertes de fermes bio, projections-débats, tours de plaine et visites techniques, création d'une AMAP, … Venez nombreux partager ces moments d'échanges et de convivialité avec les acteurs de la bio en Bourgogne ! Le programme est également consultable sur le site La Bio des 4 Saisons. FNAB25/05/2018 Réglement bio, encore une chance d'aller plus loin Le nouveau règlement bio européen a définitivement été approuvé le 22 mai 2018 par le Conseil des ministres. Ces nouvelles règles s'imposeront à tous les producteurs et productrices bio européens à partir du 1er janvier 2021. Pour consulter le Communiqué de Presse de la FNAB cliquez ici ! FNAB04/05/2018 Pré-commande Guide technique Apiculture biologique BIO BOURGOGNE vous propose de regrouper les commandes pour le GUIDE TECHNIQUE APICULTURE BIOLOGIQUE édité par la FNAB. Pour consulter le sommaire et un extrait ici. Tarif unitaire des guides par l'intermédiaire du réseau bio 14 € TTC frais de port inclus ; 12 € TTC frais de port inclus pour les commandes entre 10 exemplaires et 30 exemplaires 10 € TTC pour toute commande supérieure à 30 exemplaires. Les guides seront à récupérer dans l'un de nos bureaux Auxerre, Bretenière, Beaune, Cluny ou Nevers. Ouverture des pré-commandes jusqu'au 16 mai 2018 contacter Aurélie BILLON au 06 80 43 16 97 ou aurelie.billonatbiobourgogne.org. Le guide complet sera mis en ligne prochainement sur le site et téléchargeable gratuitement. Références24/04/2018 BIO REFERENCES les nouvelles synthèses sont sorties ! Production de références technico économiques en élevage de ruminants bio sur le Massif Central Lundi 26 mars, un séminaire de présentation des résultats 2016 du suivi de 70 fermes s'est tenu à Lempdes dans le cadre du projet BioRéférences , qui vise à produire et valoriser des références en agriculture biologique pour les systèmes d'élevage ruminants du Massif Central. Ce projet piloté par le Pôle AB Massif Central a été financé dans le cadre de la Convention Massif / Massif Central. 22 partenaires dont BIO BOURGOGNE participent à ce projet. La présentation des références 2016, confirme les résultats technico-économiques 2015 en bio en moyenne de bons revenus disponibles, une bonne efficience, une maîtrise des charges opérationnelles, une bonne valorisation de l'herbe produite dans le Massif Central. Ces systèmes autonomes et économes cachent une grande variabilité dans les résultats par filière et au sein des filières. L'ensemble des résultats est disponible sur Communiqué de presse disponible ici. Vie des structures bio bourguignonnes06/04/2018 1,1 milliard pour la Bio une annonce à la hauteur de l'enjeu 5/04/18 Annonce d'un soutien public de 1,1 milliard d'euros sur 5 ans pour la conversion en agriculture biologique Retrouvez ici le communiqué de presse de la FNAB. Assemblée Générale19/03/2018 C'était l'Assemblée Générale ! L'Assemblée Générale du GABSeL a eu lieu le jeudi 8 mars à Solutré-Pouilly ! Ma matinée de cette Assemblée Générale a permis de rappeler les objectifs du GAB pour le développement de la bio sur le département et de montrer que la dynamique de conversion est toujours aussi importante ! En fin de matinée, Laurent Charasse et Céline Vandamme de la DDT de Saône et Loire ont refait le point sur le planning de versement des aides à la bio, qui risque de prendre de nouveau du retard pour le paiement des aides 2016 et 2017. Sur une note plus positive, le GABSeL compte deux nouvelles administratrices Marie-Paule Huyghe, éleveuse à Vitry-en-Charollais et Nathalie Boyer, viticultrice à Romanèche Thorins ! Bienvenues à elles ! Après avoir dégusté les spécialités de chacun, nous avons fait l'ascension de la Roche de Solutré accompagné par un guide pour découvrir l'histoire de cette roche. Merci à tous ceux qui ont fait le déplacement, et à bientôt à l'occasion d'autres évènements du réseau bio ! 22/02/2018 La Bio au Salon de l'Agriculture - Conférence de presse de l'Agence Bio Production, distribution, consommation Le Bio consolide son développement et prépare l'avenir ! A la veille de l'ouverture du Salon International de l'Agriculture, le bio apparaît plus que jamais comme un secteur d'avenir, prêt à relever de nouveaux défis. Tous les signaux sont au vert les professionnels sont en ordre de marche et les chiffres de la consommation sont très positifs. On dénombre 36 664 producteurs en agriculture biologique en France en 2017 et 73% des Français déclarent consommer un produit bio au moins une fois par mois Baromètre Agence BIO/CSA 2018. Lieu test26/01/2018 Appel à candidature, lieu test de Mézilles Le lieu test de mézilles recherche son porteur de projet. L'appel à candidature est ouvert pour intégrer le lieu test de Mézilles. Vous souhaitez vous installer en agriculture biologique en Bourgogne, mais vous ressentez le besoin • de mesurer concrètement la faisabilité technique et économique de votre projet, • de mûrir votre projet professionnel, • de vérifier l'adéquation entre votre projet de vie et votre projet professionnel, • de bénéficier d'un accompagnement humain, technique, comptable, … • de vérifier votre capacités à gérer et développer une ou des productions agricoles, • de conforter des compétences et savoir-faire. N'hésitez pas à contacter l'animatrice du GABY, Marion PRIMAT 12/01/2018 Meilleurs voeux ! Le réseau bio de Bourgogne, BIO BOURGOGNE et les GAB départementaux, les présidents, l'ensemble des élus et des salariés vous présentent leurs meilleurs voeux. A la une03/01/2018 Bonne année 2018 ! Le Conseil d'Administration du GABSeL vous souhaite une très belle année 2018 ! Que 2018 vous apporte joie, bonheur et santé, et que tous vos voeux se réalisent ! Pour cette nouvelle année, nous souhaitons que les politiques publiques et la demande des consommateurs nous confortent dans notre engagement pour l'agriculture biologique. Quelque part sur les hauteurs du Clunisois lors d'une belle journée d'hiver ensoleillée Formation03/01/2018 Programme technique polyculture-élevage BIO BOURGOGNE - Hiver 2018 BIO BOURGOGNE à le plaisir de vous présenter le programme technique polyculture-élevage de ce début d'année. N'hésitez pas à vous pré-inscrire aux actions les places sont limitées et à nous signaler les autres thèmes que vous souhaiteriez voir aborder. Nous restons à votre disposition pour tout renseignement complémentaire. L'équipe polyculture-élevage de BIO BOURGOGNE Vie des structures bio bourguignonnes22/12/2017 Parution de l'Observatoire de la Bio en Bourgogne L'édition 2017 de l'Observatoire Régional de l'Agriculture Biologique en Bourgogne vient de paraître. La brochure complète est téléchargeable ici. Cette édition présente et analyse les chiffres de l'agriculture biologique bourguignonne au 31 décembre 2016. AIDES13/12/2017 PETITION - Non aux nouvelles suppressions des aides à l'agriculture biologique ! Agir pour l'Environnement lance une nouvelle pétition pour soutenir l'agriculture biologique Selon des informations émanant de la FNAB Fédération Nationale de l'Agriculture Biologique, après avoir supprimé les aides au maintien, ce sont maintenant les aides à la conversion qui sont menacées suite au désengagement de l'Etat ! L'ensemble de ces mesures va se traduire concrètement et à très court terme par une chute du nombre de conversions en bio ! Accédez dès maintenant à la pétition en ligne REGLEMENTATION11/12/2017 Parution du guide des bonnes pratiques de biosécurité adaptées aux élevages avicoles bio en circuits courts Réalisé par la Confédération paysanne, avec la contribution du réseau bio de la FNAB et celles d'autres partenaires, ce guide est issu d'une large concertation professionnelle à laquelle vous avez participé. Il sera encore modifié, notamment en fonction des retours de la DGAL. II sera donc actualisé régulièrement. Vous pouvez le télécharger en cliquant ici. VIE DU RESEAU24/11/2017 AIDES BIO Retour sur la mobilisation du 21 novembre Les agriculteurs et agricultrices bio de Bourgogne se sont mobilisés ce mardi 21 novembre pour dénoncer les décisions de l'Etat et pour une juste rémunération des services environnementaux et sociaux rendus par l'agriculture biologique. Réunis en nombre au Creusot, les agriculteurs bio ont exprimé leurs revendications aux représentants de la région et des services de l'état. Nous espérons que cette mobilisation portera ses fruits ! Regardez l'article de france3 régions sur la manifestation du 21 novembre 20/11/2017 Communiqué de Presse du GABNi Qui aurait cru que la France ne soutiendrait pas l'Agriculture Biologique ? Suite à la procédure engagée dans chaque département par les DDT, demandant aux agriculteurs bio de revenir sur les déclarations PAC 2015, le GABNi se soulève et dénonce l'incohérence d'un tel dispositif. Consultez le Communiqué de Presse du GABNi contact gabni 06 30 02 24 01 03/10/2017 Aides à la bio, entre intérêt public et loi du marché, le choix inacceptable du gouvernement Retrouvez ici le communiqué de presse du Réseau Bio de Bourgogne Franche-Comté, du lundi 2 octobre 2017. Débat public01/09/2017 Non à l'usine des 4000 vaches à Digoin ! Une usine de 4000 vaches est en projet à Digoin, en Saône et Loire ! Un éleveur du Charolais possédant actuellement 800 vaches a pour projet d'agrandir son exploitation pour en accueillir plus de 4000, afin de les préparer à l'exportation vers le Maghreb, la Turquie et même la Chine. Devant l'ineptie environnementale, sanitaire et économique du projet, les riverains se mobilisent. L'enquête publique est toujours en cours. Pour en savoir plus, l'article du Journal de Saône et Loire. Vie des structures bio bourguignonnes01/09/2017 Programme technique polyculture-élevage BIO BOURGOGNE BIO BOURGOGNE à le plaisir de vous présenter le programme technique polyculture-élevage. N'hésitez pas à vous pré-inscrire aux actions les places sont limitées et à nous signaler les autres thèmes que vous souhaiteriez voir aborder. Nous restons à votre disposition pour tout renseignement complémentaire. L'équipe polyculture-élevage de BIO BOURGOGNE REGLEMENTATION04/07/2017 Fin des négociations pour la révision du règlement bio européen ! Fin juin, les négociateurs du Parlement et du Conseil européens sont parvenus à un accord sur le projet de révision du règlement bio. Voici quelques détails concernant les points ayant fait l'objet de négociations Des règles plus strictes pour les contrôles Les contrôles seront maintenus annuellement, pour tous les opérateurs et sur toute la chaîne d'approvisionnement. La fréquence peut passer à un contrôle tous les 2 ans si aucun manquement n'a été signalé pendant 3 ans. Les règles d'importation sont désormais plus strictes les règles d'équivalence avec les pays tiers n'existeront plus d'ici 2025, ces pays devront respecter le cahier des charges européen pour accéder au marché communautaire. Pas de seuil de contamination aux pesticides. Les agriculteurs devront appliquer des mesures de précaution pour éviter la contamination. En cas de présence soupçonnée d'un intrant interdit en AB, le produit agricole ne sera pas commercialisé dans la filière jusqu'à vérification. D'ici 2024, la Commission établira un rapport sur l'efficacité de ces règles anticontamination et de ces seuils nationaux et pourrait dans la foulée proposer d'harmoniser ces pratiques. Les cultures hors-sol ne sont pas compatible avec la bio. Seuls les pays pratiquant les cultures hydroponiques avant 2017 pourront continuer jusqu'en 2030 Danemark, Finlande et Suède. La mixité est toujours autorisée en bio, sous conditions. pas de changement L'approvisionnement en semences et en animaux devra être 100% bio d'ici 2035. Selon le porte parole, tout est fait pour favoriser la plus grande confiance dans le secteur biologique. Le texte nécessite maintenant d'être adopté par la Commission de l'agriculture, le Parlement et le Conseil, pour une application dès juillet 2020. REGLEMENTATION21/06/2017 Soutenons un règlement européen de qualité pour l'Agriculture Biologique ! Marquée par une croissance de 20%, la consommation grandissante des produits bio illustre pleinement la volonté des français d'accéder à des labels de qualité, répondant à un cahier des charges fiable et exigeant. La réglementation européenne, en cours de révision depuis 2014, s'est enlisée dans les négociations internes aux institutions européennes. Plusieurs décisions devront être prises d'ici la fin du mois de juin, dont trois modifications majeures qui risquent de mettre en danger la cohérence et la reconnaissance de l'Agriculture Biologique européenne. En voici les modalités Autorisation du hors sol Les pays baltes et scandinaves souhaiteraient pouvoir certifier la culture en bacs, ce qui est contraire aux principes du lien au sol et de la rotation des cultures Nombre de contrôles à la baisse Abaissement du nombre de contrôles des exploitations pour vérifier qu'elles respectent bien le cahier des charges. Au lieu d'un contrôle par an on passerait au mieux à un tous les deux ans voire plus Un seuil de pesticides Une liberté serait donnée aux États-membres de l'Union européenne de décider d'un seuil permettant de déclasser une production biologique en fonction d'un niveau de présence de résidus de pesticides. Ceci risque de créer un label à plusieurs vitesses selon le seuil décidé par chaque État-membre ! Une réunion du Conseil européen des ministres de l'Agriculture vient d'avoir lieu et le nouveau ministre français ne s'est pas exprimé sur ce sujet. En signant cette pétition que nous relayons, vous relayez la demande - d'un positionnement du gouvernement français pour défendre l'intégrité du label bio auprès des institutions européennes et face aux autres Etats-membres. - d'un maintien de la qualité du label bio pour conserver la confiance des français vis-à-vis de ces filières. Participez à la pétition cliquez ici Déjà plus de 39 300 signatures ! Source et image Agir pour l'environnement > La bio en Danger 02/06/2017 Le Printemps Bio en Bourgogne, c'est parti ! Retrouvez ici le programme de toutes les animations proposées en Bourgogne à destination du grand public, des professionnels, des scolaires… Fêtons la bio en Bourgogne ! 16/05/2017 Gérard Michaut élu président de l'Agence Bio Gérard Michaut, 57 ans, vient d'être élu à la présidence du conseil d'administration de l'Agence BIO, Groupement d'Intérêt Public dont la mission est d'œuvrer au développement et à la promotion de l'agriculture biologique française. Il succède à Didier Perréol et représente Coop de France, Organisation professionnelle unitaire de la coopération agricole. Céréalier bio dans l'Yonne 89, il a été élu par les représentants des structures membres du Conseil d'Administration les Pouvoirs publics Ministères en charge de l'agriculture et de l'écologie et les structures professionnelles APCA, Coop de France, FNAB et Synabio. Retrouvez ici le communiqué de presse détaillé de l'Agence Bio. Demande de soutien12/05/2017 Une chambre froide pour conserver les variétés anciennes Graine de Noé, partenaire historique de BIO BOURGOGNE, met en place une campagne de financement participatif pour assurer la conservation des variétés anciennes et paysannes! Depuis 2010, Graines de Noé se consacre à constituer et maintenir une collection de plus de 200 variétés anciennes de céréales à paille, fédérant tous les acteurs de la filière paysans actifs ou en retraite, transformateurs meuniers, boulangers, distributeurs magasins…, associations et particuliers. Pour pouvoir conserver dans le temps des échantillons de ces variétés anciennes et les mettre a disposition des adhérents de Graines de Noé et ainsi développer leur utilisation, l'association souhaite investir dans une chambre froide. Cette acquisition apparait comme primordiale pour continuer le travail sur la sauvegarde et la défense des variétés anciennes Graines de Noé a besoin d'un vrai coup de pouce! Parlez de ce projet autour de vous et n'hésitez pas à relayer l'information! La campagne se termine bientôt, mais vous pouvez toujours participer en contactant directement graine de Noé! Pour plus d'informations sur ce projet, cliquer sur le lien suivant Une chambre froide pour Graines de Noé Evènement bio11/05/2017 C'est bientôt le printemps bio ! Cette année encore, la première quinzaine de juin, c'est le Printemps BIO ! C'est l'occasion pour le grand public de découvrir ou redécouvrir! les principes, les valeurs et les pratiques de l'Agriculture biologique grâce aux animations mises en place par les acteurs de la bio sur le territoire. Comme toute l'année, mais plus particulièrement pendant le printemps bio, nous recensons toutes les actions que vous pourriez mettre en place pour informer et sensibiliser à la bio et à ses produits fermes ouvertes, apéros bio, expositions, dégustations en magasins, animations dans les écoles, conférences, repas bio en restauration collective et commerciale … N'hésitez pas à nous en informer et à demander le formulaire d'inscription à votre animateurtrice de GAB cf liste contacts ci-dessous. Nous diffuserons largement l'information sur le site des 4 Saisons de la Bio et dans un programme régional téléchargez le mode d'emploi ici. Nous disposons également d'outils de communication de l'Agence Bio, destiné au grand public affiche, flyer .... Demandez-les nous ! Rappel Le Printemps BIO est une campagne coordonnée par l'Agence BIO, plateforme nationale d'information et d'actions pour le développement de l'agriculture biologique en France. Contact Côte d'Or Maxime HARAN 03 86 72 92 28 - Nièvre Lola JEANNINGROS 03 86 36 94 25 - Saône et Loire Marine PHILIPPE - 06 33 35 37 48 - Yonne Marie GIRALDI 03 86 72 92 28 - FNAB02/05/2017 Découvrez Retrouvez toutes les informations relatives à l'Agriculture Biologique sur le nouveau site du réseau bio Chiffres de la bio, témoignages d'agriculteurs bio, conseils pour s'installer ou se convertir à l'AB... Mais également les lettres et actualités par filières et les contacts des antennes du réseau en région ! Vie des structures bio bourguignonnes18/04/2017 Assemblée Générale de BIO BOURGOGNE BIO BOURGOGNE tiendra son Assemblée Générale le jeudi 20 avril à Rouvray 21. Moment privilégié de l'année pour échanger et débattre, la journée se déroulera en deux temps - Assemblée Générale statutaire le matin - L'après-midi, présentation des chiffres de la bio et des activités 2016 de BIO BOURGOGNE suivie d'une discussion, à partir d'une brève présentation de l'étude de l'ITAB, parue fin 2016, évaluant les externalités de l'agriculture biologique au regard de l'agriculture dite conventionnelle » Pourquoi et comment rémunérer les services environnementaux et sociaux apportés par les producteurs qui pratiquent le mode de production biologique ? Outils de communication15/03/2017 La Vitrine des producteurs Bio de Bourgogne votre outil de communication ! La Vitrine des producteurs bio de Bourgogne vous permet de communiquer auprès du grand public, pour faire la promotion de vos produits et activités. En 2016, on comptabilise plus de 57 000 visites ! Pour y figurer, il suffit de vous inscrire télécharger le bulletin d'inscription Tarif adhérent du réseau bio 25€ pour 12 mois de visibilité. Si vous souhaitez rendre visible un point de vente associatif auquel vous participez, c'est gratuit ! Contactez-nous. Sur la vitrine des producteurs bio de Bourgogne, nous faisons figurer une fiche personnelle par opérateur avec vos photos, vos produits, description de votre ferme, mais également - Vos actualités marchés, évènements, mise en place d'atelier, portes ouvertes... - Des actus et dates agenda de la vie des bio en Bourgogne Qui sont relayées mensuellement dans le Bulletin Consom'Action auprès du grand public 2 000 abonnés ! Pour vous inscrire, contactez-nous ! Contact contact - 03 86 72 92 20 VIE DU RESEAU07/03/2017 Contribution du réseau BFC au plan national Ambition Bio Le programme stratégique de développement pour la bio une contribution de poids du réseau bio BFC en vue d'une prochaine déclinaison régionale du plan national Ambition bio. En réponse à la demande qui leur avait été faite début 2016, les structures professionnelles bio de Bourgogne Franche Comté BIO BOURGOGNE et Interbio Franche Comté ont remis en novembre à la Présidente de la nouvelle région un programme stratégique de développement pour la bio en BFC. Ce programme pluri annuel, qui s'inscrit dans le plan national Ambition bio, et le Schéma Régional de Développement Economique, d'Innovation et d'Internationalisation SRDEII, est le fruit d'un travail conjoint des structures de développement 100% bio et de ses partenaires. Il se veut transversal, exhaustif et en cohérence avec le contexte régional. Il intègre dans une démarche d'analyse et de prospective les éléments de réflexion et les retours d'expérience de terrain dont bénéficient de longue date les structures bio historiques Consultez la synthèse du programme ici. L'intégralité du document est disponible sur demande biobourgogne Par ailleurs, c'est sur la base des orientations proposées dans ce plan que nos structures ont, depuis, engagé avec les représentants de la Chambre Régionale d'Agriculture, les discussions visant à mettre en convergence les analyses et les propositions des uns et des autres en vue d'un accord, demandé par les pouvoirs publics, sur les objectifs qui seront assignés à la déclinaison régionale du Programme Ambition bio. La prise en compte croissante par la Chambre Régionale du développement de la bio dans ses missions consulaires jointe à la volonté des structures spécialisées bio de mettre leurs compétences et leur expérience au service d'un développement global et cohérent de l'agriculture biologique offrent donc l'opportunité d'initier une démarche collaborative dans le cadre d'un partenariat équilibré avec le réseau des Chambres. Sanctionné par un engagement clair de la Région, un accord sur les axes et orientations prioritaires ainsi que sur la gouvernance du Comité Régional Ambition bio CRAMB, pourrait déboucher sur la mise en œuvre dès 2017 d'un Plan Bio Bourgogne Franche Comté à la hauteur des besoins en accompagnement que suscite l'accroissement rapide des surfaces et du nombre des producteurs bio, et des soutiens que réclame le développement des filières sur le territoire. MOBILISATION DU RESEAU03/03/2017 Aide à l'agriculture bio Le gouvernement répond à la mobilisation de la FNAB mais le mouvement se poursuit ! La FNAB diffuse un nouveau communiqué de presse Les aides à l'agriculture bio Le gouvernement répond à la mobilisation de la FNAB mais le mouvement se poursuit ! "Mardi 28 février, Stephane Le Foll, de nouveau interpellé par la FNAB lors du séminaire de l'Agence Bio, a annoncé qu'une enveloppe de 343 millions d'euros allait être débloquée d'ici le 31 mars. Celle-ci doit permettre de régler 80% des sommes dues au titre des aides bio et des MAEC mesures agro-environnementales pour l'exercice 2016. ... Il reste qu les soldes 2015 des aides ne sont toujours pas réglés, que leur versement n'est pas prévu avant le deuxième semestre 2017, et que le soutien à l'agriculture bio est aujourd'hui menacé. ... La FNAB reste donc mobilisée pour le versement total des aides 2015 et 2016 et pour que l'Etat et les régions s'engagent à aider dans les années à venir tous les agriculteurs qui se convertissent à la bio, mais aussi tous ceux qui sont déjà certifiés, pour les services environnementaux qu'ils rendent à la collectivité. Aujourd'hui même le 28 février, une délégation régionale de la FNAB a remis 300 lettres d'agriculteurs réclamant le paiement des aides aux élus de la région Grand Est." Retrouver le communiqué de presse en entier ici. Chiffres de la bio23/02/2017 Conférence de presse de l'Agence Bio changeons d'échelle mais préservons nos fondamentaux ! La Bio plébiscitée par les Français Aujourd'hui, la Bio concerne la quasi-totalité des Français. D'après les derniers chiffres du Baromètre Agence BIO / CSA* près de 9 sur 10 89% en ont consommé en 2016 et près de 7 sur 10 69% disent même consommer régulièrement bio, c'est-à-dire au moins une fois par mois. On est loin des chiffres enregistrés par la 1ère édition du Baromètre en 2003, 46% des Français ne consommaient jamais de produits bio ! Cette évolution a lieu dans un contexte où les Français accordent de plus en plus d'importance à la préservation de l'environnement dans leurs actes d'achat 92% vs 89% en 2015 vs 67% en 2007. Ils trouvent dans la Bio une réponse à leurs attentes avec une agriculture d'avenir, basée sur le respect de l'environnement, du bien-être animal, favorisant l'emploi et le développement territorial. La demande de produits bio en forte hausse Désormais, la Bio est bien ancrée dans le quotidien des Français et les derniers chiffres enregistrés par l'Observatoire de l'Agence BIO dépassent toutes les prévisions établies. Tous circuits confondus, y compris en restauration collective, les ventes de produits issus de l'agriculture biologique dépassent les 7 milliards d'euros fin 2016, contre encore 5,76 milliards fin 2015, soit un gain d'environ +20% en seulement 1 an. Les magasins spécialisés enregistrent en particulier des hausses spectaculaires de leurs ventes, de l'ordre de +25%. Une croissance historique de l'offre bio Face à cette forte demande, la production bio monte en puissance en France pour atteindre des niveaux historiques. Fin 2016, on compte ainsi un total de 47 185 opérateurs exerçant des activités bio sur le territoire, +11,5% vs 2015, dont 32 326 exploitants agricoles bio, soit +12% vs 2015. Les surfaces consacrées à la Bio connaissent également une croissance exceptionnelle. Plus de 1,5 million d'hectares sont engagés en bio à fin 2016 33% en conversion, soit +16% vs fin 2015. Désormais, on atteint 5,7% de la Surface Agricole Utile SAU en bio, contre 4,9% fin 2015. Pour plus d'info, téléchargez le dossier de presse complet du 21 février 2017 Source image et texte Agence Bio ENQUETE22/02/2017 Dégâts de gibier répondez au questionnaire de recensement ! Devant la recrudescence de témoignages d'agriculteurs impactés par des dégâts de gros gibiers sur leurs fermes, BIO BOURGOGNE et les GAB souhaitent construire avec vous un état des lieux régional des dégâts, et connaitre le ressenti d'un maximum d'agriculteurs Bourguignons. - Afin de savoir quelles actions mettre en place, et quel message transmettre aux Fédérations de Chasse dans l'optique de les rencontrer - Pour faire reconnaitre les intérêts des bio - Afin de proposer vos solutions pour améliorer la prise en charge des dégâts de gibier Merci de bien vouloir participer à l'enquête en cliquant sur le lien questionnaire à remplir si vous avez eu ou non des dégâts cette année Nous comptons sur votre participation déjà 55 réponses en Bourgogne ! Contact Marie GIRALDI Lola JEANNINGROS Vie des structures bio bourguignonnes20/02/2017 Un temps fort du réseau bio les Assemblées Générales des GAB ! Les Assemblées Générales des quatre Groupements d'Agrobiologistes Bourguignons ont eu lieu ces deux dernières semaines. Ces temps forts associatifs ont rassemblé de nombreux adhérents, et a permis aux agriculteurs bio engagés de faire avancer leur groupement, dans un contexte d'une filière biologique grandissante. Chacun a pu faire part de ses attentes pour l'évolution du réseau bio en 2017 et 2018 les changements prévus sont nombreux dans le contexte dynamique de l'Agriculture Biologique actuel. A la suite de la partie statutaire des assemblées générales, les après-midis ont attiré de nombreux partenaires et élus locaux. Après avoir constaté le développement manifeste de la bio dans chacun des départements ces deux dernières années, les débats et échanges ont porté sur le changement d'échelle de l'Agriculture Biologique en France et ses conséquences sur notre réseau. En Côte d'Or comme en Saône et Loire, le débat sur le changement d'échelle a fait ressortir un besoin fort la nécessité de structurer les filières de distribution locales du bio. Dans ce cadre, de bonnes nouvelles sont venues du Grand Dijon avec la confirmation du projet de grande légumerie où la bio tiendrait une bonne place, et du Conseil Général de Saône et Loire avec la création d'une plateforme Agrilocal pour permettre aux producteurs et aux établissements scolaires d'entrer en relation. Après ces échanges forts, les participants à l'AG du GABSeL sont allés visiter le domaine de la Soufrandière, en compagnie de Jean-Philippe BRET. Dans la Nièvre, la dimension économique des externalités fournies par l'AB sur l'environnement et la société a fait l'objet d'une présentation suivie d'échanges. Les AG sont l'occasion de faire parler du réseau bio à l'échelle locale, et de soutenir les initiatives telles que la mise en place d'un repas biologique au lycée agricole nivernais où se tenait l'AG du GABNi. Un partenariat entre producteurs bio et restauration collective semble possible et a de beaux jours devant lui ! ci-dessus GABNi Ci-dessus GAB21 Ci-dessus GABY Ci-dessus GABSeL Vie des structures bio bourguignonnes06/02/2017 Adhérez au réseau bio en 2017, c'est possible dès maintenant ! Les bulletins d'adhésion aux Groupements des Agrobiologistes des 4 départements de Bourgogne sont désormais disponibles pour l'année 2017 ! Cliquez ici pour adhérer - Au GAB21 Côte d'Or - Au GABY Yonne - Au GABSeL Saône et Loire - Au GABNi Nièvre En adhérant, vous soutenez le réseau bio et pouvez profiter de différents services gratuitement ou à un tarif privilégié. Pour plus d'information contactez votre animateur de GAB gab21 pour la Côte d'Or, gaby pour l'Yonne, gabsel pour la Saône et Loire, et gabni pour la Nièvre. FNAB27/01/2017 Le 8 février, la filière bio organisée interpelle les candidat-e-s à l'election présidentielle 2017 L'élection présidentielle à venir est décisive pour l'avenir de notre pays et notamment pour notre agriculture. Tout le monde a conscience que des solutions systémiques doivent être promues pour sortir de la crise sans fin qui détruit les fermes et les productrices et producteurs dans les filières d'élévage en particulier, éloigne tous les jours un peu nos concitoyens des réalités agricoles. La bio est plébiscitée et portée par des agricultrices/teurs 21 nouvelles fermes par jour converties en bio en 2016, des PME soucieuses d'innovation, des élu-e-s locaux, des parents d'élèves, et des consommatrices/teurs par millions. Il s'agit d'une aspiration sociétale profonde qui n'est pas une simple tendance de consommation. La bio a des impacts notamment sur l'économie, l'emploi, l'agriculture, l'alimentation, la santé, et l'environnement. Alors qu'en pensent les candidat-e-s à l'élection présidentielle ? Les paysann-e-s de la Fédération nationale d'agriculture biologique et leurs organisations économiques, les coopérateurs-trices bio de Coop de France, les entrepreneur-e-s, transformateurs et réseaux de magasins de proximité membres du Synabio vous invitent le 8 février à Paris de 14h à 17h30 à l'amphithéâtre de la halle Pajol afin d'entendre les positions des candidat-e-s et/ou de leurs représentant-e-s pour la mandature 2017-2022. Ils seront au rendez-vous. A cette occasion, nous présenterons notre "Pacte pour une agriculture et une alimentation d'intérêt général" présenté aux élu-e-s locaux, nombreux sont ceux qui soutiennent la bio pour la transition agricole des territoires comme en témoigne le succès du séminaire organisé sur ce thème par la FNAB les 19 et 20 janvier avec 250 territoires présents. Nous comptons sur votre présence et votre soutient. Bien cordialement, Stéphanie Pageot, présidente de la FNAB Pour s'inscrire à l'événement du 8 février 2017 AIDES03/01/2017 Stéphane LE FOLL annonce une revalorisation de l'avance de trésorerie en attendant le paiement du solde des aides bio Le ministère de l'agriculture a publié un communiqué de presse annonçant une revalorisation des ATR 2015 concernant les aides à la bio et les MAEC et la prise en compte de certaines demandes pour les ATR 2016. Ainsi concernant l'ATR 2015 des aides à la conversion, le plafond a été ré-évalué passant de 14 400€ à 18 000€ versement prévu en janvier 2017. Pour l'ATR 2016, la transparence GAEC sera enfin prise en compte. Cliquez ici pour lire le communiqué de presse du Ministère. FNAB03/01/2017 La dernière lettre filière viande est parue en fin d'année ! Régulièrement, les lettres filières FNAB vous permettent d'aborder différents sujets. La dernière publication vous permettra de découvrir ou d'approfondir les sujets suivants - Production et filière en veau de lait bio - Conjoncture des viandes bio données novembre 2016 - Développement des filières Lapins bio - Organisation de la filière de production de poules pondeuses en Allemagne - Résultats des dernières recherches et expérimentations en ovin viande -Approche territoriale des filières bovines bio en Auvergne-Rhônes-Alpes Cliquez ici pour télécharger la lettre filière viande Bonne lecture ! Chiffres de la bio28/12/2016 L'Observatoire de la Bio en Bourgogne vient de paraître La dernière édition de l'Observatoire Régional de l'Agriculture Biologique en Bourgogne vient de paraître. Vous pouvez télécharger la brochure complète ici. Depuis près de 20 ans, cet outil statistique retrace l'évolution de l'agriculture biologique bourguignonne. Cette édition présente et analyse les chiffres de l'agriculture biologique bourguignonne au 31 décembre 2015. Vie des structures bio bourguignonnes20/12/2016 La veillée du GABSeL ! Merci à tous d'être venus à la veillée du GABSeL vendredi dernier au Domaine des Vignes du Maynes, chez Julien Guillot ! Cette veillée fut forte en échanges autour des fondements de la bio, mais aussi en convivialité et bonne humeur ! Julien nous a présenté le domaine en compagnie de son père, Alain Guillot, ancien président de la FNAB, qui a permis la reconnaissance du logo AB et des cahiers des charges de l'Agriculture Biologique. Après la visite de la cave et une dégustation des vins du domaine, les échanges ont continué autour d'un repas, composé des spécialités culinaires de chacun. Nous avons ainsi pu déguster des saucissons cuits par les vapeurs de l'Alambic de la famille Chapuis de Mancey, qui distillait les Marc et Fine de Bourgogne du domaine ce soir là. Un grand merci à vous d'êtres venus, et à Julien et son père pour leur accueil chaleureux ! Je vous souhaite à tous de bonnes fêtes de fin d'année, et à bientôt en 2017 ! Assemblée Générale20/12/2016 L'AG du GABSeL aura lieu le jeudi 9 février ! L'Assemblée Générale du GAB de Saône et Loire aura lieu le jeudi 9 février. Réservez dès à présent la date dans votre agenda ! Au programme * Accueil des adhérents à partir de 9h * 9h30 Assemblée Générale réservée aux adhérents * Repas sur place, ouvert à tous, à partir de 12h30 inscription indispensable * 14h30 Visite d'une ferme ou autre visite culturelle sur notre beau territoire Vous recevrez très prochainement une invitation comprenant plus de détails sur le déroulement de la journée, avec en particulier le lieu. Le GABSeL vous souhaite de très belles fêtes de fin d'année, à bientôt en 2017 ! Evènement bio14/12/2016 Enquête dans un verre d'eau Quel lien entre qualité de l'eau et agriculture biologique ? Informez-vous sur ce thème d'actualité via l'article de l'Yonne Républicaine. Faites la connaissance de Christophe Dupuis, agriculteur bio sur l'air d'alimentation de captage d'Eau de Paris, et adhérent du réseau bio BIO BOURGOGNE - GABY. REGLEMENTATION09/12/2016 Restez informés des changements réglementaires ! Saviez-vous qu'en 2016, une liste positive d'adjuvants autorisés en AB a été mise en place ? La règle des 3/4 de vie des animaux bio, qui s'applique dans le cadre des conversion non simultanées, a été éclaircie afin de limiter les erreurs. Les mutilations des animaux doivent bien rester exceptionnelles, justifiées, et faire l'objet d'une demande de dérogation systématique. Les traitements analgésiques ou antalgiques doivent porter l'une de ces deux mentions. Les autres solutions sans prescriptions vétérinaires ne sont pas recevables. L'attache des animaux peut faire l'objet d'une dérogation particulière. Et les conditions d'accès au pâturage sont précisées pour maintenir les élevages caprins dans les normes de l'Agriculture Biologique. Plusieurs chantiers sont en cours, et d'autres sujet sont abordés. Consultez la veille réglementaire de la FNAB pour plus de détails, et référez-vous au Guide de lecture, où vous retrouverez ces informations. FNAB29/11/2016 Assises du commerce équitable en France Le 8 décembre prochain la FNAB, la Plate-Forme pour le Commerce Equitable PFCE et le réseau InPACT co-organisent les Assises Nationales du Commerce Équitable en France. L'événement se tiendra à Paris. La journée réunira producteurs, coop, transformateurs et distributeurs. A l'heure actuelle une centaine d'inscrits, mais il reste encore des places ! Objectifs de la journée échanger sur les expériences réussies de construction de filières équitables en France. Témoignages de Biolait, Ethiquable, Les Porcs Bio de France, Bio Partenaire, SCIC Bio Ile de France, Ville de Rennes mutualiser les outils existants ateliers méthodologie "construire un prix équitable", atelier réglementation que dit la loi sur le commerce équitable en France ? comment communiquer ?, atelier financement avec le Crédit Coopératif, la NEF, Mimosa débattre pour progresser dans notre pratiques Inscriptions ICI avant 5 décembre ! Des vidéos de présentation à consulter sur internet ! A voir29/11/2016 On parle de la bio dans la Nièvre ! Un article consacré au passage au bio de la Ferme du Val d'Osseux, qui a atteint depuis un niveau d'autonomie fourragère satisfaisant au vue des valeurs défendues par l'éleveur. Cliquez vous lire l'article complet ! Débat public28/11/2016 L'Agence bio défend la production biologique de saumon L'AGENCE BIO répond à la polémique du saumon bio par un communiqué de presse rappelant l'enjeu des filières biologiques. A quelques semaines des fêtes de fin d'année, les professionnels de la bio souhaitent rassurer les consommateurs sur la qualité des saumons bio, qui respectent le strict cahier des charges régissant ce mode de production ainsi que la réglementation générale en matière de qualité sanitaire. Si certaines enquêtes ont pu déceler des traces de contaminants dans des saumons bio, elles sont toutes largement inférieures aux limites fixées par la réglementation européenne et ne présentent pas de danger pour la santé humaine. En outre, les professionnels de la bio tiennent à souligner qu'ils sont les premières victimes de la pollution induite par les activités humaines contre laquelle ils luttent au quotidien. Afin de respecter au plus près leur alimentation naturelle, les saumons bio sont nourris d'aliments bio et de poissons sauvages issus de pêches durables, qui peuvent être impactés par la pollution environnementale. Les éleveurs de saumons bio n'en sont pas responsables la préservation de l'environnement et la non-utilisation de produits chimiques de synthèse fait partie des fondements même du mode de production biologique ! Par ailleurs, le saumon fait partie des poissons gras » dont la consommation hebdomadaire est officiellement recommandée par le Programme National Nutrition Santé PNNS. Il s'agit, en effet, de la seule famille d'aliments capable de nous apporter la combinaison Oméga 3 et vitamine D. Une aquaculture biologique respectueuse de la Nature Pour rappel, l'aquaculture bio travaille dans le respect du bien-être animal et de la préservation de l'environnement • faible densité des animaux, préférence donnée aux traitements naturels en cas de nécessité ; • alimentation biologique ou naturelle adaptée, sans OGM et durable. L'alimentation des saumons bio est particulièrement riche en ressources d'origine marine ; • priorité donnée aux espèces locales, n'affectant pas les niveaux de stocks de poissons sauvages, les écosystèmes aquatiques sont préservés ; • contrôles réguliers effectués par des organismes indépendants agréés par les Pouvoirs publics, de la production à la distribution, pour s'assurer de la conformité à la réglementation. En privilégiant les produits issus de l'aquaculture biologique saumons, truites, dorades, bars, crevettes, huitres, moules..., les consommateurs contribuent à l'essor d'une filière de qualité et participent à la protection de l'environnement avec des professionnels engagés. Cliquez ici pour voir le Communiqué de presse de l'Agence bio 18/11/2016 Colloque ITAB - Quantifier et chiffrer économiquement les externalités de l'AB ? Printemps Bio02/06/2016 Printemps Bio, c'est reparti ! Découvrez les événements organisés en Bourgogne animations à destination des professionnels et du grand public portes ouvertes, marchés bio, animations en milieu scolaires, … Venez nombreux ! Si vous êtes à l'initiative d'animations, n'hésitez pas à les enregistrer sur le site des 4 Saisons de la Bio Evènement bio30/05/2016 Organisation d'un marché bio à Quétigny 21 La Ville de Quétigny avec la Croix –Rouge de Quétigny organisent un marché bio le Samedi 24 septembre 2016, de 7h30 à 17h sur la place centrale. Ce marché est co-organisé par La Ville de Quetigny, la Croix-Rouge française - chantier d'insertion Pré Vert, et les Jardiniers de Quetigny. Il a le soutien de Nature et Progrès BFC et de la MFR de Quetigny. Si vous êtes intéressé pour participer à ce marché bio, n'hésitez pas à prendre contact dès maintenant avec les organisateurs. Contact Benoît KUBIAK - Ville de Quetigny - Agenda 21 et Plan Climat - 06 99 71 93 56 - bkubiak Appel à projets24/05/2016 Région Bourgogne-Franche-Comté - Appel à projets "Bocage et Paysage" 2016 L'aide pour la création de haies bocagères vient d’être reconduite pour l'année 2016. Veuillez trouver en téléchargement les documents 2016 correspondants dossier de présentation et dossier de candidature. Le délai de remise des dossiers de candidatures en 2 exemplaires et de l'intégralité des pièces demandées est fixé 30 juin 2016 dernier délai cachet de la poste faisant foi Contact Région Bourgogne-Franche-Comté - Site de Dijon Direction de l'environnement et du développement durable - Monsieur Didier DALANçON - 03 80 44 40 60 - REGLEMENTATION10/05/2016 Une centaine de préparations naturelles autorisées comme biostimulants La première liste des produits autorisés en tant que biostimulants comprend une centaine de substances naturelles, dont le fameux purin d'ortie. © Watier-Visuel En application de la loi d'avenir agricole, le ministère a publié le 30 avril un arrêté et un décret autorisant la fabrication, la commercialisation et l'usage d'une centaine de substances naturelles à usage de biostimulant, dont le fameux purin d'ortie ». Le ministère de l'agriculture a publié au Journal officiel du 30 avril 2016 deux textes concernant la procédure d'autorisation des substances naturelles à usage biostimulant, en application de la loi d'avenir agricole du 14 octobre 2014. Outils de communication25/04/2016 Vos outils de communication Besoin d'outils de communication ? Nous vous rappelons que BIO BOURGOGNE est un relai régional de l'Agence Bio, qui propose de nombreux outils et supports pédagogiques sur l'Agriculture Biologique. Vous pouvez consulter la liste et les visuels de ces outils en cliquant sur le lien ci-dessous N'hésitez pas à contacter votre animateur/trice de GAB pour connaître la disponibilité des différents outils et passer une commande. Bourse aux fourrages22/04/2016 Lancement d'une mercuriale sur le prix des fourrages bio Vous êtes nombreux à nous solliciter régulièrement afin de connaître les prix moyens de vente des différents fourrages et de la paille. C'est pour cela que nous lançons cette année la première enquête sur le prix des fourrages afin d'établir une mercuriale » qui pourra vous aider à définir vos prix de vente ou à évaluer les prix d'achat. Vous trouverez ici un tableau à compléter. Merci de nous le retourner au plus tard pour le 31 mai par mail, courrier ou fax. Nous vous garantissons l'anonymat et la confidentialité des données communiquées. Le fonctionnement de cette mercuriale est le suivant - vous nous renvoyez la mercuriale complétée pour les fourrages que vous avez achetés ou vendus en 2016, 2015 et avant si vous le souhaitez ! une fiche par année - les personnes ayant répondu à cette enquête recevront une synthèse comportant - les prix moyens, médians, minimum et maximum des fourrages et de la paille biologiques, - à terme l'évolution pluriannuelle des prix des fourrages biologiques. Si le nombre de réponses est suffisant, une mercuriale pourra être réalisée chaque année, pour chaque département. Comptant sur votre participation pour une plus grande représentativité ! Bourse aux fourrages22/04/2016 Bourse des éleveurs bio de Bourgogne La bourse d'échange des éleveurs bio de Bourgogne est là pour vous permettre de vendre ou d'acheter des fourrages mais également des effluents d'élevage, de la paille, des animaux, des grains, etc... dans la limite de la réglementation. Retrouvez la dès maintenant sur notre site internet. N'hésitez pas à consulter cette rubrique pour connaître l'offre et la demande sur votre région et diffusez vos annonces. Contact Aurélie BILLON, 03 86 72 92 20 Vie des structures bio bourguignonnes21/04/2016 L'Assemblée Générale, comme si vous y êtiez ! C'est à Gevrey Chambertin que s'est tenue cette année l'Assemblée Générale de BIO BOURGOGNE, avec plus de 60 participants. Une Assemblée Générale importante le SEDARB devient BIO BOURGOGNE. Le changement de nom s'accompagne d'une réorganisation expliquée aux participants VIE DU RESEAU05/04/2016 Trente ans apres leur creation, l'ITAB et la FNAB signent une convention de partenariat pour accompagner le changement d'echelle de la bio Le mercredi 2 mars 2016, lors du Salon de l'agriculture, le président de l'ITAB Thierry MERCIER et la présidente de la FNAB Stéphanie PAGEOT ont signé une convention de partenariat entre leurs deux structures pour renforcer les synergies entre recherche-expérimentation et développement agricole. Un des principaux enjeux de cet accord-cadre est de placer les producteurs au cœur de la recherche, de l'expérimentation et du développement. Stéphanie PAGEOT a rappelé notamment l'importance des besoins de recherche et expérimentation sur les alternatives au cuivre, en viticulture en particulier, pour la reconnaissance des pratiques paysannes sur la phytothérapie – tant pour la santé animale que pour la protection des cultures – ou encore pour la valorisation de la qualité des produits bio ». Pour que l'ITAB puisse porter les besoins des producteurs, il est essentiel que nous, réseau des producteurs bio, nous fassions remonter ces besoins, depuis le terrain jusqu'à la FNAB et l'ITAB, à travers les groupes techniques interrégionaux, les commissions filières, les salariés du réseau mandatés auprès de l'ITAB, etc. Cet accord doit permettre de renforcer les échanges entre les deux réseaux et les collaborations sur des projets de recherche-développement à l'exemple du projet Innovez-Bio coordonné par l'ITAB. Thierry MERCIER a évoqué les collaborations en cours, notamment sur les aménités de l'AB et les références technico-économiques, sociales et environnementales de la bio. Un accord que nous devons nous assurer de faire vivre, en communiquant au sein de notre réseau et entre réseaux, sur les projets d'expérimentations locaux, sur notre participation à des projets de recherche et en mobilisant les compétences de nos deux réseaux. Pour aller plus loin ► Le communiqué de presse de l'ITAB et la FNAB ; ► Le Qui fait quoi» de l'ITAB à consulter et renseigner; ► L'organigramme de l'ITAB. 05/04/2016 Le reseau FNAB partenaire de la semaine pour les alternatives aux pesticides Le groupe communication du réseau FNAB avait accueilli Sophie BORDERES le 19 janvier dernier pour la présentation de l'édition 2016 de la Semaine pour les alternatives aux pesticides du 20 au 30 mars. N'hésitez pas à nous envoyer un résumé de vos actions afin que nous puissions rendre compte de notre investissement dans un moment charnière du combat contre les pesticides. ► Contact Julien ADDA jadda Evènement bio04/04/2016 Calendrier des marchés bio FNAB01/04/2016 Loi Brigitte allain le senat rejette les 20 % de bio avec de mauvais arguments Les 4 heures de débat n'ont pas suffi aux sénateurs, le 9 mars, pour terminer l'examen de la proposition de loi sur l'ancrage territorial. Le texte avait pourtant été adopté à l'unanimité par l'Assemblée nationale en janvier. L'article 1er qui fixait un objectif de 40% de produits durables dont 20% de produits bio pour la restauration publique a suscité de nombreuses réactions. Un amendement supprimant l'objectif de 20 % de produits bio, porté par le sénateur Henri TANDONNET, a été adopté par le Sénat. Cet objectif chiffré est ainsi remplacé par une mention beaucoup plus floue Une proportion de produits correspondant aux capacités de production locale est issue de l'agriculture biologique». La FNAB a suivi de près les débats et est intervenue à plusieurs reprises dans les médias et auprès des sénateurs pour porter la voix des producteurs bio • Elle a été invitée sur le plateau TV de Public-Sénat à visionner en replay à partir de 15'15'' ; • Avant le débat au Sénat, elle a rédigé et diffusé une note sur la capacité des filières bio à fournir la RC ; • Suite au débat, elle a publié un communiqué de presse interpellant le gouvernement ainsi qu'un article contre-argumentaire. L'examen du texte devrait se poursuivre le 19 mai prochain. L'Assemblée nationale peut ensuite adopter le texte conforme », ce qui semble peu probable étant donné les importants amendements. Sinon il devra être rediscuté, à l'Assemblée, puis au Sénat, ce qui reporte les examens à janvier et mai 2017, en pleine élection présidentielle... FNAB01/04/2016 La FNAB rencontre Francois HOULLIER, le president de l'INRA, lors du salon de l'agriculture À la demande de la FNAB, François HOULLIER, président de l'INRA, a reçu une délégation de la FNAB composée de Stéphanie PAGEOT, présidente de la FNAB, Jean-Paul GABILLARD, membre du bureau, Julien ADDA, délégué général, et Chahin FAÏQ, chargé de mission, le 4 mars, lors du Salon de l'agriculture. La présidente de la FNAB a rappelé la forte dynamique des conversions en AB et a interrogé François HOULLIER sur sa vision de la bio et sur l'investissement de ses équipes sur le sujet. Le premier programme de recherche de l'INRA sur la bio date seulement du début des années 2000. Ce qui n'a pas empêché des chercheurs de travailler sur l'AB bien avant 2000, mais en dehors de programme. Le président de l'INRA d'alors, Bertrand HERVIEU, écrivait que l'incompréhension réciproque [entre l'INRA et l'AB] qui a prévalu durant tant d'années [...] a coûté cher à notre pays, en privant ce secteur particulièrement innovant du progrès technique dont l'INRA a su irriguer pratiquement tous les autres secteurs de notre agriculture ». Aujourd'hui, on peine à évaluer l'investissement et la production de l'INRA sur l'AB. L'INRA se targue d'être le premier producteur d'articles scientifiques sur la bio au monde! Néanmoins, cette production représenterait seulement entre 0,5 et 5 % des budgets et des publications de l'INRA. Des échanges, parfois vifs, avec le président de l'INRA, sont sorties quelques propositions pour améliorer la compréhension réciproque et développer la recherche sur la bio et la capitalisation des résultats • Travailler sur un projet de laboratoire vivant sur la bio identifier un territoire sur lequel l'ensemble des acteurs, producteurs, chercheurs, consommateurs, etc., travailleraient sur le développement des innovations de la bio; • Suivre la mobilisation de moyens financiers pour conduire des travaux de recherche en cours sur les aménités de la bio étude pilotée par l'ITAB et mobilisant des chercheurs de l'INRA ; • Travailler sur un projet de MOOC cours en ligne sur l'AB à noter qu'un projet est déjà en cours dans le réseau Formabio et un autre est travaillé par l'institut agronomique, vétérinaire et forestier français IAVFF ; • Renforcer nos liens avec les écoles d'agronomie sur la place de la bio dans les cursus et dans les laboratoires de recherche de ces établissements; • Une prochaine rencontre d'ici deux à trois mois sur la stratégie de l'INRA. Après avoir rappelé à l'INRA sa coresponsabilité dans la situation de crise structurelle de l'agriculture, Stéphanie PAGEOT a remis au président de l'INRA trois études scientifiques sur les performances de la bio et l'urgence de réorienter l'agriculture ainsi que le DVD du reportage sur sa ferme Le veau, la vache et le territoire. Jean-Paul GABILLARD lui a proposé de visiter des fermes bio multi-performantes. François HOULLIER a accepté l'invitation. Qui veut recevoir le président de l'INRA ? À vos propositions de fermes ! ► À noter L'INRA organise un colloque sur les dynamiques de développement des systèmes agricoles et alimentaires biologiques » à Rennes le 28 avril FNAB01/04/2016 Revision du reglement bio seuils de declassement en cas de contamination La FNAB, avec le soutien d'organisations européennes de producteurs bio, a répondu avec un communiqué de presse à la campagne de désinformation à l'œuvre depuis quelque temps sur la question des seuils de décertification dans la nouvelle réglementation bio actuellement en discussion au niveau européen. Des pétitions et articles de presse ont tenté de jeter le discrédit sur la filière à coup de contre-vérités. En tant que défenseurs de l'intérêt des producteurs bio français, allemands, autrichiens et suisses, nous avons réaffirmé la position des acteurs bio européens qui travaillent depuis plus de trente ans au respect des principes de l'AB. En parallèle, nous avons aussi obtenu le retrait d'une pétition du site après l'envoi d'un courrier, rappelant lui aussi la position des producteurs et du réseau FNAB sur le sujet. ► Téléchargez le communiqué de presse ! FNAB01/04/2016 Debat public de Lait Bio de France la filiere bio valorisee au cœur de la tourmente Le 15 mars dernier, la FNAB a organisé pour le compte de Lait Bio de France et de ses cinq organisations membres leur premier débat public sur le thème La production laitière de demain biologique ? ». Toute la presse agricole était présente et a rapporté la vision responsable d'une filière consciente de la chance que représentent les conversions et soucieuse que celles-ci soient accompagnées techniquement et économiquement dans le long terme compte tenu parfois des écarts importants des systèmes. Trois GRAB Pays de la Loire, Poitou-Charentes, Bretagne ont publié un communiqué de presse commun en ce sens. FNAB01/04/2016 Succes pour le seminaire approvisionner la RC bio» La FNAB a organisé le 10 mars, en partenariat avec MBIM, un séminaire Modèles et stratégies pour approvisionner la restauration collective bio ». Cette journée a réuni pour la première fois ! producteurs et salariés du réseau FNAB et des plates-formes parmi lesquelles des structures non adhérentes à MBIM. Plus de 50 personnes, dont 10 producteurs, y ont participé et confirmé l'importance de cette thématique. La matinée était consacrée à la restitution d'une étude commandée par la FNAB à Patrick CREAC'H de KEJAL sur l'analyse comparée de cinq modèles d'approvisionnement de la RC bio. Cette étude a notamment fait apparaître les facteurs clés de réussite des plates-formes pour la restauration collective. L'après-midi, des ateliers ont permis de fixer des objectifs et construire des feuilles de route par grande région. Une journée qui a visiblement plu aux participants Je repars avec des clés en main pour le développement de notre structure suite à l'étude de Patrick et une motivation sans nom ! ». Retrouvez sur l'Intranet ► Le diaporama de l'étude Analyse comparée de systèmes d'approvisionnement de la RC bio»; ► La synthèse de l'étude Analyse comparée approvisionnement RC bio 34 pages»; ► Les portraits des cinq structures analysées MAB29, Agri Court, Norabio, MB35 et MBisère. ENQUETE10/03/2016 Vous vendez ou souhaitez vendre des produits bio en restauration collective ? Faites-le nous savoir ! Le SEDARB réalise une enquête sur les produits bio en restauration collective en Bourgogne. Pour répondre plus efficacement aux demandes des responsables de la restauration collective qui sont en recherche de produits bio et réactualiser nos listings de producteurs fournisseurs de la restauration collective, nous avons besoin de vous connaitre. Les informations collectées serviront également à établir un état des lieux de la vente en restauration collective et à amorcer une réflexion quant aux développements possibles de ce débouché. L'enquête s'adresse à toustes les agriculteurstrices, qu'ilselles vendent ou non leurs produits à la restauration collective. Vous souhaitez participer ? Rien de plus simple. Il vous suffit de remplir en quelques minutes le questionnaire en ligne dédié. Une enquête par entretien est menée en parallèle afin d'affiner les résultats et de mieux évaluer vos attentes. Si vous êtes intéressée, n'hésitez pas à nous contacter. Merci pour votre participation ! Contact Marion TAVIN-LENFANT, stagiaire SEDARB, 03 80 31 45 61, stagiaire_aval AIDES10/03/2016 Choisir et s'engager pour l'agriculture biologique Communiqué Le Réseau Bio de Bourgogne lance un appel à la Grande Région Bourgogne Franche-Comté. Niveau des aides, mesures de soutien, appui aux filières… Face à l'afflux des conversions, la nouvelle grande région saura-t-elle relever le défi de l'agriculture biologique ? Retrouvez l'intégralité du communiqué ici. Vie des structures bio bourguignonnes09/03/2016 Marine PHILIPPE, animatrice du GABSeL "Je remplace Aurélie Adoir en tant qu'animatrice du GAB de Saône-et-Loire pendant son congé maternité. J'assure aussi l'animation territoriale et le conseil en élevage sur le département de la Saône-et-Loire. N'hésitez pas à me contacter au 06 33 35 37 48, par mail à l'adresse gabsel ou en vous déplaçant directement dans nos bureaux GABSeL - Communauté de Communes En Clunisois - 5, Place du Marché - 71250 CLUNY" Marine PHILIPPE ENQUETE08/03/2016 Edition 2015 du baromètre Agence Bio/CSA Comprendre le consommateur bio 9 Français sur 10 89 % consomment bio, au moins occasionnellement, alors qu'ils n'étaient encore que 54 % en 2003. 65 % des Français en consomment régulièrement, au moins une fois par mois, contre 37 % en 2003. L'édition 2015 du baromètre Agence Bio/CSA "perception et consommation des produits biologiques" vous donne des clés pour mieux comprendre la consommation bio. FNAB08/03/2016 7 organisations paysannes et de la société civile boycotteront le Haut Conseil des Biotechnologies Communiqué de presse Paris, le 22 février 2016 – La semaine dernière, le Haut Conseil des Biotechnologies HCB a publié une première contribution sur les nouvelles techniques de modification génétique, dites NBT New Breeding Techniques. Un sujet brûlant qui concerne le statut juridique des produits végétaux et animaux issus des nouvelles techniques de modification génétique. Retrouvez l'intégralité du communiqué ici REGLEMENTATION08/02/2016 Outil SEDARB réglementaire Directive Nitrates Pour rappel, le SEDARB vous propose un outil tableur spécifique aux céréaliers et éleveurs bio afin d'être en règle avec les enregistrements requis dans le cadre de la nouvelle application de la Directive Nitrates - Plan Prévisionnel de Fumure - Cahier d'Enregistrement des pratiques - Description du cheptel - Bilan azoté post récolte Cet outil vous est proposé au tarif de Outil 0 apport d'azote ni effluent d'élevage ni engrais organique du commerce = gratuit pour les adhérents GAB Outil tableur complet = 30 € pour les adhérents GAB, 100 € pour les non adhérents Nous vous propsons également une prestation de service, afin de compléter avec vous ce document Adhérents GAB Non adhérents RDV au bureau 200 € 400 € RDV sur votre ferme 300 € 600 € Pour acquérir cet outil, poser vos questions ou prendre RDV, un seul contact Aurélie BILLON, technicienne polyculture-élevage, 03 86 72 92 20, Groupe technique08/02/2016 Rejoignez le groupe caprins bio sur la gestion du parasitisme ! Un groupe technique a été créé fin 2013 sur la gestion du parasitisme en élevage caprins bio. L'objectif est, à travers des enregistrements de pratiques et des analyses coprologiques régulières, de faire un état des lieux et de travailler en groupe sur les solutions à mettre en place pour gérer les parasites. Ce groupe est ouvert à tous, n'hésitez pas à le rejoindre pour la campagne 2016, le suivi commence 3 semaines après les mises bas. Pour plus d'informations, contactez Aurélie BILLON, 03 86 72 92 20. REGLEMENTATION08/02/2016 Le débat sur les CMS un enjeu majeur pour les filières bio De plus en plus, des semences de variétés hybrides sont obtenues grâce à des techniques de fusion cellulaire pour développer le caractère de stérilité mâle cytoplasmique ou CMS techniques dites aussi CMS par fusion protoplasmique et ainsi produire des hybrides à bas coût. Bien que ce caractère puisse apparaître de manière naturelle, la technique de fusion cellulaire pourrait être assimilée à une technique OGM. Ces semences sont aujourd'hui au cœur d'un des débats soulevés par la révision du règlement bio européen cette méthode de sélection est-elle compatible avec la bio ? Sur ce sujet des CMS, la FNAB et CohéFLor Bio appellent à une action collective pour réclamer aux semenciers et à l'INAO des informations claires et transparentes. La FNAB a envoyé un courrier à l'INAO, avec copie au GNIS et au ministère de l'Agriculture. Chacun peut envoyer un courrier aux semenciers auprès desquels il se fournit pour demander si les semences qu'il achète ou qui sont utilisées pour ses plants sont issues d'une sélection CMS par fusion cellulaire et réclamer qu'une information systématique sur la nature CMS par fusion nucléaire ou non des semences soit indiquée sur leurs catalogues et sur la base de données Un modèle de courrier est disponible ici. Lettre de la FNAB adressée à l'INAO. N'hésitez pas à tenir informés vos animateurs de GAB de vos démarches ! Outils de communication08/02/2016 Proposition commande groupée sacs kraft Nos collègues bio de Provence-Alpes-Côte d'Azur nous proposent de bénéficier d'une commande groupée de sacs kraft fruits et légumes "Bio et Local, c'est l'Idéal ! " Caractéristiques Sachets fruits et légumes kraft brun Impression recto en 3 couleurs logo Manger Bio et Local c'est l'Idéal » rose et jaune + logos Eurofeuille / AB vert + site Verso mentions Résistant à l'humidité » et Fabriqué en France » Fabriqués dans les Alpes-de-Haute-Provence 1 taille 2 kg 20 largeur x 6,5 soufflet x 31 hauteur cm - Épaisseur 45g/m² Conditionnement emballés sous film par 1 000 sacs. Les tarifs de la commande groupée sont estimés à 14,04 € HT soit 16,85 € TTC les 1 000 sachets. Frais de livraison suivant les points et quantité. Ils proposent aussi des sacs cabas en jute. Caractéristiques des sacs Dimensions 40 cm longueur x 15 cm soufflet x 30 cm hauteur Cabas en toile de jute et coton, doublé plastique à l'intérieur et 2 anses courtes Marquage 2 couleurs bio et local, c'est l'idéal » sur une face Vente par lot de 10 cabas POUR INFO La réglementation concernant l'utilisation de sacs en plastiques évolue. Un décret sur l'interdiction des sacs en plastique à usage unique, qu'ils soient gratuits ou payants, entrera en vigueur en mars 2016. Voir texte via ce lien Cette interdiction concernent tous les opérateurs vendant aux consommateurs. Pour les fruits et légumes, il y a un délai supplémentaire jusqu'au 1er janvier 2017. Si vous êtes intéressée, prévenez-nous avant le 15 février en contactant Séverine PRUDENT au 03 80 31 45 61 ou REGLEMENTATION08/02/2016 La variété RENAN vient de tomber dans le domaine public La variété RENAN n'est plus protégée par un Certificat d'Obtention Végétale COV déposé le 20/08/1990. En conséquence, les organismes collecteurs ne seront plus censés prélever de Contribution Volontaire Obligatoire CVO sur la récolte de blé 2016 issus de RENAN. Bien qu'en baisse régulière dans l'assolement national en blé en 2015 elle représentait 14% des cultures de blé tendre, et malgré une diversification de l'offre ces dernières années, Renan reste encore la 1e variété cultivée en AB. Le fait que cette variété soit tant utilisée 25 ans après son inscription au catalogue interroge sur l'investissement en recherche et en sélection pour une agriculture durable et en particulier pour l'AB. Source ITAB REGLEMENTATION08/02/2016 Simplification des dérogations pour les mélanges de semences fourragères en Agriculture Biologique Jusqu'à lors, lorsqu'un ou plusieurs composants de mélanges de semences fourragères étaient non bio, il fallait demander autant de dérogations que de composants non bio. Nous avons travaillé au sein de l'INAO sur un système permettant de simplifier ce dispositif sans pour autant perdre sa crédibilité, en s'appuyant notamment sur des pratiques existant dans d'autres Etats Membres de l'UE. Pour les semences fourragères, un opérateur peut désormais utiliser un mélange de semences AB-non AB sans demander de dérogation sous les conditions suivantes Le mélange doit être composé à minimum 70 % de semences certifiées biologiques. Ce n'est pas le mélange qui est certifié, mais uniquement la part AB du mélange. La part non biologique du mélange de semences fourragères doit être composée de variétés citées dans la liste des autorisations générales sur le lien Les informations de la composition du mélange sont données sur l'étiquette commerciale. Pour plus d'information sur l'approvisionnement en semences, consulter l'annexe 1 du guide de lecture sur le site Source INAO REGLEMENTATION18/01/2016 Obligation d'effectuer des reliquats azotés en sortie d'hiver en zone vulnérable Suite à la nouvelle application de la Directive Nitrates, nous tenons à vous rappeler l'obligation, même pour les bio, de réaliser des analyses de sol dès 3 ha de production agricole en zone vulnérable - Chaque année, une analyse de sol sur un îlot cultural au moins pour une des trois principales cultures exploitées en zone vulnérable. L'analyse porte sur le Reliquat Azoté Sortie Hiver grandes cultures ou le taux de matière organique vignes et cultures pérennes. - Cette obligation ne s'applique pas aux exploitants n'ayant que des prairies de plus de 6 mois en zone vulnérable. Nous contacter pour plus d'informations Aurélie BILLON, ou 03 86 72 92 20 FNAB18/01/2016 Lettre syndicale de la FNAB ADHERER AU RESEAU FNAB EN 2016 Vous êtes adhérente du réseau national des paysans et paysannes bio organisés. Une organisation syndicale à vocation professionnelle qui défend notre métier d'agrobiologiste et promeut le projet d'un développement cohérent et solidaire de ce mode de production. Votre adhésion a été déterminante pour la réussite de nos objectifs communs. Elle reste plus que jamais décisive en 2016. La FNAB vous propose sa lettre syndicale qui reprend toutes les actions menées en 2015 et les objectifs pour 2016. Télécharger la lettre ici. VIE DU RESEAU15/01/2016 Manger bio et local, c'est l'idéal la FNAB soutient la proposition de loi de la députée Brigitte Allain et appelle à ne pas confondre proximité et qualité Le projet de la FNAB est de développer une agriculture biologique cohérente, durable et solidaire. À ce titre, le réseau FNAB accompagne depuis 15 ans les acteurs de la restauration collective, en suivant le principe Bio & local, c'est l'idéal ! ». Ce travail a permis de développer des outils pour les professionnels marchés publics, formations du personnel, maitrise du budget, etc. et également de structurer l'offre. Ainsi, environ 20 plateformes » de producteurs bio livrent la restauration collective. Contrairement aux idées reçues, l'offre bio locale est organisée sur la plupart des territoires et en attente d'une demande plus importante et régulière ! En effet, suite aux objectifs ambitieux du Grenelle de l'Environnement 20% de produits bio en restauration publique en 2012, les producteurs bio se sont organisés. Or, les résultats actuels sont décevants la bio ne représente, début 2015, que 2,7% des achats de la restauration collective. De ce fait, la FNAB se réjouit de la proposition de loi visant à favoriser l'ancrage territorial de l'alimentation, portée par Brigitte Allain et signée par l'ensemble du groupe écologiste examinée jeudi 14 janvier en séance publique à l'Assemblée Nationale. En effet, celle-ci prévoit de contraindre les restaurants collectifs publics État et collectivités territoriales à se fournir à hauteur de 40% en produits durables locaux, bio, de qualité », dont 20% de produits bio » d'ici 2020. Pour aller plus loin Retrouvez le dossier législatif ici Retrouvez la proposition de loi ici Retrouvez l'infographie qui explique la loi en quelques mots, en cliquant ici Citoyens, signez la pétition d'Agir Pour l'Environnement VIE DU RESEAU15/01/2016 Actions syndicales de la FNAB au niveau européen Retour sur l'atelier "Notre dimension syndicale à l'aune des enjeux européens" lors des Journées d'Automne 2015 de la FNAB. Des travaux en atelier ont été mené le matin du 2 décembre. Voici ci-dessous ce qui ressort de l'Atelier n°1 – Notre dimension syndicale à l'aune des enjeux européens Les objectifs de cet atelier étaient d'évoquer le travail effectué au niveau européen au cours de l'année passée par le réseau FNAB et de faire émerger des idées concrètes pour que tous les échelons du réseau fassent Europe » et s'investissent davantage sur les questions européennes. C'est dans une dynamique très positive que se sont déroulés les débats et que ces objectifs ont été atteints ! Le groupe Europe du réseau FNAB a été renforcé de cinq nouveaux membres, des propositions ont été faites pour que la communication entre GAB, GRAB et FNAB sur ces questions européennes soit améliorée et l'Intranet va être enrichi d'une rubrique Europe. Les participants ont mis l'accent sur le besoin d'informer les producteurs pour que l'investissement syndical européen du réseau ait un sens pour eux. Les pistes explorées seront mises en place pour répondre aux attentes des producteurs, alimenter les réflexions et favoriser leur participation. Accédez au compte-rendu de l'atelier AIDES14/01/2016 Télédéclaration aides animales PAC 2016 ouverte La télédéclaration pour les demandes d'aides animales 2016 est ouverte - Aides ovines et caprines vous avez jusqu'au 1er février pour faire vos demandes. - Aides bovines vous avez jusqu'au 17 mai inclus. AIDES04/01/2016 Aide Les éleveurs situés en zones vulnérables aux nitrates historiques » classées antérieurement à 2012, dont le projet de mise aux normes n'est pas éligible aux aides du second pilier de la PAC, peuvent bénéficier d'un soutien relevant du régime des aides de minimis agricole pour mettre aux normes leurs bâtiments d'élevage. La date limite de dépôt des dossiers dans votre DDT est fixée au vendredi 29 janvier 2016. Vous avez reçu par mail les documents suivants - le communiqué de presse - le formulaire de demande - La notice explicative - la liste des communes de la Bourgogne en zone vulnérable historique avant 2012 -Une annexe qui précise les pièces minimales à fournir avec la demande Si ce n'est pas le cas, vous pouvez contacter votre DDT ou votre animateur de GAB. VIE DU RESEAU17/12/2015 Chantier restructuration régionale, la dernière ligne droite...avant les AG. Le travail du Comité de Pilotage restructuration entre dans sa dernière phase. Les modalités d'évolution du SEDARB en un GRAB Groupement Régional d'Agriculture Biologique, et la dévolution des missions de la CGAB à la nouvelle structure ont été définies et le calendrier des étapes fixé. Les projets de statuts du futur GRAB ont été soumis le 10 décembre à l'approbation des deux CGAB et SEDARB. Ils ont été validés par les administrateurs après relecture, discussions et amendements. La rédaction du Règlement Intérieur est en cours. Le choix définitif du nom reste ouvert. Les propositions sont les bienvenues. Le Copil a donc pour l'essentiel achevé son travail en vue de proposer un projet abouti susceptible d'être soumis lors des prochaines AG départementales à l'approbation des adhérents du réseau. Un calendrier des étapes clés du processus sera communiqué prochainement. AIDES17/12/2015 Aides bio la réponse du DRAAF La CGAB a sollicité de nombreuses fois la DRAAF et le Conseil régional au sujet des aides de soutien à l'agriculture biologique. La dernière réponse du DRAAF télécharger le courrier ici ne donne pas d'éléments satisfaisants concernant la date de versement des aides bio et le montant global de celles-ci. La CGAB sollicitera de nouveau les responsables dés le début de l'année 2016 en espérant obtenir satisfaction. Vie des structures bio bourguignonnes17/12/2015 Nouveau directeur au SEDARB Nous avons le plaisir de vous informer du choix, parmi plusieurs candidates, de notre nouveau directeur, Monsieur Laurent BARLE. Salarié du SEDARB depuis 15 ans, il occupait jusqu'à présent le poste de coordinateur du pôle élevage de notre service. Laurent BARLE a été nommé à la direction le vendredi 13 novembre. Vous pouvez le contacter par téléphone au 03 86 72 92 20. ENQUETE11/12/2015 Alerte préventive sur les approvisionnements en cire bio le groupe de travail Apiculture de la FNAB lance une consultation Cyril WAY, apiculteur et responsable professionnel apiculture à la FNAB, nous invite à diffuser nos adhérents le message suivant La demande soutenue en cire utilisable en agriculture biologique face à un manque d'offre entraîne des risques potentiels ou avérés sur la qualité des approvisionnements de cire des apiculteurs bio. Compte tenu des enjeux pour nos exploitations, la FNAB a décidé de lancer une procédure d'alerte préventive au sein de son réseau nous vous proposons d'y collaborer en renseignant un questionnaire en ligne. Vos réponses sont importantes et nous permettront de vous prévenir et de vous donner la marche à suivre si vous êtes concernés par un éventuel problème. Aucune des données que vous nous communiquerez ne sera transmise à qui que ce soit, elles ne seront utilisées que pour identifier et prévenir ceux d'entre nous qui sont potentiellement concernés. Accédez au questionnaire en ligne A voir11/12/2015 "Le veau, la vache et le territoire" FNAB11/12/2015 OGM la FNAB interpelle le ministre La FNAB a appris début novembre que le ministre de l'Agriculture Stéphane LE FOLL conviait les seuls représentants de l'Union française des semenciers pour évoquer le cadre réglementaire ... [concernant les nouvelles techniques de modification génétique] afin de peser dans les choix européens». En concertation avec d'autres organisations de développement agricole et de protection de l'environnement, la FNAB a réagi vivement en adressant une demande de rendez-vous au ministre afin que la voix de l'industrie semencière ne soit pas la seule à être entendue sur ce sujet lourd d'enjeux. Il va en effet s'agir pour la Commission européenne, sous l'égide de la présidence néerlandaise, de déterminer au cours des prochaines semaines si les nouvelles techniques de modification génétique des plantes produisent ou non des OGM. Pour la FNAB et ses partenaires, la réponse est sans ambigüité ces nouvelles techniques produisent des OGM ou des produits issus d'OGM rentrant dans le champ d'application de la directive 2001/18. Téléchargez le courrier de la FNAB et ses partenaires Amis de la Terre, Confédération Paysanne, France Nature Environnement, Greenpeace, Réseau Semences Paysannes, Union Nationale de l'Apiculture Française et la note technique qui l'accompagne. Evènement bio11/12/2015 Formation à l'élaboration de repas alternatif bio Mercredi dernier 9 décembre, le SEDARB co-organisait avec la Communauté de Communes Coeur de Puisaye, une formation à destination des cuisiniers de son territoire pour apprendre à élaborer des repas bio alternatifs. Le cuisinier formateur de la FNAB Pascal VEAULIN a partagé son expérience avec les 9 stagiaires et leur a montré comment concocté de savoureux plats, équilibrés et inventifs à base de produits bio. Un repas 100% bio et végétarien a ainsi été préparé par les participants. Retrouvez ici l'article de l'Yonne Républicaine sur cette formation. FNAB10/11/2015 Journées d'Automne 2015 - FNAB Les Journées d'automne du réseau FNAB auront lieu les 2 et 3 décembre en Auvergne à Sainte-Bauzire sur le thème Avec la réforme territoriale, faire réseau et mouvement d'agrobiologistes pour un nouveau développement de l'agriculture biologique ». L'objectif de mobilisation est le même que l'an passé à Sète faire venir de nouveaux producteurs ! ► Inscription en ligne Evènement bio09/11/2015 Rencontres D'Automne en Saône et Loire Cette année, le GABSeL et le réseau bio de Bourgogne vous invitent à participer aux Rencontres d'Automne organisées dans tout le département. 8 dates vous sont proposées pour vous permettre d'échanger sur 4 thèmes de discussions en lien avec vos préoccupations. Téléchargez le programme ici. Ces rencontres sont ouvertes à tous les producteurs bio mais aussi à tous les porteurs de projets. Inscrivez vous via le coupon-réponse et apportez de quoi partager un repas avec les participants. N'hésitez pas à contacter votre animatrice pour tous renseignements ADOIR Aurélie Tél 06 33 35 37 48 gabsel Formation02/11/2015 GIEE comment saisir cette opportunité ? De plus en plus d'agriculteurs s'associent pour mettre en place des projets collectifs et demandent à être reconnu GIEE. Un GIEE qu'est-ce que c'est ? Les GIEE, Groupements d'intérêt économique et environnemental GIEE permettent une reconnaissance officielle par l'Etat de l'engagement collectif d'agriculteurs dans la modification ou la consolidation de leurs pratiques en visant une performance économique, environnementale et sociale. Ils constituent l'un des outils structurants du projet agro-écologique pour la France. Quels sont les avantages d'être reconnu GIEE ? Cette reconnaissance permet notamment aux agriculteurs participants de bénéficier de bonifications des aides à l'investissement matériel, bâtiments d'élevage et de priorisation sur les critères d'attribution de ces mêmes aides, notamment pour des investissements liés au développement de l'agriculture biologique. D'autres actions prévues dans un projet reconnu dans le cadre d'un GIEE peuvent bénéficier de financements spécifiques ou d'une attribution préférentielle des aides. Comment un projet est reconnu GIEE ? La reconnaissance en qualité de GIEE se fait sur la base d'appels à projets organisés par le préfet de région. Le dossier de candidature doit être déposé à la DRAAF. Qui peut candidater ? Tout collectif doté d'une personnalité morale, dans laquelle les agriculteurs impliqués dans le projet détiennent ensemble la majorité des voix au sein des instances de décision, peut prétendre à la reconnaissance de son projet. La démarche doit venir des agriculteurs eux-mêmes en associant plusieurs exploitations sur un territoire cohérent. Ce collectif peut réaliser lui-même l'animation de son projet ou conventionner l'animation auprès d'une structure compétente en matière de développement agricole et rural. Vous souhaitez en savoir plus ? Vous avez déjà un projet de GIEE pour lequel vous souhaiteriez bénéficier d'un accompagnement ? Le SEDARB organise une formation sur ce thème en février 2016 avec au programme - Qu'est-ce qu'un GIEE ? - Comment le mettre en place ? N'hésitez pas à nous contacter Hélène LEVIEIL 03 86 72 92 27 - REGLEMENTATION21/10/2015 FCO accord bilatéral signé avec l'Italie L'accord bilatéral avec l'Italie vient d'être signé. Les dérogations négociées pour l'envoi de bovins et ovins issus de la zone réglementée sont - Animaux de plus de 90 jours vaccinés avec respect d'un délai de 10 jours après la deuxième injection ; - Animaux de moins de 90 jours nés de mères vaccinées ; - Sous-réserve pour les animaux de moins de 90 jours PCR négative si provenance d'une zone reconnue saisonnièrement indemne PCR 14 jours après le début de la période d'inactivité vectorielle. REGLEMENTATION21/10/2015 FCO position de la CGAB Sur avis de la section spécialisée élevage réunie le 13 octobre, le CA de la CGAB, réuni le 15 octobre, réaffirme la position suivante - N'ayant pas d'effet réel démontré sur les culicoïdes vecteurs de la maladie et source de pollution importante, la CGAB considère que la désinsectisation chimique doit être refusée. - N'ayant pas d'intérêt général, la CGAB refuse l'obligation vaccinale en dehors des nécessités commerciales actuelles animaux qui doivent partir à l'export. - Le statut de la maladie doit être reconsidéré. Elle ne peut être classée en maladie transmissible » contagieuse alors qu'il s'agit d'une maladie vectorielle. REGLEMENTATION21/10/2015 FCO fusion des zones réglementées et levée des périmètres d'interdiction Dans un communiqué de presse du 15 octobre dernier, le Ministre de l'Agriculture a annoncé la fusion des zones réglementées ainsi que la négociation avec l'Espagne et l'Italie qui autoriserait la sortie des animaux vaccinés 10 jours après leur rappel. Ce communiqué ne précise pas encore la levée des périmètres interdits, ni les conditions de circulation des bovins en France. Suite à cette annonce du ministre de fusionner les zones réglementées, le préfet de Saône-et-Loire a levé le périmètre interdit de ce département. Pour en savoir plus. Les levées de périmètre d'interdiction devraient suivre dans les autres départements concernés. REGLEMENTATION15/10/2015 La FCO, de retour en Bourgogne Alors que la France était déclarée indemne de Fièvre Catarrhale Ovine FCO depuis décembre 2012, de nouveaux foyers d'infection sont apparus en septembre dernier dans l'Allier. Depuis, la zone réglementée ne cesse de s'étendre, touchant de plein fouet la Bourgogne voisine. Maladie virale non contagieuse, la FCO est transmise d'un animal infecté à un autre par piqûre de moucherons du genre Culicoïdes. Elle peut toucher tous les ruminants, domestiques et sauvages. Maladie strictement animale, la FCO n'affecte pas l'Homme et n'a aucune incidence sur la qualité des denrées. Provoquant des retards de croissance chez les animaux malades, la mort de certains animaux et des avortements chez les femelles infectées, cette pathologie engendre des pertes économiques pour les éleveurs. Les mesures de lutte, désinsectisation et vaccination, représentent également un coût élevé et sont controversées par de nombreux éleveurs en bio. De plus, sur les élevages où les animaux sont destinés à la vente en vif et à l'export, ceux-ci se retrouvent bloqués, entraînant des surcoûts importants en cette année de déficit fourrager. Outils de communication31/08/2015 Outils de communication il en reste ! Bourse aux fourrages10/08/2015 Sécheresse diffusez vos besoins et disponibilités en fourrages dans notre bourse d'échanges Dans le contexte actuel de sécheresse prolongée, certains d'entre vous ont déjà bien entamé leurs stocks fourragers pour nourrir leurs animaux. Le SEDARB vous propose, dans le cadre de sa bourse d'échanges, de recenser vos besoins et les fourrages qui pourraient être disponibles dans le réseau bio bourguignon. Activons donc la solidarité entre agriculteurs, même une petite quantité de fourrage peut intéresser un de vos voisins ! Vous trouverez ci-joint le modèle de tableau à compléter si vous souhaitez diffuser une annonce, merci de me transmettre tous les éléments nécessaires par mail. N'oubliez pas quand votre annonce n'est plus valable, prévenez moi afin que je la retire de notre site Internet. Cela vous évitera de recevoir des appels inutiles ! Le fichier sera actualisé chaque jour si nécessaire sur notre page Internet Il vous sera également transmis une fois par semaine par mail. Pour rappel, la bourse d'échanges des éleveurs bio de Bourgogne est là pour vous permettre de vendre ou d'acheter des fourrages mais également des effluents d'élevage, de la paille, des animaux, des grains, etc... dans la limite de la réglementation. La diffusion des annonces est gratuite. D'autre part, en cas de pénurie de fourrages bio dans votre secteur géographique, n'hésitez pas à contacter votre animateur de GAB pour étudier les solutions possibles. Il est important pour nous de pouvoir recenser vos besoins, notamment pour pouvoir travailler si nécessaire à des demandes de dérogation collectives. Contact Aurélie BILLON, 03 86 72 92 20, AIDES16/07/2015 Apport de trésorerie remboursable sans intérêt Du fait du report des dates de déclarations PAC en 2015, il ne sera pas possible pour l'Etat de verser des acomptes sur les aides PAC en octobre. Afin de pallier aux difficultés de trésorerie que cela va entraîner, l'Etat propose un apport de trésorerie dont il prendra les intérêts en charge dans le respect du régime des aides de minimis plafond d'aide de 15 000 € sur 3 ans. A noter le crédit d'impôt bio et l'aide à la qualification AB entrent dans ce dispositif. Mise en oeuvre - Le formulaire de demande est téléchargeable sur TELEPAC - Il devra être déposé en DDT avant le 20 août 2015. - Courant octobre versement de l'apport de trésorerie environ 50 % des aides PAC reçues en 2014 - Mi-décembre versement du solde des aides PAC apport de trésorerie remboursé automatiquement par déduction sur les aides PAC. N'hésitez pas à contacter vos animateurs de GAB pour plus d'informations. AIDES09/07/2015 2ème appel à projets de reconnaissance des GIEE bourguignons Quels projets ? Les actions prévues devront répondre aux enjeux économiques, environnementaux et sociaux du territoire où sont situées les exploitations concernées. Elles devront permettre d'améliorer ou de consolider les pratiques agricoles. L'évolution des systèmes de production envisagée devra contribuer à améliorer la compétitivité des exploitations agricoles tout en utilisant et préservant les écosystèmes sur lesquels s'appuie l'activité agricole. Qui peut candidater ? Tout collectif doté d'une personnalité morale, dans laquelle les agriculteurs impliqués dans le projet détiennent ensemble la majorité des voix au sein des instances de décision, peut prétendre à la reconnaissance de son projet. La démarche doit venir des agriculteurs eux-mêmes en associant plusieurs exploitations sur un territoire cohérent. Ce collectif peut réaliser lui-même l'animation de son projet ou conventionner l'animation auprès d'une structure compétente en matière de développement agricole et rural. Comment candidater ? Pour en savoir plus et télécharger le dossier de candidature, rendez-vous sur le site Internet de la DRAAF Date limite de dépôt des dossiers 16 octobre 2015. N'hésitez pas à contacter le SEDARB si besoin. apiculture08/07/2015 Lettre filière sur l'apiculture Nouvelle lettre fillière FNAB sur l'apiculture biologique Dans la continuité des lettres filières déjà sorties, la FNAB a lancé en juin sa première lettre d'information sur l'apiculture bio. Vous y retrouverez donc les dernières informations du secteur, des conseils, interviews, les modifications éventuelles apportées à la réglementation, etc. Consultez la nouvelle lettre fillière apiculture. Pour vous abonner aux lettres filières FNAB, c'est ici. PAC 201528/05/2015 Date limite de dépôt des dossiers PAC repoussée au 15 juin Stéphane LE FOLL, Ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt, Porte-parole du gouvernement, a annoncé le report de la date limite de dépôt des dossiers PAC au 15 juin 2015. Ici le communiqué de presse du ministère. Nous restons à votre disposition pour tout complément d'information. 05/05/2015 AIDES BIO le compte n'y est pas ! Pour la CGAB, le plafonnement des aides décidé par la Région risque d'enrayer la dynamique de conversion. À l'issue d'une ultime réunion, et après plus d'un an de discussions, les services de l'Etat et le Conseil Régional de Bourgogne en qualité d'autorité de gestion, ont annoncé les montants finalement retenus dans notre région pour les aides bio aides à la conversion et au maintien. Appel à projets08/04/2015 Appel à candidature pour le PCAE Avis d'appel à candidatures 2015 pour le Plan de Compétitivité et d'Adaptation des Exploitations en Bourgogne Investissements dans les bâtiments d'élevage -Modernisation classique -Gestion des effluents en zone vulnérable -Maîtrise de la performance énergétique Investissements productifs en faveur d'une agriculture durable Investissements dans la transformation et la commercialisation dans les exploitations agricoles Pour cet appel à candidatures et pour ces cinq aides, la date limite de dépôt des dossiers de demande d'aide auprès de la DDT de votre département est fixée au vendredi 29 mai 2015. RAPPEL - Quelle que soit l'aide sollicitée, l'investissement ne doit pas avoir été réalisé ou commandé avant d'avoir reçu un accusé de réception complet ; - Les dossiers retenus seront classés selon les critères de priorité régionaux et engagés dans la limite des disponibilités financières des différents financeurs ; - Un deuxième appel à candidatures sera organisé pour l'année 2015, en août 2015 Vos contact en DDT par département -DDT Côte d'Or Samuel MICHAUT - Tel 03 80 29 42 09 Mel -DDT Nièvre - Gilles le VEE - Tel 03 86 71 52 52 Mel Marie-Laure VASSAL - 03 86 71 52 88 Mel Mel institutionnel ddt-sea -DDT Saône-et-Loire - Unité projet d'exploitation - Tel 03 85 21 86 23 Mel ddt-ecoagri -DDT Yonne - Christophe ZUNINO - Tel 03 86 48 42 85 Mel ddt-sea Vie des structures bio bourguignonnes19/03/2015 Bonnes nouvelles sur le front des aides bio ! Aides Bio Réagir vite et rester ferme sur les principes, c'est payant ! Hier, au lendemain de la mobilisation nationale, Stéphanie Pageot présidente de la FNAB a été reçue au Ministère pour relayer l'indignation des agriculteurs bio face à l'amputation sans préavis des aides maintien 2014 de 25%, et pour exprimer l'inquiétude du réseau concernant le volume des aides conversion et maintien pour les 5 années à venir et qu'il juge insuffisant. AIDES18/03/2015 J+1 après la manifestation J+1 après la manifestation!! Nous étions hier près de 300 rassemblés devant le Conseil Régional pour dire notre insatisfaction et obtenir pour l'agriculture biologique la reconnaissance et les moyens qu'elle mérite. Du nord de l'Yonne au sud de la Saône et Loire, les agrobiologistes de Bourgogne ont largement répondu à l'appel à manifester, avec à leurs côtés associations, syndicats, citoyens, consommateurs venus nous soutenir. La presse était aussi au rendez-vous… Cela ne s'était jamais vu encore en Bourgogne, et nous pouvons en être fiers et heureux. Tout n'est pas joué, rien n'est encore gagné, mais, hier, tous ensemble, nous avons peut-être fait bouger les lignes. Alors que le financement des aides bio pour les cinq prochaines années devait se traiter dans une réunion en petit comité, présentation et débats se sont tenus ouvertement dans la salle plénière du Conseil Régional pleine à craquer, certains ne pouvaient y rentrer ! Les paysans ont parlé, fort ; ils ont remis à leurs justes places la complexité des dispositifs, la finasserie des arbitrages, les appels au réalisme » et les déclarations de bonnes intentions ; ils ont demandé des réponses et des engagements clairs sur le seul terrain qui vaille, celui de la volonté politique et des crédits conséquents. Hier, nous avons montré notre détermination, dénoncé les solutions à court terme et refusé les arrangements » proposés de discriminations et priorisations entre anciens et nouveaux. Nous avons réaffirmé que la bio devait être accessible partout et pour tous ceux qui veulent mettre en œuvre ses pratiques. Qu'une forte vague de conversions s'annonce, félicitons nous et faisons en sorte qu'elles soient durables… La mobilisation d'hier devrait permettre à nos représentants de mieux peser pour plus d'égalité et de reconnaissance lors du prochain groupe de travail, de nouveaux scénarios devraient nous être proposés et nous y réagirons ! Nous vous en tiendrons informés bien sûr, dans les Nouvelles de la bio, auprès de vos GAB et lors de l'AG de la CGAB le 31 mars prochain ! Merci à tous ceux qui ont signé la pétition 3 500 signatures en quelques jours ! il n'est pas trop tard pour bien faire encore… Merci à tous ceux qui sont venus, à ceux qui ont contribué à l'évènement et nous ont soutenus! On en parle Reportage sur France3 Bourgogne Dans la presse Article Terres de Bourgogne du 20 février 2015 Article l'Yonne Républicaine du 6 mars 2015 AIDES24/02/2015 Problème versements des aides et reclassement des surfaces Suite aux problématiques que vous rencontrez en ce moment concernant les Aides PAC bio, la CGAB a engagé des démarches de soutien et de défense de vos intérêts. Un courrier cliquez ici pour voir le courrier a été envoyé à la DRAAF ainsi qu' aux DDT des 4 départements. Le versement du solde devrait se faire fin mars d'après les DDT. En ce qui concerne le reclassement de certaines surfaces de prairies temporaires, nous souhaitons faire le point sur les personnes concernées afin d'étudier des démarches possibles. Merci, à ceux qui ne l'ont pas encore fait, de contacter votre animateur ou animatrice de GAB, pour faire connaitre votre situation. MOBILISATION DU RESEAU05/02/2015 Appel à manifester pour les aides bio le 17 février Les paysans bio de Bourgogne font leur première manif !! Le mardi 17 février à partir de 9h devant le Conseil Régional de Bourgogne à DIJON Venez nombreux soutenir les agriculteurs bio de Bourgogne 0% pesticides, 0% OGM, 0% reconnaissance Nous demandons des aides légitimes pour la bio! Ambition Bio 2017 vise à doubler la surface agricole bio d'ici à 2017 ! Pour cela, des aides incitatives pour les agriculteurs s'engageant en bio la conversion et des aides au maintien des pratiques bio ont été prévues MAIS en réalité, cette enveloppe destinée à l'agriculture bio par l'Etat a été largement sous dotée et ne peut permettre d'atteindre les objectifs fixés ! Et en Bourgogne ? Aujourd'hui plus de 900 fermes bio et plus de 46 000 hectares en bio ou en conversion, 7 000 hectares devraient entrer en bio chaque année. Une bonne nouvelle pour l'environnement et les consommateurs MAIS le choix retenu par les autorités bourguignonnes prévoit d'aider 4 000 ha par an, loin des 7 000 annoncés… sans parler des aides au maintien qui ne pourront être réellement financées ! En 2015, la fin des aides au maintien ? L'enveloppe prévue pour les agriculteurs bio ne sera pas suffisante pour les conversions et la seule aide de reconnaissance pour l'agriculture biologique - appelée l'aide au maintien - risque d'être supprimée pour la plupart des producteurs bio. L'agriculture bio, sans aucune mesure plus vertueuse, doit être aidée à la hauteur des bénéfices qu'elle apporte. La bio PARTOUT et pour TOUS ceux qui l'ont choisi ! Les agriculteurs bio, qu'ils soient anciens ou récemment engagés, restent solidaires et déterminés. Pas de discriminations ! Pour nous, les aides bio - à la conversion et au maintien - doivent être accordées à TOUS et PARTOUT ! Téléchargez ici le communiqué de presse Faites nous connaître vos intentions de participer afin d'organiser des déplacements collectifs car ou co voiturage... cgab AIDES30/01/2015 Accès au régime des aides PAC ticket d'entrée 2015 est l'année d'entrée en application de la réforme des aides directes de la PAC. Jusqu'en 2014, l'aide découplée prenait la forme du Droit à Paiement Unique DPU et sera demain composée de trois parties le paiement de base DPB le paiement vert le paiement redistributif Pour pouvoir bénéficier de DPB en 2015, chaque agriculteur devra détenir un "ticket d'entrée". Ce "ticket d'entrée" est obtenu par un agriculteur s'il remplit l'une des conditions suivantes et permet à des agriculteurs qui n'avaient pas de DPU de percevoir des aides PAC Il a reçu des paiements directs en 2013 OU Il n'a jamais bénéficié de DPU mais peut prouver une activité agricole au 15 mai 2013 cas de la plupart des maraîchers par exemple OU Il a bénéficié de la réserve en 2014 et s'est vu attribué des DPU OU Il a récupéré le ticket d'entrée par transfert conjointement à un transfert de terres auprès d'un agriculteur encore actif au 15 mai 2015. Pour plus d'informations et pour monter votre dossier de demande d'aides PAC, vous pouvez contacter la DDT de votre département. REGLEMENTATION30/01/2015 Enquête statistique sur les pratiques phytosanitaires en grandes cultures Beaucoup d'entres-vous se sont inquiétés d'être enquêtés au titre de cette étude du Ministère de l'Agriculture. En effet, beaucoup de bio semblent concernés, ce qui pourrait fausser l'échantillon. Voici les réponses apportées par la DRAAF de Bourgogne L'échantillonnage est national et donc représentatif des différents types d'exploitation au niveau du pays mais pas forcément de la région Le fait qu'une exploitation soit en bio sera pris en compte dans l'exploitation des résultats de l'enquête. Donc, a priori, le résultat ne devrait pas être biaisé du fait que beaucoup de bio soient enquêtés. Nous vous rappelons que, même en AB, vous êtes tenus d'accepter cette enquête et de présenter les documents demandés plan de fumure, cahier de fertilisation.... En cas de difficultés, n'hésitez pas à contacter votre animateur de GAB avant le passage de l'enquêteur. Vie des structures bio bourguignonnes30/01/2015 Mobilisation du réseau bio en faveur des aides à l'AB Dans ce contexte difficile où la totalité des aides bio n'est pas encore versée et l'avenir de l'aide au maintien de l'AB menacé, vos élus souhaitent vous rappeler leur mobilisation et vous appeler à vous mobiliser ! Des démarches ont été entreprises par chaque GAB auprès des DDT pour connaître l'état d'avancement de l'instruction des dossiers le solde des aides bio ne pourra être payé que lorsque l'instruction sera terminée au niveau national, nous ne pouvons vous donner de date précise de paiement pour l'instant. Concernant le reclassement des prairies temporaires en PT+5, continuez à solliciter vos animateurs de GAB pour les informer de votre situation surfaces déclassées et pertes d'aides et bénéficier d'un appui individuel si besoin. La CGAB rédige actuellement un courrier à la DRAAF à ce sujet et nous avons besoin de données précises pour vous défendre. Pour ce qui est de la poursuite des aides au maintien de l'AB, une manifestation se prépare pour le 17 février, nous vous tiendrons très bientôt informés et comptons sur votre mobilisation à tous ! AIDES29/01/2015 Crédit d'impôt La Loi de Finances de 2014 a confirmé l'annonce du plan Ambition Bio de prolongation du Crédit d'impôt Bio jusqu'en 2017. Il n'y pas aucun changement ni sur les modalités d'application, ni sur l'articulation avec les aides bio, ni sur le caractère de minimis de ce dispositif fiscal, etc... Le formulaire 2015 est d'ores et déjà disponible ici. AIDES28/01/2015 Aide à la qualification en Agriculture Biologique parution du formulaire de demande 2015 Le nouveau formulaire de demande d'aide à la qualification en Agriculture Biologique vient de paraître. Le dossier doit être déposé avant le 1er mars ou le 1er juillet. Cette aide concerne les exploitations conduites à 100 % en bio conversion ou certifiée et produisant des légumes, des fruits, des PPAM, du miel ou pratiquant la transformation à la ferme notamment en légumes, lait ou viande. Elle représente 80 % du coût effectif de la certification. Nota Bene 1 cette aide fait partie du dispositif des aides de minimis limitées à 15 000 € sur l'exercice en cours et les deux précédents. Nota Bene 2 vous ne devez en aucun cas payer votre organisme certificateur avant de déposer votre dossier de demande d'aide sous peine d'être inéligible. Contact Contactez vos animateurs de GAB pour toute information complémentaire. Vie des structures bio bourguignonnes06/01/2015 Le GABY recherche des intervenants pour une émission de radio Vous avez envie de parler de votre ferme ? De vos productions ? D'évoquer un projet qui vous tient à coeur en lien avec l'Agriculture Biologique ? Le GABY vous propose de participer à une émission de radio sur France Bleu Auxerre les Experts. Il s'agit d'un entretien en direct environ 15/20 min avec le journaliste de l'émission. Le sujet doit être grand public et les auditeurs ont la possibilité d'appeler pour poser des questions. Le prochain créneau réservé au GABY est prévu le lundi 23 mars à 9 h. Contact Aurélie BILLON, animatrice du GABY, 03 86 72 92 20, gaby FNAB06/01/2015 La FNAB vous propose ses nouvelles lettres filières La FNAB vous propose désormais des lettres d'information gratuite par filière - Arboriculture - Grandes cultures - Lait - Légumes - Viande - Viticulture Pour vous abonner, c'est ici. ENQUETE16/12/2014 L'Observatoire de l'Agriculture Biologique en Bourgogne L'Observatoire de l'Agriculture Biologique en Bourgogne ORAB vient de paraître. Il a été établi à partir des chiffres de la fin de l'année 2013. La Bourgogne maintient sa 9ème place au rang national et malgré un contexte difficile, a augmenté sa surface cultivée en bio de 2%. Retrouvez le détail des chiffres par départements et par filières en téléchargeant la brochure complète ici. AIDES15/12/2014 INFO sur le réglement des aides bio 2014 non versées pour le moment L'instruction des dossiers PAC dans le cadre du plan FEAGA a fait prendre beaucoup de retard sur l'instruction des aides SAB. Par ailleurs, les DDT assistent à une augmentation significative du nombre de dossiers à traiter du fait de la fin de la MAE CAB 2ème pilier. Le MAAF n'est donc pas encore en mesure de fixer le coefficient stabilisateur national pour le financement de ces aides. C'est pour quoi aucun dossier SAB-M ou SAB-C n'a pu être payé à ce jour. Afin de permettre toutefois un paiement aux agriculteurs en décembre, il a été décidé que le 4ème train de paiement, donnant lieu à des versements sur les comptes des agriculteurs à partir du 18 décembre, intègre un acompte de 50 % des aides SAB conversion et maintien sur la base des montants unitaires initiaux. Les soldes seront versés en début d'année 2015 au regard d'un état d'instruction des dossiers plus stabilisé permettant de fixer les éventuels stabilisateurs. VIE DU RESEAU03/12/2014 Formation à la création d'un site internet Ca y est, la session de formation 2014 à la création d'un site internet s'est achevée. Cette formation de 5 jours a permis à 5 d'entre-vous de créer leur propre site internet, en fonction de leurs besoins et leurs envies. Leurs sites sont maintenant en ligne et accessibles à tous les internautes. Si vous voulez avoir un aperçu de ce qu'on peut faire soi-même en 5 jours de formation, vous pouvez visiter les créations de vos collègues en cliquant sur les liens ci-dessous Chaque producteur a maintenant toutes les clés en main pour faire vivre son site et assurer son devenir. Nous nous interrogeons sur la possibilité de vous proposer à nouveau cette formation en 2015 session de 5 jours de formation 1ermois 2jours, 2èmemois 1 jour, 3èmemois 2 jours. Si vous êtes intéressées, vous le nous savoir rapidement pour qu'on l'on puisse organiser une session en fonction de vos disponibilités date et lieu et des disponibilités de la formatrice. Contact Séverine DAMBRUN, animatrice Aval-commercialisation SEDARB - - 06-08-02-87-94 Vie des structures bio bourguignonnes02/12/2014 Les dates de vos AG de GAB Les Assemblées Générales des Groupements d'AgroBiologistes de Bourgogne se tiendront Saône et Loire GABSel mercredi 4 février 2015 Côte d'Or GAB 21 mercredi 11 février 2015 Yonne GABY mardi 17 février 2015 Nièvre GABNi date à définir Plus d'informations dans les invitations qui vous parviendront en début d'année prochaine. Vie des structures bio bourguignonnes02/12/2014 Objectif atteint lors de la collecte de fond pour l'équipement du lieu test de Mézilles Ça y est, la collecte de fond pour le lieu test de Mézilles est close. Nous avons dépassé notre objectif et collecté 2 860 € grâce à vous ! Merci pour votre contribution au développement du maraîchage biologique dans l'Yonne. Nous allons pouvoir équipé le site d'un système d'irrigation, d'une motteuse pour les semis et de toile de paillage pour limiter le désherbage manuel. Nos maraîchers à l'essai vont enfin pouvoir se tester dans de bonnes conditions ! Vous remerciant encore chaleureusement, biologiquement, Le GABY Contact Aurélie BILLON - gaby Outils de communication16/10/2014 La vitrine web des bio de Bourgogne un incontournable ! Dernières semaines pour renouveler votre inscription à la vitrine web des bio de Bourgogne ! La vitrine web des bio de Bourgogne, c'est d'abord une base de données conviviale et appréciée côté acheteurs et producteurs elle permet aux internautes de vous trouver en un clic votre fiche perso, vos produits et vos lieux de distribution, sur une carte vous localisant elle vous offre une belle visibilité très bien référencée par les moteurs de recherche quand on cherche des produits bio bourguignons sur le web vérifiez ! plus de 400 fois visites / jour ! C'est aussi un accès aux autres outils de com du réseau bio bourguignon Les catalogues thématiques en ligne fréquemment téléchargés si vous êtes sur la vitrine web, vous êtes automatiquement dans les catalogues en ligne, Actualités et Agenda en ligne annonçant au "grand public" les événements à venir sur la bio en Bourgogne dont les vôtres si vous nous avez fait suivre l'information ! Bulletins ConsomActions Grand public qui relayent chaque mois vos actualités C'est enfin et aussi un animateur SEDARB à votre service ! l'animateur SEDARB reçoit quotidiennement des appels de personnes cherchant des produits bio bourguignons consommateurs, AMApiens, magasins... Il les renvoie systématiquement vers la vitrine en ligne, où les demandeurs pourront vous trouver, pour autant que vous y soyez inscrits ?! il veille à maintenir à jour les informations et à un affichage professionnel de chacun, il vous aide si besoin pour modifier vos données, créer un nouvelle page, il est aussi à l'écoute de vos suggestions souhaits d'évolutions ou de services que vous souhaiteriez développer sur le site vitrine. Alors, si pas encore fait, INSCRIVEZ-VOUS À LA VITRINE ! Tous les producteurs qui n'auront pas renouveler leur inscription, verront leur fiche perso supprimée au 1 janvier 2015. Contactez-nous rapidement si vous souhaitez continuer à figurer sur la vitrine web ! Profitez du tarif promotionnel 24 € pour les adhérents GAB, pour une inscription jusqu'à avril 2016 ! Plus d'info contact Téléchargez vite le Bulletin d'inscription et renvoyez le au SEDARB avec votre réglement 19 avenue Pierre Larousse - BP 382 - 89006 AUXERRE cedex Grandes cultures14/10/2014 Nouvelle dérogation carie semences de blé Pour répondre à un problème d'approvisionnement, le ministère de l'Agriculture vient d'autoriser pour 2014-2015 une nouvelle dérogation à la norme carie pour les semences de blé tendre non traitées destinées à l'agriculture bio. Cette norme est de zéro spore de carie Tilletia sp.. Afin que cette dérogation exceptionnelle n'entraîne pas de risques trop importants, elle est passée à 20 spores par gramme pour la campagne 2014-2015 au lieu de 100 spores pour la campagne précédente. Les lots de semences certifiées utilisant cette dérogation porteront la mention présence maximale de 20 spores de Tilletia sp. par gramme » sur l'étiquette de certification. Les lots de semences certifiées indemnes de carie ne comporteront pas cette indication. Attention, la carie est un champignon qui se développe principalement sur blé, et dont le pouvoir de contamination et la persistance dans le sol sont très élevés. Des mesures préventives surveillance au champ et analyse des lots destinés à être utilisés en semence doivent être mis en œuvre. En cas de présence de grains contaminés, ne surtout pas réutiliser en semence de ferme. Plus d'informations techniques Echo des Champs n°25 REGLEMENTATION16/09/2014 Dérogation attache des bovins En France, autour de 600 fermes bio sont concernées par l'attache des bovins, et doivent donc obtenir auprès de l'INAO une dérogation, l'attache étant interdite en bio. En Bourgogne, vous êtes plusieurs à être concernés. La seule dérogation existante depuis décembre 2013, prévue à l'article 39 du règlement CE n°889/2008, concerne les élevages de petite taille et prévoit de sortir les animaux dans des espaces de plein air au moins 2 fois par semaine en période hivernale. Pour 2014, un formulaire de demande de dérogation au titre de la flexibilité a été envoyé à chaque éleveur concerné par l'INAO, via les organismes certificateurs. Un grand nombre d'avis défavorables a été donné par l'INAO, essentiellement en raison de la non sortie effective des animaux deux fois par semaine en hiver. Le critère d'exploitation de petite taille n'a, à priori, posé de problème à personne. Que ceux qui auraient reçu un avis défavorable de l'INAO à la demande de dérogation nous en informent ! Nous vous aiderons à engager dans les plus brefs délais un recours devant le tribunal administratif. L'ambition de notre réseau est de ne perdre aucun éleveur bio à cause de l'attache et d'encourager la remise en question de nos pratiques d'élevage dans le souci d'un mieux-être pour nos animaux. 16/09/2014 Jacques CAUMONT Jacques Caumont nous a quittés le 8 septembre, emporté par la maladie du siècle contre laquelle il se battait courageusement depuis plusieurs années déjà. Jacques s'était installé en agriculture biologique après une carrière dans l'aviation. Une trajectoire osée, atypique et admirable réussie par ce passionné qui tenait à montrer qu'il était possible d'innover et vivre sur une petite ferme dans le Morvan. Il élevait des Cervidés il a d'ailleurs participé activement à la rédaction du cahier des charges, des Ovins, cultivait quelques hectares de céréales pour les nourrir et avait des chambres d'hôtes. Il est rapidement devenu un fervent défenseur de l'agrobiologie à travers laquelle il voyait un vrai progrès pour l'avenir. Il a tenu son engagement aux côtés du Conseil d'Administration du GABNi pendant 8 ans dont 5 ans comme secrétaire. Il cessa son activité en 2010 mais n'arrêtera pas de cultiver un grand potager jusqu'à ses derniers jours. Ceux qui l'ont croisé ou qui ont eu la chance de travailler avec lui garde le souvenir de ses nombreuses qualités dont il a fait profiter activement nos structures bio. De la part de tes collègues et amis du monde de la bio, un grand merci à toi Jacques pour ton engagement. Toutes nos condoléances à sa femme Edith et à sa famille. AIDES16/09/2014 Aides au maintien le combat continue Depuis plusieurs mois maintenant, la Fédération Nationale de l'Agriculture Biologique FNAB, qui regroupe près de 10 000 agriculteurs bio, alerte l'Etat et les régions sur leurs maquettes budgétaires prévisionnels pour la mise en place des dispositifs d'aides à la conversion et au maintien en agriculture biologique dans le cadre de la Politique Agricole Commune de 2015 à 2020. Aujourd'hui, la Commission européenne demande clairement à l'Etat français et aux Régions, autorités de gestion, de revoir leur copie pour répondre aux objectifs de doublement des surfaces bio d'ici 2020. Téléchargez le communiqué de la FNAB dans sa version complète. La pétition Pour que l'aide au maintien soit ouverte sans restriction à tous les paysans bio de France » portée par l'AMAP La Riche en Bio » d'Indre-et-Loire est en passe d'atteindre le seuil stratégique des 50 000 signatures ! Cette pétition qui défend le principe d'une aide au maintien significative pour tous et dans toutes les régions de France présente une argumentation particulièrement pertinente, en prise directe avec les réalités de production, de structuration de filières et de marchés. Pour rappel, la pétition est adressée au Ministre de l'agriculture est aux régions, autorités de gestion de la nouvelle programmation FEADER. C'est effectivement à ce niveau que les choses se joueront dans les prochaines semaines. Et ça marche ! la pétition fait son chemin, fédère des consommateurs, interpelle nos élus…… Les producteurs peuvent aussi contribuer à cette initiative de consommateurs en signant et diffusant le plus largement cette pétition pour atteindre et dépasser les 50 000 signatures. Alors, n'hésitez pas, signez et diffusez largement! Voici le lien VIE DU RESEAU02/09/2014 Les lieux tests à l'installation Vous vous demandez ce qu'est un lieu test à l'installation agricole ? Comment peut-on en intégrer un ? A qui cela s'adresse t-il ? Vous souhaitez découvrir le lieu test à l'installation en maraîchage bio de Mézilles 89 ? Découvrir son fonctionnement et participer à son développement ? Pour cela, rendez-vous sur nos nouvelles pages internet Bourse aux légumes02/09/2014 Bourse aux légumes bio de Bourgogne Maraicher, légumiers, pensez à renseigner dès maintenant la Bourse aux légumes bio de Bourgogne. Pour cela, il vous suffit d'envoyer un mail à votre technicienne maraîchage. Pour consulter les offres, aller sur le site > rubrique "agriculteur, opérateur filière" > bourses d'échange" LA BOURSE D'ÉCHANGE DE LÉGUMES BIO DE BOURGOGNE a pour but de rassembler les volumes disponibles transmettre l'information à tous les agriculteurs de Bourgogne mais aussi des régions limitrophes, et les différents opérateurs de la filière bio. * Le tableau est mis à jour régulièrement avec les nouvelles annonces. * Pour ajouter ou retirer une annonce vous devez contacter directement votre technicien. Contact Emilie JANOYER - conseillère Maraichage - ou 06-77-30-30-27 ou 03-80-28-80-45 REGLEMENTATION25/08/2014 Reconduction des dérogations sur l'alimentation des porcs et volailles et l'introduction de poulettes Vous trouverez ci-dessous le règlement qui reporte au 31 décembre 2017 - la dérogation permettant d'utiliser jusqu'à 5% de protéagineux conventionnels dans la ration des monogastriques aux mêmes conditions qu'aujourd'hui liste limitée de matières à consulter dans le guide de lecture - la dérogation permettant d'utiliser des poulettes de 18 semaines conventionnelles mais nourries et traitées en bio mêmes conditions qu'aujourd'hui. Télécharger ici le règlement de report des dérogations. 25/08/2014 Ouverture de Centre-Halles, un lieu d'échange et de découverte des agricultures durables Pour votre information, un lieu d'échange entre producteurs et consommateurs va bientôt ouvrir ses portes à Dijon, le 27 septembre. Il accueillera l'association Centre-Halles dont la mission est de promouvoir les produits régionaux issus de modes de production agricole durables et la relation directe entre producteurs et consommateurs. L'agriculture bio aura biensûr une place privilégiée au sein de ce projet. Sur place, au 19 rue de Chenôve, le Centre accueillera une boutique de produits locaux, un restaurant et organisera des marchés ou des conférences autour de l'agriculture. Les initiateurs de ce projet veulent faire de ce centre un lieu où les producteurs régionaux pourront venir faire découvrir leur façon de travailler et leurs produits. Pour découvrir les différentes activités du Centre N'hésitez pas à prendre contact dès maintenant avec les responsables Alexandre GUY gualex4 et Vincent LAUTH ENQUETE25/08/2014 Enquête de l'ITAB - étude de faisabilité d'un catalogue des matières fertilisantes utilisables en AB en France Vous trouverez ci-dessous un lien vers une enquête de l'ITAB, réalisée auprès des agriculteurs, dans l'optique de créer un guide des matières fertilisantes utilisables en bio en France. Le but de cette étude est de connaitre le besoin des agriculteurs pour un tel catalogue, et avoir leur avis sur le fond et la forme de ce catalogue. Le questionnaire est rapide 10min maximum. ENQUETE07/07/2014 Synthèse des résultats de la consultation FNAB sur la réglementation bio En 2014 débute une nouvelle phase de révision qui devrait aboutir à un nouveau règlement bio dans les deux années à venir application prévue au 1er juillet 2017. Plusieurs points sont entièrement nouveaux et nécessitent une véritable consultation du réseau FNAB. Deux sujets ont été sélectionnés pour une première consultation les contrôles et la certification, ainsi que l'introduction de seuils pesticides. Cette consultation s'adressait au CA de chaque GRAB de France. En Bourgogne, la CGAB a préféré ouvrir cette consultation à l'ensemble de ses adhérents, afin de proposer une synthèse globale à la FNAB. Vous trouverez ci-dessous la synthèse des résultats de cette consultation en Bourgogne. Au total, 55 producteurs bourguignons se sont exprimés à travers cette consultation. AIDES07/07/2014 Aides bio premiers bilans Le 18 Juin, la CGAB a rencontré le Conseil Régional de Bourgogne pour discuter de l'avenir des aides bio en Bourgogne. Des avancées notables ont été obtenues, avec une augmentation de l'enveloppe des aides à la conversion, mais pas encore de certitudes concernant les aides au maintien. Vie des structures bio bourguignonnes07/07/2014 Votre adhésion au GAB en 2014 Nous tenons à remercier tous les adhérents qui ont renouvelé leur soutien au réseau bio pour l'année 2014. * ATTENTION, Nouveauté 2014 pour les Cotisants solidaires * Les administrateurs des GAB de Bourgogne ont souhaité faciliter l'adhésion pour les cotisants solidaires à la MSA. Une cotisation spécifique à 65€ est donc rajoutée pour les cotisants solidaires, sur présentation de justificatif. Pour ceux qui auraient déjà réglé leur cotisation 2014, n'hésitez pas à prendre contact avec votre animateur de GAB. Pour les autres, il est encore temps d'adhérer à votre groupement ! Vous trouverez en pièce jointe,vos bulletins d'adhésion au GAB21, au GABNi, au GABY et au GABSEL. Nous vous rappelons que celle-ci sera valide du 1er avril 2014 au 31 mars 2015. Adhérer à votre GAB, vous permet - d'accéder aux services du SEDARB spécifiques à votre filière, gratuitement ou à des tarifs préférentiels, et de trouver réponses à vos questions techniques, - d'être informé, représenté et défendu auprès de responsables locaux, régionaux, français et européens. - de soutenir une dynamique collective pour défendre, promouvoir et développer l'agriculture biologique Cette adhésion renforce localement le poids de votre groupement et réaffirme au niveau national et européen la force des acteurs de l'agriculture biologique. Cette année, plus que jamais, les réseaux bio ont besoin de votre soutien pour peser dans les négociations, faire valoir les intérêts des agrobiologistes, continuer le combat pour sauver les aides bio et permettre le développement de l'agriculture biologique en Bourgogne. Contact, vos animateurs de GAB GAB21 Séverine DAMBRUN, gab21 GABNi Laurent BARLE, gabni GABY Aurélie BILLON, gaby GABSEL Séverine DAMBRUN, gabsel AIDES19/06/2014 AVENIR DES AIDES À L'AGRICULTURE BIOLOGIQUE AIDES16/06/2014 L'avenir de l'agriculture bio comme variable d'ajustement des politiques régionales en Bourgogne Alors que l'agriculture biologique apparaît dans les discours et les études scientifiques comme une alternative incontournable aux méthodes conventionnelles pour les générations futures, pour préserver la qualité de l'eau, la biodiversité et la santé, les conditions ne semblent pas réunies pour permettre d'atteindre l'objectif de doublement des surfaces en agriculture biologique défini par le plan Ambition Bio 2017. Ce sont aujourd'hui de multiples acteurs de la société civile qui partagent les inquiétudes des agrobiologistes et de leurs structures et se mobilisent à leurs côtés pour lancer un cri d'alerte. REGLEMENTATION09/06/2014 Guide des produits de protection des cultures utilisables en AB Grandes cultures02/06/2014 1ère lettre d'information FNAB sur la filière grandes cultures bio La lettre d'information sur les filières grandes cultures bio qui fait le point sur les premières estimations de la campagne 2013/14, est sortie. Elle fait également le point sur l'évolution des espèces hors dérogation pour les semences de grandes cultures et sur les dernières actualités réglementaires du secteur. A lire ici. Vie des structures bio bourguignonnes06/05/2014 Victoire du réseau bio la ferme de la Bilouterie pourra continuer à produire des poulets La ferme de la Bilouterie, située à Dollot 89, en bio depuis plus de 10 ans, produit des céréales et des volailles, qu'elle abat et découpe à la ferme pour une commercialisation en circuits courts. Afin de poursuivre son activité, elle doit construire un nouvel atelier d'abattage pour lequel elle a obtenu une subvention de la Région Bourgogne en 2012. Suite à trois refus successifs du permis de construire, la ferme risquait de perdre la subvention accordée attribuée pour deux ans et de cesser son activité d'élevage qui emploie trois salariés. Grâce à la mobilisation du réseau bio et de nombreux acteurs locaux... Printemps Bio06/05/2014 Bientôt le Printemps bio communiquez sur vos événements ! Le Printemps Bio approche du 1er au 15 juin prochains de nombreux événements sur l'AB seront organisés partout en France. Si vous organisez une porte ouverte, une balade, un repas bio, une conférence... vous pouvez communiquer sur le site Internet du Printemps Bio 2014 et nous relaieront vos événements dans les réseaux locaux. Organiser un événement lors du Printemps Bio Vous voulez qu'on se charge d'inscrire votre événement sur le site Internet du Printemps Bio ? Contactez votre animateur de GAB ! REGLEMENTATION11/03/2014 OGM évolutions en cours Depuis août 2013 et l'annulation de l'arrêté d'interdiction du maïs Mon 810 par le Conseil d'Etat, rien n'empêche la culture de cet OGM sur le territoire français. Alors que les dates de semis approchent rapidement, le gouvernement a opté pour deux voies distinctes l'édiction d'un nouvel arrêté d'interdiction de la culture de maïs Mon 810, mais aussi le vote d'une Loi interdisant de manière plus générale la culture de maïs OGM. En effet, un nouveau maïs génétiquement modifié pourrait très bientôt être autorisé à la culture en Europe le TC1507.
Lesarchives par sujet : Salon de vente de chiots. Précédent 1 234 5 Suivant Assistant / Assistante marketing. Emploi Cergy, 95, Val-d'Oise, Île-de-France Le Hub Solutions Adecco Cergy recherche pour un de ses clients, un ou une assistant(e) marketing pour un CDD jusqu'à la fin de l'année.
Affiner par géographieMécanicien Espace Vert H/FEmploi Négoce - Commerce grosPloërmel, 56, Morbihan, BretagneBLANCHARD Agriculture est distributeur en matériels agricoles, pièces détachées, accessoires et services d'assistance aux professionnels. Diagnostic et entretien matériel client - Procède à l'entretien ; diagnostique la panne, l'anomalie, qui peut être d'origine hydraulique, pneumatique, électrique, électronique, mécanique et remet en état par échange ou par réparation de pièces, les organes, équipements et éléments défectueux. - Est capable de rechercher les références, d'établir les listes de pièces et les devis nécessaires aux interventions. - S'assure de la qualité de sa prestation réglage, contrôle, essai... ; fait réellement preuve d'autonomie et d'initiative. - Participe au développement du Chiffre d'Affaires pièces détachées et main d'oeuvre. - S'adapte aux exigences de la clientèle et de l'activité. Gestion documentaire - Respecte les Ordres de Travail et les devis et rend compte auprès de son responsable des travaux non mentionnés et qu'il juge nécessaires. - Remplit quotidiennement tous les documents nécessaires à la gestion de l'activité Ordre de Travail, Fiche individuelle.... Gestion et entretien des équipements et infrastructure - Est responsable[...]Responsable d'agence - espace vert h/fEmploi Equipement industrielParis, 75, Paris, Île-de-FranceVos missions sont • Décliner la stratégie d'entreprise, respect des process Groupe et la politique commerciale dans votre périmètre et animer le plan de développement de vottre entité, • Anticiper les besoins de main d'oeuvre des clients/prospects et organiser, en lien avec le Pôle RH, recrutement adéquat, • Suivre et animer les plans d'actions intérimaires répondants aux enjeux du marché, en lien avec les fonctions supports formations, politique de recrutement, • Prospecter les cibles clients/prospects et identifier leurs besoins dans le domaine du travail temporaire et du recrutement de manière pérenne, • Déployer et animer les outils, offres commerciales et services additionnels du travail temporaire, • Recruter, en lien avec le Pôle RH et intégrer ses collaborateurs, • Évaluer et développer les compétences de vos collaborateurs, • S'assurer du respect du cadre légal, contractuel, des règles internes et de la maîtrise des risques, • Contrôler, analyser et rendre compte de l'activité et des résultats, • Développer, en lien avec le Service RH, des partenariats avec les acteurs de l'emploi et les écoles / JardinièreEmploi Aubergenville, 78, Yvelines, Île-de-FranceLa commune d'AUBERGENVILLE recrute 3 Jardiniers H/F en CDD de 12 mois - Création des espaces verts Semis, création paysagère, entretien des massifs floraux, engazonnement - Entretien des espaces verts Tonte, arrosage, désherbage, taille, paillage, traitement des parasites, entretien de l'arrosage automatique - Entretien du matériel Entretien du matériel et des outils mis à disposition, détection des dysfonctionnement Missions ponctuelles avec notion de polyvalence déneigement, montage et démontage de matériel lors des manifestations, manutention, participation aux déménagements Profil recherché - diplôme dans les métiers jardinage/paysage + expérience significative - CACES R472M / R489, et certiphyto appréciés - Maîtrise de l'utilisation du matériel à main et à moteur et de son entretien - Maîtrise des nouvelles pratiques d'entretien taille douce, fauchage tardif, débroussaillage sélectif,zéro phytosanitaire - Permis B requisAgente entretien maintenance polyvalente en collectivitéEmploi Francheleins, 11, Ain, OccitanieDans le cadre d'un service public de proximité et dans une relation d'interface avec les élus et avec la/le secrétaire de mairie et la population, l'AGENT TECHNIQUE POLYVALENT EN MILIEU RURAL conduit l'ensemble des activités liées à l'entretien et à la valorisation des espaces publics et des bâtiments communaux. Vos missions - Réalise des petits travaux de bâtiment maçonnerie, plâtrerie, peinture, plomberie, serrurerie, menuiserie - Effectue le nettoyage évacuation de déchets, de dépôts sauvages, la réparation nids de poules et le salage aux endroits dangereux de la voirie communale - Effectue l'entretien des espaces verts tonte, débroussaillage, taille de haies, plantation d'arbustes, confection de massifs de fleurs, arrosage, traitement phytosanitaire, ramassage de déchets divers - Effectue l'entretien des cimetières et la surveillance lors de travaux réalisés sur les concessions - Effectue l'affichage des manifestations des associations sur les panneaux réservés à cet effet - Procède à l'entretien du petit matériel et de l'outillage - Procède à l'état des lieux et remise des clés au locataire de la salle des fêtes SAVOIR-FAIRE Relations aux élus Informer les[...]Ouvrier / Ouvrière d'entretien des espaces vertsEmploi Montrozier, 12, Aveyron, OccitanieDans une exploitation forestière en extérieur vos missions seront - le nettoyage de parc elles à l'aide d'une débroussailleuse - l'entretien de 1er niveau du matériel Débutants acceptés. Si débutant, vous serez former aux outils de travail prise en main facile et rapide. CDD 4 mois, 35h / semaine. Du lundi au vendredi de 8h à 12h et de 14h à 17h. Des déplacements avec un véhicule de société sont à prévoir. Pour candidater - envoyez nous votre CV par mail en répondant à l'annonce - ou contactez nous directement par téléphone 06 70 58 58 18Technico-commercial junior h/fEmploi AgroalimentaireAngers, 49, Maine-et-Loire, Pays de la LoireSous la responsabilité d’un commercial de l’activité espaces verts, Il aura pour missions principales Etudier les cibles à visiter Préparer les argumentaires produits en partenariat avec nos fournisseurs Etablir un plan d’actions sur la durée de la formation qui comportera De la prospection chez les paysagistes du nord Maine et Loire et de la Sarthe, les collectivités du nord Maine et Loire et de la Sarthe et les bureaux d’étude et architectes paysagersAgent/Agente d'entretien des bâtiments et espaces collectifsEmploi Grasse, 60, Alpes-Maritimes, Hauts-de-FranceFONCTION COMMERCIALE Approvisionnement Vous devez Remonter à votre responsable vos besoins en fournitures, produits d'entretien et matériel Relation clients Vous devez Renseigner les clients avec courtoisie, lorsque vous êtes sur la surface de vente, Veiller à ce que votre activité perturbe le moins possible la qualité du service client dans le magasin, dans un environnement sécurisé balisage zone glissante FONCTION TECHNIQUE Activité LES EXTERIEURS Parking Vous devez Ramasser les papiers et détritus Vider les poubelles Vider et nettoyer les cendriers Rééquilibrer les parcs à caddies Effectuer le balayage manuel ou motorisé des abords du magasin abris caddies, entrées, Vous pouvez être amenée à Ramasser les feuilles Entretenir les espaces verts Entretenir le parking et les abords du magasin en cas d'intempéries enlever neige, déposer sel, Cour de réception marchandises Vous pouvez être amenée à Entretenir les bennes et leurs abords LE MAGASIN Vous devez Aspirer les tapis d'entrée Passer l'autolaveuse sur les sols et effectuer les finitions manuelles des zones inaccessibles à l'autolaveuse Nettoyer les objets meublants ainsi que[...]Employé polyvalent / Employée polyvalente de restaurationEmploi Nérac, 47, Lot-et-Garonne, Nouvelle-AquitaineLA RESTAURATION est un métier varié, potentiellement passionnant, caractérisé par l'alternance de périodes d'activité soutenue "coup de feu" et de périodes de moindre activité, où il faut gérer au mieux les imprévus tout en restant centré sur la satisfaction du Client. On entend dire beaucoup de choses de La Restauration»... Venez vous faire votre propre opinion, en rencontrant les employées en place, et les patrons de cette petite entreprise familiale ; vous pourriez être agréablement surpris par ce que Le Vert Galant propose. Nous employons jusqu'à 8 personnes à différents postes, en CDD saisonniers de 2 à 7 mois, à Temps Partiel ou à Temps Plein 35h/semaine voire plus. Chez nous vous serez encadrées et formées par L'EQUIPE PERMANENTE, qui rassemble les créateurs de l'entreprise. - En CUISINE, le Chef transmet à son/ses Assistantes les savoir-faire et règles d'hygiène indispensables au poste - La/les Responsables de salle - Caisse vous accompagneront pour la connaissance de la Carte, le conseil client, les techniques de service, les commandes bloc et/ou électronique, la gestion des stocks et les tâches techniques du poste BAR plonge », préparations,[...]Ingénieur Modélisation et Simulation d'Accidents Graves H/FEmploi Autres services aux entreprises, Energie - PétroleMarseille, 13, Bouches-du-Rhône, Provence-Alpes-Côte d'AzurSOFREN est une entreprise internationale d'ingénierie et de conseil spécialisée dans les secteurs de l'Energie Nucléaire, Pétrole & Gaz, Energie verte, de l'Industrie et des Infrastructures associées. Suite à l'expansion de ses activités croissances interne et externe, SOFREN compte plus de 750 collaborateurs dans le monde. Nos offres répondent au cycle en V des projets industriels internationaux majeurs depuis les études de faisabilité jusqu'au démarrage des installations ingénierie, management de programmes et de projets et stratégie industrielle. La maîtrise des technologies performantes dans des environnements exigeants est notre savoir-faire. SOFREN s'organise autour d'une très forte croissance sur plusieurs sites Saint-Cloud région parisienne, Amiens, Cherbourg, Nantes, Lyon, Aix-en-Provence, Pierrelatte et Marseille en France ; Belgique, Suisse, UAE, UK et Congo pour l'International. Plus d'informations sur notre site TÂCHES - Prise en main des données ASTEC des réacteurs et définition d'hypothèses vis-à-vis des rejets radioactifs aériens. - Analyse du comportement des produits de fission lors du scénario accidentel et calcul[...]RRH Compétences et Carrières H/FEmploi Equipement industrielNantes, 44, Loire-Atlantique, Pays de la LoireConditionnement, logistique, espaces verts et propreté tels sont les 4 métiers des 400 salariés de SAPRENA ! Entreprise adaptée, inscrite dans les valeurs de l'économie sociale et solidaire, SAPRENA a pour ambition de valoriser le capital humain. SAPRENA est en croissance et a beaucoup évolué ces dernières années pour se structurer, avec notamment la création du service Ressources Humaines, et le passage en SCIC Société Coopérative d'Intérêt Collectif en 2018. Ce sont 80 salariés qui sont associés, et qui portent haut et fort les valeurs de SAPRENA ! Depuis 3 ans, la Direction et le service RH travaillent activement à l'harmonisation et à la consolidation des processus. L'ambition est de structurer une direction des ressources humaines en tant que telle, mais pour cela, il faut d'abord recruter et organiser l'équipe ! L'objectif est de créer des relais pour être plus présent au quotidien aux côtés des salariés, afin de prendre part à cette nouvelle organisation et accompagner le développement de SAPRENA. La Direction RH sera ainsi organisée autour de 2 axes de pilotage, complémentaires et donc très en lien le pôle contrats, rémunération et SIRH d'un côté, et le[...]Ouvrier - Ouvrière Paysagiste H/FEmploi Autres services aux entreprisesBesançon, 25, Doubs, Bourgogne-Franche-ComtéVotre agence TEMPORIS Besançon recrute de nouveaux talents ! Nous recherchons UN OUVRIER PAYSAGISTE H/F pour notre client situé à Besançon. Notre client est spécialisé dans l'aménagement extérieur sur toute la région. Vous aurez pour missions - Divers travaux de petite maçonnerie enrobée, muret et terrassement. - Maçonnerie paysagère pavage, dallage, allée. - Entretien des plantes pour les professionnels et les particuliers. - Création de massifs paysagers et espaces verts selon les attentes des clients. Vous êtes bricoleur, à l'aise avec les outils et capable de travailler en autonomie comme en équipe, alors candidatez ! Vous êtes dynamique et doté d'une bonne résistance physique, sérieux, ponctuel et volontaire sont vos principales qualités ? Alors c'est vous que nous recherchons ! Condition de travail - 35 heures du lundi au vendredi. - Déplacements réguliers sur chantiers. - Salaire selon expérience. N'attendez plus et ENVOYER VOTRE CV et Candidature sur l'adresse ********.** Et venez nous rencontrer à l'agence située au 25 avenue Carnot 25000 BESANÇON, du lundi au vendredi de 8h à 12 heures et 14 heures à 18 heures avec VOTRE MASQUE OBLIGATOIRE attention[...]Chef de chantier paysagiste h/fEmploi Audit - Comptabilité - FiscalitéArras, 62, Pas-de-Calais, Hauts-de-FranceVous êtes passionné par les Espaces Verts ? Votre créativité est sans limite ? Vous vous définissez comme un véritable artiste paysagiste » ? Votre leadership permet un travail d’équipe efficace ? Alors, je vous invite vivement à poursuivre votre lecture !Je recherche un Chef de chantier H/F pour une entreprise située près d'Arras !Vous rejoignez une société familiale, passionnée par l’aménagement, la plantation, le terrassement, la taille ...Vous y trouverez de belles valeurs humaines, de la convivialité et de l’engagement vis-à-vis de ses dans l’âme, vous prenez en charge un chantier et diriger toutes les opérations. Vous avez la capacité à motiver et animer votre équipe. Vous dirigez une petite équipe d’ouvriers polyvalents et passionnés afin de créer des jardins sur mesures avec l’aménagement de terrasse, la création d’allées, le pavage, le missions seront Vous analysez et prenez en mains le chantierVous réfléchissez à la stratégie à adopter et aux moyens à mettre en œuvreLire les plans, prendre les points de niveau, déterminer les veillez au respect des délaisVous suivez la maintenance et le soin apporté au chantierVous repérez[...]Chef d'équipe paysagiste h/fEmploi Audit - Comptabilité - FiscalitéArras, 62, Pas-de-Calais, Hauts-de-FranceVous êtes passionné par les Espaces Verts ? Votre créativité est sans limite ? Vous vous définissez comme un véritable artiste paysagiste » ? Votre leadership permet un travail d’équipe efficace ? Alors, je vous invite vivement à poursuivre votre lecture !Je recherche un Chef de chantier H/F pour une entreprise située près d'Arras !Vous rejoignez une société familiale, passionnée par l’aménagement, la plantation, le terrassement, le taillage...Vous y trouverez de belles valeurs humaines, de la convivialité et de l’engagement vis-à-vis de ses dans l’âme, vous prenez en charge un chantier et diriger toutes les opérations. Vous avez la capacité à motiver et animer votre équipe. Vous dirigez une petite équipe d’ouvriers polyvalents et passionnés. Vos missions seront Vous analysez et prenez en mains le chantierVous réfléchissez à la stratégie à adopter et aux moyens à mettre en œuvreLire les plans, prendre les points de niveau, déterminer les veillez au respect des délaisVous suivez la maintenance et le soin apporté au chantierVous repérez tout dysfonctionnement et vous montrez force de proposition pour trouver la bonne solutionVous assurez la sécurisation[...]Chef de chantier paysagiste h/fEmploi Audit - Comptabilité - FiscalitéBapaume, 62, Pas-de-Calais, Hauts-de-FranceVous êtes passionné par les Espaces Verts ? Votre créativité est sans limite ? Vous vous définissez comme un véritable artiste paysagiste » ? Votre leadership permet un travail d’équipe efficace ? Alors, je vous invite vivement à poursuivre votre lecture !Je recherche un Chef de chantier H/F pour une entreprise située près d'Arras !Vous rejoignez une société familiale, passionnée par l’aménagement, la plantation, le terrassement, le taillage...Vous y trouverez de belles valeurs humaines, de la convivialité et de l’engagement vis-à-vis de ses dans l’âme, vous prenez en charge un chantier et diriger toutes les opérations. Vous avez la capacité à motiver et animer votre équipe. Vous dirigez une petite équipe d’ouvriers polyvalents et passionnés. Vos missions seront Vous analysez et prenez en mains le chantierVous réfléchissez à la stratégie à adopter et aux moyens à mettre en œuvreLire les plans, prendre les points de niveau, déterminer les veillez au respect des délaisVous suivez la maintenance et le soin apporté au chantierVous repérez tout dysfonctionnement et vous montrez force de proposition pour trouver la bonne solutionVous assurez la sécurisation[...]Paysagiste h/fEmploi Audit - Comptabilité - FiscalitéArras, 62, Pas-de-Calais, Hauts-de-FranceVous êtes passionné par les Espaces Verts ? Votre créativité est sans limite ? Vous vous définissez comme un véritable artiste paysagiste » ? Votre leadership permet un travail d’équipe efficace ? Alors, je vous invite vivement à poursuivre votre lecture !Je recherche un Chef de chantier H/F pour une entreprise située près d'Arras !Vous rejoignez une société familiale, passionnée par l’aménagement, la plantation, le terrassement, la taille ...Vous y trouverez de belles valeurs humaines, de la convivialité et de l’engagement vis-à-vis de ses dans l’âme, vous prenez en charge un chantier et diriger toutes les opérations. Vous avez la capacité à motiver et animer votre équipe. Vous dirigez une petite équipe d’ouvriers polyvalents et passionnés afin de créer des jardins sur mesures avec l’aménagement de terrasse, la création d’allées, le pavage, le missions seront Vous analysez et prenez en mains le chantierVous réfléchissez à la stratégie à adopter et aux moyens à mettre en œuvreLire les plans, prendre les points de niveau, déterminer les veillez au respect des délaisVous suivez la maintenance et le soin apporté au chantierVous repérez[...]Paysagiste h/fEmploi Audit - Comptabilité - FiscalitéCambrai, 59, Nord, Hauts-de-FranceVous êtes passionné par les Espaces Verts ? Votre créativité est sans limite ? Vous vous définissez comme un véritable artiste paysagiste » ? Votre leadership permet un travail d’équipe efficace ? Alors, je vous invite vivement à poursuivre votre lecture !Je recherche un Chef de chantier H/F pour une entreprise située près d'Arras !Vous rejoignez une société familiale, passionnée par l’aménagement, la plantation, le terrassement, la taille ...Vous y trouverez de belles valeurs humaines, de la convivialité et de l’engagement vis-à-vis de ses dans l’âme, vous prenez en charge un chantier et diriger toutes les opérations. Vous avez la capacité à motiver et animer votre équipe. Vous dirigez une petite équipe d’ouvriers polyvalents et passionnés afin de créer des jardins sur mesures avec l’aménagement de terrasse, la création d’allées, le pavage, le missions seront Vous analysez et prenez en mains le chantierVous réfléchissez à la stratégie à adopter et aux moyens à mettre en œuvreLire les plans, prendre les points de niveau, déterminer les veillez au respect des délaisVous suivez la maintenance et le soin apporté au chantierVous repérez[...]Jardinier / JardinièreEmploi Porto-Vecchio, 992, Corse-du-Sud, CorseRésidence de tourisme de 29 appartements route de Palombaggia, nous recherchons une jardiniere toutes mains pour - entretien des jardins, espaces verts, tonte des pelouses,arrosages - entretien des piscines nettoyage bassin/filtres - petites réparations dans les logements plâtres, peintures, petit bricolage Expérience exigée CDI 35h travail le samedi Salaire de 1700 a 2000 euros net par mois selon expérience et compétences POSTE NON LOGE Étant la seule personne a ce poste, nous recherchons quelqu un de sérieux, impliqué et minutieux dans son travail ayant l expérience nécessaire pour organiser son travail de manière agricole polyvalent / Ouvrière agricole polyvalenteEmploi Nozeroy, 39, Jura, Bourgogne-Franche-ComtéGroupement d'employeurs recherche un salarié polyvalent H/F en CDI temps plein. Nous vous proposons un emploi sur mesure ! Missions vous assurez des missions de remplacement ou de complément de main d'œuvre en élevage bovin laitier. Vous intervenez principalement pour la traite et les soins aux animaux, et également pour les travaux de saison épandage, fenaison . Selon votre parcours et votre projet, possibilité de diversifier votre travail avec des missions en artisanat, coopérative fromagère, entretien des espaces verts Profil motivée par l'élevage, autonome, sérieux se, dynamique, capacité d'adaptation. Formation agricole et expériences attendues. Conditions CDI temps plein. Travail 2 week-end par mois. Salaire selon compétences et grille salariale de la convention collective. Déplacements indemnisés. Poste à pourvoir dès que possible. CV et lettre de motivation en précisant le numéro de l' / Agente des services hospitaliersEmploi Revin, 83, Ardennes, Provence-Alpes-Côte d'AzurVous êtes en charge de l'entretien et de l'hygiène des locaux. Vous participez aux activités permettant d'améliorer le confort hôtelier des patients et veillez à leur sécurité. Vous exercez votre mission dans le parfait respect de la charte de la personne hospitalisée confidentialité, respect de l'intimité et de la dignité du patient. Conditions de travail Les horaires peuvent varier suivant l'affectation 06h30/18h30 ou 07h00/19h00 pour les temps pleins amplitude horaire de 10 heures et 15h00/20h00 pour les temps partiels. Travail le week-end et jour férié à préciser. Vos principales activités - Nettoyer et désinfecter les locaux selon les protocoles en vigueur - Effectuer l'approvisionnement et l'entretien du chariot de ménage - Ranger et nettoyer le local ménage - Assurer l'entretien des franges et des lavettes - Récupérer les chariots en cuisine, distribuer les plateaux en tenant compte des régimes particuliers, débarrasser les plateaux, rapporter les chariots en cuisine - Dresser le couvert sur les tables, préparer la mise en place eau, pain, assaisonnement..., distribuer les repas en tenant compte des régimes particuliers, débarrasser les tables pendant[...]Vendangeur / VendangeuseEmploi Causses-et-Veyran, 34, Hérault, OccitanieLe Domaine Borie La Vitarèle, localisé à Causses et Veyran 34490 au cœur de l'AOC Saint Chinian, est à la recherche de son équipe de pour le millésime 2022, qui s'annonce beau ! Borie La Vitarèle, fondé en 1990, c'est un domaine familial en plein milieu d'une vallée entourée de chênes verts et de garrigues géré par Cathy la mère, Camille la fille et Ulrich son conjoint toute l'année. En bio et en biodynamie depuis 1998, les 20 hectares de vignes s'épanouissent dans des sols vivants pour produire à l'arrivée de grands vins de l'appellation. Ici, tout est depuis toujours vendangé à la main. Les sont comme les premiers de la qualité. Nous recrutons des vendangeurs-ses pour une durée d'environ trois semaines, disponibles à partir du 27-28 août 2022 date de vendanges à confirmer courant août. Profil recherché Nous recherchons des personnes motivées, fiables, ponctuelles et qui aiment le travail d'équipe. Au sein d'une équipe d'une douzaine de personnes, vous serez véritablement acteur de la qualité de la récolte, encadré par Ulrich, le chef de culture, dans une ambiance de travail conviviale. Détails complémentaires[...]Ouvrier / Ouvrière paysagisteEmploi Bricolage - JardinageAtton, 54, Meurthe-et-Moselle, Grand EstLocalisée à ATTON 54700, GUEREINS 01 et REIMS 51, TECHNIGAZON est une entreprise paysagiste spécialisée dans l'aménagement et l'entretien des espaces verts et des terrains sportifs et répond aux différentes demandes de ses clients en leur apportant la qualité d'un service cousu-main » auquel l'ensemble du personnel est attaché. Depuis 2008, nous mettons notre savoir-faire au service de particuliers, d'entreprises, de syndics, de mairies et d'autres collectivités dans le Grand-Est. Nous recherchons, pour notre agence basée à ATTON 54700 UNE OUVRIERE PAYSAGISTE SPECIALISEE EN TERRAIN DE SPORTS Vous aurez en charge la tonte et les opérations mécaniques sur terrain de sport décompactage, sablage, regarnissage.. Vous êtes réactifve, avez le sens de l'organisation, êtes autonome, ponctuelle et avez des capacités de décisions? Rejoignez notre équipe ! Permis B ET EB / Agente de propreté et d'hygièneEmploi Megève, 74, Haute-Savoie, Auvergne-Rhône-AlpesRECRUTE Pour la Direction des Sports et des Loisirs Son secteur HYPRO UN AGENT D'HYGIENE ET DE PROPRETE H/F Cadre d'emploi des adjoints techniques territoriaux REF 2022-41 Megève est un village et une station connue dans le monde entier pour la qualité de son accueil touristique. Dotée d'équipements de premiers plans, elle s'attache à maintenir un cadre de vie exceptionnel pour la population permanente et touristique. Son ambition se concrétise par l'obtention de nombreux labels tels que Flocon Vert, Ville et village fleuris 4 fleurs, Ville à Vélo, Best of the Alps, L'esprit Famille, Tourisme et Handicap.... Au cœur de Megève, le Palais est un équipement structurant de la commune qui s'inscrit, depuis plus de 50 ans, dans un cycle d'innovation permanente pour que le sport, le bien-être, la culture et le loisir soient au rendez-vous. Il fait partie intégrante de l'offre recherchée par une clientèle aussi bien locale que touristique groupes, associations sportives, scolaires, sportifs de haut niveau, pratiquants loisirs ainsi que des séminaires, des colloques, des spectacles, etc. Répartie sur 33 000 m², le Palais regroupe une diversité d'équipements tels que[...]Agent / Agente d'exploitation de la voirieEmploi Castillon-en-Couserans, 90, Ariège, Bourgogne-Franche-ComtéMissions Poste participant au dispositif d'astreinte été et hiver. Travail en horaire normal, horaire décalé hiver centres de montagne, journée continue et double poste fauchage, heures supplémentaires. Travail en équipe en règle générale. Pas de personnel encadré. Entretien et exploitation du réseau départemental. Les missions des Agents d'Intervention comportent, notamment, les activités suivantes -Entretien et exploitation courant des chaussées, dépendances vertes, dépendances bleues, ouvrages d'art, équipements -Pose de signalisation permanente et temporaire. -Viabilité hivernale. -Surveillance du réseau, interventions d'urgence et de sécurité. -Entretien du matériel et des locaux mis à disposition. Activités occasionnelles En période d'intempéries, lors d'événements exceptionnels et pour certaines activités les agents affectés à un centre d'intervention pourront être appelés à intervenir sur le secteur d'un autre centre d'intervention voire d'un autre district. Compétences - Réactivité et rendu compte en cas d'intempéries, d'événements exceptionnels ou de tout défaut affectant le réseau en et hors centre d'intervention. - Sécurité des usagers et information. -[...]Bûcheron / BûcheronneEmploi Bricolage - JardinageNeuville-en-Tourne-à-Fuy, 83, Ardennes, Provence-Alpes-Côte d'AzurLocalisée à ATTON 54700, GUEREINS 01090 et REIMS 51, TECHNIGAZON est une entreprise paysagiste spécialisée dans l'aménagement et l'entretien des espaces verts et des terrains sportifs et répond aux différentes demandes de ses clients en leur apportant la qualité d'un service cousu-main » auquel l'ensemble du personnel est attaché. Depuis 2008, nous mettons notre savoir-faire au service de particuliers, d'entreprises, de syndics, de mairies et d'autres collectivités dans le Grand-Est. Nous recherchons pour notre agence de Reims une BUCHERON/BUCHERONE LES MISSIONS Réaliser l'abattage des arbres désigné en respectant les règles de sécurité Mettre en place les systèmes de rétention de l'arbre ou des banches Évacuer les arbres déjà tombés VOS ATOUTS Connaissance de l'ensemble des végétaux, leur développement et leur entretien Connaissance des différents outils spécifiques Autonomie Sens de l'organisation Travail en équipe PRES-REQUIS Permis B obligatoire Permis EB serait un plus NOTRE OFFRE Salaire en fonction de l'expérienceIngénieur / Ingénieure écologueEmploi Albi, 81, Tarn, OccitanieEn tant qu'Assistante Chef de Projet, vos missions seront les suivantes élaboration de dossiers réglementaires volet naturel des études d'impact, dérogation espèces protégées, évaluation Natura 2000, mesures de compensation, plans de gestion, sur la base des données remontées du terrain par les écologues spécialisés dans leur domaine entomologie, herpétologie, chiroptérologie, ornithologie etc.. Dans le cadre de la rédaction de volets naturels d'études d'impact par exemple - Analyse et description des habitats et des espèces, patrimonialité et enjeux ; - Description des corridors écologiques, de la Trame Verte et Bleue ; - Définition des impacts du projet sur les milieux naturels ; - Dimensionnement des mesures pour éviter, réduire ou compenser les impacts démarche ERC ; - Travail sur le plan de gestion ; - Finalisation de rendus ; - Accompagnement du maître d'ouvrage du projet dans sa relation avec les services instructeurs. Pour cela, vous travaillerez en étroite collaboration avec le Chef de Projet et les écologues de terrain. Des missions d'assistance pour la gestion et le suivi des projets pourraient vous être confiées. Vous pourrez bien entendu être[...]Assistante administratifve et comptableEmploi Mamoudzou, 97, Mayotte, -1TETRAMA EXPLOITATION leader dans le domaine des Travaux Publics à Mayotte recrute un Assistant administratif & travaux F/H en CDI. Fondée en 1988, Tetrama Exploitation est la branche TP du Groupe Tetrama, acteur majeur du territoire. Nos principales activités sont - Les travaux publics terrassement, voiries, réseaux divers ; - Les transports de matériaux et de matériels ; - La gestion et la valorisation des déchets inertes et déchets verts. Placée sous l'autorité du Directeur d'Exploitation, vous serez chargée de liste non exhaustive - Tenir la caisse ; - Assurer le suivi des tickets de barge en l'absence de l'assistante ; - Travailler en étroite collaboration avec l'assistante administrative ; - Contribuer au traitement des appels d'offres marchés publics et privés renseigner les tableaux de suivi, établir des devis, renseigner les DICT déclaration d'intention de commencement de travaux, compléter les formulaires adéquats, rédiger des courriers, mettre en forme et imprimer les dossiers d'appel d'offre, récupérer les DCE dossier de consultation des entreprises, contribuer à la constitution du dossier de candidature, faire signer les documents au[...]Agente entretien maintenance polyvalente en collectivitéEmploi Idron, 64, Pyrénées-Atlantiques, Nouvelle-AquitaineLA COMMUNE D'IDRON RECRUTE UN AGENT D'ENTRETIEN POLYVALENT Sous l'autorité du Maire, et sous la responsabilité du chef d'équipe, vous serez chargée plus particulièrement de - Assurer l'entretien des locaux communaux nettoyer et désinfecter les locaux salles, toilettes et le matériel tables, chaises ; remettre en ordre et nettoyer les sols, mobiliers et surfaces vitrées ; dépoussiérer le mobilier, vider les poubelles, etc. ; changer les essuie-mains, le papier WC ; assurer le nettoyage et la désinfection des toilettes publiques, - Participer à des travaux de nettoyage et d'entretien des voies et espaces publics débarrasser les trottoirs et les espaces publics des déchets, désherber et maintenir en état de propreté les voies urbaines et les espaces publics ramasser les feuilles mortes, désherber la voirie, vider les poubelles publiques de la commune, etc., - Assurer l'entretien courant des matériels et engins nettoyer, entretenir et ranger les outils, équipements et matériels après usage, - Repérer les dégâts occasionnés sur le domaine public et dans les bâtiments, et remonter l'information à la hiérarchie, - Activités complémentaires ponctuelles en fonction[...]Agent / Agente d'entretien/propreté de locauxEmploi Saint-Tropez, 83, Var, Provence-Alpes-Côte d'AzurDans notre restaurant / salon de thé Place des Lices à Saint-Tropez vous procéder au nettoyage et à l'entretien quotidien des sanitaires, du restaurant, de la boutique et des extérieurs de l'établissement. Missions - Vérifier tous les quarts d'heures et entretenir les sanitaires de l'établissement. - Veiller à ce que les locaux et le mobilier du restaurant, de la boutique et des extérieurs restent propres en permanence en adaptant les produits d'entretien. - Approvisionner les sanitaires en consommables papier toilette, essuie-main, savon . - Participer au rangement des différents équipements. Compétences requises - Appliquer strictement les directives - Exécuter avec dextérité et rigueur des tâches répétitives - Appliquer strictement des règles d'hygiène Conditions d'exercice de l'emploi L'emploi s'exerce en station debout prolongé et implique d'éventuelles manutentions de charges. L'emploi nécessite de respecter des normes d'hygiène et de sécurité. Contrat 30h par semaine - 6 jours par semaine - 9h-14h30 Repas du midi fourni. Parking pris en charge à 50% - Possibilité de prise en charge "bateaux verts" 50% Réductions tarifaires en boutiques de 30% Poste non logéAgent/Agente d'entretien des bâtiments et espaces collectifsEmploi Saint-Just-Chaleyssin, 38, Isère, Auvergne-Rhône-AlpesDans le cadre de l'entretien de nos 2 sites de SAINT JUST CHALEYSSIN, nous recherchons un employé polyvalent à temps partiel pour réaliser l'entretien des différents espaces verts . Vos missions - la tonte des pelouses - l'entretiens des extérieurs, - la taille des haies, - et d'autres activités de bricolage dans les bâtiments comme changer une ampoule par exemple ! Ce poste s'adresse à tous les profils de personnes habiles de leurs mains qui chercheraient un complément de revenus. CDD jusque fin Novembre Le salaire est à négocier selon d'entretien des bâtiments et espaces collectifsEmploi Saint-Just-Chaleyssin, 38, Isère, Auvergne-Rhône-AlpesDans le cadre de l'entretien de nos 2 sites de SAINT JUST CHALEYSSIN, nous recherchons un employé polyvalent à temps partiel pour réaliser l'entretien des différents espaces verts . Vos missions - la tonte des pelouses - l'entretiens des extérieurs, - la taille des haies, - et d'autres activités de bricolage dans les bâtiments comme changer une ampoule par exemple ! Ce poste s'adresse à tous les profils de personnes habiles de leurs mains qui chercheraient un complément de revenus. Le salaire est à négocier selon / Vendeuse pépiniéristeEmploi Villeneuve-sur-Lot, 47, Lot-et-Garonne, Nouvelle-AquitaineVENDEUR SERRE PEPINIERES CDI 35H h/f Descriptif de l'offre Au sein d'une équipe dynamique, vos missions seront les suivantes Accueillir et accompagner la clientèle dans sa recherche de produits, Apporter des conseils techniques aux clients sur le rayon végétal, Garantir la bonne tenue de la serre, Réaliser la mise en rayon, le rangement et le réassort des produits en magasin, Gérer l'approvisionnement et la qualité de la tenue de votre espace de vente, S'assurer de la gestion de l'étiquetage, Réceptionner, contrôler et stocker les marchandises, Participer à la fidélisation de nos clients en mettant en avant les valeurs de notre enseigne. Vous avez une bonne connaissance des végétaux. Vous justifiez d'une première expérience sur une fonction similaire. Vous êtes dotéé d'un excellent relationnel vous permettant de concrétiser vos ventes et ainsi de contribuer à la performance du magasin. Vous avez l'esprit d'équipe et passionnée par le commerce et la relation client, vous avez à cœur d'intégrer un groupe qui place le client au cœur de ses préoccupations. Votre dynamisme, votre initiative et sens du relationnel sont des atouts nécessaires pour mener à bien les missions[...]Ouvrier / Ouvrière d'entretien des espaces vertsEmploi Angers, 49, Maine-et-Loire, Pays de la LoireAu sein de l'équipe espaces verts composée de 13 Collaborateurs, vous serez notamment en charge de - Réaliser l'aménagement et l'entretien des espaces verts en respectant les fréquences définies et les impératifs naturels météo et saison - Assurer les travaux de tontes, de taille, de plantation. - Mettre en place et gérer des systèmes d'arrosage. - Entretenir le mobilier urbain et les aires de jeux. - Respecter, a minima, les standards et consignes définis par l'entreprise dans un souci de rendre la résidence attractive. - Contribuer à la continuité de service, en alertant, avec les moyens techniques mis à disposition, en cas de dysfonctionnement technique des équipements situés dans les parties communes et les espaces extérieurs. - S'appuyer sur les procédures existantes au sein de l'entreprise pour alerter le bon intervenant. Votre profil Vous êtes titulaire d'un CAP/BEP jardinier paysagiste. Vous êtes organisée, autonome, dynamique et rigoureuxse. Vous avez le sens de la qualité de service. Vous avez des connaissances dans la conception, l'entretien des espaces verts et dans la reconnaissance des végétaux. Vous savez manipuler et entretenir du matériel[...]Ouvrier / Ouvrière d'entretien des espaces vertsEmploi Angers, 49, Maine-et-Loire, Pays de la LoireAu sein de l'équipe espaces verts, vous serez notamment en charge de - Réaliser l'aménagement et l'entretien des espaces verts en respectant les fréquences définies et les impératifs naturels météo et saison - Assurer les travaux de tontes, de taille, de plantation. - Mettre en place et gérer des systèmes d'arrosage. - Entretenir le mobilier urbain et les aires de jeux. Vous êtes titulaire d'un CAP/BEP jardinier paysagiste. Vous êtes organisée, autonome, dynamique et rigoureuxse. Vous avez le sens de la qualité de service. Vous avez des connaissances dans la conception, l'entretien des espaces verts et dans la reconnaissance des végétaux. Vous savez manipuler et entretenir du matériel espaces verts. Travail en horaire de journée. Rémunération entre 11,20 € et 13,66 € selon votre / Ouvrière d'entretien des espaces vertsEmploi Brissac Loire Aubance, 49, Maine-et-Loire, Pays de la Loire***Poste à pourvoir immédiatement*** L'Association EcoEtang, à Brissac Quincé, recherche pour sa section Espaces verts une Ouvriere pour un CDD à temps complet encadré par un moniteur. A compétences égales, priorité aux Bénéficiaires de l'Obligation d'Emploi Au sein de cette équipe, vous - Réaliserez l'entretien des espaces verts Taille d'arbres et arbustes,tonte de pelouses,... pour des entreprises et des particuliers. - Utiliserez le matériel Taille-haie, tondeuse, rotofil CDD Saisonnier 6 mois renouvelable, prise de poste dès que possible 35 heures hebdomadaires du lundi au vendrediOuvrier / Ouvrière d'entretien des espaces vertsEmploi Saumur, 49, Maine-et-Loire, Pays de la LoireMissions principales Sous l'autorité directe du responsable du secteur, l'agent polyvalent exécute tous travaux d'entretien urbain. En suivant les directives ou les documents techniques qui lui sont donnés, il intervient sur les domaines des espaces verts, des stades, de la voirie et de la propreté urbaine. Compétences exigées pour le poste - CAP, BEP en espaces verts, voirie, propreté urbaine ou expérience similaire - Connaissances de base en agronomie et biologie végétale - Respect et soins sur les travaux et l'entretien des matériels - Connaissance et respect des normes d'hygiène et de sécurité concernant la mise en œuvre d'un chantier - Savoir utiliser et entretenir les différents matériels d'entretien débroussailleuse, tondeuse autotractée, matériels électriques meuleuse, disqueuse, burineur et portatifs, souffleur - Sens du service public - Permis B obligatoire / Permis CE, Caces seraient un plus Conditions de travail - Travail nécessitant des travaux physiques, capacité de travail en équipe, comme en autonomie - Travail possible week-end et jours fériés selon plannings et événements - Horaires décalées[...]Agente entretien maintenance polyvalente en collectivitéEmploi Allonnes, 49, Maine-et-Loire, Pays de la LoireAGENT POLYVALENT DES SERVICES TECHNIQUES H/F Service d'affectation Services techniques Sous l'autorité du responsable des Services Techniques, en tant qu'agent polyvalent, vous assurez l'entretien des voiries, l'entretien et la création d'espaces verts, l'entretien du matériel motorisé, la logistique des manifestations publiques et les opérations logistiques. A ce titre vous réaliserez les tâches suivantes 1- Pour missions principales * entretien des espaces publics dans le respect de la qualité écologique et paysagère des sites et du domaine routier. Maintien d'un espace public sécurisé, propre, accueillant pour les usagers. -exploitation du domaine routier -entretien des espaces publics, réparation et renouvellement de la signalisation, petite maçonnerie, réparation revêtement voirie, pose de mobiliers -participation à l'hivernage, à l'entretien des ouvrages d'art et du réseau pluvial de voirie - exploitation des espaces verts, horticoles, champêtres, cimetières et terrains sportifs - suivi du fleurissement annuel, participation à la réalisation d'aménagement paysager * propreté urbaine -gestion des déchets sur le domaine public 2- Pour missions annexes *[...]NOUVEAUTÉ 2022 MASQUE VÉGÉTAL À CAP LOIREMauges-sur-Loire 49620Le 28/10/2022L’automne s’est bien installé à Cap Loire, les feuilles se parent de leurs plus belles couleurs. Jaunes, rouges, vertes ou oranges, choisissez vos préférés pour confectionner le plus incroyable des masques végétales !RÉCOLTE DES CACAHUÈTES À CAP LOIRE Patrimoine - CultureMauges-sur-Loire 49620Le 04/11/2022La cacahuète et la Loire ont un lien étroit avec le bateau Cap Vert installé dans les jardins de Cap Loire. Entre 1940 et 1960, il transportait ce fruit à coque sur la Loire jusqu'aux huileries Marchant à Château-Gontier pour la conception d'huile d'arachide. Enfiler vos bottes et vos gants de jardin pour ramasser les cacahuètes cachées sous la terre et repartez avec votre semis. Elles susciteront la curiosité de beaucoup d'entre vous !La préparation SpectaclePoligny 39800Du 13/10/2022 au 18/11/2022En octobre 2022 jeudi 13, vendredi 14, samedi 15, mardi 18, jeudi 20 et vendredi 21 En novembre mardi 8, mercredi 9, jeudi 17, vendredi 18 LA PRÉPARATION Compagnie Amateure MI-SCÈNE Spectacle à partir de 12 ans Dans un premier temps, bien sûr, vous pourriez vous demander pourquoi moi ? ». Vous pourriez remettre en cause les critères du Comité d’Hygiène, demander la révision du protocole sanitaire ou même encore, dans un élan de mauvaise foi, interroger l’utilité réelle du Grand Composteur à Lombric de la Communauté. Mais nous ne vous encouragerons pas dans cette voie. Ici, la révolte ne vous servira à rien. Notre objectif est de vous apprendre à accepter votre destin, sans frustration, sans haine et sans peur. Ainsi, votre mission écologique n’en sera que plus belle. Si vous avez été désignés, merci de vous rendre au rendez-vous indiqué. Pensez à vous désinfecter les mains à l’entrée du bâtiment, récupérez vos étiquettes au secrétariat et suivez le parcours vert sur le sol. CE N’EST PAS PARCE QUE VOUS ALLEZ DISPARAÎTRE QU’IL FAUT VOUS AFFRANCHIR DES RÈGLES DE LA COLLECTIVITÉ. Au plaisir de vous accueillir, L’équipe accompagnatrice. Texte et Mise en[...]Ouvrier Espaces Verts H/FEmploi Autres services aux entreprisesAngers, 49, Maine-et-Loire, Pays de la Loire"Acteur majeur dans le secteur de l'intérim et du recrutement, Supplay poursuit sa croissance en gardant une culture d'entreprise fondée sur le respect et l'exigence. Chaque jour, nous concilions les attentes de nos clients à celles de nos collaborateurs intérimaires avec agilité et les accompagnons dans leurs recrutements. Supplayest la première entreprise de travail temporaire à être évaluée "exemplaire " pour sa politique RSE 26000 par AFNOR certification." Nous recherchons pour un de nos clients paysagiste spécialisé dans la création, la réhabilitation et l'entretien des espaces paysagers, des ouvriers paysagistes H/F . Au sein d'une équipe travaux, vous assistez le Maître Ouvrier et/ou le Chef d'équipe en participant à la réalisation des chantiers d'espaces verts. Vous serez en charge de - Préparer les sols par drainages, terrassements. - Réaliser des pavages, dallages, bordures, maçonneries paysagères, clôtures, arrosages. - Respecter et renseigner les usagers, le client ou son représentant. - Identifier les dysfonctionnements et les faire remonter à sa hiérarchie....Ouvrier / Ouvrière d'entretien des espaces vertsEmploi Doué-en-Anjou, 49, Maine-et-Loire, Pays de la LoireVos missions - Entretien des espaces verts et des espaces naturels zone de plantation de massifs, désherbage, arrosage, traitement, tonte, taille - Entretien et valorisation des espaces naturels taille et plantation de haies bocagères, débroussaillage, élagage et abatage d'arbres, nettoyage de cours d'eau.... - Préparation et entretien des matériels débroussailleuse, tronçonneuse... -Travail physique, station debout prolongée, position courbée, port de charges, en équipe avec déplacements sur le département Les horaires sont réguliers. Vérifiez votre éligibilité au "CDD I" Contrat à Durée Déterminée d'Insertion auprès de votre conseiller Pôle Emploi Poste a Doué la Fontaine Permis B serait un plusEmployé Administratif H/FEmploi AgroalimentaireAngers, 49, Maine-et-Loire, Pays de la LoireAvec plus de 1000 points de vente, un chiffre d'affaires d'1, 2 milliards d'Euros, le réseau Gamm Vert s'affirme comme le leader incontesté de la jardinerie sur le marché français. Gamm Vert est une filiale du Groupe InVivo, premier groupe coopératif français et l'un des plus importants à l'échelon européen CA 5, 2 milliards d'Euros en 2017-2018. Dans le cadre d'un remplacementIn Vivo Retail Supply Chain recrute pour sa plateforme un " Employé administratif H/F. Rattachée au Responsable d'activité de la plateforme vous intervenez sur les missions suivantes Assistanat du service - Accueil des chauffeurs moyenne de 15 rendez-vous par jour. - Accueil téléphonique et gestion des appels. - Prise des rendez-vous des transporteurs et/ou fournisseurs pour les livraisons des marchandises. - Suivi des litiges. Participation au suivi de la sécurité de la plateforme - Fiches de sécurité . - Nouveaux produits . Demande de la fds au service achat ou recherche sur Quick FDS Lecture de la fiche et extraction des données à renseigner dans l'outil Gold stock Mise à jour de la fiche article " GOLD STOCK " ; Produits déjà renseignés Suivre les mises à jour reçues par mail[...]Commercial Sédentaire Télétravail 49 H/FEmploi Agroalimentaire, Agriculture - SylvicultureAngers, 49, Maine-et-Loire, Pays de la LoireBIO3G l'agronome, groupe éléphant vert est présente en France et pays frontaliers depuis 22 ans. Stimulée par sa volonté d'innover en permanence, motivée par la satisfaction de ses clients, BIO3G est à la recherche de ses nouveaux talents pour pérenniser son développement. Grâce à ses 380 collaborateurs engagés, l'entreprise conçoit, fabrique et commercialise des solutions biotechnologiques naturelles destinées à satisfaire une clientèle d'agriculteurs et de professionnels des espaces verts. Mission proposée BIO3G recrute des Commerciaux Sédentaires / Télévendeurs en Télétravail H/F en CDI à temps partiel 24 heures/semaine. A partir de votre domicile, vous contactez des prospects et clients pour leur proposer, en appels sortants, nos solutions adaptées à leur besoin. Pour réussir dans votre mission, BIO3G vous propose Une rémunération stimulante, non plafonnée, composée d'un fixe 1020, 66 brut mensuel auquel s'ajoute commissions, primes, challenges, 13e mois et participation aux bénéfices + un forfait de 100 mensuel pour les frais inhérents à votre activité à domicile. Un parcours d'intégration pour vous aider à maîtriser les aspects techniques et commerciaux[...]Aide viticoleEmploi Brissac Loire Aubance, 49, Maine-et-Loire, Pays de la LoireLe GEIQ Agri Qualif recherche un agent viticole qualifié H/F pour l'une de ses entreprises adhérentes située à Vauchrétien commune de Brissac Loire Aubance 49 Vous serez intégrée à une petite équipe sur un domaine de 100 HA en Bio/ conventionnel et accompagnée dans votre montée de vos compétences. MISSIONS - Conduite de la vigne taille, vendanges, travaux en vert... - Conduite agro-équipement travaux mécanisés du sol, fertilisation.. - Animation d'équipe Nous vous proposons des temps de formation pratiques et techniques en centre de formation afin d'y acquérir les connaissances et gestes techniques pour monter en compétences et pouvoir ainsi évoluer dans votre métier au sein de l'entreprise. 80% entreprise / 20% formation. PROFIL ATTENDU Vous avez idéalement déjà une expérience dans les travaux en vert et en viticulture plus globalement, Cependant votre candidature sera étudiée avec attention si vous avez une forte motivation et une expérience dans un domaine d'activité similaire. Spécificités à cette formation statut salarié, formation gratuite. Permis B obligatoire CONDITIONS 35H Hebdo - Travail du lundi au vendredi exceptionnellement le week end Avantages[...]Aide viticoleEmploi Puy-Notre-Dame, 49, Maine-et-Loire, Pays de la LoireLe GEIQ Agri Qualif recherche un agent viticole qualifié H/F pour l'une de ses entreprises adhérentes située au Puy Notre Dame 49 Vous serez intégrée à une petite équipe sur un domaine de 104 HA et accompagnée dans votre montée en compétences. MISSIONS - Conduite de la vigne taille, vendanges, travaux en vert... - Conduite agro-équipement travaux mécanisés du sol, fertilisation.. Nous vous proposons des temps de formation pratiques et techniques en centre de formation afin d'y acquérir les connaissances et gestes techniques pour monter en compétences et pouvoir ainsi évoluer dans votre métier au sein de l'entreprise. 80% entreprise / 20% formation. PROFIL ATTENDU Vous avez idéalement déjà une expérience dans les travaux en vert et en viticulture plus globalement, Cependant votre candidature sera étudiée avec attention si vous avez une forte motivation et une expérience dans un domaine d'activité similaire. Spécificités à cette formation statut salarié, formation gratuite. Permis B obligatoire Avantages Mutuelle/pack vêtement - Statut salarié, formation viticoleEmploi Doué-en-Anjou, 49, Maine-et-Loire, Pays de la LoireLe GEIQ Agri Qualif recherche un agent viticole qualifié H/F pour l'une de ses entreprises adhérentes située à DOUE EN ANJOU 49 Vous serez intégrée à une petite équipe sur un domaine viticole de 100 HA en Bio/ conventionnel et accompagnée dans votre montée en compétences. MISSIONS - Conduite de la vigne taille, vendanges, travaux en vert... - Conduite agro-équipement travaux mécanisés du sol, fertilisation.. - Animation d'équipe Nous vous proposons des temps de formation pratiques et techniques en centre de formation afin d'y acquérir les connaissances et gestes techniques pour monter en compétences et pouvoir ainsi évoluer dans votre métier au sein de l'entreprise. 80% entreprise / 20% formation. PROFIL ATTENDU Vous avez idéalement déjà une expérience dans les travaux en vert et en viticulture plus globalement, Cependant votre candidature sera étudiée avec attention si vous avez une forte motivation et une expérience dans un domaine d'activité similaire. Spécificités à cette formation statut salarié, formation gratuite. Permis B obligatoire CONDITIONS 35H Hebdo - Travail du lundi au vendredi exceptionnellement le week end Mutuelle/pack vêtement[...]Ouvrier paysagiste h/fEmploi Agriculture - Sylviculture-, 1, Ain, Auvergne-Rhône-AlpesManpower BOURG EN BRESSE BTP recherche pour son client, un acteur du secteur des espaces verts, un Ouvrier paysagiste H/F. Notre client est un incontournable dans l'entretien des espaces verts et des créations en maçonnerie paysagère. Vous avez la main verte ? C'est le moment de le montrer, mettez à profit vos compétences - entretien des espaces verts, - utilisation de l'outillage manuel et électroportatif, - taille , tonte , élagage, plantation, - travaux de petite maçonnerie paysagère pose de pavé, création de massif, dallage Travail en équipe Travail du lundi au vendredi avec 35 heures minimum Rémunération selon vos compétences. Titulaire d'un CAP - BEP - BAC - BTS ou d'une formation professionnelle en espaces verts ou d'une première expérience dans ce domaine N'attendez pas la fin de la saison, nos clients ont besoin de vous maintenant ! N'oubliez pas que devenir salariée intérimaire chez Manpower vous permet de bénéficier de nombreux avantages spécifiques à votre statut en fonction du nombre d'heures de mission que vous avez effectuées. Les avantages se cumulent en fonction de votre ancienneté. CE, CCE, chèques vacances, Compte épargne Temps et bien[...]Ouvrier paysagiste h/fEmploi Agriculture - Sylviculture-, 1, Ain, Auvergne-Rhône-AlpesManpower BOURG EN BRESSE BTP recherche pour son client, un acteur du secteur des espaces verts, un Ouvrier paysagiste H/F. Notre client est un incontournable dans l'entretien des espaces verts et des créations en maçonnerie paysagère. Vous avez la main verte ? C'est le moment de le montrer, mettez à profit vos compétences - entretien des espaces verts, - utilisation de l'outillage manuel et électroportatif, - taille , tonte , élagage, plantation, - travaux de petite maçonnerie paysagère pose de pavé, création de massif, dallage Travail en équipe Travail du lundi au vendredi avec 35 heures minimum Rémunération selon vos compétences. Titulaire d'un CAP - BEP - BAC - BTS ou d'une formation professionnelle en espaces verts ou d'une première expérience dans ce domaine N'attendez pas la fin de la saison, nos clients ont besoin de vous maintenant ! N'oubliez pas que devenir salariée intérimaire chez Manpower vous permet de bénéficier de nombreux avantages spécifiques à votre statut en fonction du nombre d'heures de mission que vous avez effectuées. Les avantages se cumulent en fonction de votre ancienneté. CE, CCE, chèques vacances, Compte épargne Temps et bien[...]Ouvrier / Ouvrière d'entretien des espaces vertsEmploi Cantenay-Épinard, 49, Maine-et-Loire, Pays de la LoireVous travaillez du lundi au vendredi en doublon avec les agents titulaires au sein d'une collectivité. Vous aurez principalement pour mission - Débroussaillage et désherbage, tonte de pelouses, élagage. - Taches de petits bricolages, réparations sur matériel ou locaux. - Installation d'équipements pour les associations. Poste a pourvoir en urgence !!!Mécanicien Auto H/FEmploi Négoce - Commerce grosAngers, 49, Maine-et-Loire, Pays de la LoireJOB ETE JUILLET/ AOÛT - FEU VERT RECRUTE Vous recherchez un job d'été pour compléter ou mettre en pratique votre formation en mécanique automobile, alors rejoignez notre équipe atelier pour - Réaliser des prestations d'entretien et de montage sur tous types de véhicules. - Satisfaire les clients en offrant un service et des conseils de qualité. - Développer vos compétences en mécanique et partager vos connaissances sur les évolutions technologiques automobiles....Ressources supplémentairesAgriculture - SylvicultureAgroalimentaireAudit - Comptabilité - FiscalitéAutres services aux entreprisesBricolage - JardinageEnergie - PétroleEquipement industrielNégoce - Commerce gros-1AinAudeAveyronBouches-du-RhôneCorse-du-SudDoubsHaute-SavoieHéraultIsèreJuraLoire-AtlantiqueLot-et-GaronneMaine-et-LoireMeurthe-et-MoselleMorbihanNordOiseParisPas-de-CalaisPyrénées-AtlantiquesTarnTerritoire de BelfortVarYvelinesPatrimoine - CultureSpectacle
LaCommission Départementale de la Nature, des Paysages et des Sites (CDNPS) est une commission consultative régie par le décret n°2006-665 relatif du 7 juin 2006 relatif à la réduction du nombre et à la simplification de la composition de diverses commission administratives et est codifiée dans le code de l’environnement, aux articles R. 341-16 et
. 353 376 210 259 492 256 201 481
interbev consultation abattage pays de la loire